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sujet; ERIS BURKE / pretty young thing |
 | Eris Evanna Burke feat troian bellisario • forevertry | ❝ We're running in circles again ❞Wizard ; Inventé☇ pseudo complet & surnom ; Eris Evanna Burke. Eris, de la déesse grecque de la discorde, prénom que ses parents espéraient peut-être prophétique et qu’elle n’honore définitivement pas (quoiqu’elle a le chic pour lancer quelques pommes de discorde, à l’occasion, bien que ce soit majoritairement involontaire). Evanna, dérivé du prénom celte Evan, féminisé et servant uniquement sur de quelconques documents administratifs. Burke, de la famille de sang pur. Son court prénom lui a offert d’être toujours appelée par celui-ci, ce qui la satisfait grandement.
☇ naissance ; 17 mars 1974, Sainte-Mangouste.
☇ ascendance; Son sang est bien évidemment pur et elle en est fort heureuse.
☇ métier ; Une lueur d’indépendance chez la Burke, qui côtoie d’autres jeune femmes sûres d’elles. Elle s’assure donc de ne pas vivre aux crochets de sa famille en tenant le courrier du cœur du Witch Weekly (Sorcière Hebdo), avec un enthousiasme décapant. Elle est aussi jurée chaque année pour le prix du Sourire le plus charmeur, remis par ce même magazine, et son palmarès des célibataires les plus en vue, à chaque saison, est un classique. Eris va également parfois traîner derrière le comptoir de la boutique familiale, tripotant des objets auxquels elle ne doit absolument pas toucher et gâchant toutes les affaires entreprises par ses aînés et associés involontaires, bien que ce soit sans malice. On lui doit parfois des transactions étonnantes; si c’était recherché, on lui prêterait un certain sens des affaires, à cette petite. Puisque c’est elle, cela dit, c’est plutôt de l’utile idiotie.
☇ camp ; Celui du gouvernement, par défaut.
☇ réputation ; Héritière délurée et pourtant adorable, sans tout le drame shakespearien entourant les filles Carrow et tous les problèmes nébuleux des autres jeunes femmes de son âge. Elle fait une tacite unanimité, malgré son caractère surprenant et sa niaiserie évidente, et elle est vue comme un pion inutile, mais docile à tout le moins.
☇ état civil ; Célibataire, elle attend avec impatience d’être fiancée, puis mariée. Pas de fonder une famille, elle n’a absolument jamais rêvé de maternité, mais le mariage, ça, elle veut.
☇ rang social ; Élite, bien évidemment. Elle n’a rien à faire chez les Mangemorts, ce serait bien incongru.
☇ baguette ; Un seul crin de licorne au cœur d'une baguette de cornouiller, longue de 24.5 centimètres. Très droite, fine et légère, ainsi que rigide. La baguette est malicieuse, parfois bruyante (elle aime bien les effets), adaptée à sa maîtresse rieuse et enjouée.
☇ épouvantard ; Son corps vieux et desséché, mais surtout, solitaire – la langue arrachée, mutisme forcé.
☇ risèd ; Le mariage, tout simplement, même si le visage de l'époux n'est jamais précis.
☇ patronus ; Ses capacités en Défense Contre les Forces du Mal n’ont jamais permis qu’elle se rende plus loin que sa 5e année à Poudlard dans cette matière et elle ne maîtrise donc pas l’art du patronus.
☇ particularités ; Aucune, elle est bien assez exceptionnelle ainsi !
