attachante + naïve + loyale + rieuse + bavarde + curieuse + fouineuse + imprudente + irréfléchie + matérialiste + superficielle + fleur bleue + surprenante + généreuse + bonne + indulgente + incapable de garder un secret + patiente + dissipée + peu ambitieuse + coquette + ouverte + compatissante + active + énergique + facilement impressionnable + honnête + charmeuse + aimable + vive + adore les rumeurs et les potins + gentille + excessive

Le Choixpeau a eu quelques difficultés à la répartir, avant de la mettre, peut-être par dépit (et après une certaine hésitation avec Serpentard), à Poufsouffle. Elle y a mené une scolarité heureuse et a été aimée de ses professeurs, se révélant être une élève charmante, rieuse et patiente, bien que dissipée. Ses notes ont toujours été moyennes, voire mauvaises dans certaines matières, mais peu importe à ses yeux. • Elle a toujours adoré la Divination et était en pâmoison devant l'enseignante; encore aujourd'hui, elle va régulièrement consulter une voyante, à laquelle elle exige un fiancé. • L'Étude des moldus lui a ouvert les yeux sur la vie rudimentaire de ces pauvres êtres non évolués, sur le cauchemar quotidien que ces personnes ont à vivre. • On pourrait dire qu’elle fume, mais ce n’est pas tout à fait vrai. Elle se contente de s’allumer une cigarette, pour en tirer deux bouffées et ensuite l’écraser au sol, ou dans un cendrier, sans y réfléchir. La balancer dans une flaque d’eau, dans un verre, à la figure de quelqu’un dans un geste théâtral. Au final, Eris n’a sans doute même pas fumé l’équivalent d’un paquet complet de cigarettes depuis sa majorité. • Belle idiote, autant de l’un que de l’autre, ses priorités sont très éloignées de la guerre et de ses aléas. Elle aime danser, rire, faire les magasins, cancaner avec ses amies et minauder auprès des clients de la boutique, qui ne résistent pas à son minois enjôleur (même si elle est loin d’être capable d’arnaquer lesdits clients – trop bête pour cela). • Le célibat est un état de fait convenable à ses yeux, mais elle a plus que hâte d’être fiancée et mariée, pour pouvoir vivre des aventures dramatiques. Parce que la Burke a pour lecture préférée les romans à l’Amortencia, elle s’imagine tour à tour vivre une romance torride avec un homme marié (elle a d’ailleurs toujours quelques idées de prétendants en tête), ou tromper son époux avec un mystérieux étranger, ou toute autre chose du même acabit. Il ne faut donc pas s’étonner de la voir tourner autour des sorciers portant alliance au doigt, par tentative de provoquer son futur. • Elle reste assez chaste, en ce qui concerne les jeux de l'amour, attachée qu'elle est au cérémonial et à l'idéal qu'elle s'est construit. Pas réellement de conquêtes pour elle, donc, que des flirts, à peine un petit copain, une fois, qui n'a pas tenu la route. • Eris prétend toujours savoir cuisiner, alors que la vérité est toute autre. Elle ne sait faire qu’une seule chose, en cuisine, et ce sont les mojitos, ce qui lui semble bien assez pour survivre en société. De fait, ils sont excellents et elle a le chic pour inventer quelques sortilèges de son crû pour pouvoir réaliser les autres cocktails. Pleine de ressources. • Comment elle fait pour rester aussi mince en buvant autant et en ayant comme seul sport faire les magasins est d'ailleurs un mystère irrésolu. • La jeune femme est incapable de tenir sa langue, de garder un secret, mais ce n’est pas par méchanceté, ni malveillance. Les mots dépassent sa pensée, tout simplement. • Follement curieuse, elle est prête à bien des choses pour découvrir ce que vous cachez, du chantage aux menaces, en passant par la tentative d’infraction de domicile. Un accent Serpentard, dans son caractère. • C’est une piètre sorcière, dans le sens où elle se contente de maîtriser des sortilèges