☇ Avis sur la situation actuelle ; Tu ne désires pas en posséder un, d'avis. Tu as d'autres préoccupations, les cas généraux ne te sont pas d'un intérêt monstre. Tu ne vis que du particulier. Cela ne veut pas pour autant dire que tu ne sais pas ce qu'il se passe, au contraire, tu es en plein milieu, tu es particulièrement bien placé pour avoir un avis, pour dire les choses telles qu'elles sont, mais tu refuses. Pas question de mettre les pieds dans ce terrain là, pas question de dire quelque chose qui risque de te retomber dessus. Le silence est une solution, il n'est pas non plus mensonge alors tu t'en tires bien. Cependant, ce n'est pas parce que tu ne dis rien que tu n'en penses pas moins, dans ta situation, entre deux chaises, tu sais ce que tu dois dire et taire à côté. Tu es aussi sage que tu es le fantôme au sein des mangemorts. Tu n'es pas là pour la reconnaissance. Tu es là pour rien, c'était un malentendu. Ta naissance était sans doute une erreur.

☇ Infos complémentaires ; particulièrement doué en métamorphose, souvent on t'a demandé de devenir professeur dans cette matière, tu as toujours refusé, tu avais déjà un avenir tracé par ton père. • tu aimes rester seul, grand sentimental sur les bords tu le caches bien à tout le monde et tu vides tes sentiments dans la musique, tu joues de nombreux instruments. • sincère, tu ne peux être considéré comme loyal étant donné ce que tu fais dans le dos des mangemorts, mais tu es quelqu'un de sincère, personne ne peut te retirer cela. • fantôme, oui, c'est ton plus grand défaut, tu ne cherches pas de reconnaissance, tu ne demandes rien et tu restes dans l'ombre, personne ne sait qui tu es. • de nombreuses cicatrices se trouvent sur ton corps que peu de femmes ont eu l'occasion de voir, tu refuses de dire d'où elles viennent, mais ce n'est pas difficile, lorsque l'on connaît ta famille, ton père, de savoir d'où elles proviennent, elles sont la marque de ses violences. • tu as eu rumeur que personne n'a réellement confiance en toi, étant donné que tu te mures dans un silence sans fin, personne n'ose s'approcher, personne n'a envie de te connaître, tu es l'étranger. • tes nuits sont animées de nombreux cauchemars, tu te revois face à ton père, tu te sens trembler toi-même dans ton lit, tu te sens mourir sur place, comme à chaque fois que la colère traversait les veines de ton père. C'était un monstre, plus que cela, un mangemort plus que connu, un envoyé du diable, il faisait bien plus peur qu'un détraqueur. Désormais tu associes les deux, ils sont la représentation de la peur parfaite à tes yeux. • bien que tu vives seul, que tu le sois constamment, cela te pèse, au fond, les mangemorts sont une famille pour toi, les insurgés, c'est différent, ils ne t'aiment pas, tu es l’intrus, le nouveau, y a de quoi ne pas avoir confiance en toi. • lorsque quelqu'un a un geste imprévu et soudain, immédiatement tu dresses tes avant-bras comme pour te protéger, comme si tu te sentais visé.

❝ Nothing compares to you ❞Je viens actuellement de chercher une blague sur l'IRL pour combler ce trou.
Appelez-moi Twelve. J'ai un certain âge que je suis capable d'oublier, mais actuellement, je sais que j'ai vingt-trois ans, je viens de Capaldiland et j'ai connu le forum via un gentil membre qui se reconnaîtra je pense. . Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 5 jours sur 7. Je veux bénéficier de l'aide d'un parrain ou d'une marraine : [] oui / [x] non. Un dernier mot ? ricité ?

