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sujet; Dorian x Now he lives in a house, a very big house in the country, watching afternoon repeats

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Au fond, Augustus n'avait rien contre les enfants. Il les appréciait même presque, lorsqu'ils n'étaient pas bruyants, et  ne courraient pas partout, et ne bavaient pas sur ses vêtements. En soit, les mêmes choses qu'il n'aimait pas chez les adultes. Alors pourquoi pas ? « Pourquoi pas des enfants », lui demandait-on souvent, parfois, non, rarement en vérité. Il répondait le plus souvent par un silence, un sourcil arqué ou une quelconque phrase qui ne voulait rien dire.
La vérité c'est que lui-même n'en savait trop rien. Il s'occupait de sa nièce et ça lui suffisait, disait-il parfois. Ce n'était pas si faux. Il n'avait jamais de relation qui durait plusieurs mois. C'était complètement vrai. Encore moins avec des femmes. Mais cela il le disait rarement, à vrai dire jamais. Aujourd'hui il était tard, il était fatigué, il ne dormait plus et à cinquante-et-un ans, bientôt cinquante-deux, on n'espère pas vraiment enfanter de petit sorcier en couche-culottes.

L'affection d'Augustus pour l'enfant de Dorian venait sûrement un peu de là. Dès qu'il venait chez le potionniste il avait un petit quelque chose pour la gamine, un cadeau, un sourire, un compliment. Il était presque sincère. Il avait le mensonge tellement collé à la peau qu'il ne pensait que rarement à complimenter l'enfant sur ce qu'il appréciait vraiment chez elle (son répondant, sa perspicacité, sa logique) pour s'attarder sur des choses inutiles ou superficielles (sa robe, son jouet, son sourire). Il se surprenait parfois à se sentir honnête. Mais cela passait vite.
C'était sa première visite depuis Noël, il avait donc décidé de venir avec un petit quelque chose de spécial. L'objet trainait dans sa poche et il le tripotait pensivement tout en remontant le chemin en direction de la maisonnée.

Augustus s'était transplané non loin, à environ une heure de marche quelques temps auparavant. Le mangemort aimait marcher, surtout dans d'aussi beaux paysages, et il aimait à passer du temps ainsi à réfléchir. Bien sûr, il ne réfléchissait pas, comme vous et moi, à ses histoires d'amour, à ses problèmes d'égos ou à comment aborder sa belle-mère. Il était bien plus concentré sur l'extermination des insurgés et, pourquoi pas, des moldus. Ou à la limite, quand il se sentait d'humeur triviale, il se préparait contre ses multiples ennemis parmi les mangemorts eux-mêmes. Qu'il était compliqué parfois de se lancer corps et âme dans la cause quand ils étaient tous trop occupés à protéger leurs proches divers et variés des conséquences évidentes du fait d'être en vie... C'était de voir tous ces imbéciles se ruiner la santé à s'inquiéter pour les autres qui empêchait peut-être le ministre de s'intéresser vraiment aux enfants.

Le mot de passe donné, les serpents salués, le jardin traversé, il se retrouva vite à la petite biquotte pittoresque dans laquelle Dorian aimait étrangement se retrancher. Augustus appréciait certes le silence, la tranquillité et la place, mais l'absence de bruit et de présence humaine l'aurait bien trop vite dérangé. Au fond, il était un animal social.
Ce fut la petite qui lui ouvrit. Aussitôt, l'homme se baissa pour être à son niveau, un sourire aux lèvres : « Oh bonjour , comment vas-tu ? Tu es bien jolie cette année aussi ! » Et il eut un petit rire, tout doux, tout tendre, avant de faire de grands yeux curieux. « On s'est pas vu depuis Noël non ? Tu as un cadeau pour moi ? Hm ? » Ce qui était absurde, vu que c'était toujours lui qui offrait quelque chose, et qu'il était toujours incroyablement difficile d'offrir quoi que ce soit à cet homme. « Parce que moi tu vois, j'ai quelque chose pour toi ! » Et pouf, le voilà qui sort de derrière l'oreille de la gamine un œuf de serpent, dans un papier cadeau rouge et un joli nœud orange, aux couleurs du serpent des blés qui se nichait à l'intérieur. « Tu m'en feras une omelette toute à l'heure ? » Et après un air carnassier un peu trop caricatural pour être effrayant, mais qui lui allait un peu trop bien au visage pour ne pas être inquiétant, il reporta son attention vers le père, qui les regardait derrière. Il eu un sourire bien plus professionnel et courtois vers l'homme, avant de lancer d'une voix toute d'amabilité :

« Bonjour Monsieur Selwyn, laissez-moi vous souhaiter une bonne santé et beaucoup de réussites pour cette nouvelle année. Comment allez-vous ? »
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this could be Heaven or this could be Hell
Then she lit up a candle and she showed me the way
There were voices down the corridor
(play)

