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sujet; Jessie Jenner ~ Oh simple thing where have you gone? |
| Jessie Jonathan JennerHere comes the summer's son, he burns my skin❝ We're running in circles again ❞Hunted ; Inventé ☇ pseudo complet & surnom(s) ; Jessie J. Jenner, mais il apprécie qu'on l'appelle Jessie, Jess ou J.J. Pour les amis. ☇ naissance ; 15 juin 1974 Angleterre. ☇ ascendance; sang-mêlé. ☇ métier ; Ex membre de la BPM ☇ camp ; neutre. ☇ réputation ; Jessie a la réputation d'être un jeune homme distrait, la tête sans cesse dans les nuages et toujours des expressions étranges au bout des lèvres. Il a toujours l'air décontracté quand ce n'est pas complètement négligé. On le dit rêveur et philosophe, mais on le dit également vif lorsqu'il s'agit d'entrer dans le feu de l'action, la baguette à la main. ☇ état civil ; Marié à son ukulele. ☇ rang social ; Hors-la-loi. ☇ baguette ; Chêne blanc d'Amérique, 28cm, plume de phénix. Elle a la particularité d'être totalement blanche. ☇ épouvantard ; Lui-même, les cheveux rasés et coincé dans un uniforme trop raide, en haut de l'échelle sociale avec un accent anglais. ☇ risèd ; Une plage américaine, le soleil qui réchauffe sa peau et une bande d'amis avec lui, tout simplement. ☇ patronus ; Un dauphin. ☇ particularités ; Se prétend parfois semi-empathe, mais ne l'est pas du tout. Il est simplement assez intuitif lorsqu'il s'agit des émotions des autres. ☇ animaux ; / ☇ miroir ; aucun. | ☇ Avis sur la situation actuelle : Jessie rêve de paysage de paix. Il rêve de ne plus avoir besoin d'arpenter les rues maussades de Londres où le paysage désolé et les passants apeurés évitent de circuler. Cependant il ne rêve pas exactement de s'enfuir, mais de modifier la situation pour que ces concitoyens retrouvent le moral, leur joie de vivre et la quiétude qu'ils semblaient avoir perdu. Il est assez résigné en ce qui concerne le règne de Voldemort, il ne se rallie pas aux Insurgés car il considère leur cause comme perdue, mais il considère également qu'il est de son devoir de protéger les habitants de l'Angleterre. Il a bien entendu été plus que profondément dérangé par cette histoire de création des rebuts et a failli retourner en Amérique pour ne plus les avoir sous les yeux avant que les frontières ne se ferment, mais il s'est rappelé son devoir qu'il continue à effectuer de son mieux. Le fanatisme soudain a de quoi l'inquiéter, mais en tant que membre de la BPM, on ne venait jamais vraiment lui faire de confidences sur un penchant politique ou un autre. En revanche, lorsqu'on est venu pour lui annoncer qu'il serait un mangemort ou bien un mort tout court, JJ s'est enfui, ayant toujours la volonté de lutter pour le bien être des citoyens mais refusant l'alternative des insurgés qu'il juge trop violents. |
☇ Infos complémentaires ; Il adore voler sur un balais, mais n'aime pas le Quidditch • Ébouriffe sans cesse sa tignasse • Ouvert à la discussions • Sans doute un brin trop je-m’en-foutiste • Déteste les peignes • Se croit empathe • Adore le surf • A beaucoup de références moldues que personne ne comprend • Avait beaucoup d'amis moldus en Floride • Est globalement bon en tout car les examen pour faire partie de la BPM sont assez ardus • Aime boire un verre dans un bar moldu en face d'une des sorties du Ministère à la fin de son service • Est tout aussi désordonné dans son appartement que dans sa tête • Considère que le chaos est un des symboles de la vie et se fiche donc dudit désordre • Refuse catégoriquement de couper ses cheveux plus courts qu'une certaine longueur • Joue du ukulélé • Est très mauvais en sortilèges curatifs • Était fan de Lockart du moment où celui-ci enseignait à Poudlard, ses discours sur la célébrité le fascinaient et il lui écrivait assez souvent pour lui parler de coupes de cheveux et des différentes facettes de sa vie de manière générale • Parle de manière paresseuse ou enflammée selon les circonstances • passe souvent sa main sur le bas de son visage pour sentir la barbe qu'il ne laisse pas pousser outre mesure • Est en