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sujet; On se promène, mère-grand ? || Brice

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On se promène, mère-grand ?
Brice & Percy


Un soleil qui se fait discret derrière les nuages. Un brin de verdure dans un paysage qui n’avait rien de rural. Des éclats de rire. Des enfants qui jouent dans un parc. Ce n’est pas grand-chose et pourtant cela suffit à la petite femme ronde installée sur l’un des bancs pour lui arracher un maigre sourire. Ses cheveux gris laissent deviner qu’elle n’a plus vingt ans, peut-être a-t-elle des enfants, des petits-enfants même. Difficile à dire, elle est seule. A moins qu’elle ne soit de ces gens qui passent du temps dans les parcs pour voir la vie s’écouler. Elle resserre doucement son manteau couleur taupe contre elle et repositionne son petit chapeau du même ton, la petite brise qui passe la fait frissonner. Pourquoi diable avoir décidé de mettre une jupe ? Même si celle-ci est d’une longueur respectable pour une dame de son âge, il y avait tout de même quelques courants d’air qu’elle jugeait pour le moins désagréable. Elle n’est plus toute jeune et son corps ne conserve plus aussi longtemps la chaleur que dans ses jeunes années. Enfin, elle ne passera pas la journée assise sur ce banc, d’autres obligations l’attendent. Cela doit bien faire une heure qu’elle est dehors.

Une demi-heure bientôt qu’elle est dans ce parc, un peu moins qu’elle se trouve assise sur ce banc public. Mais le temps reste précieux. Son dernier passage dans le parc remonte à plusieurs semaines maintenant, un emploi du temps chargé l’empêchait de s’offrir le luxe de ces petites sorties. Par chance, les enfants sont toujours au rendez-vous. Elle avait peur de les manquer. Toutes les semaines, ils se rendaient dans ce même parc pour jouer sous la surveillance de leur tante. Une femme bien, d’après ce qu’elle avait pu observer jusqu’à présent. Judith et Thomas étaient entre de bonnes mains et c’était tout ce qui importait.  

-  Mrs. Millerfield, je commençais à douter de vous revoir par ici. Vous ne répondiez pas à mes hiboux, je m’inquiétais …

Celle qui répondait au nom de Millerfield afficha un sourire désolé. Derrière ses petites lunettes en écailles vertes, elle reconnue Elizabeth, la tante des deux enfants qu’elle observait depuis son banc. Elle l’avait vu quitter son propre banc pour se diriger vers le sien. Pour ce qu’elle en savait, c’était quelqu’un de bien. Vraiment. Elle s’occupait de ces deux-là comme s’ils avaient toujours été les siens et elle le faisait à merveille à en croire les dires des gamins. La dame aux lunettes n’avait rien à redire là-dessus.

- Oh, vos hiboux ont dû se perdre, ma chère amie, sans quoi j’aurai pris la peine d’y répondre. J’ai eu un emploi du temps chargé, et c’était sans compter quelques problèmes de santé qui m’ont poussé à garder le lit.  répondit-elle la voix enrouée.  Comment allez-vous ? Comment vont les enfants ?    

- Très bien, tout le monde va très bien. Vos cadeaux leur ont fait très plaisir, c’était très généreux de votre part. »

Deux petites peluches et quelques petits gâteaux. On avait déjà vu plus généreux, mais la petite dame secoua la tête. C’était le moins qu’elle puisse faire. Vraiment, il n’y avait pas de quoi la remercier pour si peu - surtout quand on connaissait toute l'histoire ..