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☇ Avis sur la situation actuelle ; Eris n'a jamais eu à se poser de questions. Elle est née dans une famille au sang pur et elle est une fière descendante de tout cet héritage magique, de toutes ces traditions, et on lui a toujours répété qu'elle était l'élite de la société. Alors, pourquoi devrait-elle s'offusquer que les sang purs soient au pouvoir, quand c'est dans le naturel de cet état de fait qu'elle a été élevée ? L'arrivée du Magister est une simple façon de remettre les dirigeants légitimes à leur place. Aussi pacifiste soit-elle et aussi peu désireuse de se salir les mains, elle comprend que l'usage de la force puisse être nécessaire, malgré certaines dérives qu'elle n'a pas à discuter. Ce n'est pas elle qui dirige ce pays, après tout. Puis, certaines situations impliquant les insurgés ne demandent-elles pas d'agir avec fermeté ? Ces criminels sont dangereux et doivent être arrêtés impérativement. Son opinion par rapport aux rebuts est plutôt enthousiaste, également : elle trouve que c'est une riche idée de réinsertion sociale pour les criminels, une façon pour eux de se racheter. C'est très progressiste, ça lui plaît. Elle n'en a pas elle-même, mais si elle en a l'occasion et qu'elle repère un mignon rebut aux enchères, pourquoi pas ? Si ça peut aider la société ! ☇ Infos complémentaires ; Le Choixpeau a eu quelques difficultés à la répartir, avant de la mettre, peut-être par dépit (et après une certaine hésitation avec Serpentard), à Poufsouffle. Elle y a mené une scolarité heureuse et a été aimée de ses professeurs, se révélant être une élève charmante, rieuse et patiente, bien que dissipée. Ses notes ont toujours été moyennes, voire mauvaises dans certaines matières, mais peu importe à ses yeux. • Elle a toujours adoré la Divination et était en pâmoison devant l'enseignante; encore aujourd'hui, elle va régulièrement consulter une voyante, à laquelle elle exige un fiancé. • L'Étude des moldus lui a ouvert les yeux sur la vie rudimentaire de ces pauvres êtres non évolués, sur le cauchemar quotidien que ces personnes ont à vivre. • On pourrait dire qu’elle fume, mais ce n’est pas tout à fait vrai. Elle se contente de s’allumer une cigarette, pour en tirer deux bouffées et ensuite l’écraser au sol, ou dans un cendrier, sans y réfléchir. La balancer dans une flaque d’eau, dans un verre, à la figure de quelqu’un dans un geste théâtral. Au final, Eris n’a sans doute même pas fumé l’équivalent d’un paquet complet de cigarettes depuis sa majorité. • Belle idiote, autant de l’un que de l’autre, ses priorités sont très éloignées de la guerre et de ses aléas. Elle aime danser, rire, faire les magasins, cancaner avec ses amies et minauder auprès des clients de la boutique, qui ne résistent pas à son minois enjôleur (même si elle est loin d’être capable d’arnaquer lesdits clients – trop bête pour cela). • Le célibat est un état de fait convenable à ses yeux, mais elle a plus que hâte d’être fiancée et mariée, pour pouvoir vivre des aventures dramatiques. Parce que la Burke a pour lecture préférée les romans à l’Amortencia, elle s’imagine tour à tour vivre une romance torride avec un homme marié (elle a d’ailleurs toujours quelques idées de prétendants en tête), ou tromper son époux avec un mystérieux étranger, ou toute autre chose du même acabit. Il ne faut donc pas s’étonner de la voir tourner autour des sorciers portant alliance au doigt, par tentative de provoquer son futur. • Elle reste assez chaste, en ce qui concerne les jeux de l'amour, attachée qu'elle est au cérémonial et à l'idéal qu'elle s'est construit. Pas réellement de conquêtes pour elle, donc, que des flirts, à peine un petit copain, une fois, qui n'a pas tenu la route. • Eris prétend toujours savoir cuisiner, alors que la vérité est toute autre. Elle ne sait faire qu’une seule chose, en cuisine, et ce sont les mojitos, ce qui lui semble bien assez pour survivre en société. De fait, ils sont excellents et elle a le chic pour inventer quelques sortilèges de son crû pour pouvoir réaliser les autres cocktails. Pleine de ressources. • Comment elle fait pour rester aussi mince en buvant autant et en ayant comme seul sport faire les magasins est d'ailleurs un mystère irrésolu. • La jeune femme est incapable de tenir sa langue, de garder un secret, mais ce n’est pas par méchanceté, ni malveillance. Les mots dépassent sa pensée, tout simplement. • Follement curieuse, elle