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sujet; nights like this (tomiralf) |
HERO • we saved the world Rolf Scamander ‹ disponibilité : always.
‹ inscription : 27/09/2015
‹ messages : 876
‹ crédits : flightless bird, les gifs à tumblr et à maggie stiefvater pour la signature.
‹ dialogues : seagreen.
‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.
‹ âge : il a l'air d'avoir environ trente-cinq ans mais en a en réalité vingt-huit.
‹ occupation : employé à mi-temps dans un élevage indépendant de licheurs.
‹ maison : serpentard.
‹ scolarité : 1987 et 1994.
‹ baguette : est rigide, sculptée d'une salamandre à sa base, longue de trente-quatre centimètres, est faite de bois de sureau et contient un crin de Kelpie.
‹ gallions (ʛ) : 4350
‹ réputation : je suis quelqu'un qu'il est difficile d'approcher.
‹ particularité : empathe. J'entends et ressens les émotions d'autrui.
‹ faits : je suis empathe et après avoir abusé de l'usage d'un Retourneur de Temps, mon corps est toujours désynchronisé et je parais avoir six ans de plus par rapport à l'âge que j'ai réellement. J'ai fait cavalier seul pendant des mois jusqu'à finalement rejoindre Poudlard mi-juillet 2003, où j'ai rejoint la Renaissance du Phénix. Mon surnom parmi les Insurgés était Oz.
Je vis avec Luna depuis la fin de la Guerre, et avec notre fille née à la fin de la Bataille, Lesath — jusqu'à ce qu'elle ait contracté le syndrome de Rosier et soit en convalescence à Saint-Mangouste.
‹ résidence : dans la maison Lovegood.
‹ patronus : un loup
‹ épouvantard : moi-même, fou à lier, écumant, incapable de sauver la silhouette indistincte d'une femme qui se tord de douleur devant moi.
‹ risèd : rien de particulier. j'ai tout ce que j'ai jamais désiré.
| kashmira martillo & thomas brisbane You gather things to you like an old road. You are peopled with echoes and nostalgic voices. I awoke and at times the birds fled and migrated that had been sleeping in your soul. C'est particulièrement douloureux et désagréable, cette affaire. Les coups s'enfoncent dans son corps fourbu, dans son sac plein à craquer, il reçoit un coup de coude sur le nez et alors qu'il s'apprête à glisser le long de la tente puis de s'excuser d'un air amiable, un dernier coup de pied bien placé l'envoie simplement parterre, cul par-dessus tête, et pour la énième fois depuis quelques mois, Rolf fait ses retrouvailles avec le sol couvert d'épines de cette petite forêt fort peu aimable. Aussitôt, il se dandine pour se retrouver sur le dos malgré son sac de randonnée qui part en arrière, et cherche sa baguette illuminée du regard. Au même moment, sort de la tente invisible la première silhouette qu'il ne peut même pas parfaitement distinguer entre l'aveuglement trop proche du lumos, la distance et l'obscurité ambiante. Ils font un mouvement en même temps vers la baguette, mais la main de Rolf se referme sur du vide. « T'es qui, toi ? Tommy, tu le connais ? » Maintenant qu'il n'a plus sa baguette sous le nez, il peut voir sans être aveuglé et détailler les traits tendus de sa détractrice. Elle est rejointe par celui qui doit être Tommy, un grand gaillard aux traits durs, et Rolf sait qu'ils ne feront qu'une bouchée de lui si il dit un mot de travers.
