❝ We're running in circles again ❞Insurgé ; Inventé
☇ pseudo complet & surnom(s) ; Un nom difficile à porter pour le jeune homme, celui de l'homme qui l'a élevé, celui qui remémore à chaque instant l'enfer de son enfance, son cauchemar, son pire ennemi, Eastwood. Allen, un prénom léger, aérien, choisi par sa mère dès le premier regard, comme une évidence. ☇ naissance ;Le 20 mars 1977, ses cris ont brisé le silence de leur maison tranquille en bordure de forêt. ☇ ascendance; Allen est le fils d'une sorcière et d'un moldu. Il se moque royalement de ne pas être un sang pur, et se dit que si son père avait été doté de pouvoirs magiques, ça aurait été bien pire. ☇ métier ; Par le passé, Allen était vendeur à l'animalerie Au Royaume des Hiboux. Boutique située sur le Chemin de Traverse, elle est spécialisée dans la vente de ces oiseaux fascinants pour le jeune homme qui au fil du temps a appris à mieux les connaître et à les apprécier. ☇ camp ;La rébellion, les insurgés. Allen n'a pas choisi de rester tranquillement dans son coin, à l'écart du danger, en attendant que passe l'orage. Il a décidé d’œuvrer avec les insurgés et compte aujourd'hui parmi les Audacieux. ☇ réputation ; Le fantôme, celui qui passe à côté de vous, le regard fixe, qui semble dans ses pensées, mais qui en fait étudie vos moindres faits et gestes, qui enregistre la moindre de vos paroles. Celui qui s'informe avec discrétion, qui vous suit l'air de rien, et qui quand vous vous retournez par un quelconque geste instinctif, n'est plus là, dissimulé à quelques mètres, invisible à votre vue. ☇ état civil ; Éternel célibataire. Jamais il n'a connu ce que l'on nomme « amour ». Peut-être ce dernier l'a-t-il oublié ? Ou bien est-ce Allen qui l'a dédaigné ? Quoi qu'il en soit, il lui sera difficile d'accorder sa confiance à une femme un jour, et l'idée de fonder une famille ne lui a jamais effleuré l’esprit. ☇ rang social ; Allen a il y a peu de temps décidé de rejoindre les insurgés. Personne ne connait ses réelles motivations. Envie de changement ? De liberté ? Altruisme qui a finalement fait son apparition au bout de 25 ans ? Ou bien quelconque intérêt personnel à tout cela ? ☇ baguette ; bois d'acacia, contient un ventricule de dragon, mesure 30 cm et est relativement flexible. ☇ épouvantard ; Les traits d'un être familier, de celui qui lui donne des sueurs froides, qui est la cause de ses cauchemars, qui revient le hanter à chaque fois que l'on prononce son propre nom. La personne qu'il hait le plus pour ce qu'elle lui a fait subir, pour ne pas avoir rempli correctement la tâche qui lui revenait, celle d'élever son fils dans un foyer chaleureux. Son géniteur, son propre père. ☇ risèd ; Une mère en vie, un père aimant. Une vraie famille, concept qui lui est hélas bien inconnu. ☇ patronus ;Aigle ☇ particularités ;Animagus, Allen prend l'apparence d'un faucon. Instant de liberté, animal discret qui lui permet d'observer bien des personnes sans être repéré à moins de rester trop longtemps immobile. ☇ animaux ; Une chouette effraie nommée Soren, compagnon de toujours, au calme et à la sérénité impressionnants, qui enveloppe également Allen quand il est présent. ☇ miroir ; Il est d'une teinte grise, parfait reflet des doutes qui l'assaillent, de son côté négatif et mélancolique. Il a une forme triangulaire.
☇ Avis sur la situation actuelle ;Le magister n'a jamais été l'objet de son intérêt. Sans doute est-il la malfaisance incarnée, la pire créature que la terre n'ait jamais porté, suivant les rumeurs qui se font et se défont. Selon les avis d'un côté et de l'autre. Allen soupire à la crainte qui se perd dans les cœurs des faibles frissonnant à l'évocation de son nom. À ses yeux, il n'est qu'un homme parmi tant d'autres. Le mal et le bien sont des notions indistinctes, et il ne prétend pas connaître la raison de ses actes. Au début, il considérait avoir mieux à faire que de s'occuper de sorciers maléfiques et de rébellion. Sombre indifférence envers un monde sur le déclin, où les morts sans cesses plus nombreuses en découragent plus d'un. Alors pourquoi a-t-il rejoint les insurgés ? La guerre durait depuis trop longtemps. Fatigue d'une vie devenue trop compliquée. Ne s'étant jamais réellement attaché à qui que ce soit, Allen n'a pas eu de morts à pleurer et à vouloir venger quelque en soit le prix. Dans son esprit, personne ne viendrait à pleurer sa mort si lui-même tombait. Les rejoindre pour se défaire de ce joug, retrouver cette liberté qu'il chérit tant. Pour ne pas être comme ceux qu'il méprise tant. Ceux qui restent chez eux et qui attendent l'issue de la bataille finale pour se ranger du côté des vainqueurs.