❝ you're nothing ❞Enfance, adolescence, Norvège.
    Dès l'instant ou ton père savait que tu étais dans le ventre de sa femme, de ta mère, ton avenir était déjà tracé. Il avait tout prévu pour toi, que ce soit dans ton éducation que ton avenir propre, même un mariage, et tu n'étais pas né, pas encore. Tu ne sentais rien, tu étais simplement bien dans le ventre de ta mère qui s'est avérée être ton unique alliée. Elle ne t'a jamais laissé tomber, même si elle n'a guère pu se battre contre ton père, elle était là et c'était ce qui comptait. Ta famille, des sang-purs, des fanatiques du seigneur des ténèbres, il n'y avait pas de choix possibles, tout était imposé. Ne pas rejoindre les mangemorts c'était impossible. De toute façon, tu étais trop jeune pour donner ton avis et puis quand bien même à ton adolescence, bien que tu sois le meilleur de ta maison à Durmstrang, les lettres que tu envoyais, des lettres intelligentes, bien formulées, elles ne menaient à rien si ce n'est des claques venant de ton père à ton retour à la maison, des attaques physiques et verbales. Tu ne devais pas être un homme d'esprit, pas question que tu sois celui qui réfléchis, tu devais être celui de l'action, heureusement pour toi que tu étais doué en métamorphose, ton professeur apportait lui aussi énormément de soutient. Au final, tu n'étais pas seul, mais c'était tout comme, personne ne prenait le temps d'entendre ce que tu avais à dire, pourtant, tu n'en demandais pas plus. Tu as gardé des mots informulés en toi, mais souvent échangés à travers des regards avec ta mère, des échanges que ton père n'a jamais vu, heureusement d'ailleurs. Tu n'avais qu'une peur, c'était que sa violence s'étende à plus grande échelle et qu'il s'en prenne à ta mère. Tu n'étais rien face à lui. Pas question de prendre le moindre risque. Tu ne t'es jamais plains de rien, à quoi bon, l'éducation ici, elle fonctionne comme ça, dans la force et la douleur, pour se forger un caractère meilleur que les autres et en parlant des autres, c'est tout ceux qui ne viennent pas du nord, qui ne connaissent pas ce qui est rude, la vraie douleur. Ton père n'avais de cesse de vanter les hommes du nord, les vrais durs, les plus fidèles au seigneur des ténèbres. Tu étais jeune lorsque cette marque est venue s’incruster sur ton bras. Tu te souviens de ta mère en larmes, tu ne comprenais pas mais tu as quand même été la rassurer, elle n'avait de cesse de s'excuser, de se répéter, mais c'était trop tard, alors, tu répondais simplement, à voix basse, au creux de son oreille que tout irait bien, que tu seras là. Deux ans plus tard, à la sortie de Durmstrang, ta mère est décédée dans des circonstances encore obscures aujourd'hui. Tu penses qu'elle s’est suicidée, ton père n'a jamais parlé à ce sujet, pas question de l'aborder d'ailleurs. L'enterrement a été un moment difficile car les larmes étaient interdites. Pas question de verser quoi que ce soit, tu es resté à l'écart, tes mains derrière le dos, vêtu d'une cape noire, ton visage était déjà caché. Tu étais déjà devenu solitaire, refusant les contacts, les discussions, tu ne faisais qu'obéir, une vraie réussite selon ton père qui ne pouvait pas être plus fier de toi. Tu pouvais en voir des étoiles dans les yeux lorsque tu revenais après une mission réussie. Il n'avait que de l'admiration pour le seigneur des ténèbres. C'est tout, toi non, il ne te voyait pas, il voyait simplement la réussite des mangemorts.

❝ maybe there's hope here? ❞Adulte, Londres.
   
Homme tu es désormais, tu es le fils unique d'une immense famille qui n'a de cesse de se faire reconnaître au sein des mangemorts, tu es loin d'être le seul Rosendahl chez les mangemorts, ton père y était, ton grand-père, ta mère même, ton oncle, ton cousin, tes neveux etc...Il n'y a plus d'école, plus de manoir familial, tu as tout quitté de ce nord qui tu hais au final, tu t'es rapproché des actions, tu t'es installé à Londres. Tu as suivit les ordres, comme à ton habitude, tu n'as jamais bronché. Tu as une vie plutôt calme lorsque personne ne te demande quelque chose. Tu te repose sur cette immense fortune léguée par tes parents. Pas besoin d'un travail si ce n'est celui que tu as au sein des mangemorts. Il n'y a rien de compliqué, souvent tu reçois une missive, codée évidemment avec des noms à l'intérieur et tu as pour mission de tuer et cela, sans poser ne serait-ce qu'un début de question.  Tu n'as pas le choix et bien évidemment que tu le sais, tu es lié à ces hommes vêtus de noir. Comme à ton habitude, tu restes dans le côté sombre, tu ne parles pas de toi, tu gardes tout ce que tu ressens pour toi et tu n'as rien oublié de ce que tu as vécu en rejoignant les mangemorts car même eux se sont amusés avec toi, ton père le savait certainement, mais il ne s'est jamais battu pour toi, il a du dire que c'était normal, que c'était pour que tu sois plus dur et plus fort encore. Il n'a jamais su voir la moindre once de sensibilité chez toi, alors que tu en possèdes, certainement plus que tu en devrais. Tu as la chair de poule lorsque tu entends des gens chanter et même lorsque toi-même tu chantes, tu as développé une passion pour la musique après ton adolescence, un peu tard certainement, mais tu es très doué au piano. Tu t'es lancé dans la guitare, mais tu éprouves plus de difficultés à jouer de cet instrument, tu restes encore trop attaché aux sensations que tu ressens lorsque tu glisses tes doigts sur les touches d'un piano. Il n'y a rien de plus beau qu'une mélodie au piano pour toi actuellement. Tu ne t'es jamais attaché aux femmes, tu as eu des crushs, comme tous les jeunes adultes et comme le vieux désormais. Tu ne rejettes pas la compagnie d'une femme pour une nuit ou deux, mais tu te lasses rapidement, tu n'es jamais satisfait de ce que tu as sous tes yeux ou encore tes lèvres ou tes doigts. Même si tu as désormais cinquante et un an, rien n'est perdu, tu as dans l'espoir de rencontrer le grand amour, de rencontrer une femme aussi bienveillante qu'était ta mère et fonder cette famille dont tu rêves tant et que pourtant tu n'as aucunes chances d'avoir. Personne ne veut de toi Siger, tu devrais désormais le savoir, que tu sois doué, beau ou quoi que ce soit d'autre, ton temps est passé, mais tu continues à y croire. Romantique, certainement mais tu ne connais pas l'amour, si ce n'est celui que tu as éprouvé pour ta mère, le reste est une nouvelle inconnue dans ta  vie. Il faut toujours terminer sur une note d'espoir lorsqu'on a une vie comme la tienne, toujours.
That home.