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sujet; Hard to handle [Draco] (warning)

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Draco n'en démordait pas concernant son fils. Bonnie devrait hélas s'y faire, la maternité ne serait pas pour elle. Heureusement qu'elle n'était pas de ces femmes qui rêvent d'avoir des enfants… Il n'y avait qu'un bémol dans cet affaire, mais il était tout de même de taille, elle n'aurait pas l'honneur d'être la mère de l'héritier des Malfoy, ni d'aucun autre héritier par ailleurs. C'était quelque peu frustrant et humiliant quand on y songeait. Bien sûr, toutes les femmes au sang pur n'avaient pas forcément engendré d'héritier, il n'y avait qu'à voir Bellatrix par exemple, qui n'avait même jamais eu d'enfants tout court. Sauf que Bellatrix était folle et loin d'être un exemple pour les femmes de ce monde. Peut-être était-ce d'ailleurs parce qu'elle n'avait jamais été mère qu'elle était devenue ainsi, et cette perspective avait de quoi effrayer Bonnie. Elle avait toujours été élevée dans le but de devenir épouse et mère, et elle n'aurait accompli que la moitié de ces tâches. Son père savait-il que les Malfoy n'attendaient pas cela d'elle ? Car elle doutait qu'il fût d'accord avec ça. Elle en doutait même très fortement, étant donné qu'elle était là pour continuer la lignée à défaut de transmettre son nom. Peut-être devait-elle lui en toucher un mot histoire qu'il remette de l'ordre dans tout ça. Ou peut-être devait-elle tout simplement laisser faire les choses. Après tout, les contraceptifs étaient mal vus chez les sangs-purs, et si elle n'en prenait pas, elle tomberait bien enceinte à un moment ou à un autre, et que ferait Draco dans ce cas-là ? La forcerait-il à adopter ? Elle faillit lui poser directement la question, mais s'en abstint. Si elle évoquait cette possibilité, il partirait d'ores-et-déjà avec l'idée qu'elle ferait tout pour avoir un enfant. Non, mieux valait encore le mettre devant le fait accompli, et elle trouverait bien une manière de protéger cet enfant. Elle se rendit compte alors qu'elle était en train de comploter en faveur de son père alors qu'elle le détestait profondément. Comme quoi, son éducation était véritablement ancrée en elle, inconsciemment.

Elle chassa donc toutes ces pensées d'enfants de sa tête pour se concentrer sur Draco. Elle prenait véritablement plaisir à l'asticoter, et évoquer Rabastan en faisait partie. Mais là où Bonnie se sentait plus excitée à l'idée d'être découverte, cette éventualité semblait plutôt effrayer son compagnon. Il se mit à agiter sa baguette, très certainement pour protéger le bureau d'éventuels voyeurs. C'était plutôt bon signe, en réalité. Il aurait pu tout simplement couper court à tout ça pour ne pas prendre de risque, mais il avait choisi l'autre possibilité. Et elle avait beau crier à qui voulait l'entendre qu'elle ne supportait pas ce sale gosse arrogant, elle se sentit plutôt flattée. Elle évita toutefois soigneusement de le laisser paraître, et comme pour appuyer ses pensées, elle lui rappela à quel point il pouvait l'insupporter, et ces mots semblèrent faire plaisir au jeune homme. À croire qu'entre eux les insultes sonnaient comme des mots d'amour. C'était peut-être grâce à ça que leur mariage pouvait fonctionner d'ailleurs, parce qu'ils avaient tous deux ce point commun, cette propension à aimer titiller l'autre. Le quotidien ne risquait pas d'être triste à ce niveau-là. En revanche, il allait falloir qu'ils évitent ce genre de chose devant Scorpius, c'était certain. Elle grimaça légèrement quand elle comprit qu'elle était véritablement en train de se projeter dans un avenir avec Draco alors que quelques heures avant elle était déterminée à ne pas laisser ce genre d'aberration arriver. C'était comme si le gêne de la soumission était si présent chez elle qu'il venait systématiquement occulter toute pensée contestataire. Non, Bonnie n'était définitivement pas une rebelle.