☇ Infos complémentaires ; Si vous comptiez trouver en Allen une personne aimable, souriant et qui serait prête à vous aider à retrouver votre chemin si vous vous êtes perdu, vous êtes tombé sur la mauvaise personne. Il est froid, trop froid selon certains. Au point qu'ils sont mal à l'aise en sa présence. En effet, rien ne transparaît sur son visage. La vie a fait qu'il s'est forgé ce masque neutre et à cacher ses sentiments bien enfouis pour autant qu'il en ait. Mais ce que les gens pensent ou racontent à son sujet lui est parfaitement égal. Qu'il soit vu comme un loup solitaire, un égoïste ou un être sans cœur, il ne s'en préoccupe pas le moins du monde.• Rien ni personne n'a jamais su lui tirer une quelconque sympathie et s'il vous prenait l'envie de lui adresser la parole pour des futilités, préparez vous à vous faire rapidement écraser de paroles acerbes accompagnées de l'un de ces regards dédaigneux dont il a le secret. Le jeune homme ne supporte pas que l'on parle pour ne rien dire et perdre son temps est bien l'une des chose qu'il déteste le plus. Solitaire dans l'âme, ce n'est pas un grand bavard. Il n'a jamais eu l'habitude de s'intéresser aux autres. Mais peut-être qu'un jour il trouvera la ou les personnes qui réussiront à le faire changer. • Le jeune homme est un insatiable curieux, souvent à fouiner, à mettre son nez là où il ne faut pas. Il en a conscience mais ne s'en inquiète absolument pas. Sa confiance en lui pourrait le perdre, on le lui a déjà dit. Il lui arrive de se sentir invincible, de croire que rien ne peut lui arriver. Mais son côté prudent et avisé refait surface bien vite. Allen est fier et a un caractère bien trempé, bien qu'il soit capable de mettre son ego de côté quand il estime que c'est nécessaire. Il a au fil du temps appris à maîtriser sa colère et se contente aujourd'hui de serrer les dents. On pourrait penser qu' il n'a peur de rien, même pas de la souffrance et de la mort mais comme chaque individu, il y a ces peurs qui lui tordent l'estomac et qu'il essaie de faire disparaître.• Il n'accorde pas facilement sa confiance, mais une fois que vous l'avez obtenue, vous pouvez être sûr d'avoir un allié sur qui compter. Encore faut-il avoir réussi à percer sa carapace. • une caractéristique (traits physiques, tatouages, cicatrices). • une rumeur. • etc.
❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL
Appelez-moi AuRel ou Surimi. J'ai bientôt 18 ans (la joie d'être née en décembre), je viens de Basse-Normandie et j'ai connu le forum via un partenariat. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 6 ou 7 jours sur 7. Je veux bénéficier de l'aide d'un parrain ou d'une marraine : [x] oui / [] non. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ? Petit poney, petit poney, tu es tout gris et tout petit, petit poney, petit poney, tu gambade dans les prés sans te soucier du temps qui passe, petit poney, petit poney ♪
Dernière édition par Allen Eastwood le Mar 13 Oct 2015 - 0:14, édité 10 fois
Elle hurlait, encore et encore, semblant souffrir comme jamais il n'aurait pu l'imaginer. Déglutissant avec difficulté, il détourna les yeux un bref instant. Ce jour qui serait comme les autres pour les autres habitants serait unique pour le couple. Mais en ce lieu où le temps semblait s'être arrêté, à l'abri du déchaînement des éléments à l’extérieur, sa femme allait donner naissance à leur enfant. Leur famille allait s'agrandir. Vain espoir d'une vie qui allait continuer, d'un nouveau tournant, de ce chemin qu'ils allaient poursuivre avec leur enfant à leurs côtés. Alors qu'il lui tournait le dos, de nouveaux cris retentirent. Stridents. Aigus. Ils étaient différents. Ce n'étaient pas ces cris de douleurs qui avaient déchiré la nuit alors que sa chère et tendre luttait. Ces derniers s'étaient éteints. Leur enfant était né. Il aurait dû sourire, être pleinement heureux, pourtant son instinct lui disait que quelque chose n'allait pas. Sachant que tout était fini, l'homme se retourna, la gorge serrée. Lui qui avait appris à se forger un masque de glace qui ne laissait rien paraître ne put cette fois masquer son inquiétude. La respiration de sa compagne était faible, trop faible. Puis brutalement, tout s'arrêta. Les cris de l'enfant masquaient le silence qui régnait dans la salle. L'homme posa son regard sur le corps raidi de son épouse, ses grands yeux écarquillés et sa bouche ouverte dans ce qui semblait être une dernière tentative de respiration. Toute vie l'avait visiblement quittée. « Non… » Il se rapprocha lentement et posa sa main sur son bras avant de la secouer doucement. Aucune réaction de la part de la belle. Elle