est prête à bien des choses pour découvrir ce que vous cachez, du chantage aux menaces, en passant par la tentative d’infraction de domicile. Un accent Serpentard, dans son caractère. • C’est une piètre sorcière, dans le sens où elle se contente de maîtriser des sortilèges de base, sans s’intéresser aux plus complexes. Elle n’a seulement pas d'ambition magique réelle. • Passion chiffons, Eris s’habille à la dernière mode sorcière et peut même se vanter d’être des instigatrices des courants vestimentaires dans l’élite. Elle est cela dit toujours parée de talons hauts (et plus ils sont hauts, plus elle les aime), de sa longue chevelure de sirène et bien habituellement de décolletés plongeants, ou de vêtements vaporeux et transparents. Son absence flagrante de poitrine conséquente doit bien avoir quelques avantages. • La mémoire comme une passoire pour bien des choses, elle se rappelle pourtant de tous les potins et a une connaissance des rumeurs mondaines à laisser coi. Chez Barjow & Burke, elle sert également de mémoire quand c'est le moment de se rappeler à qui a appartenu tel ou tel objet. • Elle a beaucoup de cœur et est une personne généreuse, très indulgente et ouverte aux autres, malgré une éducation élitiste. • On dit souvent qu'elle n'est pas une véritable Burke, ce qui la blesse quelque peu : elle n'a pas toutes les forces de sa famille, certes, mais elle n'en est pas moins une Burke. • Elle est allée au États-Unis, pour les fiançailles de Nyssandra, et son désir de voyager lui vient de là, ainsi que, suppose-t-on, sa fascination pour les accents étrangers. • A la dent sucrée, ses chocolats préférés sont les blancs. • Ne sachant pas cuisiner, elle commande toujours ses repas chez le meilleur traiteur de Londres. • pas d'elfe de maison à sa disposition : elle a engagé une femme de ménage qui vient à tous les jours faire tout ce qu'Eris ne fait pas, soit à peu près tout, de la lessive au ménage, jusqu'au ravitaillement en alcool, le tout pas assez payé. • C'est une lève-tôt et une couche-tard. • Elle ne boit pas de café et rarement du thé : la caféine la rend encore plus intenable et a tendance à la rendre irritable, en plus d'irritante. • Elle est abonnée à un nombre considérable de journaux et de magazines, qu'elle lit religieusement tous les matins, pour se tenir au courant des nouvelles et des nouveautés (même si cela lui passe bien au-dessus de la tête, finalement). • Elle commence toujours sa lecture desdits magazines et journaux par l'horoscope. • Seul gestion d'affection de la part de son frère Seth : il lui procure à l'étranger ses cigarettes préférées, des Shalimar au goût doux et parfumé. • Elle tente de caser ses frères avec toutes ses amies, avec une insistance tranquille et régulière. • Elle ne parle pas d'autre langue que l'anglais, mais connaît plusieurs termes étrangers quand il est temps de parler de mode. • Son père lui a offert une paire de Miroir Double-Sens à pied, pour ses vingt ans, suite à un long harcèlement; la deuxième moitié de la paire a été offerte à Nyssandra, avec qui elle pouvait communiquer alors qu'elle était aux États-Unis et qu'elle ne manque pas de rejoindre tous les matins (évidemment, les miroirs sont placé dans leur dressing respectif). • La vérité derrière son aversion de la lavande, qu'elle parle comme d'une fleur puante et kitsch, démodée, est qu'elle y est allergique (particulièrement à l'essence, mais autant étendre à tout - elle évite même d'en porter la couleur). • Eris connaît le contenu de la boutique familiale aussi bien que ceux qui y travaillent et elle a appris à manipuler les objets maudits et ensorcelés, à force d'observer son père et de supplier son frère Martis de lui enseigner. Son enseignement est aussi complet que celui de ses frères et la plupart des gens ne le soupçonnent même pas. • Son système de classement de dressing est à faire pâlir les plus maniaques du rangement (les vêtements, c'est sacré). • Elle a développé une imitation bluffante d'Ascleus Ollivander (imitation qui, elle l'espère, ne viendra pas à être connue de l'imité). ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi deadpool. J'ai 24, je viens du Québec et j'ai connu le forum via Bazzart (et j'y ai déjà deux insurgés). Si tout va bien vous me verrez connectée 7 jours sur 7, mon objectif est de pourrir toutes les MAJ possibles de Vincianne. Je veux bénéficier de l'aide d'un parrain ou d'une marraine : [] oui / [X] non. Un dernier mot ? 