Les  doigts pianotent sur les veines des  feuilles. En tendresse, en délicatesse, tu laisses  glisser tes phalanges, soucieux, terriblement soucieux. L'inquiétude ronge tes traits, acidifie ton cœur, le scarifie de quiétude. La  terre sèche roule sur ta peau tremblante, fuyante. Elle t'écorche les phalanges, te dérange. « Pourquoi ?, souffles-tu à la plante comme si elle pouvait te  répondre, comme si elle pouvait t'entendre. Je pensais t'avoir sauvé. ». Un peu triste, la caresse court en manque d'amour sur les feuilles jaunies, vieillies. Et tu soupires, le  cœur un peu ralenti, un peu détruit. Après tout, tu dis au revoir à un vieil ami.

La  maladie le ronge, l'éponge de peur en douleur. Alors tu décides d'y mettre fin, alors tu décides de la laisser reposer en paix. Tu la laisses t'abandonner quand tu coupes les feuilles perdus, vaincus par  la maladie. Tu la laisses sombrer une fois que du bout de ta baguette tremblante, tu la laisses s'évanouir, disparaître sans horreurs, ni douleurs. Tu devrais savoir, pourtant ? D'espoirs en désespoirs, tu ne fais que détruire, réduire en saccages, en ravages. Tu fais mal, tu leur fais du mal.  Tu restes pendu, suspendu au pot vide, sensible. C'est un peu trop facile de la faire  disparaître, c'est tellement facile de ne plus jamais te voir, t’apercevoir. « Oeuf, ssss, mini-Oeuf t'attends, sss. Le grand truc gris qui aime manger arrive. », siffle Dénérys, te tirant un soupir, un sourire. «   Augussstuss Rookwood, Denerysss. », souffles-tu à la vipère. Elle file, se glisse dans ta manche ; « Augussstus Rousswousse. », caresse-t-elle  du bout de  sa langue, joueuse, pas si charmeuse & tout à fait vénéneuse. Tu lèves les yeux au ciel, tendrement, doucement amusé.  Rien ne sert à les faire changer d'avis, elles sont butées, obstinées, tendrement protégées.

Entre les allées du jardin, tu respires l'air froid. Et de tes pas, tu rentres dans la grande maison, suffisamment tôt pour entendre Madelyn ouvrir  la porte, dans sa  robe bleu de princesse.  « Oh bonjour , comment vas-tu ? Tu es bien jolie cette année aussi ! »  ,  un sourire s'étire sur  tes lèvres.  Et tu imagines ta petite princesse se redresser sur ses deux jambes, pour coller un baiser sur la joue de  Rookwood. « Et toi, tu es toute aussi gentil & poli que l'année précédente. Je vais bien, j'ai préparé un cake salé avec Papa pour toi. Cette  fois, il m'a tout laissé mélangé. J'espère  que tu l'aimeras. ». Et le rire provoque surement l'ombre d'un sourire sur le visage poupin, serein. « On s'est pas vu depuis Noël non ? Tu as un cadeau pour moi ? Hm ?  Tu veux un autre dessin ? Je peux t'en faire un pour mettre dans ton bureau. »  , elle  a toujours  trouvé que le bureau d'Augustus manquait de couleur, de vie. Tu te souviens du pas assuré  de ta fille quand elle avait mis entre les mains de l'homme un de ses dessin, un serpent entourant des fleurs. Et des mots qu'elle avait soufflé, « celles-ci il n'y a pas besoin de les arroser & le serpent, c'est parce que c'est joli. ». Saskia avait hoché la tête. Tu as  rougi, bafouillé, gêné. Tu n'as jamais su si il l'avait mal pris.  « Parce que moi tu vois, j'ai quelque chose pour toi ! Un, Oh ! Éclate, émerveillée, apprivoisée. Et tu sais qu'elle  attrape le petit objet de ses mains, qu'elle le caresse avec tendresse, délicatesse. Merci beaucoup, beaucoup, il est splendide. », entends-tu alors qu'elle se remet sur la pointe des  pieds pour accrocher la joue d'Augie d'un baiser léger, d'un baiser d'enfant polie, vive & sensible.  « Tu m'en feras une omelette toute à l'heure ?  Bien sûr, rétroque-t-elle, du bleu liquide, confiant de ses yeux. Madelyn est assurée, sincèrement sereine dans son sourire, dans son rire. Avec des champignon, des tomates & des lardons. Tu voudras bien m'y aider ? », la princesse de  sang-pur n'a  jamais été dérangé, perturbé par les grands mangemorts. Elle n'a  jamais eu peur de  se glisser sur les genoux de Rabastan, d'accrocher ses dessins aux côtés des chimères de  Kirill, de  sourire à Severus sans plier, sans jamais ciller. Certains la jugent inconsciente, habité par son enfance naïve, incisive. Toi, tu sais qu'elle est plus vive dans ses grands yeux d'eau  qui en ont sûrement trop vu.  Tu sais qu'elle les voit. La  laideur, la rancœur, tes peurs, elle voit tout sans jamais souffler mots, sans jamais tolérer qu'on s'en prenne à toi. Et en douceur, en lenteur, tu t'avances. « Bonjour Monsieur Selwyn, laissez-moi vous souhaiter une bonne santé et beaucoup de réussites pour cette nouvelle année. Comment allez-vous ? » , tu clignes des yeux, un peu surpris, un peu conquis. Le  silence (gêné) s'installe, prend place & la voix de Madelyn retentit ; « Papa, il faut dire bonjour à Monsieur Rookwood, te gourmande-t-elle dans un sourire, dans un rire. T-Tu as tout à fait raison, mon ange. Milles excuses, monsieur  Rookwood. Tu rougis, tu te trahis. … Bonjour, murmures-tu. Je vous souhaite également une bonne année. Je vais assez bien. ». Tu sens encore les  lèvres brûlantes de  Kirill contre ta peau, le feu de vos corps qui vous abîme, vous sublime. Et  le suçon dans ton cou te lance un peu, lentement, doucement. «  E-Et vous ? », les yeux se  relèvent, se  plongeant dans les siens, un peu assassin.  