était glacée. Non. Non, elle ne pouvait pas être morte. Elle lui avait toujours paru être en bonne santé. Elle ne pouvait pas être aussi faible. Hébété, il se tourna vers l'une des femmes qui étaient présentes. « Que s'est-il passé ? » Elle sursauta, comme si elle le remarquait pour la première fois. « J-je ne sais pas... C'est incompréhensible... Tout semblait bien se dérouler... » L'homme resta silencieux. Dans ce cas, d'où venait le problème ? Il suivit le regard de la jeune femme et porta enfin attention au nouveau-né. La mort de sa femme avait-elle un rapport avec leur enfant ? Cela ne faisait aucun doute. C'était forcement de sa faute. Quand il avait pris sa première respiration, elle avait rendu son dernier soupir. Il était responsable. L'homme toisa froidement son rejeton. Cette larve rose et insignifiante avait volé la vie de son aimée. Il ne le lui pardonnera jamais. Il ressentit soudainement le besoin de se débarrasser de lui de ses propres mains. Rien ne serait plus facile que d’ôter la vie de cet enfant qui venait à peine de naître. Il lui suffisait de l'étouffer. De le faire disparaître de sa vie comme on pouvait faire disparaître des hommes en les jetant dans l'eau noire, une pierre attachée aux pieds. « Tu es un monstre... » lâcha-t-il au bout de quelques minutes. Il n'éprouvait qu'une profonde aversion envers lui. Aucun sentiment positif. Mais il ne pouvait pas le faire. Sa femme n'aurait probablement pas accepté qu'il se débarrasse de lui. Il se contenterai de l'élever avec froideur, en attendant avec impatience le moment où il se défera enfin de lui.
❝ I've been shattered by the ones I thought I loved ❞1985
Père et fils, simple illusion pour leurrer les autres, leur faire croire à une relation fusionnelle comme elle aurait dû l'être. Là où ils auraient dû être rattachés par la perte d'un même être cher, unis dans la douleur, ne résidait que le néant le plus total, plus incompréhensible, plus insupportable encore. « Papa ? » Les yeux pétillants de celui qui ne lit pas le dégoût et la haine dans les yeux de son propre père, l'envie irrépressible d'en faire plus, toujours plus pour le rendre fier, la détermination de ne lui arracher qu'un unique mot, une félicitation, un encouragement. "Papa". Un mot qui ne veut rien dire pour l'autre, qui n'est que le synonyme de tout ce qu'il a perdu. Son regard se pose avec malveillance sur l'enfant chétif qui lui tirait sur la manche. Petite main accrochée désespérément à son bras comme à une bouée salvatrice, un unique espoir de s'en sortir vivant. Comme une tique accrochée au pelage d'un animal sauvage, ne cherchant qu'à se repaitre de son sang avec avidité. L'homme secoue le bras avec énervement. Ce simple geste devrait lui faire comprendre de lâcher prise, d'abandonner cette lueur d'espoir qui ne semblait pas l'avoir quittée, compagne de l'innocence et de l'enfance. Pourtant rien n'y fait. Alors il doit se résoudre avec colère à briser le silence qu'il avait jusqu'alors tenu plus que tout à installer. « Va-t'en. » Son regard se pose de nouveau, irrésistiblement vers cette chose, son "fils", et il sent la colère monter en lui. Avant qu'un autre mot ne soit prononcé, son cri brise le lourd silence, précédé par l'envol de tous les objets posés sur la table qui se fracassent par terre et atteignent l'enfant qui ne peut esquisser le moindre geste, pétrifié devant cet accès de colère soudain. « Tout ça c'est de ta faute ! Pourquoi me tourmentes-tu ainsi ? Ne veux-tu pas me laisser tranquille ? Je n'ai pas de temps à perdre avec toi. Voilà longtemps que j'aurais dû t'a... » Interrompu, surprise qui se lit sur ce visage auparavant masque de haine pure. Son bras est à nouveau retenu par la main tremblante de son fils, puis avant qu'il ne puisse réagir, il se retrouve enserré des frêles bras de l'enfant, qui malgré sa peur enfouit son visage contre son ventre, à la recherche d'une quelconque marque de tendresse. Dégoût incoercible qui pousse son géniteur à le repousser violemment, à le frapper, encore et encore, sans se contrôler. Arrêté seulement dans son élan sauvage et destructeur par la vue du sang mêlé de larmes qui tâchait le sol. Insensible au sanglots, d'un calme plus froid que le marbre, il se contente d'attraper brusquement son rejeton par le bras et de le conduire de force vers sa chambre avant de fermer la porte derrière lui, sans un mot. De l'autre côté, espoir brisé, incompréhension. Larmes qui coulent sans s'arrêter, la même question qui se pose encore et encore. Pourquoi ? Une recherche vaine de réponse. Puis peur engloutissant d'un renouvellement d'une telle violence au moindre faux pas.
