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| augustus neron rookwood feat mads mikkelsen • crédit tumblr | ❝ We're running in circles again ❞DEATH EATERS; SC☇ pseudo complet & surnom(s) ; Augustus claque sur le palais, résonne sur la mémoire. D’un empereur convoité, c’est un enfant faiblard. Une souillure de plus dans la famille. Neron. Une moquerie pour la folie en devenir. Rookwood. On aimerait qu’ils tremblent à l’entente du nom, qu’ils se prosternent. Un nom qui n’évoque que la ruine, l’enfer d’une famille ayant péché.☇ naissance ; Whitstable, Angleterre. Un manoir en ruines pour vestige d'une famille décimée. 1951. Date anniversaire non fêtée. 31 décembre.☇ ascendance; Mêlé. Ils scandent l’ignominie. Ils hurlent à la faute. Le sang souillé.☇ métier ; Directeur du département des mystères. Le prestige sonne alors que les pas giflent le sol. Il trône sur le département, il règne sur les vies confiées. Le pouvoir qui lui plait, le droit de torturer quelques âmes perdues. Une vengeance pour son statut de sang. Une bien triste consolation.☇ camp ; Voldemort. Une conviction. Et peut-être un peu de persuasion. Le gout du pouvoir qu'on lui offre, la tête hochée, les genoux pliés. Un Maitre pour unique voix.☇ réputation ; Cauchemar. Un homme sans aucune moralité, capable des pires actes, de tuer si son café est froid. Des fabulations. Des histoires. Adepte du feu. Des corps calcinés dans son bureau. Flammèches humaines. Un mythe. ☇ état civil ; Célibataire. La dépouille en offrande. De quelques unes à ses draps, des corps bafoués, évadés au petit matin. Pas un bon parti. Rien à offrir. Elles fuient. Elles ne veulent pas des moqueries d’un nom. Il ose croire que ça lui convient, qu’il n’a pas besoin d’une présence. Mensonge de ses pensées. Une femme qu’il espérait, une disparue. Histoire suspendue.☇ rang social ; Mangemort. La croisade contre les infidèles, contre les putrides, ces voleurs, ces errants, eux les sang de bourbe, eux les voleurs. Et plus encore les moldus, l’erreur d’une nature imparfaite. Mangemort. Les mains sont salies depuis des années. Le sang comme masque. Les gants vermeils.☇ baguette ; plume de phoenix, bois de prunelier, 31.7 cm. capricieuse, au refus d'obéir à un autre. parfaite pour les maléfices, rechigne aux sortilèges de métamorphose☇ épouvantard ; les grilles d’Azkaban. Les années d’enfermement. Le souffle des détraqueurs, cette sensation de perdre toute identité.☇ risèd ; es corps empilés, la mort pour trône. Les moldus décapités. Une couronne à sa tête. Le monde purifié de la souillure. ☇ patronus ;: un crachat indigeste d’une magie trop pure. Incapable. Panaches de fumée argenté.☇ particularités ; legilimens. les esprits saccagés, retournés. Capacité aujourd'hui étiolée, Azkaban a causé des perforations. ☇ animaux ; Un sombral. Animal faussement détenu. Créature qui rôde depuis des années autour du manoir. Possession d'un hibou pour le courrier, rapace sur le chemin d'une mort proche ☇ miroir ; voir l'onglet "miroirs". |
☇ Avis sur la situation actuelle ;Les rebuts, charmantes personnes, ces possessions qu’il savait douteuse, ces chiens qui mordraient à la première occasion venue. Leur mort était une nécessité. Trop douce pense t-il encore aujourd’hui. Un feu de joie qu’il désirait. Souhaits non entendus. Et voilà que tout a dégénéré, qu’ils sont intervenus, eux les sauveurs, eux les petits chevaliers vêtus d’une armure chatoyante de courage. Rookwood n’est intervenu qu’à la fin, pour séparer la foule, jouant d’un duo étonnant avec Nyssandra. La charmante empathe. Rebelles et neutres scindés en deux. La suite ? Le fanatisme soudain ? Les banderoles et autres phrases scandées… Belle manipulation. Le Gouvernement impose la terreur. Il y a ceux qui décident de ployer de suite, qui comprennent leur intérêt. Ceux qui s’opposent et perdent leur tête. Puis les lâches, les opportunistes qui retournent leur veste jusqu’à l’usure des coutures, qui prennent le choix du meilleur parti. Eux qu’il faudrait éliminer. TOUS. Si ça ne tenait qu’à lui. Il enverrait toutes les forces vers les insurgés, éradiquerait ce petit groupe de diablotins sauteurs. Subir. Attendre. La propagande contre les insurgés est une idée, de quoi retourner les esprits, focaliser sur les dégâts qu’ils causent. Accuser les rebelles plutôt que de les chasser. Mettre la population sur leur trace. Rookwood observe de loin. Attend. Il attend le moment où la population hurlera pour dresser un bucher, où elle se soulèvera pour abattre les derniers cas de rébellion. Acheter le silence, saccager les esprits. Partie d’échecs en cours.