Quand il compara Rabastan à un monstre assoiffé de sang, elle failli lui rire au nez. Le seul animal qu'elle voyait en son patron était un petit chien, qui aboie mais ne mord pas, et est assez mignon pour que l'on s'attendrisse sur lui malgré sa hargne. Elle eut envie de lui dire qu'il se trompait, ne fût-ce que pour le provoquer à nouveau, mais au vu de son expression dégoûtée, elle comprit que le sujet était épineux. De toute façon, elle n'avait pas vraiment envie de parler de son patron à ce moment-là. S'il pouvait bien servir à quelque chose en cet instant, c'était parce qu'il l'aurait suffisamment frustrée pour qu'elle ait envie de s'envoyer en l'air avec quelqu'un sur ce bureau, même si ce n'était pas lui. Mais Draco ne l'entendait visiblement pas de cette oreille, et quand il s'écarta d'elle avec un air désabusé, elle ne sut vraiment si c'était un énième défi de sa part ou si le fait d'avoir parlé de son oncle lui avait coupé toute envie de continuer leur jeu. Bonnie croisa les jambes et poussa un soupir tandis qu'il s'installait sur le fauteuil qui lui faisait face et se mit à la singer. C'était du Draco tout craché, qui préférait couper court au divertissement plutôt que d'admettre une seconde une once de faiblesse. Mais de là à tout arrêter, il y avait un fossé qu'il n'était visiblement pas prêt à franchir. Elle comprit très rapidement où il voulait en venir en évoquant cette prétendue métamorphomage, et dut paraître choquée sur le moment. Elle devait admettre qu'elle ne s'était pas attendu à ce genre de requête. Pourtant, à bien y réfléchir, elle aurait fait la même chose à sa place. C'était une excellente façon de vérifier qu'elle ne bluffait pas et de voir jusqu'où elle était capable d'aller pour pour le prouver.

Le regard incrédule de Bonnie, sourcils légèrement froncés, oscilla entre les yeux et l'entrejambe du jeune homme. Voilà bien un dilemme cornélien qui la mettait dans une situation délicate. Les deux possibilités heurtaient sa fierté. Si elle acceptait, elle lui offrait ce qu'il voulait, et faire un cadeau à Draco sans rien espérer en retour sonnait comme un sacrifice pour elle. D'autant qu'il était parfaitement capable de lui lancer ensuite en pleine figure qu'elle n'avait pas été à la hauteur, histoire de la rabaisser encore davantage. Mais si elle refusait, elle passerait pour une allumeuse, pour une grande gueule, pour quelqu'un qui parle beaucoup mais agit peu. C'était d'autant plus rageant que ce genre de caresse était sa spécialité, sa ressource pour mener les hommes par le bout… du nez. La domination par la soumission. Perturbée par ce tiraillement dans son esprit, elle croisa les bras comme si elle allait se mettre à bouder brusquement, mais finit par se fendre d'un sourire narquois. « Je vois, je suppose que j'ai trop parlé », railla-t-elle en faisant allusion à la menace qu'il avait proférée plus tôt. « Mais qu'est-ce qui me dit que toi, tu seras convaincant ? Qu'est-ce qui me dit que j'aurai réellement quelque chose en retour, et que ça me plaira ? C'est un peu facile, non ? » Elle se tut une seconde et décroisa les bras avant d'ajouter, haussant un sourcil : « Enfin, c'est le jeu, et j'imagine donc que moi aussi je devrais mettre ma menace à exécution. » Puisqu'elle devrait s'y coller tôt ou tard, c'était sans doute la meilleure solution.

Elle se leva, fit un pas en avant et se pencha vers lui pour glisser quelques mots à son oreille. « Considère ça comme une preuve que je suis capable d'être une parfaite épouse soumise », souffla-t-elle tandis que sa main glissait le long de son torse et de son ventre pour aller se poser sur le renflement de son pantalon, qu'elle caressa avec langueur histoire de mettre un peu son compagnon en condition. Elle ne prit pas la peine de s'encombrer d'une quelconque tendresse envers lui. Ce n'était pas ce qu'il lui demandait, après tout. Elle se mit à genoux devant lui, et sans jamais le lâcher du regard, déboutonna son pantalon, baissa sa braguette et s'empara délicatement de sa virilité qu'elle flatta un peu, de sa main, puis de sa langue, avant de finalement lui offrir un écrin avec sa bouche. Elle se rendit compte alors de ce qu'elle était en train de faire avec ce garçon qu'elle avait tant décrié, et la situation lui parut pour le moins étrange. Le jeu était peut-être allé un peu trop loin. Elle cédait sans doute trop facilement à la provocation et péchait par orgueil. Mais au moins, il saurait à quoi s'en tenir. Et elle s'attela consciencieusement à la tâche, jouant de ses lèvres et de sa langue autant qu'elle le pouvait pour le satisfaire.
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MessageSujet: Re: Hard to handle [Draco] (warning)   Hard to handle [Draco] (warning) - Page 2 EmptyLun 16 Nov 2015 - 18:05

PRISONERS • bloodstains on the carpet
Draco Malfoy
Draco Malfoy
‹ inscription : 13/09/2013
‹ messages : 8775
‹ crédits : faust.
‹ dialogues : seagreen.
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‹ liens utiles : draco malfoy w/ lucky blue smith ; ginevra weasley w/ holland roden ; calixe davis w/ audreyana michelle ; uc w/ uc ; indiana alderton w/ nicola peltz ; heath ravka w/ im jaebum ; even li w/ jeon jungkook ; jelena kuodzevikiute w/ ariana grande.