❝ don't have to fight to feel alive ❞1988
Il était là, à contempler le spectacle qui se dressait devant son regard insensible. Les jeunes sorciers qui couraient dans tous les sens, à la recherche de ce quai qui n'existait que pour eux, là où ne se trouvait qu'un simple mur pour un humain comme les autres. Le goût amer de la trahison lui reste encore en travers de la gorge ; il avait souffert pendant de longues années, et bien qu'en ce jour tout soit enfin terminé, il ne pouvait s'en réjouir. Il était brisé. Même s'il se saurait loin de son géniteur, dans un lieu où il ne pourrait jamais le retrouver, il avait conscience que ce dernier nourrirait encore de nombreux cauchemars. Cicatrices qui ne guériraient jamais et dont s'écoulaient toute la haine et la rancœur qu'il pouvait ressentir. Allen avait saisi sa chance dès qu'il en a eu l'occasion. Son père n'aurait rien fait pour le garder auprès de lui. Peut-être aurait-il tenté de le tuer, comme le final majestueux de toute cette comédie grotesque. Quoi qu'il en soit, il avait réussi à lui échapper, à enfin sortir de ce piège qui aurait fini par absorber toute idée de liberté, le laissant agonisant. Les autres sorciers rient, parlent entre eux. Lui se contente de monter dans le train en silence, de choisir un endroit où il serait accompagné de sa seule solitude. À travers les vitres, il voit la gare s'éloigner doucement. Il entend les autres crier au revoir. Saluer leurs parents là où lui restait plus seul que jamais, s’interrogeant sur ce que pouvait bien être une famille.
❝ Evil is a point of view ❞ 21 octobre 2001
Cette nuit aurait pu être comme les autres. Une nuit calme, silencieuse. Mais ils en avaient décidé autrement. Doux silence brisé par les hurlements et les crépitements des sorts lancés dans la rue. Par les cris alarmés des oiseaux de la boutique, au rez-de-chaussée. Réveil brutal. Une interrogation. Que se passait-il ? Allen aurait pu faire comme le propriétaire de la boutique, pour qui il travaillait. Il aurait tenté de s'endormir en oubliant ce qui se tramait à l’extérieur et se serait réveillé le lendemain comme si tout était normal, comme si rien ne s'était passé. Seulement la curiosité l'emportait sur le reste, probablement accompagnée d'une vague inquiétude des conséquences que cette bataille aurait sur la suite des évènements. Le monde s'effondrait, mais il restait debout. Lui qui se tenait à l'écart de tout ce qui se passait, de cette guerre, de ces combats incessants. Lui qui restait muré dans son individualisme, essayant de se convaincre que c'était la seule chose à faire. Mais qui au fond se détestait pour ce comportement qu'il haïssait tant chez les autres et qu'il ne pouvait pas s'empêcher d'avoir lui-même. Alors qu'il s'apprêtait à descendre, le patron l'interpela. « Allen ? Va calmer ces chouettes, s'il te plaît. » Comme si c'était possible. Comme si avec leur silence il allait pouvoir se rendormir. S'il arrivait à les calmer, il suffirait d'une explosion, d'un sort ou d'un autre cri pour les faire paniquer à nouveau. Avec un soupir, il se contenta de hocher la tête et dévala les escaliers. Tentant de faire taire les oiseaux et de leur transmettre son calme froid, il risqua finalement un regard par la fenêtre. Rien ne pourrait décrire ce chaos qui se déchaînait sur le chemin de traverse. La lumière aveuglante des sorts qui fusent de tous les côtés, les hurlements de douleur, de peur, les ordres, les morts. Il aurait pu rester là, immobile dans la boutique, à contempler sans un mot le triste spectacle qui se dressait devant ses yeux, insensible. Il aurait pu s'éloigner, se contenter de calmer les oiseaux de la boutique et d'attendre que passe l'orage. Ne pas se sentir concerné par ces morts de plus en plus nombreuses, par ces gens privés de leur liberté. Il n'a rien fait de cela. Il n'a pas voulu devenir comme ceux qu'il méprise tant. Un homme qui reste chez lui en attendant l'issue de la bataille finale pour se ranger du côté des vainqueurs en affirmant qu'il croyait en eux depuis le début. Il a gâché l'unique chance qu'il avait de vivre dans un semblant de liberté, de laisser les autres mener le combat. Le bruit sourd de quelque chose qui heurte la porte d'entrée le fit sursauter. Un grognement de douleur. Le jeune homme fronça les sourcils. L'un des combattants venait-il de s'affaler juste devant l'entrée ? Quand il y repense, Allen se dit que ce fut certainement l'une des choses les plus stupides qu'il n'a jamais faites de sa vie. Alors qu'un ordre venait de retentir dans les rues, qu'on annonçait que quiconque sera trouvé à l’extérieur sera assimilé aux insurgés, il a pris la décision d'ouvrir la porte discrètement. Une occasion de rejoindre leur cause. D'un geste vif, il tira l'homme à l’intérieur de la boutique avant de refermer la porte le plus doucement possible. Ce dernier étouffa un cris surpris et se débattit, poussant le jeune sorcier à reculer vivement. « Chut ! Je suis là pour t'aider. » C'est avec un regard méfiant que l'homme cessa de gesticuler. Guère surprenant dans ce monde où n'importe qui pourrait être trahi par son voisin, par une personne qui au premier abord pourrait inspirer la confiance, par un membre de sa propre famille. Un seul coup d’œil aurait suffi pour se rendre compte que l'insurgé était gravement blessé et qu'il ne s'en sortirait probablement pas. Mais loin de se décourager, Allen le soutint sans un mot et le conduisit vers la porte arrière de la boutique. C'est avec difficulté et une certaine crainte d'être repéré qu'il conduisit l'homme à un endroit qui semblait parfaitement vide de monde et qui leur permettrait de s'éloigner discrètement de toute cette agitation. Ce dernier sembla d'ailleurs se reprendre puisqu'une fois certain d'être à l'abri, il sortit un miroir et communiqua alors avec l'un de ses compagnons sous le regard étonné d'Allen. Par la suite, il lui indiqua un chemin à suivre qu'ils empruntèrent tous les deux pour rejoindre ses alliés à un lieu donné.