Alors il se tait. « Jamais vu. » Rolf reste silencieux, ses mains bien en évidence, ses paumes dirigées vers eux. « Qu'est-ce que tu fous ici ? Réponds ! Réponds ou… » Il évalue la situation. Ils n'ont pas l'air très sûrs d'eux, si? Si il parvient à glisser sa main dans la poche de son manteau, il a de la poudre d'obscurité instantanée du Pérou qu'il a piqué à un Rafleur, qui lui permettrait de les rendre aveugles le temps de se relever et de courir. Et puis, il n'aurait qu'à courir pour récupérer sa baguette... ou utiliser celles des Rafleurs de plus tôt, soigneusement conservées dans son sac à dos. C'est un bon plan, estime-t-il, ouvrant la bouche pour détourner l'attention de monsieur et de madame. Qui n'ont apparemment pas son temps parce qu'au moment où madame répète « Réponds, merde ! », le Tommy s'avance vers lui et lui assène un violent coup de pied dans les côtes. Le corps de Scamander lui répond avec un discret craquement alors que le monde devient douleur, le pauvre hors-la-loi s'étouffant d'un gémissement à la fois craintif et douloureux. « Réponds » lui demande Tommy et bordel de merde, il se prend pour qui? C'est de la colère, maintenant, sur le visage de Rolf. Les deux ne sont certainement pas des Rafleurs mais juste des, des, des branques! Voilà ce qu'ils sont! Ceci dit, il comprend très bien la peur et la méfiance inscrites sur leurs traits. Mais tout de même!
Rolf ouvre la bouche, prêt à couper la parole à l'autre garçon, quand celui-ci tourne brusquement la tête sur le côté. Rolf suit son regard: un pan de la tente commence à brûler lentement, lentement, rapidement en fait. Rien que la magie ne puisse pas avertir, mais c'est suffisamment impressionnant pour distraire monsieur et madame. Parfait! Il entend vaguement le bégaiement de Tommy mais se détourner de la situation pour essayer de ramper en arrière afin de leur échapper et courir; peine perdue, les baguettes fermement tenues par mademoiselle le clouent au sol et il lui adresse un froncement de sourcils dépréciateur. C'est là que la tente s'enflamme tout à fait.
“ What the f- ” s'écrie Rolf, avant de sauter sur ses pieds, bien indifférent aux baguettes pointées par la jeune femme sur lui. Il voit une sorte d'hésitation dans son Bruit — le nom qu'il donne aux émotions d'autrui — et il ne perd pas une seule seconde pour lui sauter dessus afin de récupérer sa baguette. Évidemment, ça se finit plutôt mal. Elle n'est pas prête à lui rendre son artefact et il n'a pas le temps de lui expliquer qu'il veut juste éteindre ce putain de feu. Alors ils roulent l'un sur l'autre, impossible pour Tommy d'ensorceler un sans toucher l'autre, la baguette de Rolf s'allumant spasmodiquement pour éclairer leurs visages. Il se prend un coup de coude sur le nez, il lui enfonce son talon dans le ventre, elle lui griffe salement le poignet, il lui tord le doigt; bref. Et finalement, il parvient à récupérer sa baguette et la repousse de lui d'un coup de pied particulièrement violent, qui — il l'espère — lui coupera le souffle le temps de ne pas lancer de sortilège. La baguette de Rolf vire sur la tente et Tommy, et le filet d'eau qu'il souhaite invoquer pour calmer les ardeurs du feu se transforme en geyser qui, en plus de réduire la tente à un tas fumant de trucs noircis et collants, percute la jambe de Tommy qui tombe parterre.
Rolf, épuisé, laisse retomber son bras, ouvre sa main et laisse la baguette rouler sur le sol. Il regarde les étoiles. Bordel de merde.
- Spoiler:
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| Boom ne connaissait pas l'individu, ce qui dans un sens était une bonne chose, un peu. Parce que s'il le connaissait, ça pouvait aussi dire qu'il le connaissait pour les mauvaises raisons : un Mangemort, un rafleur, un truc pas cool. Ou bien que c'était une vieille connaissance de Poudlard ou de son boulot, mais si ça avait été Poudlard, elle l'aurait reconnu aussi, enfin elle pensait. Tommy avait pris la suite des opérations en main, allant clouer au sol le type par un coup de pied dans le flanc… Et puis le chaos.