***

Les enfants étaient partis depuis un moment. Pas elle. Ou plutôt pas lui. Sous les traits vieillis de cette bonne vieille madame Millerfield se cachait en réalité un homme. Un sorcier qui n’aurait jamais dû se trouver dans un lieu pareil et qui pourtant le faisait. Le polynectar n’était pas éternel et s’il avait repris une petite dose peu après le départ des gamins, tôt ou tard il reprendrait sa véritable apparence et la situation pourrait se gâter pour lui.  Percy Weasley n’était pas exactement un sorcier que l’on pouvait considérer comme étant de bonne compagnie à en croire les affiches qui avaient un temps placardés certaines rues.  Il n’aurait pas dû être ici. Si quelqu’un l’avait vu. Si quelqu’un avait su, il aurait été fort probable que l’on tente de le dissuader de sortir pour une balade par ici. Il y avait beaucoup trop à faire pour qu’il se permette une promenade au grand air pour … pour regarder deux enfants jouer dans un parc avec d’autres, se chamailler pour une broutille, bouder un peu et finalement reprendre là où ils en étaient. Ce genre de scène lui rappelait celles qu’il avait lui-même vécu avec sa propre fratrie. Un nouveau sourire vint marquer le visage de la vieille dame aux lunettes. De jolis souvenirs lui revenaient en mémoire. Il se revoit courir avec ses frères dans le jardin. Il se revoit avec eux montés sur des balais à jouer dans les collines loin des regards indiscrets. Il revoit les discussions pour déterminer qui aura le privilège de manger le dernier cookie de la boîte.  Il se revoit en train de hurler après que ses frères aient changé la couleur de ses cheveux en un joli rose bonbon. Les images défilent encore et encore. Certaines scènes sont un peu floues, mais elles sont encore présentes. Des souvenirs d’un autre temps.

Le temps. Ce mot lui heurte l’esprit. Il va finir par en manquer. Il se lève, remet en place la jupe qu’il porte. Une vieille dame avec une tenue en désordre aurait été du plus mauvais goût. Elle redresse ses petites lunettes sur son nez, attrape le sac à main qu’elle avait déposé à côté d’elle sur le banc en s’y installant et remonte le petit chemin du parc. Il a assez traîné dehors et porter le costume de la vieille sorcière ne l’amuse pas plus que cela.  Les jupes, les petits chapeaux fleuris, le petit sac qui ne lui sert pas à grand-chose, les petites manies, la lenteur. Ce n’est pas pour lui cet accoutrement. Ce n’est pas lui. Mais bon, c'est le prix à payer pour passer inaperçu dans le paysage.

Ou peut-être pas ...  