parfaite condition physique grâce à son métier • Lis énormément d'essais d'auteurs moldus ou sorciers • Sa mère est véritablement empathe, et Américaine • Son père est un anglais immigré en Amérique pour poursuivre sa carrière avec son groupe de rock rétro célèbre chez les sorciers, il est à la retraite depuis un certain temps maintenant • Sa famille est assez riche grâce à la carrière de son père, mais il déteste tout ce qui a un rapport avec l'élitisme et vit donc avec ses propres revenus, assez moyens, pour éviter d'être mêlé à tout ça • Rentrait à chaque vacances directement en Floride jusqu'à la fermeture des frontières • Est un dreamer dans le sens drogué du terme, son emploi ne l'empêche pas d'apprécier le Fictio plus que raison • Est un duelliste aux réflexes affûtés, mais qui n'attaque jamais pour tuer • Adore les chiens, mais n'a pas l'espace pour en avoir un • Est fier d'avoir été un Gryffondor • A secrètement peur du noir, mais essaye de travailler pour arranger ça • Panique dans les espaces clôt • Adore nager • Est végétarien • Respecte rarement l'affirmation précédente • Se préoccupe rarement de l'avenir ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL Appelez-moi Jostophe. J'ai 21 ans, je viens de Paris et j'ai connu le forum via je fais du rp. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 5 jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ? facultatif. Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Jessie J. Jenner le Jeu 25 Aoû 2016 - 0:53, édité 1 fois |
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| Interview d'un membre de la Brigade de Police Magique Propos recueillis par un étudiant en journalisme ❝ Que dire de votre enfance ? Des regrets ? ❞1974 - 1984 ; FlorideJ'ai beau être né en Angleterre et y avoir séjourné environs... deux ans ? Mon enfance, je l'ai passé en Amérique, sur la côte est. Ce qui me manque le plus quand je repense à ce merveilleux pays, c'est cette superficialité parfaite, cet amour pur, profond, parfait, du beau. Étonnant n'est-ce pas ? J'ai déjà remarqué ça ici, en Angleterre on s'imagine tout de suite l'Américain comme une bête énorme, sale, tellement pleine de graisse que ça en dégouline hors de ses vêtements. On dit que nous sommes pires encore que les français et leur fromage, car nous mettons le notre dans des bouteilles comme celles qui contiennent le Ketchup. Je ne vais pas vous dire que vous avez tord, ce type d'Américain existe, on pourrait appeler ça « l'Américain extrême » cependant, c'est l'existence même de cet homme, cet Américain extrême, qui permet à l'autre extrême, cet extrême d'esthétique et de force, de briller encore plus fort. Je crois que je me suis rendu compte de cette différence dès mon plus jeune âge, quand j'habitais encore non loin de Miami. Nous allions toujours à la plage avec mes parents et moi, l'enfant, je me comportais bah, comme un enfant quoi. Je construisais des châteaux. Je faisais la course avec les vagues et avec ma mère qui voulait m'asperger de potion anti coup de soleil dissimulée dans une bouteille de crème soleil. Sauf que je ne faisais pas que ça. Des fois je m'arrêtais tu vois ? Je posais ma pelle, je posais mon seau, puis j'observais autour de moi tout ce que je pouvais observer. Je les voyais, tous. Ils étaient différents, tous. Ils s'ignoraient, tous. Je voyais les jeunes hommes et femmes fiers de ce qu'ils avaient fait d'eux-même. Ils étaient solides. Ils étaient beaux. Ils riaient et marchaient comme si le monde leur appartenait. À côté d'eux, il y avait les autres. L'Américain moyen qui se contentait d'être moyen. On voyait l'envie de vivre une vie tranquille dans leurs yeux. La peur de perdre leur place à la plage s'ils s'éloignaient pour aller uriner. L'envie de ne pas se faire remarquer. En fait, ils n'avaient pas l'air très vivant. Ils avaient l'air de juste survivre, ils n'attrapent pas la vie à bras le corps ces gens là tu vois ? Ils se contentent de la regarder de loin, comme s'ils étaient dans un train qui les amenait simplement là où ils devaient être. Et puis il y avait