☇ Infos complémentaires ; Flammèches qui s'enroulent autour des corps, piègent les sacrifiés. Un gout pour la cendre, la chair devenue suie. Bellatrix Lestrange qui fait naitre le gout soudain pour le feu, elle qu'il observe, suit, poussin curieux. • L'esprit devenu chaos. D'un occlumens aguerri, ne restent que des ruines. Capacité à l'abandon. Les aurors et leur job formidable. Une technique déviée qu'il utilise, l'esprit maladroitement protégé. Les petits curieux s'emmêlent dans une mémoire architecturée. Un hôtel qu'ils découvrent, couloirs et portes à ouvrir, un esprit qui ne se laisse pas dompter mais cède à la moindre persévérance • Les armes inattendues. Ces objets devenus assassins. Ciseaux dans les yeux d'un employé. Et autres idées. Sa baguette qu'il délaisse parfois, sous le coup d'impulsions lorsque la stupidité des employés atteint l'apogée • Père. C’est un rêve. C’est l’utopie arrachée. Un espoir qui nait, qu’on saccage. Enfant mort à la naissance, inconnu. Petit cadavre enterré. Il n’était pas là. Enfermé le fauve. La femme abandonnée pour ses croyances, pour une Marque, un choix politique, des convictions, il a perdu sa famille. • Rancunier. Les erreurs non acceptés, les fautes piétinées. Un coup dans le dos et il saccage sans jamais s’arrêter. Son pardon qu’il n’accorde à personne. • Les enfants qu’il épargne, eux qu’il est incapable d’abattre, les petits qui sont un rappel d’innocence. Protecteur. Ils craignent, pensent qu’il n’y a qu’un monstre et rien sous l’enveloppe. Humain brisé. Quelques figures qu’il tient protégée. Sa nièce. Et plus surprenant, le jeune Malfoy. Gosse qu’il entraine, petit soldat qu’il protège. • La mort comme compagne. Une présence depuis l’enfance. Les parents suicidés devant ses yeux, et la sœur qui se pend. Le corps suspendu à l’arbre du jardin. Famille où règne la folie. La mort dont il n’a pas peur. Un attrait pour le morbide, pour les putréfiés, pour le passage entre la vie et les yeux clos. A les aimer dans l’agonie. • Cicatrices à l’avant-bras droit. Des cercles pour les années passées à Azkaban. Sillons tracés d’un éclat de verre. Quatorze. Pour la nécessité de connaître le temps, ne pas oublier l’horloge, faire résonner le tic-tac. • Barbe-Bleue, chuchotent les femmes. De quelques unes qui sont encore vivantes. Elles qui témoignent de sa brutalité, son absence d’amour. Elles évoquent un cœur sous cloche, un conte de fée, une histoire pour les tenir éveillées. Leur curiosité piquée. D’aucune qui n’est assez bien à ses yeux. Toutes fades. Certaines qu’il égorge. • Une présence à sa vie. C’est une petite fille qui court, s’écorche les genoux et cavale encore, s’écrase entre les bras protecteurs. Le rire comme souvenir. Augi. Augi. Elle se faufile contre le cœur, s’enroule dans le manteau jusqu’à ce qu’il l’a prenne dans ses bras. Un souvenir. Les années ont passé. Une nièce. Pas sa fille. Tous croient qu’elle est à lui. Ressemblance troublante. Enfant qu’il a abandonné. Des retrouvailles difficiles. A tout lui céder, à croire que l’amour s’achète. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi ronde de nuit. J'ai 24, je viens de France et j'ai connu le forum via Bazzart. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 6 jours sur 7. Je veux bénéficier de l'aide d'un parrain ou d'une marraine : [] oui / [x] non. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ? LULU ON AURA TA PEAU .