‹ âge : 23 yo (05.06.80).
‹ occupation : ancien langue de plomb (spécialisé dans les expérimentations magiques) ; fugitif et informateur de la RDP entre le 26.05.03 et le 08.12.03 ; condamné à 22 ans à Azkaban pour terrorisme, au terme d'une assignation à résidence et d'un procès bâclé, tenu à huis-clos.
‹ maison : Slytherin — “ you need a little bit of insanity to do great things ”.
‹ scolarité : entre 1991 et 1997.
‹ baguette : un emprunt, depuis qu'il est en fuite. elle n'est que temporaire et il ne souhaite pas s'y intéresser ou s'y attacher, puisque la compatibilité est manquante.
‹ gallions (ʛ) : 14097
‹ réputation : sale mangemort, assassin méritant de croupir à vie en prison pour expier ses crimes et ceux de ses ancètres.
‹ particularité : il est occlumens depuis ses 16 ans.
‹ faits : Famille.
Narcissa (mère) en convalescence. sortie de son silence depuis peu pour réfuter l'annonce de son décès ; reconnue martyr. lutte pour que le jugement de son fils soit révisé.
Lucius (père) mort durant la tempête du 03.03.2004.
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Spoiler:

‹ résidence : emprisonné à Azkaban depuis le 06.01.04. en fuite depuis le 08.05.04.
‹ patronus : inexistant.
‹ épouvantard : l'éxécution de juillet 02, ses proches en guise de victimes: leurs regards vidés par l'Imperium, la baguette de Draco dressée, les étincelles vertes des AK et leurs cadavres empilés comme de vulgaires déchets.
‹ risèd : un portrait de famille idéal, utopique.
http://www.smoking-ruins.com/t4710-draco-there-s-a-hole-in-my-so
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Hard to  handle,

Vows are spoken to be broken
20 AOÛT 2002 & DRONNIE


Il s’attendait à ce qu’elle proteste quant à cette histoire d’enfants. C’eût été logique : il savait pertinemment que se marier à ce stade de sa vie entraînerait des conflits d’intérêt. Le problème, surtout, était qu’il n’était ni à l’origine de l’entente qui se concluait dans l’ombre avec les Rowle ni au courant des exigences des deux partis. Seul Lucius savait précisément de quoi il retournait et une chose était sûre – Draco devrait s’informer dès que possible à ce sujet. Sans doute le ferait-il immédiatement après avoir quitté le ministère. Il avait beau mimer l’assurance pour convaincre Bonnie et s’imposer face à elle, rien n’était réellement gagné : après tout, il avançait dans cette discussion en aveugle, chose qu’il détestait, parce que son géniteur était un féru de cachotteries et estimait n'avoir de comptes à rendre à quiconque. Le fait était que Lucius tenait à Scorpius – mais à quel point ? Quoi qu’en dise le jeune homme, son père n’avait jamais été de ceux qui sacrifiaient des opportunités par sensiblerie. S’il pouvait tout à fait, pour sa part, choisir de léguer ses possessions actuelles à son fils – parts à sa dispositions depuis sa majorité, il n’était pas le patriarche et n’avait pas accès à toutes les possessions des Malfoy. Loin de là. Seule la mort de son prédécesseur le lui garantirait et Lucius était parfaitement capable d’instaurer des closes sur son testaments. De mettre un véto sur des comptes en exigeant, par exemple, la naissance d’un héritier dans le cadre du mariage. Ce n’était pas si courant dans la famille, à la fois parce qu’aucun bâtard n’avait eu à être reconnu depuis plusieurs générations et parce qu’ils étaient bien trop cupides pour risquer que leurs biens passent à un cousin ou à un lointain parent plutôt qu’à leurs propres enfants. Draco doutait que Lucius supporte une telle idée – elle le répugnait lui-même et il savait pertinemment qu’il céderait si le cas se présentait. Mais son père le connaissait et le savait trop bien formaté pour renoncer à l’héritage familial par amour. Clairement, c’était le seul à pouvoir le faire céder s’il le décidait, raison pour laquelle le blond n’avait d’autre choix que de tenter de savoir quelle était précisément la position de son père sur la question, afin de ne pas être pris de cours. Il pouvait parfaitement bluffer ou user de chantage pour assurer l’avenir de Scorpius, mais les mesures qui lui venaient à l’esprit étaient drastiques – suffisamment pour que ses parents (et particulièrement sa mère), qui avaient tant lutté pour donner la vie, ne les lui pardonnent pas.