Et il sait les  fissures, les blessures sous ta voix tremblante, changeante. La  solitude te sied mieux, bien évidemment, bien cruellement.  Il sait les peurs, les  douleurs & au final, les horreurs dont il t'a tiré, dégagé. Et sans aucun doute, tu lui offres ta confiance sans aucune méfiance. Facilement manipulable, tu es un  peu à la dérive entre ses mains. Tu bouges  tranquillement, l'invitant à te suivre vers le salon, là  où le thé attend accompagné du cake salé. « Madelyn, ma chérie, tu veux bien aller jouer, on doit parler de choses de grand. Tu déposes un  baiser  sur le front de ta fille & elle sourit. Oui, Papa.  Toujours souriante, toujours contente, l'enfant n'a jamais, jamais désobéi. Et elle se tourne vers  Rookwood en soufflant d'une voix douce, tu me diras si tu trouves le cake bon quand je reviendrai. ». Un sourire, un rire & l'enfant file dans les escaliers, la porte de la chambre soigneusement fermé. « Merci pour le cadeau, elle l'adore  sûrement déjà. », tu verses le thé dans les tasses. Et tu clignes des  yeux ; « Oh la potion est ici », soupires-tu, en extirpant de  ta veste la fiole au liquide ambré.  L'obéissance se dilue en quelques gouttes, en quelques secrets bien gardés. « Comme vous l'aviez demandé j'ai réarrangé les doses. », tu poses l'objet sur la table. « De quoi vouliez-vous m'entretenir, monsieur Rookwood ? », caresses-tu en timidité, en volupté. Tu as toujours été de ses êtres faibles dont les forces sont comptés sur le bout des doigts. Toi, tu ne cherches que la douceur, te dénigrant, te détestant.  On te l'a suffisamment appris, n'est-ce pas ? Tu l'as bien compris, tu es bien inutile, bien futile.
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Your own personal jesus. Someone to hear your prayers. Someone who's there.

Monsieur Selwyn était quelqu'un de fragile, de névrosé, d'inquiet. Augustus, plus que quiconque, était au courant de ces choses-là. Il ne se formalisait jamais de ses bégaiements, hésitations, des rougeurs de visage, au contraire de sa fille qui semblait prendre un malin plaisir à embêter / reprendre son père. Augustus aurait détesté se faire reprendre ainsi par son enfant. Bien heureusement (pour l'enfant comme pour lui), il n'en avait pas.
Il se contenta d'un doux sourire en se redressant et serrant la main du potionniste, son regard trainant un instant sur le suçon dans le coup, sans rien en dire. « Je vais très bien merci, beaucoup de travail, comme vous pouvez l'imaginer. Le ministère ne s'arrête jamais ! » Et il a un rire, un tout petit rire, ce genre de rire très poli, très cordial, qui sert juste à montrer que la phrase est une blague et que l'on peut en rire. Un rire sans joie.

Les interactions entre la petite et Dorian l'amusaient toujours, même s'il ne montrait jamais avec quel distance il regardait cette famille déstructurée. La façon dont la gamine gérait son père plus qu'elle n'était gérée par lui le fascinait et le confortait toujours plus dans sa vision de la vie. Dorian, dans ses névroses, dans sa passion viscérale et destructrice, était la preuve que tout cet excès était mauvais, et que la quête d'amoralité d'Augustus était juste et vraie. Alors Augustus était toujours d'excellente humaine auprès d'eux.