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Je n’étais pas là par hasard. Le tableau semblait presque irréel pour des sorciers qui, comme moi, ne se sentait plus vraiment à leur place nulle part, et surtout pas dans un parc ou résonnait les rires des enfants. Mais j’avais suivi un ami qui m’avait semblé tendu, préoccupé... Assez pour que cela m’inquiète. Ah oui, ajoutez à cela le fait que je l’avais vu ingurgiter une fiole de polynectar puis enfiler une jupe (par dessus son pantalon avant de l’enlever si vous voulez tous les détails) et vous obtenez une Brice aussi inquiète que curieuse. Bref, moi. Même si en réalité, dans n'importe quelle tenue, avec n'importe quel aspect j'aurai pu le reconnaitre, simplement à l'odeur, chaque être humain avait sa fragrance et j'avais passé assez de temps avec Percy pour reconnaitre la sienne facilement. Après avoir modifié la couleur et la longueur de mes cheveux ainsi que la couleur de mes yeux grâce à quelques petits sorts de métamorphose j’avais suivie ce cher Percy, ou Percynette maintenant, jusqu’à ce petit parc.  La traque n’avait pas été bien compliqué pour moi grâce à Raksha, pourtant le jeune homme était sur ses gardes, il avait prit ses précautions, regardant régulièrement autour et derrière lui. Mais il connaissait le chemin, par coeur, il ne s’installait pas sur ce banc pour la première fois j’en mettrais ma main au feu. Il ne m’avait pas vu mais je l’avais longuement observé. Moi-même installée sur un banc je regardais ce qu’il faisait, tentait de comprendre la raison de sa présence ici, dans cette tenue. Que fait il? Il veille.  Sur qui? Sur les enfants.  Deux en particuliers. Pourquoi? Je n’en savais encore rien. Je ne connaissais absolument pas ces enfants ni leur mère avec qui parlait mamie Percynette. Un ballon arrivait à mes pieds et je le redonnais à un petit garçon qui me remerciait avec le sourire avant de me faire un petit signe de la main. J’avais peut-être souri un peu trop bêtement ou sans doute les battements de mon coeur s’étaient accélérer sans m’e rendre compte mais ma louve, elle, ne loupait jamais rien.Tu en veux n’est ce pas. Je ne réponds pas, elle le sait. Cette question est aussi compliquée que douloureuse pour moi. C’est vrai j’aime beaucoup les enfants, je pourrais passer des heures à jouer avec eux, j’avais une patience infinie, une écoute prodigieuse quand il s’agissait de mini nous mais tout cela restait très... compliqué. ça n’était de toute façon pas du tout le moment de penser à cela. Alors j’observais l’herbe avant de reporter mon attention sur les enfants présents, découvrant que les deux qu’observait Percy avait disparu, sans doute avait il quitté le parc avec leur mère. Pourtant mon ami, lui, était toujours installé sur son banc. Il semblait vouloir y rester un moment. Mes doigts dans la poche de ma veste serait ma baguette, je m’attendais à tout et à tout moment. Il n’y a pas de danger. Tentait de me rassurer ma louve sans grand succès, mon esprit ayant tendance à imaginer mille et une raisons que notre petite “sortie” finisse mal. Mais après quelques longues minutes Percy avait décidé que l’escapade devait prendre fin. La potion n’allait sans doute plus faire effet bien longtemps. J’avançais vers lui avant qu’il ne décide de transplaner et ainsi de me fausser compagnie. Si je savais qui il était ça n’était pas son cas aussi je préférais y aller doucement en m’annonçant. Veuillez m’excuser.... madame. Oui l’appeler madame restait tout de même assez dur. Je crois qu’on s’est déjà croisé n’est ce pas? On m’appelle Raksha.  Maintenant il savait parfaitement à qui il avait à faire.  Que fais tu ici? Je savais pas que t’avais de la famille en Ecosse... En référence à cette tenue surprenante. J’avais bien le droit de l’ennuyer un peu après tout je venais tout de même de le prendre la main dans le sac déguisée en mamie! Je l’observais des pieds à la tête avec un large sourire que je ne camouflais pas. T’as pas trop froid?  Demandais-je amusée alors que je l’encourageais à continuer notre marche comme si de rien n’était pour n’attirer l’attention de personne. Je préférais prendre mon temps avant de poser les questions qui fâchent, les questions qui pourtant me brulaient les lèvres. Combien de temps avant que ta tenue ne devienne indécente?  Que les mollets poilus fassent leurs apparitions. Tu peux pas savoir à quel point je regrette de ne pas avoir d’appareil photo sur moi, ça nous ferait un sujet de discussion terrible autour d’un feu de camp!  J’imaginais  aisément la tête de Charlie si j’avais pu prendre Percy en photo dans cette tenue...
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On se promène, mère-grand ?
Brice & Percy

Une petite dame qui remonte le chemin tranquillement. D’autres sorciers croisent son chemin, certains lui adressent un sourire aimable auquel elle répond. Une petite dame comme elle, ça vous pousse toujours à sourire.  Percy se dit que s’ils l’avaient vu sous un autre jour le sourire n’aurait peut-être pas été de mise.