Suivant le regard de Tommy un instant, elle voit la fumée et ne réagit pas, ne lance pas de sort. Pourquoi ? Parce qu'aucune des baguettes qu'elle tient n'est à elle, et qu'elles n'apprécieront sans doute pas d'être utilisées contre leur gré pour le moment, tant que Mira est trop forte pour les plier à sa volonté. Le faux-brun est censé avoir la situation sous contrôle. Censé. Parce que son bégaiement le reprend tandis qu'il veut éteindre le feu qui couve et qu'il lance une vague de flammes sur le tissu qui s'embrase pour de bon. Trop occupée à regarder avec horreur le spectacle, elle ne fait plus vraiment attention à l'inconnu qui reprend contenance et se remet debout, avant de se jeter sur elle. Par réflexe, elle serre les baguettes dans ses mains et ils commencent un corps à corps violent, elle parce qu'elle se sent attaquée, lui parce qu'il sait l'urgence de la situation. Les coups se rendent mutuellement, cris et râles. Et puis elle perd l'équilibre, un coup de pied dans le buste, tombe en arrière alors qu'il a pris sa baguette. Tout est allé trop vite, clairement, et la fatigue causée par tant de nuits d'insomnie a ralenti les réactions de Kashmira qui choit sur le tapis de feuilles sèches. Elle voudrait hurler, prévenir Tommy, mais c'est déjà trop tard, l'autre pointe sa baguette vers lui -et puis elle a le souffle coupé en prime. Le sortilège qui file vers Tommy le percute puis touche finalement la tente et éteint le brasier. Passée l'incompréhension, Mira roule bientôt pour se retrouver à quatre pattes et foncer dans cette position incongrue vers le Brisbane. Penchée sur lui, elle lui demande du regard s'il va bien, puis se remet sur pieds et l'aide à se relever.
Et enfin se tourne vers l'intrus qui a empêché le feu de tout dévorer. Il regarde le ciel, et elle comprend que la méfiance maladive qu'ils ont depuis le jour de l'exécution aurait pu les amener à tabasser un pauvre mec qui ne leur aurait jamais rien fait. Elle fait quelques pas, et après hésitation finit par lui tendre la main tout en ôtant une longue mèche brune de devant son visage -dévoilant ainsi la moitié de sa face carbonisée aux rayons de lune. « On a mal commencé et on s'est clairement plantés. Désolés. Moi c'est Mira, lui c'est Tommy. Et toi ? » Pas les noms de famille : on s'en fout des noms de famille, hein ? Et puis est-ce qu'il sait que Kashmira Martillo et Thomas Brisbane sont recherchés et en fuite ? Peut-être qu'il a vu leurs noms. Et puis, ce qu'on ne sait pas, on ne peut pas le trahir. Silence sur les appartenances familiales alors. Elle scrute le blond, ses yeux sombres dans les prunelles de l'autre. Vas-y, serre-moi la main, qu'au moins on puisse passer à autre chose. Histoire qu'on sache que tu comprends. Que t'es peut-être aussi traqué. Qu'on pourrait s'entraider, même. |
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HERO • we saved the world Rolf Scamander ‹ disponibilité : always.
‹ inscription : 27/09/2015
‹ messages : 876
‹ crédits : flightless bird, les gifs à tumblr et à maggie stiefvater pour la signature.
‹ dialogues : seagreen.
‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.
‹ âge : il a l'air d'avoir environ trente-cinq ans mais en a en réalité vingt-huit.
‹ occupation : employé à mi-temps dans un élevage indépendant de licheurs.
‹ maison : serpentard.
‹ scolarité : 1987 et 1994.
‹ baguette : est rigide, sculptée d'une salamandre à sa base, longue de trente-quatre centimètres, est faite de bois de sureau et contient un crin de Kelpie.
‹ gallions (ʛ) : 4350
‹ réputation : je suis quelqu'un qu'il est difficile d'approcher.
‹ particularité : empathe. J'entends et ressens les émotions d'autrui.
‹ faits : je suis empathe et après avoir abusé de l'usage d'un Retourneur de Temps, mon corps est toujours désynchronisé et je parais avoir six ans de plus par rapport à l'âge que j'ai réellement. J'ai fait cavalier seul pendant des mois jusqu'à finalement rejoindre Poudlard mi-juillet 2003, où j'ai rejoint la Renaissance du Phénix. Mon surnom parmi les Insurgés était Oz.
Je vis avec Luna depuis la fin de la Guerre, et avec notre fille née à la fin de la Bataille, Lesath — jusqu'à ce qu'elle ait contracté le syndrome de Rosier et soit en convalescence à Saint-Mangouste.
‹ résidence : dans la maison Lovegood.