Dernière édition par Eris Burke le Jeu 15 Oct 2015 - 23:53, édité 2 fois |
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| | Here comes the hurricane pretty young thing
The truth about Eris Burke  La vérité est qu'il n'y a jamais eu besoin d'élever Eris à devenir une « vraie » Burke. Elle a deux frères, n'est-ce pas ? L'héritage a toujours été sur leur dos et sur le sien, il est à peine resté la nécessité d'être une jeune femme convenable, une bonne future épouse et si possible, pas trop idiote. Force est de constater que ses parents ont généreusement échoué dans tous leurs vœux à son égard, mais puisque ce n'est pas elle qui porte le poids de leur nom sur ses épaules, ce n'est pas grave. Elle n'a pas été à Serpentard, comme on aurait espéré d'elle. Elle a plutôt été une heureuse Poufsouffle, fière représentante de sa maison, incarnation joyeuse des valeurs cardinales à Helga Hufflepuff. Oh, bien sûr, elle a bien tenté de se faire dispenser de Botanique pour raisons médicales quand elle s'est cassé un ongle et a fait couper ses ingrédients à ses camarades de classe, en Potions, à l'aide de quelques battements de cils, mais elle n'a jamais été vilaine, Une gentille fille, une bonne fille. Profondément. Seulement élevée dans un monde où elle n'a jamais connu la difficulté et où elle a toujours été convaincue d'être au-dessus de tous par le seul fait de sa naissance. Eris n'irait jamais se prétendre intelligente, mais elle a certainement un esprit pratique qui sait étonner. Une farouche indépendance, également, chez cette jeune femme élevée dans la ouate et le luxe. Elle a quitté le cocon familial dès sa sortie de Poudlard, emportant toute sa garde-robe pour l'entasser dans un appartement de la grandeur de son walk-in, et s'est trouvé un travail en moins de deux. C'est qu'elle est surprenante, Eris, toujours là où on ne l'y attend pas. Elle s'est emparée d'un poste de stagiaire au Witch Weekly, jusqu'à mettre la main sur le courrier du cœur. Elle a voté au concours du Sourire le plus charmeur du magazine, jusqu'à en devenir jurée permanente. Elle a fait ses suggestions au palmarès des célibataires les plus en vue, jusqu'à en devenir la papesse. Elle a fait les pages du magazine comme icône du street style et qui sait, peut-être sera-t-elle la prochaine à vous conseiller les vêtements les plus en vogue ? Parce que si des Burke elle n'a pas l'esprit méfiant et paranoïaque, elle a tout de même son ambition bien personnelle. Si de sa famille, elle n'a pas le don du marchandage, elle a le charisme et la parole convaincante qui ont fait leur fortune. Elle a le doux visage enjôleur, la parole vive et une amabilité qui tranche délicieusement avec les siens. On ne la veut pas à la boutique, elle ne sait pas vendre, ni arnaquer, mais on désire sa mémoire et sa connaissance des rumeurs, cette curiosité qui la fait fouiner partout où elle ne doit pas. La guerre la touche peu. Très peu. Eris a d'autres préoccupations – ce n'est pas à elle de faire la guerre. Elle est en amour avec l'amour. Elle rit trop fort. Elle pense au lendemain, à un futur mariage, à ses amies, à ses prochaines chaussures, mais pas à ceux qui meurent au combat. Parce que ce n'est pas à elle de faire la guerre. Best of Eris Burke  « S'il est marié ? Bien sûr qu'il est marié, ça ne m'a jamais empêchée de draguer qui que ce soit. » « Nyssandra chérie ! Il faut que je te raconte la soirée d'hier, c'était incroyable, le fils Fawley, mon cousin, peut-être, je crois, je ne sais plus, a embrassé la fille, tada, la fille Travers ! Je te jure ! Avant, par