les autres, ceux qui sont très gros ou très moches, les extrêmes quoi, mais peu importe le groupe auquel une personne appartient, il y aura toujours cette culture du beau, cette envie plastique de voir de belles choses. Les affiches. Les publicités. Les gens sur la plage. Tout ça je l'ai vu dès que j'étais enfant. J'ai compris qu'on avait qu'un seul corps et qu'il fallait en prendre soin, qu'on serait remercié si on le faisait. Mais on ne parlait pas de ça à la base, non, on parlait de mon enfance. Il faut que je parle de mes parents. Qui peut avoir une enfance sans parents ? Même si on les connaît pas, ils existent, ou bien ils ont existé. Moi par la grâce du destin je connais les miens et ce sont des gens formidables. Ma mère, elle est empathe. Elle aime les gens, mais en même temps elle ne les aime pas. Elle dit qu'il y a beaucoup de beau à l'intérieur d'eux, mais qu'en même temps il y a des tâches tellement mauvaises que ça la blesse. Ma mère, elle brille plus fort que le soleil de Floride. Elle est jamais vraiment là, mais elle est jamais vraiment ailleurs non plus. Ma mère c'est tout le côté dans le vent dans années soixante-dix. C'est un esprit. C'est elle qui m'a fait comprendre que je suis en vie et que c'est important de le savoir. C'est le côté Cote Ouest qui manque à la Cote Est. Mon père... mon père c'est une grande gueule. Mon père il a peur de rien. Mon père il bousillait sa guitare et chantait des chansons contre la société américaine quand il ne servait pas des balades rock à faire pleurer les Américaines et autres sorcières anglophones du monde. Mon père ne souffle jamais et porte des blousons en cuir de dragon parce que ça fait mauvais genre. Je ne sais pas comment ils se sont rencontrés, ni comment ils se sont plus. Ils ne s'en souviennent pas, mon père prétend qu'ils devaient être drogués à une manifestation. En tout cas ils ont bien fini par le faire, puis je suis né et j'ai vécu l'enfance la plus complète possible, entouré de sorciers et de moldus, de soleil et de chaleur. Puis mon père a voulu retourner près de sa mère, dans l'ancien monde. Oui, ici même ! En Angleterre. Enfin, désormais ils sont rentrés en Amérique, les veinards ! ❝ Et ensuite ? Comment s'est déroulé votre jeunesse en Angleterre ? ❞1984 - 1992 ; Londres L’Angleterre pour moi c'était la ruine. Oui, je suis désolé de te dire ça comme ça, j'imagine que t'es quelqu'un de local, enfin, bien anglais quoi (ou bien des environs, même bail) mais en tout pour moi ici à l'époque c'était la tristesse ! Où est mon soleil ? Et l'eau chaude de l'océan ? Où sont passées les plages de sable fin et les sourires joyeux des gens qui se baignent ? Les bâtiments sont vieux et humides, les rues sont sombres, les gens ont des visages sombres, des expressions qui me faisaient pleurer quand je suis arrivé. Je suis pas d'ici moi. L'accent anglais m'irrite. En plus, en 1984, quand tu as dix ans, il n'y a rien à faire en Angleterre ! Heureusement, il y avait Poudlard l'année suivante. Ha ha ! Poudlard, je crois que sincèrement, c'est la meilleure chose que les anglais aie inventé. En plus c'est même pas en Angleterre, c'est en Écosse ! Tiens, au passage, tu savais que ma baguette est Américaine ? Oui, on a fait tout le chemin jusqu'à San Francisco, chez un artisan baguettiste réputé de la côte ouest, pour me trouver une baguette. En plus elle est blanche, elle est un peu unique (la culture du beau, encore une fois tu vois?) Enfin bref. Poudlard. Poudlard c'était un peu la renaissance pour moi. Le Choixpeau, je lui ai jamais parlé. Il a presque pas touché ma tête, il a tout de suite hurlé GRYFFONDOR ! Et moi je suis allé m'asseoir à la table qui m'applaudissait. Après ça les cours, les gens, les professeurs... Les professeurs ! C'est clair qu'on avait pas ça en Floride. Prenons la directrice des Gryffondors par exemple. McGonagall. Paix à son âme, cette femme était formidable, mais absolument terrifiante. Je n'ai pas vu ce qu'elle est devenue, mais j'en ai entendu parlé. En tout cas quand j'étais à Poudlard, c'était terrifiant. Toujours