Dernière édition par Allen Eastwood le Sam 14 Nov 2015 - 20:04, édité 13 fois
‹ occupation : ancien langue de plomb (spécialisé dans les expérimentations magiques) ; fugitif et informateur de la RDP entre le 26.05.03 et le 08.12.03 ; condamné à 22 ans à Azkaban pour terrorisme, au terme d'une assignation à résidence et d'un procès bâclé, tenu à huis-clos.
‹ maison : Slytherin — “ you need a little bit of insanity to do great things ”.
‹ scolarité : entre 1991 et 1997.
‹ baguette : un emprunt, depuis qu'il est en fuite. elle n'est que temporaire et il ne souhaite pas s'y intéresser ou s'y attacher, puisque la compatibilité est manquante.
‹ gallions (ʛ) : 14278
‹ réputation : sale mangemort, assassin méritant de croupir à vie en prison pour expier ses crimes et ceux de ses ancètres.
‹ particularité : il est occlumens depuis ses 16 ans.
‹ faits : Famille.
• Narcissa (mère) en convalescence. sortie de son silence depuis peu pour réfuter l'annonce de son décès ; reconnue martyr. lutte pour que le jugement de son fils soit révisé.
• Lucius (père) mort durant la tempête du 03.03.2004.
Spoiler:
• Aramis est plus un frère qu'un cousin par alliance, de ces relations précieuses qui se consolident au fil des épreuves.
• Nyssandra, marraine de Scorpius, et cousine par alliance depuis qu'épouse Lestrange. Un moyen légal d'officialiser le fait que plus qu'une amie, elle a toujours été un membre de la famille, de cœur sinon de sang.
• Severus, en sa position d'ami de longue date de la famille, a joué auprès de moi le rôle de précepteur, puis d'enseignant, de protecteur. Je ne lui ai pas toujours fait confiance, à cet étrange personnage pétri de mystères, mais le Serment Inviolable qu'il a accepté de formuler à la demande de ma mère il y a quelques années m'a poussé à me tourner vers lui au moment de choisir un parrain à Scorpius. Je ne sais toujours pas à l'heure actuelle quel est son réel camp, mais il est assurément un allié redoutable.
• Gwen... Gwen. Usurpatrice Lestrange, Black insoupçonnée. J'ai perdu une cousine pour en gagner une autre, et si les faits prouvent à présent que le sang nous lie, je ne sais si je l'aime ou si je la hais pour ses mensonges. Son existence remet en doute de trop nombreux principes: pourquoi n'ai-je pas décelé qu'elle était différente, sang-mêlée, si le sang est si crucial et le mélange inadmissible ? Je ne supporterais pas de la perdre, mais lui faire face est encore trop... déboussolant.
• Simon, canaille défraichie, cousin décadent. Notre entente est vache est étrange, mais le sang l'emporte souvent - même sur les différences. Il a été, étonnamment, le plus apte à me fournir des échappatoires, qu'il s'agisse d'Orviétan, d'alcool de choix à consommer sans modération ou de planque relativement imprenable.
• Sansa, traitresse. La baguette qui s'érige, qui frémit, qui s'abaisse au creux de phalanges crispées, et la rancoeur qui salit des années de complicité.
• Hestia, cousine & partenaire de crime. Elle est étrange, creepy, et c'est sans doute ce qui fait son charme. Nous avons plus ou moins grandi ensemble, élevés pour tisser des ententes et projets dans l'ombre en quête de plus de pouvoir. Mais à présent, il est surtout question de survie.
• Flora, cousine. Elle a changé, c'est un fait, victime du brainwashing imposé par le gouvernement aux dissidents. Et notre alliance d'origine lutte, mais ploie sous l'intensité de sa nouvelle allégeance au Magister.