contre, attends, j'ai un shaker de mojitos avec moi, histoire de nous mettre d'aplomb pour cela. » « Comment cela, me laisser quand je ne serai plus à la mode ? De une, je serai toujours à la mode, parce que, de deux, je crée la mode. » « Ha non, lui, il ne faut pas l'approcher même avec une poutre, j'ai su qu'il couchait avec sa rebut et on ne sait pas où ces criminels ont traîné avant d'avoir la chance de racheter leurs fautes. » « C'est trop dommage que les insurgés soient des insurgés... il y en a des vachement mignons, tout de même. C'est du gâchis. » « Et encore, je l'ai vu avec une robe de l'an dernier. Franchement, qui a idée de sortir attifé comme si c'était la guerre ? » « Ça ? Oh, presque rien, ça m'a coûté à peine une centaine de Gallions, mais pour avoir accès à la collection encore non dévoilée de The Johns, ça vaut le coût. » « Non, papa, ce collier appartenait à Avery. Tu sais, c'était la grand-tante de Mrs Flint qui le lui avait vendu, après qu'il ait malencontreusement étranglé la cousine de la fille de sa voisine, qui était une bâtarde de sang-mêlé – je ne vous raconte pas la pagaille, d'ailleurs, elle a quasiment été étêtée. » « Oh non, je ne sais pas qui choisir entre ces deux-là pour le sourire le plus charmeur ! Tu crois que si je leur demande un rendez-vous pour mieux évaluer la chose, autour d'une bouteille de vin, ils accepteront ? » « Et cette coiffure, c'est quoi ? On dirait qu'elle s'est coiffée avec un Chauvefurie. » « Si tu ne voulais pas le vendre à 50 Gallions, il fallait le mettre plus cher, voyons ! Comment veux-tu que je devine ? Je suis journaliste, pas Legilimens, tu sauras. » « Est-ce que tu pourrais couper mes racines de bégonia, s'il te plaît ? J'ai si peur de me couper et tu as des doigts tellement habiles. » « Oh, allez, Gwen, tu dois bien avoir un rebut mignon et de sang pur en réserve pour moi. Tu sais comme je rêve d'en avoir un ! Imagine qu'il soit l'amour de ma vie ? » « Comment ça, je fouille dans vos papiers sans permission ? C'est pour mon travail, voyons, je ne vous permets pas de douter de moi. » « Non, seulement cinq verres pour moi, ce soir, je suis raisonnable. » « Elle est fiancée à Crouch ? Mais elle ne l'était pas à Flint ? Oh la la, je n'y comprends plus rien, je dois vraiment aller voir les sœurs pour leur demander ce qui se passe dans leur vie amoureuse. Tu crois qu'elles préfèrent les mimosas, peut-être ? » « Sang-mêlé purifié, est-ce que c'est assez pur, ou il faut que ce soit officiellement pur, pour être pur ? » « Tu as vu le nouveau, au Ministère ? J'espère que c'est lui que ma voyante a vu dans sa boule de cristal, il est à croquer ! » « Et elle glissa lentement un doigt recouvert de chantilly entre ses lèvres, oh Merlin, comme c'est... le nouveau roman de Duchannes donne chaud, et cette romance interdite avec un insurgé ! J'aimerais tellement vivre quelque chose comme ça. » « Et le fiancé, est-ce que ce serait possible qu'il soit étranger ? J'adoooooore les accents, c'est tellement séduisant. » « Oùùùùùù as-tu déniché ton rebut ? J'avais dit à Gwen de m'en garder un joli ! Ce sont toujours les mêmes qui ont tout. » « J'ai appris que les moldus devaient absolument marcher, pour se rendre à quelque part. Pas de transplanage. Imagine toutes les ampoules que ces pauvres femmes doivent se faire, à marcher autant, c'est cruel. » « Tu ne pensais tout de même pas que j'allais te laisser te fiancer comme ça avec un bel Américain et ne pas venir ? C'est mal me connaître, chérie. D'ailleurs, parlant de ça... il n'aurait pas un jumeau ? Un frère ? Un cousin ? Un ami ? Un colocataire ? Un collègue ? … un voisin ? » « Ha bon ? Je le connais ? Mais tu sais, pour moi, dès que ce n'est pas de sang pur, c'est très flou... quoiqu'il est mignon, je suis certaine que je m'en serais souvenue au moins un peu. »