Dernière édition par Augustus Rookwood le Dim 27 Sep 2015 - 15:54, édité 16 fois |
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| paradis artificiels he was death, devourer of the worlds ❝ a blood red setting sun ❞1978 - 1982 & Manoir Rookwood 1978. Accalmie passagère. La mort résonne encore à ses tympans. Les flammes dont il se souvient, le corps léché du feu, anéanti. Petit tas de cendres retenu dans un vase. A ne pas savoir quoi en faire, à se demander ce qu’il doit en faire. Où les jeter. Les envoyer valser au vent. Augustus feint le sommeil. Allongé sur le dos, c’est le plafond vitré qu’il fixe, oculus qui laisse apparaître une lune pleine. Ciel éclatant, étoiles et quelques filantes. Ça l’apaise l’astronomie, ça l’a toujours aidé à chasser les pensées. Compter les étoiles. Les nommer. Les paupières se ferment doucement. Des coups contre la porte. Timidité qui se faufile dans la chambre, petite tête blonde trainant une peluche dans sa main droite. Princesse éveillée. « Augi… Augi. J’arrive pas à dormir. Tu m’as pas raconté d’histoire… maman le faisait » Les bras qu’il tend, l’invitation à ce qu’elle vienne le rejoindre. « Je ne sais pas raconter d’histoire, je peux te lire un livre si tu veux, mais je… je n’ai pas de conte » Le constat que ses possessions ne sont que des ouvrages scientifiques, qu’aucune fantaisie ne subsiste dans sa bibliothèque. L’imagination arrachée à sa vie. Ils sont face à face. Un cerf pelucheux entre deux. « Et si je te racontais comment monsieur Plimp a emmené ta maman faire un long voyage jusqu’à travers les étoiles ? » La peluche qu’il tient entre ses doigts, et commence l’histoire. Le rôle qui se dédouble. Un père qu’il devient pour elle. 1982. Le jugement est proche. Les arrestations nombreuses. Le Ministère qu’il fuit, s’évade jusqu’au dernier bastion. Les sorts de protection qu’il élève, la magie qu’il conjure, toujours plus noire, dense, dangereuse. « Hera ! » L’enfant accourt, manque la chute, mais il l’a rattrape à la dernière seconde, l’emporte avec lui devant la bibliothèque. L’unique lieu de sureté. « Il faut que tu te caches. Tu comprends ? Des gens vont venir, ils vont te faire du mal si ils te voient » Gamine qui observe, les yeux ronds, tente d’assimiler les paroles, de comprendre que le monde connu est en train de s’écrouler. Une clé qu’il sort de sa poche et donne à la main de l’enfant – sa nièce. « Une fois que tu seras enfermée dans la bibliothèque, ils ne pourront pas venir, ils ne verront pas la pièce… cache-toi pendant… » Les mots sont soufflés de ses lèvres. Un sort le percute de dos, un second. Et le voilà au sol. Animal entravé. Des hommes dans le couloir, des cris, une victoire qu’ils proclament déjà. « Fuis ! » L’ordre pour la petite. L’ombre qu’il voit disparaître. D’autres qui lui font place, moins plaisantes. Les Aurors. Ordonné à genoux. Mains liées. « Beau travail… vraiment, c’est magnifique. Vous pensez obtenir une médaille pour avoir arrêté un mangemort ? Qui plus est avec… dix aurors, c’est bien ça ? Ah non… pardonnez-moi, onze… » Sarcasme en roulis sur sa langue. Enragé. L’arrestation, la perte de liberté, Augustus n’en prend pas encore conscience. La hargne seulement. Les émotions lourdes. La provocation comme protection. « Je suis flatté. Toute une armée pour moi » Coup de poing. Un second. Mâchoire en sang. Crachat sur les chaussures de la Justice. « Je pourrais avoir votre nom ? Simple retour de politesse » Un troisième coup et l’identité est offerte. Un sourire qui se faufile au visage tuméfié. Une liste qu’il dresse. Cadavres futurs. ❝ our old lives hover in the shadows. it’s dark on the other side, and madness is waiting ❞Année & LieuJUIN 1990 - AZKABAN. Prison pour le restant de ses jours. Procès expédié. Aucun droit de parole. Karkaroff qui donne la tête des autres pour sauver sa pitoyable carcasse. Les fers, la cage et au-revoir liberté ! Les premières années, il croit y résister, croit qu’il sera différent des autres, de tous ceux qui hurlent la nuit. D’un éclat de verre sur le sol, il trace un sillon sur l’avant-bras droit pour chaque année. Ne pas perdre le compte, toujours s’ancrer dans la réalité, ne pas oublier. Cinq ans. C’est de trop. Il craque. Il abandonne. Les détraqueurs font leur job, saccagent ses pensées, arrachent le bonheur qu’Augustus gardait encore secret. L’enfance volée. L’image d’une sœur. Poudlard et quelques amours. Minerve. Et sa nièce. Chaque figure lui est dérobée. Ces éclats joyeux. Ces percées au cœur. Il n’en reste rien. Que