• Nephtys, cousine Shafiq, victime d'un don... malédiction. Elle est l'une des raisons pour lesquelles soutenir de régime a été plus difficile d'escompté ces dernières années. Le moins que l'on puisse dire est qu'il est un Maître ingrat, et Cissy et Nephtys ont été des martyres, sacrifiées sur l'autel de ses ambitions cruelles.
• Andromeda, tante. Reniée, (re)trouvée... je ne sais pas ce qu'elle m'inspire. De la consternation, peut-être; elle a toujours été une idée, un souvenir, l'ombre d'un passé révolu, et la voilà qui surgit à présent du néant, tangible. Traître à son sang. Mon statut d'extrémiste ne m'a toutefois guère porté plus de chance que le sien, et l'existence de son petit-fils... de mon cousin, ne peut me laisser indifférent, en dépit de son ascendance peu flatteuse.
A protéger.
• Âme-sœur de toute une vie - ou de plusieurs. Rien n'a jamais été réellement simple entre nous et pourtant elle a toujours été une évidence, un essentiel. Le sentiment s'étend à ses filles, que j'en viens parfois, souvent, à considérer comme les miennes.
• Nott est un ami d'enfance. Malgré la distance imposée à l'adolescence par son refus de se trouver rabaissé au rang de sous-fifre, le lien a perduré, latent. Il est ce frère auquel il n'est pas toujours nécessaire de tout dire, dont je m'éloigne souvent, mais que je retrouve inexorablement - et vice versa.
• Loony persiste à nous prétendre amis et peut-être ses délires ne sont-ils plus si faux à présent... elle est en tout cas une alliée précieuse et s'est révélée étonnamment loyale. Et tenace. Les réminiscences de vies antérieures me poussent d'ailleurs à croire qu'elle a été une présence récurrente au fil des siècles, et dans cette vie comme dans les autres, elle semble partager les instants les plus sombres de mon existence.. et inversement.
• Astoria m'a offert ce que j'ai de plus précieux: un fils. C'était une erreur et Merlin sait qu'elle nous a coûté cher, mais il reste ce qui nous lie aujourd'hui, la principale raison pour laquelle je ne laisserais rien lui arriver.
• Greg a d'abord été un banal sous-fifre, avant que la soif d'émancipation puis la mort de Vince ne bouscule notre dynamique. C'est une... amitié particulière, à tendance haineuse sur les bords, car des années d'entente mêlée de mépris ne s'effacent pas aisément. Pas plus que la colère qu'il nourrit à mon encontre depuis la mort de son comparse - mon ami d'enfance. Reste qu'il fait partie de cette poignée de sorciers dont la présence dans mon existence est non négociable. Frère d'arme.
• Chang, partenaire sur le terrain, entente masquée en public sous des couches d'agacement mutuel, chaleur humaine et réconciliations fiévreuses en privé. On s'est plus d'une fois retenus de sombrer, sauvés, mais l'équilibre fragile est à présent vicié par le brainwashing qu'elle a subi.
• Ardal est une connaissance de longue date, mais aussi le cousin de Pansy - celui qui n'hésite pas à me faire part de sa façon de penser lorsqu'elle a des raisons de plainte à mon sujet. C'est assez agaçant, à vrai dire, que d'avoir laissé à quelqu'un suffisamment de marge pour écoper de remarques lorsque mon attitude lui déplait - mais il a eu la décence de ne jamais en abuser, plus ami que moralisateur.
Compliqué. Susanna, il y a eu la passion, les tensions, la séparation, la fureur, le manque. L'étape suivante aurait dû être la réconciliation - j'étais prêt à l'épouser. C'était avant qu'on ne la découvre coupable de trahison, avant qu'une vision d'Aramis ne révèle sa relation, avant que la dénonciation à laquelle j'ai consenti ne lui coûte la vie. Déchiré entre colère et regrets, j'ai fait le choix d'effacer les sentiments qui perduraient pour ne conserver que la haine. Rien d'autre que la haine.
• Granger est infecte - mais la fréquenter est utile. C'est ce qu'elle est: une partenaire forcée, une alliée de poids, un point d'interrogation sur l'échiquier de mes vies antérieures et actuelle. Lui laisser percevoir mes failles est insupportable, mais je sais pourtant qu'elle restera une tombe et ne saurait me trahir: à défaut de confiance et d'entente, nous avons un pacte.
• (Tracey, amie proche d'Astoria - et de Susanna, autrefois. Elle n'a pas cautionné notre rapprochement et notre entente, depuis, a été étrange, ambivalente. Mais cordiale. Avant, du moins, qu'elle ne devienne une mangemort fanatique.
• Blair. J'ai aidé cette gamine à échapper à la rage des Carrow, autrefois, et détourner leur attention m'a valu des maléfices mémorables. Ce qui m'y a poussé ? J'en doute encore aujourd'hui - la compassion n'a jamais compté au nombre de mes défauts. Mais les révélations de Beltane me poussent à croire que nos âmes liées m'ont influencé: elle a été ma sœur, dans une autre de ces vies qui ne cessent de resurgir aux moments les plus inappropriés.