si stricte, si pincée. On en fait pas des comme ça du côté de Miami, tu peux me croire. Du coup je l'adorais. Je t'assure, il y avait un truc entre nous, je le sentais dans l'air. Enfin je suis pas sûr qu'elle le sentait bien, mais en tout cas je l'appréciais. En Angleterre, il n'y a pas de culture du beau, c'est certain, par contre c'est fou ce que le Quidditch obsède les gens par ici. Dès leur plus jeune âge en plus, à Poudlard c'était vraiment la folie. En Amérique on sait que le Quidditch existe, mais personnellement je préfère le surf tu vois ? Alors qu'ici les gamins se battent pour faire parti de l'équipe, ils essayent de saboter les joueurs adverses et ne loupent pas un seul match de la coupe de Poudlard ! Je comprenais ça aussi. Le Quidditch, j'aimais pas trop. C'est un sport, mais c'est pas un sport libre. Mais j'étais à Poudlard quand Charlie Weasley y était encore et lui, on pourra dire tout ce qu'on veut, c'est vraiment un poète du balais. Il vole comme pas deux. Ça n'empêche pas que le plus beau dans les matchs, c'est le public. T'as pas vécu tant que tu t'es pas tenu dans une foule de supporters de Quidditch. Là c'est de la vraie communion. Là j'ai presque l'impression qu'ils sont tous vraiment vivant. Le Quiddtich, c'est le réveil de l'Angleterre, même McGonagall perdait son air pincé quand elle suivait un match tendu. Moi j'étais là et j'observais, j'étais tranquille, j'étais entouré de vie. C'était beau, sincèrement. Mais voilà vous savez, Poudlard ça ne dure que sept ans. Sept ans pendant lesquels on se fait des amis, des ennemis, des contacts et pendant lesquels on apprend à vivre magique avec son prochain. Poudlard c'est l'école de la vie. ❝ Et qu'est-ce qui vous a décidé pour votre avenir professionnel ? ❞1992 - Poudlard Quand tu entres en dernière année à Poudlard, on te demande ce que tu veux devenir, qui tu as envie d'être. Moi j'avais juste envie d'être moi. L'Amérique me manquait cruellement, mais j'avais fait ma vie ici, malgré moi et surtout, j'avais l'impression que personne n'avait besoin de moi là-bas, en Floride. Ce que je veux dire par là c'est que tout va bien pour eux, les Américains vont bien, ils profitent du soleil, ils bronzent, ils se demandent quand va sortir le prochain bon album de Green Day... Comment ? Ah, c'est un groupe de punk rock moldu, des Américains. Ils ont rien sortis de bon depuis Dookie. Ou presque. Enfin bref, ils ne se soucient de rien. Ici il y avait comme un quelque chose qui me retenait. L'Angleterre manque de. Hm disons que je n'aimais pas cette histoire d'auror. Les chasseurs de mages noirs oui effectivement, dans la théorie c'est bien beau, mais combien de temps ça fait qu'on en a pas vu, des mages noirs, en Angleterre ? Après Vous-Savez-Qui, ça courait pas trop les rues. Je n'aimais pas cette façon de voir trop catégorique, sans nuance, comme si le seul choix que tu avais c'était entre être un gentil petit sorcier normal ou bien un terrible monstre qui tue des enfants et zigouille des moldus pour le plaisir, mais non ! Moi on m'a appris que tout est une question de nuance. Les monstres existent, en effet. Tout comme les Texans qui sont pour l'abolition des armes à feu. Ah désolé, encore un truc d'américain moldu. Bref en tout cas l'important c'est que moi aussi, à la fin de Poudlard, je voulais chasser les vilains mage noir. Oui oui. Mais pas n'importe lesquels. Je voulais chasser les mages noirs qui sommeillent en chacun d'entre nous. Je veux protéger le sorcier moyen de son confrère, l'autre sorcier moyen. Je veux lutter contre les crimes et les délits qui se produisent sans avoir besoin de sortir le grand jeu, les tatouages, les Maîtres et tout le bazar. C'est pour ça que je suis entré en apprentissage à la BPM. C'est pour ça que je les ai intégré. Vois-tu je crois qu'on tous une graine de sorcier noir au fond de nous, tous. Même toi. Même moi. Même ceux que l'on croit bien trop enfoncés dans la lumière pour devenir mauvais. Certains l'ignorent, d'autres ne savent pas qu'elle existe, mais moi je peux pas faire ça, je peux pas l'ignorer