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sujet; it's all fire and brimstone baby, i got my brand new pistol baby - marcatrix

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Jouer. Tu le faisais sans même t'en rendre compte. Mordant et griffant comme si ce n'était que des caresses, de effleurements comme le manche glissant langoureusement sur les cordes d'un violon. Tu le menaces de partir, de lui filer entre les doigts, de le laisser perdre plus que la partie, la guerre. Toi aussi tu lui laisses une dernière chance, un dernier choix. Un dernier regard se posant sur lui, brûlant d'une flamme qui hurle pour qu'on ne souffle pas dessus. Marcus est beau, Marcus est fier. Tu sais que tu portera atteinte à sa fierté un jour ou l'autre c'est inévitable. Par ta nature, ce besoin que tu as de charmer, d'être aimée, adorée. La faim se calme, mais ton besoin de voir les yeux brillants se posant sur toi n'es jamais rassasié. Qu'on te traite de fille de petite vertue, elle est intacte malgré tous les baisers que tu as pu proférer comme si tu les vendais. Même si tu sembles jouer ta vie, les fiançailles ont bien trop peu de sens pour toi. Tu en a vu défilés bien avant qu'on en envisage pour toi. Les fiancés ça meurt, ça s'empoisonne, les maris aussi, d'ailleurs. « Je préfère. Seulement si tu continues de jouer avec moi. Je ne supporte pas ça. Je pensais que tu l’avais compris. » Te sermonne-t-il alors que tu lui sers ta petite moue triste. Tu jouera toujours avec lui, même lorsqu'il ne s'en rendra pas compte. Tu ne peux pas t'arrêter, c'est ta drogue à toi, cette mélodie qui court dans tes veines, frénétique et que personne ne peux arrêter. Tu jouera à l'aimer. Tu jouera à te plier, à le faire plier, à être très gentille ou très méchante. À être celle qui élève les femmes plus haut que les hommes, même s'il faut en torturer quelques unes. « Mais si tu consens à rester tranquille, ma maison est la tienne. » Dit-il finalement, imposant d'autre conditions floues qui lui laisse le droit de t'étrangler comme bon lui semble. Être tranquille. Être une belle chose qui brille dans sa maison, c'est ce qu'on te demande. En plus de t'enlever tout plaisir, te retirer le droit de charmer, tu deviendra fade et triste, blanche comme ses statues, ses femmes-objets qu'on élève aux rangs de saintes. Tu ne veux pas être un joli tapis ni même un récamier en or. Tu veux être la reine du foyer, celle qui les renversera tous, parce que les hommes sont faibles. Matriarcat. Matriarcat. Tu t'es arrêtée, ton dos retrouvant de nouveau le mur derrière toi, ton regard doux fixé sur lui. Ton regard de reine. Ton regard qui hésite pourtant. Marcus, qu'as-t-il donc à t'offrir sinon son nom, son toit et son argent. Des promesses, tu veux des promesses, tu veux de la passion, de la déraison de sa part, une couronne sur ta tête, une putain de couronne pour l'avoir détruit. « Je ne te ferai rien. Si c’est ça que tu crains. Je te le redis tu seras une Flint. Avec tout le respect et la considération que ça engendre. » Promets-il, tandis que tu souris doucement. Il peut mentir, il peut de noyer dans des illusions, mais toi tu peux l'empoisonner, le maudire dans cette guerre où personne ne s'en sortira vivant. Tes yeux détaillent son visage, cette mâchoire serrée, celle qui promet de détruire le monde, comme ça, sans faire trop attention, sans faire exprès. Le pouvoir qui sommeil au coin de ses lèvres, celui que tu veux faire tiens alors que ton armée battras les tambours derrière toi. Tu le regardes à jusqu'à le trouver sincèrement beau, ton fiancé. Éclairé par les lumières dansantes qui vous entourent. Pourtant il reste un détail qui te déplaît autant que ton propre nom. Flint. Beatrix Flint. Penelope Flint. Rien n'y fait, ça ne te sied pas au teint. Son nom, comme celui de ton père, tu ne le veux pas. Tu voudrais être comme ta mère, sans famille, sans nom. Créature libre de toute puissance masculine écrasant son dos. À votre mariage, tu prendra son nom, tout comme vos enfants. Tu voudrais être une Bulstrode, celle qui écrasent et mordent sans travers. Tu ne peux pourtant pas lui en parler sans déclarer ta mort éminente ce soir. Tu ne veux pourtant pas te soumettre. Tu refuses, mais tu refusera en temps et lieu.