• Winchester est la marraine de Teddy, la responsable de la quête au bout de laquelle je les ai cherchés, sa grand-mère et lui.
• Darja et moi, on formait une paire efficace en laboratoire, seul cadre dans lequel elle s'illuminait par ailleurs. Et nous est arrivé de nous inquiéter l'un pour l'autre sous nos masques de mangemorts; mais elle est insondable et je ne prendrais pas le risque de la sous-estimer si je la croisais baguette au point, fort de mon nouveau statut de prétendu traître.
• Avery était un allié de père, subissant comme lui les griefs des mangemorts ayant été fanatiques au point de gâcher des années de vie derrière les barreaux. Il est sans doute un dangereux ennemi, à présent.
A enterrer.
• Potter, foutu sauveur à deux noises. Il m'a imposé une dette de vie, le plus lourd fardeau qu'il m'ait jamais été donné de porter. Il est la cause de l'entente avec Granger, mais aussi un élément récurent de tous les évènements négatifs de ma vie. Plus récemment, il m'a dérobé un bien que je ne savais même pas en ma possession: la mythique Baguette du Pouvoir. Je suis supposé le prévenir, mais la haine qui nous sépare a toujours été trop intense pour favoriser les compromis.
• Zabini, allégorie de la trahison, de la confiance brisée ; même le temps n'allège pas l'intensité de ma rancoeur, et pour cause: il était le dernier de la part de qui je me serais attendu à recevoir un sort dans le dos. Le rituel qui nous lie rend son absence pénible, physiquement douloureuse, mais si nous nous recroisions les différends se règleraient à la baguette et aux poings.
• Weasley - tant Fred que Ronald et le reste de leur smala dépeuplée, je ne lèverais pas le petit doigt s'ils brûlaient dans un Feudeymon. Bien au contraire, je me délecterais du spectacle.
• Matteo, bel emmerdeur, journaliste rapace - de cette engeance qui se nourrit des déboires d'autrui. Je préfère prétendre que cette St-Valentin 03 et l'intoxication à l'Amortentia n'a pas eu lieu. Jamais.
• Rabastan. Les Malfoy et les Lestrange n'ont jamais été faits pour s'entendre - à vrai dire la jeune génération constitue l'exception. Mais si les tensions étaient jusqu'alors mesurées, masquées, elles ont atteint leur paroxysme lorsque Rabastan a contribué à l'enlèvement de ma mère.
• Wyatt, cette ordure, ce fumier. Il était l'image même du père et du futur beau-père idéal, avant que l'arrivée de Scorpius ne fasse surgir au grand jour sa véritable nature. Ses tentatives de meurtre avortées n'ont fait qu'exacerber la haine mutuelle, et son rôle dans l'enlèvement de Mère a été la goutte de trop. Il est intouchable, en odeur de sainteté auprès du Lord. Et d'une puissance non négligeable. Mais si je venais à le croiser sur un champ de bataille, je prendrais le risque d'extérioriser la soif de sang qu'il m'inspire, quitte à y périr.
• Rookwood. Ancien mentor imposé par le Maître. craint et respecté à la fois, pendant un temps. Je ne serai jamais à la hauteur de ses critères en terme de cruauté, mais ses prétentions me hérissent. Il n'est après tout qu'un sang-mêlé désireux d'exterminer sa propre engeance.
(d-e, wiz, ins, rdp, hun)
‹ résidence : emprisonné à Azkaban depuis le 06.01.04. en fuite depuis le 08.05.04.
‹ patronus : inexistant.
‹ épouvantard : l'éxécution de juillet 02, ses proches en guise de victimes: leurs regards vidés par l'Imperium, la baguette de Draco dressée, les étincelles vertes des AK et leurs cadavres empilés comme de vulgaires déchets.
‹ risèd : un portrait de famille idéal, utopique.
DAAAAAAAANE
Citation :
Celui qui s'informe avec discrétion, qui vous suit l'air de rien, et qui quand vous vous retournez par un quelconque geste instinctif, n'est plus là, dissimulé à quelques mètres, invisible à votre vue.
je pense très fort à "on m'voit on m'voit plus. on m'voit plus on m'voit. on m'voit. on m'voit plus." d'Astérix & Obélix mission Cléopâtre BIENVENUE parmi nous, avec ce perso qui semble déjà plutôt prometteur j'te souhaite bon courage pour ta fiche et ofc, si tu as des questions ou quoi, n'hésite pas à mp un membre du staff : on est là pour ça
‹ occupation : à la renaissance du phénix, je n'ai pas de métier (la faute au gouvernement qui estime que les loups-garous sont trop dangereux pour avoir un métier).
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : septembre 1984 et juin 1991.