‹ patronus : un loup
‹ épouvantard : moi-même, fou à lier, écumant, incapable de sauver la silhouette indistincte d'une femme qui se tord de douleur devant moi.
‹ risèd : rien de particulier. j'ai tout ce que j'ai jamais désiré.
| kashmira martillo & thomas brisbane You gather things to you like an old road. You are peopled with echoes and nostalgic voices. I awoke and at times the birds fled and migrated that had been sleeping in your soul. Pendant un instant, Rolf s'imagine qu'ils vont l'attaquer de nouveau et le tabasser à mort; mais il y a un moment de flottement, alors qu'ils reprennent leurs souffles dans trois différentes cadences effrénées, alors qu'il sent la fille se carapater près de Tommy pour s'assurer qu'il va bien. Quant à lui, Rolf s'abîme dans la contemplation des étoiles et de la cîme des arbres, alors que sa poitrine se soulève difficilement, l'air glacé lui laissant une impression désagréable dans les poumons et les entrailles. Mais bon. Au moins, il est en vie. Finalement, il ferme les yeux — très, très fort, le temps d'une seconde — et se redresse lentement avec un grognement de douleur, tendant le bras pour récupérer sa baguette qui a roulé sur le lit de feuilles. Prêt à s'en servir s'il le faut mais, maintenant que l'angoisse est retombée, il sent que les deux autres ne vont pas (pour l'instant) lui sauter dessus. Des chaussures crissant sur les feuilles lui font tourner la tête puis lever les yeux vers la fille. Elle est... étrange. Asymétrique. La moitié de son visage est brûlé et Rolf ne prend même pas la peine de s'empêcher de la dévisager. Elle est plutôt jolie. « On a mal commencé et on s'est clairement plantés. Désolés. Moi c'est Mira, lui c'est Tommy. Et toi ? » Il la regarde longuement, semblant peser le pour et le contre, avant d'hocher lentement la tête. Prenant appui sur ses mains, il saute sur ses pieds et se redresse difficilement, son lourd sac lui sciant toujours les épaules. Il prend la main de Mira dans la sienne et la serre fermement. “ Rolf. Et puis, avec un rien de sourire ironique à la vue des circonstances: Enchanté. ” Il relâche la main de Mira, après avoir zyeuté une dernière fois son visage défiguré. D'un sortilège informulé, Rolf invoque un autre Lumos qui jette sur eux sa lumière bleuâtre pâle; le jeu des lumières fait ressortir l'aspect effrayant de la brûlure de mademoiselle et Scamander en détache difficilement les yeux pour regarder Tommy. “ Euh... désolé pour la tente, ” dit-il au bout d'un moment à soupeser le regard de l'autre mec, après s'être assuré qu'effectivement, il ne le connaissait pas du tout. Machinalement, il se passe la main qui tient pas la baguette entre ses mèches blondes. “ J'en ai une aussi, si vous voulez. Vraiment désolé, ” marmonne-t-il en enlevant de son épaule l'une des lanières de son sac à dos, le faisant passer sous son bras et commençant à farfouiller dedans à la recherche de ladite tente. Finalement, il en ressort un carré de tissu au motif camouflage enneigé (le premier qu'il a trouvé dans le bureau de Newt) qu'il dépose parterre. Un petit sortilège et c'est parti pour l'épaisse tente polaire cinq places qu'il a volé à son grand-père avant de partir. Il relève le regard vers Mira, puis Tommy, interrogateur. Il ne fait pas trop dans la charité, Rolf, de manière générale. Mais il a l'impression que Tommy et Mira sont tout aussi paumés que lui et puis... comme lui a si bien appris Dora (une Insurgée qu'il a croisé en chemin, d'une manière un peu similaire à celle-ci), si elle ne l'avait pas aidé, personne ne l'aurait aidé. Et si Rolf n'aidait ses deux zoufs, qui allait le faire? Puis, il faut bien s'entraider, à un moment ou à un autre. Et Mira était définitivement jolie. “ Vous- vous êtes pas des Insurgés, si? ” demande-t-il soudainement, replongeant le nez dans le sac à la recherche de n'importe quoi, la gorge nouée. |
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