les cauchemars. La folie. La haine. Un monstre. Et soudainement, c’est une coquille vide, une enveloppe qui se recroqueville dans un coin de la cellule. Il ne récite plus le nom des étoiles, il ne parle plus. Quelques mots de grec ancien, parfois, un mélange avec les langues qu’il connaît. Incohérence. Des années qu’il est là. Aucun visiteur. Mais aujourd’hui la porte grince. Des aurors qui l’entravent. Liens à ses poignets. Il faut un temps pour reconnaître le visage, pour s’habituer à la clarté. Et à ça. Ce patronus qui galope autour de lui, chasse les pensées noires. Ravive le cœur pourri. « Tu viens constater les dégâts ? » La voix racle. Des années qu’il n’a pas parlé. « Tu es seule… » Le constat. D’une présence qu’il espérait à ses côtés. D’un enfant. Absence. « Je sortirai bientôt… tu m’attends toujours ? » Divagations. Rookwood n’entend pas les mots prononcés par la blonde, refuse. Minerve. Ses propres désirs qu’il voit, le reste est aveugle. La porte se referme. Il ne sait pas… se demande. Hallucinations ? JANVIER 2000 - LONDRES. Quatre années depuis la libération. La vie reprend doucement. Se réhabituer. Le bruit qu’il ne supporte pas. Les conversations qui sont un danger. Rookwood se réfugie dans la solitude, un temps. Une armure qu’il doit à nouveau forger. Reprendre l’apparence du superbe. Renouer avec l’ancien, le fier. Des crises surviennent la nuit. Des cauchemars. Réveils en sursaut. En journée, rien ne laisse présager ce qu’il a connu. Le monde est changé. Vogue un sourire lorsqu’il croise les tremblants, eux les misérables qu’il pourrait écraser mais se retient. Il préfère se nourrir de la peur. Un gala organisé par l’une des grandes familles. L’invitation qu’il a reçue. Lui l’infâme. Le soldat de plomb fissuré. Invité. Il n’est pas de leur monde, ne le sera jamais et les regards à son entrée le lui rappellent vivement. Ignorer et avancer. Leur rappeler qu’il est un mangemort, qu’il a gagné sa place ! Qu’il s’est battu ! Ils n’écoutent pas. Le regard balaye la pièce, cherche une personne d’intérêt et l’ambre ricoche sur une inconnue. D’une magnifique qui sillonne entre les invités, leur arrache un sourire et parfois un rire. Nyssandra Ollivander. Le prénom revient et cogne avec furie. Il a le malheur de lui demander une danse, de se croire un instant parmi les puissants. Les rencontres passent, d’autres fois où il l’aperçoit. Au mélange entre admiration et dégout. « Ollivander… Ollivander. Petite cachotière » Empathe. Sa main s’enroule à la nuque, retient la belle hors de la foule. Un geste pour lequel il n’a aucun droit. Permission volée. Une figure qui lui offre la porte pour la gloire. Elle qu’il donne au Maitre, offrande.
Dernière édition par Augustus Rookwood le Lun 14 Sep 2015 - 10:22, édité 17 fois |
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HUNTED • running man Adele Bones | (ça risque de demander un high level de coordination si jamais tu as besoin de plus de place, now ). ROOKWOOD. Toi + moi, on a une empathe en commun . J'ai le droit de te détester et de t'aimer en même temps ? BIENVENUE CHEZ NOUS . Ohmy, le début est déjà fab (ne les écoute pas, ils sont juste jaloux de ton second prénom, les fourbes ). HÂTE DE LIRE LA SUITE, DEARY-DEAR . (mads me fait toujours autant flipper, c'est bon ça ) |
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WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi | | | | |
| - Neron et ron petit patapon a écrit:
- Lucius ce fourbe qui n'a pas connu Azkaban, Augi se fera une joie de lui rappeler qu'il a fait son rat
Haaaan JTAI DÉJÀ DIT QUE JTAIMAIS TOI ? /agite un peu partout le manifeste de son association S.A.L.E. " Souvenez-vous d' Azkaban que Lucius a Évité comme le sale petit lâche qu'il est" ouais ouais la fin passait pas sur les badges de l'association du coup on a écourté le tout.../ - Neron le citron a écrit:
- on ne se moque pas de son second prénom
- Louloute ♥ a écrit:
- ne les écoute pas, ils sont juste jaloux de ton second prénom, les fourbes
Quand tu t'appelles Rabastan tu gagnes le droit de te moquer de tous les prénoms que tu veux Nan mais oh - Neron au saumon a écrit:
- sa maman a voulu le tuer à la naissance, alors chut
Hahaha pour toi l'entrée dans le club "Mangemorts qui ont eu des parents absolument pourris" sera gratuite mon grand ( Je ne floode plus sur la fiche, c'était le dernier message promis juré sisi - Luna avait fait la même chose sur celle de Lulu en plus - gros cafteur ) |
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