de base, sans s’intéresser aux plus complexes. Elle n’a seulement pas d'ambition magique réelle. • Passion chiffons, Eris s’habille à la dernière mode sorcière et peut même se vanter d’être des instigatrices des courants vestimentaires dans l’élite. Elle est cela dit toujours parée de talons hauts (et plus ils sont hauts, plus elle les aime), de sa longue chevelure de sirène et bien habituellement de décolletés plongeants, ou de vêtements vaporeux et transparents. Son absence flagrante de poitrine conséquente doit bien avoir quelques avantages. • La mémoire comme une passoire pour bien des choses, elle se rappelle pourtant de tous les potins et a une connaissance des rumeurs mondaines à laisser coi. Chez Barjow & Burke, elle sert également de mémoire quand c'est le moment de se rappeler à qui a appartenu tel ou tel objet. • Elle a beaucoup de cœur et est une personne généreuse, très indulgente et ouverte aux autres, malgré une éducation élitiste. • On dit souvent qu'elle n'est pas une véritable Burke, ce qui la blesse quelque peu : elle n'a pas toutes les forces de sa famille, certes, mais elle n'en est pas moins une Burke. • Elle est allée au États-Unis, pour les fiançailles de Nyssandra, et son désir de voyager lui vient de là, ainsi que, suppose-t-on, sa fascination pour les accents étrangers. • A la dent sucrée, ses chocolats préférés sont les blancs. • Ne sachant pas cuisiner, elle commande toujours ses repas chez le meilleur traiteur de Londres. • pas d'elfe de maison à sa disposition : elle a engagé une femme de ménage qui vient à tous les jours faire tout ce qu'Eris ne fait pas, soit à peu près tout, de la lessive au ménage, jusqu'au ravitaillement en alcool, le tout pas assez payé. • C'est une lève-tôt et une couche-tard. • Elle ne boit pas de café et rarement du thé : la caféine la rend encore plus intenable et a tendance à la rendre irritable, en plus d'irritante. • Elle est abonnée à un nombre considérable de journaux et de magazines, qu'elle lit religieusement tous les matins, pour se tenir au courant des nouvelles et des nouveautés (même si cela lui passe bien au-dessus de la tête, finalement). • Elle commence toujours sa lecture desdits magazines et journaux par l'horoscope. • Seul gestion d'affection de la part de son frère Seth : il lui procure à l'étranger ses cigarettes préférées, des Shalimar au goût doux et parfumé. • Elle tente de caser ses frères avec toutes ses amies, avec une insistance tranquille et régulière. • Elle ne parle pas d'autre langue que l'anglais, mais connaît plusieurs termes étrangers quand il est temps de parler de mode. • Son père lui a offert une paire de Miroir Double-Sens à pied, pour ses vingt ans, suite à un long harcèlement; la deuxième moitié de la paire a été offerte à Nyssandra, avec qui elle pouvait communiquer alors qu'elle était aux États-Unis et qu'elle ne manque pas de rejoindre tous les matins (évidemment, les miroirs sont placé dans leur dressing respectif). • La vérité derrière son aversion de la lavande, qu'elle parle comme d'une fleur puante et kitsch, démodée, est qu'elle y est allergique (particulièrement à l'essence, mais autant étendre à tout - elle évite même d'en porter la couleur). • Eris connaît le contenu de la boutique familiale aussi bien que ceux qui y travaillent et elle a appris à manipuler les objets maudits et ensorcelés, à force d'observer son père et de supplier son frère Martis de lui enseigner. Son enseignement est aussi complet que celui de ses frères et la plupart des gens ne le soupçonnent même pas. • Son système de classement de dressing est à faire pâlir les plus maniaques du rangement (les vêtements, c'est sacré). • Elle a développé une imitation bluffante d'Ascleus Ollivander (imitation qui, elle l'espère, ne viendra pas à être connue de l'imité).