Le sujet ne fut délaissé que pour les engager sur un terrain plus escarpé. Il pouvait presque voir s’activer les rouages de l’esprit de Bonnie, et tout à coup elle semblait en effet bien moins intouchable que jamais : sans doute était-ce simplement dû au fait qu’elle ait délaissé son rôle, mais elle ne semblait pas tenter de cacher les émotions qui la traversaient. Il la dévisagea tout le temps que dura sa réflexion, jusqu’à ce que sa décision soit arrêtée. « Je vois, je suppose que j'ai trop parlé. » « Beaucoup de mots et peu d’actes, en effet », acquiesça-t-il en tapotant du pouce contre l’accoudoir, narquois et agaçant au possible. « Mais qu'est-ce qui me dit que toi, tu seras convaincant ? Qu'est-ce qui me dit que j'aurai réellement quelque chose en retour, et que ça me plaira ? C'est un peu facile, non ? » Cette fois il pencha la tête de côté d’un air ingénu qui semblait affirmer qu’elle n’avait aucune raison de douter. « Mais je te l’ai dit, le plaisir que tu en tireras ne dépend que de toi. » La part de lui qui doutait encore fut presque prise de court de la voir approcher. Visiblement, Bonnie Rowle étaient de ceux qui se refusaient à renoncer face à certains défis, c’était bon à savoir. Même s’il était évident qu’elle se méfierait bien plus de lui à l’avenir. « Considère ça comme une preuve que je suis capable d'être une parfaite épouse soumise. » Son souffle effleura l’épiderme de Draco en une caresse prometteuse, mais sa main fut bien plus franche en retrouvant le chemin de son torse, le long duquel elle coula avec langueur, jusqu’à se poser paume ouverte sur son sexe, tandis qu’elle se glissait entre ses jambes.

Ils savaient tous les deux qu’il s’agissait d’un test. Ce dont Draco n’était toujours pas certain, c’était du résultat escompté. Son regard ombrageux ne la quitta pas alors qu’elle posait ses lèvres sur lui, sans retenue ni faute d’adresse, et ses mains plongèrent dans la cascade de mèches brunes qu’elle avait laissée retomber sur ses épaules un instant plus tôt. Plus fermes lorsqu’elle s’attardait sur une zone sensible, le torturait délicieusement. Caressantes le reste du temps, comme pour apprendre la courbe gracieuse de sa nuque, de ses pommettes, les pleins et les creux impudiques de ses joues pâles. Il la gratifia de soupirs conquis, frôla de son pouce la commissure des lèvres de la jeune femme – celles-là même qui liaient intimement leurs deux corps en le dévorant avec une dextérité témoignant de leur expérience. Draco cessa de réfléchir, cédant aux affres du plaisir coupable qui enflait inexorablement en lui, la tête rejetée contre le dossier et les paupières mi-closes, le regard embrumé toujours fixé sur elle. « Assez », décréta-t-il pour qu’elle s’écarte, alors que la jouissance enflait par vagues et que de sa main, il achevait d’exalter les sens qu’elle avait enflammés.

(Derrière ses yeux clos s’imposaient des flashs, des réminiscences qu’il repoussa fermement, refusant de penser à un passé révolu, s’en voulant de ne parvenir à s’en défaire. Il fit ce qu’il faisait de mieux : compartimenter, étouffer derrière des murs de dénis les messages que son subconscient faisait systématiquement rejaillir lorsqu’il était en compagnie d’une femme.)

Lorsqu’il leva de nouveau les yeux vers Bonnie, il ignora résolument le fantôme d’un autre sourire, d’une autre tignasse brune, qui flirtait encore à la lisière de ses pensées. « Je te l’accorde, tu sais prouver tes dires. » Le coin de ses lèvres se courba en un rictus taquin. « Retourne-toi. » Mais s’il laissait plus ou moins penser qu’il s’apprêtait ni plus ni moins à remplir sa part du marché, il ne profita de ce laps de temps que pour attraper sa baguette, de sa main intacte, pour effacer toutes traces de leur activité précédente et renouer silencieusement sa ceinture. Il quitta le siège pour la rejoindre face au bureau, alignant son torse contre le dos de Bonnie et repoussant délicatement ses cheveux sur une épaule, pour poser un baiser au creux de son cou dégagé. « J’espère que ça t’a plu », ronronna-t-il contre le lobe charnu et tentant de son oreille, avant de tourner les talons, un rire amusé lui secouant les épaules. Il lui adressa un clin d’œil par-dessus son épaule en atteignant la porte, surtout pour s’assurer en réalité qu’elle ne lui lançait aucun maléfice vengeur dans le dos, et s’éclipsa sur ces entrefaites – sans l’ombre d’un remord.
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Hard to handle [Draco] (warning)

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