Madame. On l’interpelle, ou plutôt, on appelle la vieille dame qu’il est. Il s’arrête, méfiant, prêt à sortir sa baguette en cas de besoin et griller la couverture qu’il s’est construit. Il pivote sur ses talons pour faire face – non sans surprise – à une jeune femme plutôt mignonne. Aucun danger apparent, néanmoins il reste méfiant. Il ne la connaît pas, mais il ne peut prétendre connaître tous les sorciers qu’il croise. Que lui veut-elle ? Est-elle perdue ? A-t-il fait tomber quelque chose de l’une des poches de son manteau ? Il regarde derrière lui, non, rien n’a l’air de lui avoir échappé. Sait-elle qui se cache les traits de la grand-mère ? Il regarde brièvement ses mains, elles ont toujours la même apparence … Le polynectar fait donc encore effet. Il peut encore sentir les cheveux de la vieille femme sur son crâne, il n’a pas grandi d’un coup. Il est donc encore Madame Millerfield, une gentille petite dame à la retraite qui profite de son après-midi pour se promener. Essayant d’adopter un air aussi détaché que possible, il répond.  « Oh non, je ne crois pas n … »  Raksha. Et merde. Inutile de nier, de prétendre ne pas la connaître. Si Raksha prétend la connaître ou plutôt le reconnaître, Raksha a raison et à ce jeu il n’aura jamais le dernier mot. Comment se fait-il qu’elle soit ici. Comme n’importe qui l’aurait fait s’il avait reconnu un visage familier, il sourit. « Bien sûr. J’ai failli ne pas te reconnaître. » Je ne t’avais pas reconnu du tout, aurait été plus exact. Il est plus détendu, mais n’en reste pas moins surpris de la croiser sur sa route. Il préférait encore tomber sur elle que sur quelqu’un du ministère. « Je prends l’air. Comme toi apparemment. »  De la famille en Ecosse ? Oh il en a probablement dans le pays, des cousins éloignés ou … ha ha ha. Il venait de comprendre l’allusion à son déguisement. A moins qu’elle ne soit réellement sérieuse. L’avait-elle vu un peu plus tôt ? C’était peu probable et pourtant il n’aurait pu jurer le contraire. Il secoue la tête, choisissant de ne pas revenir sur la question de la famille. Est-ce qu'il avait froid ? « Profite, tu verras quand t’auras mon âge. Le froid, les rides, tu riras moins. » Si Brice avait en réalité quelques années de plus, des deux, dans cette allée, c’était bien lui qui paraissait le plus âgé. « Je me les gèle bordel, t’as même pas idée ! » souffle-t-il, forcé d'admettre qu'il n'était pas insensible à la fraicheur. Il n’a qu’une hâte c’est récupéré son corps, sa taille, la chaleur. Redevenir lui en somme. Moitié soulagé d’être tombé sur elle, moitié inquiet quant au fait qu’elle soit là, il accepte de poursuivre à ses côté. De toute façon, il n’a pas le choix, la vieille dame ne sera plus dans peu de temps. Il faut avancer. « Dix minutes dans le meilleur des cas. C’est pour ça que je rentrais. » Elle dit regretter de ne pas avoir de quoi immortaliser l’instant. Lui pas.  « Si tu pouvais éviter de parler de ça, ça m’arrangerait. J’en connais qui ne se gêneraient pas pour me poursuivre avec ça pendant des jours. »  Et je préfèrerai que ça resterait entre nous, se retint-il d’ajouter. « Et je ne suis pas certain d’être prêt pour que ce genre de photo tapissent les murs, ça entacherait un peu l’image du mec virile, tu vois le genre ? »  Le monde non plus n’était pas encore pas prêt pour voir la version âgée et féminine du Weasley.

« Je peux savoir ce que tu fiches ici ? » lache-t-il finalement. Si lui a une bonne raison de se trouver dehors dans cette tenue, il se permet de douter que ce soit le cas de son amie. Il n’avait dit à personne qu’il s’absentait, encore moins où il se rendait. Il avait veillé à ce qu’on ne le voit pas ou ne le suive pas jusqu’à ce petit parc. La présence de Brice restait donc un mystère entier à ses yeux. « Tu me suis ou c’est au  hasard qu’on doit cette rencontre ? » Il accepterait la seconde option si c'était la bonne, mais une petite voix dans un coin de sa tête lui soufflait que la présence de Brice n'avait rien à voir avec le hasard.