‹ baguette : Elle est en bois d'ébène avec une plume de phénix à l'intérieur et mesurant vingt-quatre centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 7780
‹ réputation : À Poudlard et jusqu'à sa morsure, on la connaissait parce qu'elle ne ressentait pas la douleur et qu'elle passait plus de temps à l'infirmerie pour vérifier qu'elle ne s'était pas fait mal qu'en cours. Elle a été joueuse de Quidditch aussi et pas une mauvaise. C'est un sport qu'elle a toujours adoré et qu'elle aurait bien continué par la suite. Puis après sa morsure, sa maladie s'est guérie grâce (ou à cause du) au gène loup-garou et on a fini par l'oublier. Puis après elle a été recherchée parce qu'elle a fait partie de l'Ordre du Phénix puis des insurgés. On l'a connu comme étant le rebut de Severus Snape. Puis de nouveau une insurgée. Puis héros de guerre, mais un héros qu'on remercie par un simple sourire et une petite somme d'argent, pas un héros qui mérite l'Ordre de Merlin. Vous comprenez, elle n'est pas normale. L'Ordre de Merlin, June s'en moque, mais elle ne supporte pas le snobisme de ce gouvernement qui se veut tolérant. Depuis la fin de la guerre, June se renfonce dans l'anonymat et ça lui va très bien.
‹ particularité : Loup-garou. Totalement. Elle a été mordue par Claevis, un membre de la meute de Thurisaz en 1995. La cicatrice est toujours visible et bien brillante sur son flanc gauche. Le gène lui a permis de guérir de sa maladie d'insensibilité congénitale à la douleur, mais il lui a fait perdre son boulot d'Auror aussi.
‹ faits : uc
‹ résidence : à storm's end.
‹ patronus : un renard roux
‹ épouvantard : le feu.
‹ risèd : Teddy avec Dora et Remus. Et puis elle avec Elijah et leurs enfants. Des enfants qui ne souffrent pas du gène du loup-garou.
Dane ton personnage envoie du lourd et j'aime beaucoup la manière dont tu écris en tout cas bienvenuuuue sur exci bon courage pour ta fiche et si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas à nous mp ! J'espère que tu vas bien t'amuser parmi nous
‹ occupation : chasseur de prime, ancien rafleur du gouvernement devenu insurgé contre son gré et aujourd'hui occupé à traquer des criminels de guerre.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : est en aubépine et contient un cheveu de vélane.
‹ gallions (ʛ) : 5949
‹ réputation : j'étais un chien fou dont il fallait se méfier mais que j'ai trouvé ma place, trouvé des gens avec qui travailler, avec qui être utile.
‹ particularité : particulièrement doué pour m'attirer des ennuis.
‹ faits : je suis sarcastique et insolent, que je démarre au quart de tour, que j'ai tendance à utiliser mes poings plutôt que ma baguette... mais il faut aussi savoir que je suis extrêmement loyal et qu'en dépit de ma tête brûlée, je ne laisse personne derrière.
‹ résidence : Après l'asile des aliénés, la planque des terroristes belliqueux et Poudlard, je suis de retour dans un appartement pas très reluisant du chemin de Traverse que j'occupe avec ma petit soeur Darcy, Blaise & Wendy.
‹ patronus : un rottweiler
‹ épouvantard : un fantôme.
‹ risèd : quelqu'un qui râle d'avoir été réveillée, perdue dans les draps défaits d'un lit baigné de soleil, un dimanche matin. Quelqu'un qui râle parce que "merde, pourquoi tu dois bosser le dimanche ? Putain ils se pensent tout permis ces aurors".
Citation :
Un dernier mot ? Petit poney, petit poney, tu es tout gris et tout petit, petit poney, petit poney, tu gambade dans les prés sans te soucier du temps qui passe, petit poney, petit poney ♪
Il y a des gens, comme ça, qui dès le début veulent se faire haïr. C'est cruel de me foutre ça dans la tête j'te garde à l'oeil toi, du coup *zbaff* BIENVENUE sur exci ceci dit et bon courage pour la suite ; n'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit
Celui qui s'informe avec discrétion, qui vous suit l'air de rien, et qui quand vous vous retournez par un quelconque geste instinctif, n'est plus là, dissimulé à quelques mètres, invisible à votre vue.
je pense très fort à "on m'voit on m'voit plus. on m'voit plus on m'voit. on m'voit. on m'voit plus." d'Astérix & Obélix mission Cléopâtre
same cartapus ftw
la bienvenuuue sur exci, petit eucalyptus courage pour ta fiche
bon j'avoue, je suis super étonnée que draco et harry n'ait pas sorti la vidéo mais du coup, désolée, perso je peux pas m'en empêcher
je disais donc (bon en vrai, j'le disais pas mais ça reste le but de ma venue ) : bienvenuuuuue sur excidium un insurgé, animagus qui plus est ; nos persos pourront surement s'entendre avec ces deux points communs, il nous faudra un lien
#EVENTS & #MISSIONS. NE MANQUEZ PAS LA WIZPRIDE (rp et hrp) !#SCRYNEWS. refonte du ministère (plus d'infos) & nouveaux procès de guerre (plus d'infos)#FORUMATHON.