« C'est d'accord. » Souffles-tu dans un sourire tendre, tout sauf moqueur ou manipulateur. Un sourire tendre, de fin de bataille, de début de guerre. Comme si une bague apparaissait à ton doigt, laissant tout le reste pourtant inchangé. Inchangé jusqu'à ce qu'il le découvre, jusqu'à ce qu'il ait le pouvoir de vie ou de mort sur toi. Te brûlant comme les sorcières d'autrefois alors que tu dévorerais son feu. « J'accepte d'être ta fiancée. » Sa fiancé en tes termes à toi, pas en leurs termes de cette langue qu'ils disaient maternelle, qui n'avait pourtant rien de cette mère qu'on écrasait. La langue où la masculin gagne toute les guerres par sa seule existence, malgré le millier de femmes. Ils avançaient, cette armée de deux milles femme et cette homme fermant la marche, cet enfant fermant la marche. Cet enfant innocent qui les changeaient d'elles en ils. Tu ne serais pas sienne, tu serais tienne. Fiancée en part égale à lui. Égale. Voir même plus forte.

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« C'est d'accord. » L’entente est enfin approuvée. Il ne manque plus que ma parole. Pour sceller ce mariage. Et nous condamner dans un engagement. Que ni elle ni moi ne désirons réellement. Ma colère refroidit. Elle se repose. Sous le charme de la victoire. Mais je veux l’entendre. De ses lèvres satinées. Les mots exacts. Je veux les entendre. Je me rapproche de cette poupée. Encore une fois. Sûrement insatiable. De sa proximité. Elle est contre le mur. M’invitant presque à la rendre prisonnière à nouveau. Mes paumes retrouvent le contact froid de la cloison. Encadrant ses frêles épaules. Mes prunelles captent les siennes. D’un azur dérangeant. Beaucoup trop envoutant. D’un céleste invitant à s’y perdre. Pour mieux contrôler. Et gagner l’avantage. Je ne veux pas y succomber. Mais c’est la seule supériorité. Que Beatrix peut exercer sur moi. N’étant qu’un homme. Perverti et aguiché. Le genre chaud lapin. Qui file comme un lièvre. « Quoi donc ? » Un sourire. Malsain. Pernicieux. Il se dessine sur mon visage d’adolescent. Qui s’imagine être le plus puissant. A tort. Ou à juste titre. Je suis trop aveuglé par ma bulle. Pour le comprendre. Egoïste et orgueilleux à souhait. Je veux qu’elle le dise. Qu’elle me le promette. Mot pour mot. Que l’accord complet s’échappe de sa bouche d’hybride. De poupée à casser. Je veux écouter sa voix qui se veut mélodieuse. Céder à mon autorité. Bordel. Je veux l’entendre. Qu’elle le dise. Qu’elle me l’avoue. En un murmure. En un hurlement. Peu importe. Qu’elle crache enfin. « J'accepte d'être ta fiancée. » Mon palpitant cri victoire. Il s’enflamme. Plus dans une fureur dangereuse. Dans cette tempête destructrice. Mais dans un doux triomphe. Piquant et séduisant. De ceux qui gonfle cet égo. Déjà  bien important. Mes doigts attrapent la mâchoire de la princesse. A moitié conquise. La pression n’est pas forte. Elle ne se veut pas autoritaire. Mais essaye d’installer un peu de normalité. Dans ce bordel sans nom. Comme si cette relation pouvait s’uniformiser. Et devenir ordinaire. « Il était temps. » Mes lèvres récupèrent les siennes. Et viennent réveiller l’ivresse. D’un joyeux drille. Exalté. Quémandeur de félicité. Mes mains glissent derrière sa nuque. S’enfouissent dans sa crinière dorée. Pour décoller a silhouette séduisante du mur. L’attirer à moi. Et effacer les derniers centimètres qui nous séparent. Qui dissocient nos deux corps. De gamins manipulateurs. Jouant au plus fort. Elle promet d’être mienne. Mais insatisfait, je désire plus. Encore et toujours plus. Je la veux soumise. A moi. Uniquement. Captive dévouée. Entièrement. Je veux la posséder. Entièrement. L’avoir. La détenir. Tel un être possessif affamé. Cet accord verbal est insuffisant. Presque insignifiant. Il me faut des gestes. Un acte. N’importe quoi. Ayant plus de valeur. Pour renforcer ses mots. Cette alliance. Qui finira par nous enchaîner. L’un à l’autre. Elle doit me prouver. Qu’elle accepte réellement. Il me faut une confirmation. Elle doit me le démontrer. Elle le doit. Elle le doit.