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Je l’observe des pieds à la tête, parce que la magie est tout de même bien faite et qu’il ressemble vachement à ma grand-mère ! Au détail près qu’elle ne me pince pas les joues et ne m’offre pas un de ces vieux caramel qui colle aux dents en espérant, sans doute, me faire taire un bon quart d’heure. Non il ne s’agit pas de ma mamie mais de papi Percy et du coup l’envie de tirer sur sa peau, pâte à modeler, pour voir si elle reste « comme ça » est encore plus saisissante pourtant, je me retiens, c’est dire si j’appréciais le pendouillard sous le déguisement ! J’hoche la tête, sisisi tu me connais mon vieux ! Et d’ailleurs il comprend rapidement tout en souriant. C’est l’âge ça… la vue baisse, les dents tombent, tu te tasses, la dure loi de la gravité est toujours plus cruelle avec les vieux.   Annonçais-je avec un sourire goguenard. Même si c’était vrai je disais rarement les choses de cette façon-là à une personne âgée, une VRAIE personne âgée.  Je prends l’air souvent, par la bouche, le nez… une question de survie en fait !   Je lui offre un clin d’œil amusé, autant tout prendre sur le ton de la plaisanterie, si ça peut le détendre un peu c’est toujours bon à prendre. Je rirais toujours c’est en moi et puis je suis brune, les brunes vieillissent beaucoup mieux que les blondes qui se flétrissent rapidement comme des vieux fruits !  Sans compter le fait qu’en tant que lycane j’avais également une chance supplémentaire de retarder un vieillissement inévitable. En tout cas je m’amusais beaucoup à parler de sujets purement féminin avec ce pauvre Percy, après tout il l’avait bien cherché en choisissant le déguisement d’une mémé. J’haussais les épaules avant de lui répondre. Bah une vague idée tout de même, je porte parfois des jupes mais rarement sans culotte… c’est ton soucis du jour ? Tu t’essaie à la mode écossaise pure et dure ?  Je mettais un léger coup de coude dans ses côtes en ajoutant toujours sur le ton de mon humour douteux.  Fait gaffe, tu vas attraper un rhume de cerveau !   Il était de notoriété publique que les hommes avaient le cerveau bien bas ! Dix minutes ? Faut presser le pas mamie, faudrait pas effrayer les gosses.  Ma baguette tournait entre mes doigts dans ma poche, je saluais deux jeunes qui passaient près de nous avant de reprendre. Je suis un peu lourde mais pas idiote, t’en fais pas tout ce qu’on verra et dira aujourd’hui restera entre nous.  Après… quand on se retrouvera tous les deux je t’avoue que j’aurai toujours au fond de mon esprit cette image de toi, tu ressembles vraiment à ma grand-mère mais tu restes super... hrm... viril. Je fronçais les sourcils quand une question me vint à l’esprit et bien sûr, je ne la retins pas. D’ailleurs t’as fait quoi de la vraie mamie ? Tu la gardes dans un coin de votre labo ?  Percy et son frangin faisait bande à part, comme beaucoup des Weasley en fait mais c’était compréhensible de mon point de vue avec toutes les boulettes qu’ils avaient tous enchainés, c’était plutôt moche pour eux mais ils semblaient s’en sortir plutôt bien. ENFIN, le jeune homme demanda réellement la raison de ma présence ici... au milieu de nulle part ou presque, il en avait mit du temps! Je regardais autour de nous m’assurant que personne ne pourrait nous entendre. Voyons tu le sais, pas de mensonge entre nous. Je te suivais.  Cash, directe c’était tout moi, je n’allais pas mentir pour ça. Je lui indiquais une petite impasse ou nous passerions inaperçu, au cas ou il se retransformait un peu avant l’heure prévue.Personne d’autre t’a suivi si ça peut te rassurer et je doute que quelqu’un d’autre, se soit aperçu que ça n’est pas la première fois que tu nous fausse compagnie pour venir par ici...  C’est qu’il était prudent le bougre bien assez pour berner une bonne partie des insurgés.Je te connais pas trop mal Percy alors dis moi franchement, qui sont ces gamins pour toi?  Parce qu’en plus d’avoir une vue parfaite j’avais une ouïe excellente et un sens de déduction redoutable. S’occuper des problèmes des autres permettait bien évidemment d’éloigner les siens, c’était un fait reconnu !
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