alors qu'elle est là, au fond de moi, comme ces tâches que ma mère voit chez les gens. Alors moi je l'entretiens, je la caresse, mais je ne lui donne jamais l'occasion d'éclore dans mon dos. Je la surveille tu vois ? Je serais pas un mage noir, mais c'est aussi parce que cette plante là, elle ne peut pas pousser sous le soleil de Floride et ce soleil je le porte en moi tous les jours, même si je suis si loin de ses plages et des amis que j'ai laissé là-bas. ❝ Et les événements récents, qu'en pensez-vous ? ❞1996 - 2002 ; Londres Aujourd'hui... aujourd'hui le monde a bien changé. Ça fait déjà deux ans que je n'ai pas revu l'Amérique. J'ai déjà transplané sur la côte anglaise pour observer l'horizon. Bien sûr, on ne voit que les vagues, mais je sais que là-bas, de l'autre côté, il y a de la terre à nouveau, il y a de la lumière. Il y a un pays chaud où le soleil ne cesse jamais de briller, pas comme ici où parfois je suis simplement surpris de le voir ha ha. Ce que je pense du Magister n'a aucune importance pour le moment, je continue de faire mon boulot, j'essaye de protéger les citoyens innocents, comme le jour où ces pauvres rebuts ont bien failli tous y passer. Il y a eu de la casse avec les insurgés, mais ceux dans notre camp n'ont pas non plus été très réglo sur certains points. Maintenant tant que je suis payé je suis content. Il faut bien vivre eh ! Ça devient compliqué ses derniers temps, il faut se serrer la ceinture avec tout le bazar que c'est dans ce pays. Mais c'est aussi pour ça que je suis là ! Aider à ranger, faire le ménage, protéger autrui contre les menaces qui attentent directement à leur vie. Il y a eu des choses moches du côté des Mangemorts, c'est vrai, mais il y en a eu tout autant du côté des insurgés. C'est la guerre, l'ami ! Pas une promenade de santé. La guerre c'est moche, c'est certain, mais d'un autre côté, la guerre ça permet aussi de voir qui sont les vraies bonnes âmes de qui sont les fausses. Ma voisine d'à côté c'est une vrai bonne âme, je l'ai vu donner une partie de ses rations à des gens qui en avaient plus besoin qu'elle. Par contre le type qui habite sur le chemin de mon boulot, lui c'est vraiment un sale type. Il a fallu que j'intervienne alors qu'il était en train de battre un pauvre gosse qui avait voulu lui voler quelque mornilles. N'importe quoi. Heureusement que le côté moldu est moins affecté que ça. Ces gens-là, ils savent rien, ou presque. Ils sont dans leur bienheureuse ignorance. J'habite dans un quartier de Londres moldu, tu savais ? C'est toujours bon d'être entouré de gens qui n'ont aucune idée d'à quel point on est spéciaux. Certains les disent stupides, beaucoup les traitent de sous race, mais je pense que le mot « ignorant » suffit. Ils ne savent rien. Ils sont juste là, à côté de nous et pourtant ils ne nous voient pas et nous ne les fréquentons pas. Il n'y a pas de mur entre moi et mon voisin de droite quand je lui parle le matin devant la porte, pourtant il existe tout de même cette chose entre lui et moi qui fait qu'on ne sera jamais pareil. C'est beau. Et puis c'est pas un sorcier qui aurait inventé la télé en couleur, c'est une merveille. Tu as déjà regardé Charmed ? Sincèrement, la saison cinq viens d'être lancée et... ah oui, pardon. ❝ Je pense que j'ai tout ce qu'il me faut, merci de m'avoir aidé pour ce devoir. ❞2003 - Londres On a fini de parler de moi ? Parfait, je suis ravi d'avoir pu t'aider pour ton devoir l'ami, c'est quand tu veux ! Je te sens un peu gêné, oublie pas que je suis à moitié empathe moi aussi haha ! Si tu as besoin de conseil sur comment te comporter avec les autres ou comment te détendre, n'hésite pas à me demander, je serais ravi de t'aider. Oh, et super ta plume, elle est superbe. Bon je dois vraiment y aller maintenant, le marché de noël vient d'ouvrir et j'ai bien envie de tester cette patinoire ! Eh oui, il y en avait pas des comme ça en Floride ! Bonne après-midi ! ❝ I was running far away, would I run off the world someday ? ❞2003 - Londres Ce brave gosse qui était venu m'interviewer, je ne l'ai plus jamais