La fougue se mêle. Et transforme notre baiser en une passion. Brulante. Délicatement incendiée. Je veux plus. Plus. L’envie s’empare. Et contrôle mes gestes. Je deviens le pantin d’une excitation. Masculine. Virile. La marionnette d’un des sept péchés capitaux. Mes phalanges descendent sur ses épaules. Font plonger l’étoffe qui les recouvre. Je n’en peux plus. Je ne tiens plus. Je veux plus. Je la repousse contre le mur. Elle ne doit pas m’échapper. Elle ne doit plus le faire. Mes paumes caressent la soie de ses cuisses. Se glissent en dessous de sa robe. Qui est de trop. Et remontent. Dangereusement. Jusqu’à sa croupe. Je la veux. Entièrement. Qu’elle soit mienne. Que ses paroles se transforment en acte.
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C'est d'accord, faible petite fille. Un autre que tu laisses gagner, tu les laisses toujours gagné, tu les berces d'illusion, tu remets ta propre victoire à plus tard. Il s'était rapproché de toi, posant tes bras de chaque côtés de ton corps, te menaçant du sien. Te narguant. Désobéis-moi encore pour que je te montres comment je te briserais contre ce mur. Il n'as pas eut ses mots exacts qu'il voulait et il les veut. Il ne se contente pas de ton accord, il veut plus, affamé, insatiable, d'avantage encore que tu ne te l'imagines. Pauvre petite fille.  « Quoi donc ? » Il veut que tu le dises, en mots, pour former cette horreur qui ne se brisera plus. Tu sera à lui, sa chose, sa possession, son joli piano. Tu sera comme sa rebut, celle qui dort dans son lit, qui lui fait la bouffe, qui lui masses le dos. Il sourit, s'amuses déjà de te voir accepter son esclavage en même temps que son nom. Tu te marches dessus. Tu lui donnes, ses mots qu'il veut. Ça ne le calme pas, ça ne le réjouit pas vraiment non plus. Ça craque l’allumette de son cocktail molothov. Tu le regardes brûler, même si tu ne comprend pas encore. Il attrape ta mâchoire, la faisant sienne, même si en fait, elle l'est déjà. Tu obtempères, te pendant au bout de ses doigts, le souffle timide. « Il était temps. » Se plaint-t-il, capturant tes lèvres avant que tu ne puisses dire quoi que ce soit. Vaut mieux comme ça, Tu répond à son baiser, l'embrassant de toute ton innocence, tentant de ne pas réveiller la bête en lui, celle à qui tu ne pourrais pas dire non sans risquer plus que ce que tu ne peux te permettre. Tu t'es vendue à lui désormais, même si ne te possèdes pas encore. Tu n'es qu'à un autre ''oui'' d'être totalement et entièrement sienne. Ses mains te retrouvent, récupèrent leur bien, allant sur ta nuque, dans tes cheveux. Tu te colles contre lui, tes mains retrouvant doucement son dos puissant, sans pour autant te faire entreprenante. Tu es sage, très sage. Tu veux qu'il comprenne comment tu es innocente, comment tu ne cherches plus à le charmer ni à le soumettre. Le le laisse te serrer à lui, sans pour autant en faire de même. Il ne se calme pas pour autant. Au contraire, te voir aussi soumise, ça l'enflamme encore d'avantage, ajoutant de l’essence à l'incendie. Idiote petite fille. Il t'embrasse avec un passion que te consumes aussi, fait rosir tes joues alors que tu comprends ses intentions, que tu tente de les ignorer. Tu nie le fou qui noue ton estomac de peur. Tu crains de ne pas pouvoir lui dire non, de ne pas être en droit de le faire. Ses doigts retrouvent tes épaules qu'il dénude, tu nie, tu nie tout. Il ne veut que caresses tes épaules nues, il n'y a pas de mal. Il te repousses contre le mur, te coince. Tu préfères ne pas te l'expliquer, tu ne veux pas briser ton innocence qui te hurle que ce n'est rien. Tu n'es qu'une gamine, il ne peut tout de même pas t'entraîner dans ses jeux qui ne sont pas de ton âge. Ses doigts remontant sur tes cuisses, sous ta robe, sonnent l'alerte. Il vas te prendre, te prendre tout. Il vas te dévorer si tu ne fais rien. Tu ne peux pourtant pas le repousser comme n'importe quel homme, il n'est plus n'importe quel homme. Tes mains le relâchent doucement. Tes lèvres se séparant des siennes de quelques centimètres seulement, ton visage se tournant sur le côté. Ta voix le supplie de se calmer un peu, tenter de voler de l'oxygène à ce feu de forêt qui dévore tout.