Dernière édition par Eris Burke le Sam 9 Mai 2015 - 2:38, édité 3 fois |
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| | Eriiiiiisssss Chérieeee tou es magnifaikeeee  |
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| | Hahaha ! Je l'aime déjà  Savoureux personnage (encore), originale dans sa niaiserie patente, il me tarde de la voir en action ! |
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| | Gwen » Et toi donc  Keziah » Oh, monsieur Sourire charmeur  Grâce à moi, niark. Comme je t'ai dit, je suis de joie qu'elle te plaise, on aura un super lien tous les deux et je compte bien secouer ce forum un tantinet. |
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| | TC ! omg, rebienvenue...  vous me rendez tous jalouse, lààààà !  |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson  ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
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| | Merci Juliet et Pansy  Cette fiche est bien terminée, j'espère que vous aurez autant de plaisir à la lire que j'en aie eu à l'écrire. |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | Te voilà validée congratulations : you made it, mate !
 OH MY, ce perso est tout ce que j'aime et tout ce qu'on espérait trouver parmi les membres de l'Elite j'ai bien envie de citer les passages qui m'ont plu mais ça donnerait un commentaire aussi long que... ta fiche, en fait, parce que tout est épique  ça donne envie d't'enrôler pour quelques articles du sorcière hebdo, tout ça :siffle: Maintenant que tu as franchi l'étape la plus casse-pied, tu peux enfin gambader librement dans les prés verd- wait, mauvais script, ahem. On en était où ? Ah oui, à toi gambadant gaiement (ou pas hein, chacun son délire) à travers le forum, avec ta couleur toute neuve. Tes potes les wizards sont sans doute ravis de compter un nouveau membre dans leurs rangs ! Mais j'crois bien qu'il te reste encore un peu de paperasse à remplir... besoin d'un coup de main, peut-être ?
► inscris ton personnage aux annexes qui le concernent (et assure-toi bien, ensuite, de figurer dans chacune des listes !) ; ► renseigne-toi sur les xp pour organiser ton évolution ; ► prends connaissance des différentes façon de gagner et d'utiliser tes gallions ; ► organise le suivi de ton activité ( obligatoire) ; ► crée ton carnet de relations et la liste de tes rp ; ► établis la chronologie de ton personnage ; ► participe à l'activité du qg secret de ton groupe ; ► active la fonction surveiller les réponses du sujet de news ; ► tiens-toi informé des actualités du monde sorcier ; Et pour finir : ta mission si tu l'acceptes sera de t'éclater bien comme il faut. Bon jeu ! |
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| | | | | | | | ERIS BURKE / pretty young thing | |
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Susanna, il y a eu la passion, les tensions, la séparation, la fureur, le manque. L'étape suivante aurait dû être la réconciliation - j'étais prêt à l'épouser. C'était avant qu'on ne la découvre coupable de trahison, avant qu'une vision d'Aramis ne révèle sa relation, avant que la dénonciation à laquelle j'ai consenti ne lui coûte la vie. Déchiré entre colère et regrets, j'ai fait le choix d'effacer les sentiments qui perduraient pour ne conserver que la haine. Rien d'autre que la haine.