revu ensuite. Les choses se sont accélérées très rapidement, trop rapidement peut-être. Le soleil de ma Floride adorée me semble alors de plus en plus lointain, le bruit des vagues de chez moi n'est plus qu'un souvenir indistinct et merveilleux qui hante mon esprit comme une chanson dont on a oublié les paroles, mais dont l'air reste imprimé dans la mémoire. J'ai fui le Ministère. J'ai fui cette surveillance immorale. J'ai fui cette société qui trouve normal d'asservir des innocents pour leur prendre jusqu'à leur vie, uniquement pour le bon plaisir, l'amusement, la science de ceux dont le sang est soi-disant pur. Pourtant je n'ai pas pu me résoudre à fuir l'Angleterre, je n'ai pas pu me résoudre à déserter toutes ces bonnes gens que j'avais passé tant d'années à surveiller, à protéger et à outrer par mes comportements désinvoltes. Je me suis donc simplement évaporé, n'emportant que mon ukulélé, refusant d'être associé aux mangemorts, mais refusant également de rejoindre ceux qui m'avaient fait tomber un hôpital sur la tête. Je suis d'accord pour lutter, mais pas tuer aveuglément. Je serait leur protecteur de l'ombre, leur Batman, le Zoro des temps modernes, mais je ne serais pas un assassin. Jamais.
Dernière édition par Jessie J. Jenner le Jeu 25 Aoû 2016 - 12:06, édité 2 fois |
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| Tu sais ce que j'en pense hein |
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| Tout à fait (bonne année au passage haha) |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Reaghan Phillips | Alors ça, c'était de la fiche vite terminée en tout cas rebienvenuuue, on s'occupe de toi très bientôt j'espère que tu vas bien t'amuser avec ce nouveau personnage |
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HERO • we saved the world 'Kid' T. O'Faoláin ‹ disponibilité : dispo as fuck
‹ inscription : 04/09/2015
‹ messages : 2131
‹ crédits : shiranui
‹ dialogues : 'firebrick' / #B22222
‹ âge : 25
‹ occupation : chasseur de prime, ancien rafleur du gouvernement devenu insurgé contre son gré et aujourd'hui occupé à traquer des criminels de guerre.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : est en aubépine et contient un cheveu de vélane.
‹ gallions (ʛ) : 5949
‹ réputation : j'étais un chien fou dont il fallait se méfier mais que j'ai trouvé ma place, trouvé des gens avec qui travailler, avec qui être utile.
‹ particularité : particulièrement doué pour m'attirer des ennuis.
‹ faits : je suis sarcastique et insolent, que je démarre au quart de tour, que j'ai tendance à utiliser mes poings plutôt que ma baguette... mais il faut aussi savoir que je suis extrêmement loyal et qu'en dépit de ma tête brûlée, je ne laisse personne derrière.
‹ résidence : Après l'asile des aliénés, la planque des terroristes belliqueux et Poudlard, je suis de retour dans un appartement pas très reluisant du chemin de Traverse que j'occupe avec ma petit soeur Darcy, Blaise & Wendy.
‹ patronus : un rottweiler
‹ épouvantard : un fantôme.
‹ risèd : quelqu'un qui râle d'avoir été réveillée, perdue dans les draps défaits d'un lit baigné de soleil, un dimanche matin. Quelqu'un qui râle parce que "merde, pourquoi tu dois bosser le dimanche ? Putain ils se pensent tout permis ces aurors".
| REBIENVENUE ; tu commences à bien connaître la maison mais en cas de souci, tu sais où nous trouver hein have fun avec ce TC en tout cas |
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| Reaghan : Moh, vous commencez à me connaître maintenant, je suis le Lucky Luke des fiches et merci beaucoup, je compte bien m'amuser avec Kid : Merci à toi aussi ! Oui ça va, je suis assez installé, je pose les pieds sur la table basse à la fin de la journée, au calme Et t'inquiète, je viendrais te harceler si j'ai un problème |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Reaghan Phillips | Show must go on congrats, you made it mate ! |
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| | | | | Jessie Jenner ~ Oh simple thing where have you gone? | |
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