« Marcus... » Commences-tu dans un souffle tendre, tes yeux doux retrouvant les siens. Tu cherches le moyen de lui être soumise, de l'implorer de te laisser les droits sur ce qu'il ne possède pas, pas encore. « Pas avant le mariage... S'il te plaît... » Lui quémande tu comme une mendiante alors qu'on tente de lui retirer ce petit bout de pain qu'elle à su se garder. C'est ce qu'il te reste à toi, ce que tu ne veux pas lui donner, pas tout de suite. Parce qu'il pourrait très bien te laisser une fois qu'il aura tout prit de toi, que tu ne vaudra plus rien, comme ta soeur qu'il a déjà eut, surement. Tu t'en doutes, du moins. « Laisses-moi être pure encore, je porterais tes enfants bien assez rapidement... Je t'en pris, Marcus... » Une autre supplication le rendant tout puissant, jouant à son jeu que tu joue bien. Tu joue ton rôle, tu ne sort pas de tes retranchements. S'il te refuses ta virginité, il te la refuses. Te laisseras-tu vraiment faire ? Peux-tu jouer ce jeux jusqu'au bout. Ton coeur s'emballe. Peut-être que tu as accepté tout trop rapidement. Tes yeux l'implorent de toute ton âme brisée. Et lui, peut-il réellement te refuser la seule chose que tu lui demandes, avec tout ce respect qu'il te promet de te porter. Tu ne veux pas défier son autorité, tu implores sa clémence dans toute sa suprématie, n'est-il pas repu ?
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Elle s’échappe. Elle fuit. Elle supplie. Elle énerve le dictateur qui sommeille. Qui ne sait jamais vraiment apaisé. Avec elle. Beatrix le cherche. Le trouve. Elle n’a pas l’air de se décourager. De s’épuiser. Elle continue. Presque sans interruption. Poupée sadique. Poupée masochiste. Qui laisse naître en moi, une frustration. Un agacement. Trop esquinté pour laisser la colère exploser. « Marcus... » Quoi ? Qu’a t’elle encore à dire ? Pour m’agacer et rallumer ma fureur Que peut-elle encore inventer ? Pour imposer son égalité. Imposer son pouvoir risible. Elle veut me défier. Encore. Elle ose le faire. Inlassablement. Elle insiste. Jusqu’à quand ? Pendant encore combien de temps, je vais devoir faire face à sa lâcheté ? A ses manières de reine mal éduquée. A son attitude désagréable. Sa conduite insupportable. Elle me lasse. Déjà. Elle m’ennuie. Me fatigue. Je suis las de son comportement. De princesse capricieuse. De gamine insatisfaite. Trop similaire au gosse égoïste que je suis. On est beaucoup trop semblables. Ce mariage ne fonctionnera jamais. Je ne vois pas comment. Si chacun cherche à être le plus fort. Si aucun n’accepte l’autorité. Et la supériorité de l’autre. J’ai l’impression d’avoir effectué assez d’efforts. De compromis. Je me suis laissé manipuler. Conduit là où je n’en avais aucune envie. Et elle ? Elle accepte. Mais ne cède à aucune de mes conditions. Elle n’a pas l’air de vouloir comprendre. Qu’elle n’aura pas la victoire. La plus importante dans cette relation. Elle y gagne pourtant plus que moi. C’est elle la sang-mêlé à marier. A un homme au statut plus pur que le sien. Presque à tout prix.

« Pas avant le mariage... S'il te plaît... » Elle plaisante. Bordel. Qu’elle plaisante. La frustration s’étire. Se mêlant à une incompréhension récente. Qui m’embrume. Et m’exténue. Définitivement. « Laisses-moi être pure encore, je porterais tes enfants bien assez rapidement... Je t'en pris, Marcus... » Je me baisse. M’empare de ses jambes minces. Dans un mouvement rapide. Et soulève son corps de poupée vierge. Je la bascule sur mon épaule. Telle une gamine. Une enfant. Venant de faire une bêtise. Prise dans un endroit où elle ne devrait pas être. Je redescends l’escalier en bois. Lentement. Ereinté. Je fais craquer les marches. Résonnant dans presque tout le manoir. Vide et froid. Les lames de parquet craquent. Et sont les seules à se faire entendre. Le silence à réussit à tisser sa toile. A nous faire taire. Pauvres pantins. J’arrive enfin au premier pallier. Je pénètre dans ma chambre. Et jette ce poids plume sur le lit. Ni délicatement. Ni violemment. Je la dépose sur les draps. Lui enlève ses chaussures. Avant de la rejoindre sur le matelas. Je l’attrape. Avant qu’elle ne prenne la fuite. Une dernière fois. Je l’oblige à s’allonger. A se couvrir.  Mes doigts viennent remonter son étoffe sur ses épaules. Et à poser sa tête contre mon torse. J’enroule mon bras autour de ses épaules. Quémandeur de tranquillité. « Dors. » Et ce ton autoritaire qui ne me quitte pas. Lui caressant la joue, je prends une mèche de ses cheveux dorés entre deux doigts. La  repousse en arrière. Pour dégager ce visage de porcelaine. « Dors, maintenant. La soirée a été longue. » Je m’amuse à la bercer. A nous imaginer en couple normal. A installer un calme. Avant la tempête. Qu’elle ne tardera certainement pas à provoquer. Infatigable manipulatrice.


FIN
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