Il suivit son hôte dans la maison en silence, comme une ombre se promène dans son domaine. Toujours sans un bruit, il s'installe sur un siège, jetant un regard superficiel au thé et au cake. Il avait ce sourire poli empreint d'une très légère chaleur qu'il gardait pour les gens qui l'appréciait. Et lorsque l'enfant lui susurra : « tu me diras si tu trouves le cake bon quand je reviendrai. » il lui sourit avec de nouveau cette étrange malice, répondant : « Sauf que je suis allergique aux cakes, tu ne le savais pas ? » Et la blague était si évidente qu'il ne rajouta rien en la laissant s'évanouir dans l'intérieur de la maison. Un faible silence puis la voix s'élève de nouveau, lente, trainante, atrocement envoutante : « Je pense vous l'avoir déjà dit M. Selwyn mais vous avez une enfant adorable, elle tient beaucoup de vous. » Rien ne pouvait être plus faux dans la logique d'Augustus. Mais selon une autre logique, par exemple plastique, cela n'était pas loin de la vérité. Et puis, il accordait aux deux Selwyn la similitude de provoquer cette espèce de faiblesse émotionnelle chez l'humain lambda, lui par sa misère, elle par sa jeunesse. Mais il l'accorde avec la distance de celui qui ne la ressent pas et n'en voit que les signes annonciateurs, les symptômes de cet état communément connu comme « attendrissement ».

Il récupèra la potion sur la table avec un plaisir non dissimulé. Il n'aimait pas spécifiquement cette potion, il préférerait s'en passer, mais il y avait quelque chose d'extrêmement satisfaisant à posséder ce genre d'armes. Il la fit glisser dans une poche intérieure de sa veste en caressant l'image du visage de Nyssandra lorsqu'elle la verra, lorsqu'il lui chuchotera qu'il avait changé les dosages, pour que ce soit plus confortable pour elle. Sans être impatient, car Augustus n'était jamais impatient, il était très intéressé par l'importance et la nature de la réaction de la jeune femme. Alors ce fut presque avec honnêteté qu'il se tourna vers Dorian pour le remercier : « Merci bien M. Selwyn, pour votre peine. Je n'ose demander ce genre de potion à personne d'autre, et savoir que vous êtes à la fois une personne efficace et une personne de confiance me rassure beaucoup. » Il était, effectivement, un homme extrêmement utile et important pour ses projets. Et s'il pouvait continuer de faire tout ce qu'il voulait sans avoir à menacer ou kidnapper qui que ce soit, il en était heureux et satisfait. « Vous comprenez bien, je pense, qu'il devient vite épuisant de se méfier de tout et de tout le monde. Mais avec mon métier et la situation politique actuelle, je ne peux plus m'épargner le luxe de la confiance. » Le regard s'était un instant perdu dans le lointain en disant ces phrases, tout en tirant légèrement ses manches pour les remettre exactement à leur place (donc exactement la même que quelques secondes auparavant). Il avait tout un coup un visage fatigué, comme un poids sur les épaules, ce quelque chose qu'il n'avait pas à simuler mais qui était bien plus issu de l'incapacité de ses employés à obtempérer à la moindre de ses requêtes plutôt qu'une fatigue plus spirituelle et émotionnelle. Augustus n'avait, en réalité, besoin d'aucun effort pour ne faire confiance à personne. La confiance, autre que celle, indéfectible, qu'il ressentait à son propre égard, lui était quasiment étrangère.

M. Selwyn, entre autres choses, était quelqu'un de pressé. Ce défaut était, parmi beaucoup d'autres, absent chez le mangemort. Il choisit donc, avant de répondre à la question de son hôte, de goûter le thé ainsi que le cake. Il mima avec une incroyable sincérité le visage de celui qui savoure et apprécie ce qu'on lui propose, alors que le thé est loin d'être à son goût et qu'il est déjà en train de détailler mentalement comme améliorer le cake. « Il me faudra complimenter la cuisinière avant de partir, elle a fait un très bon travail. » Et cette fois-ci, c'est l'attendrissement caractéristique de ceux qui parlent des enfants qui passe. D'un mouvement lent et précis, il reprend une gorgée de thé. Rien ne semble pouvoir perturber son rythme si bien calculé. Lorsque son regard se repose sur sa proie, c'est pour parler de nouveau, refaire couler sa voix délicate, ronronnante, maîtresse d'elle-même et détendue : « Oh ne vous inquiétez pas, ce n'est pas pressé. Permettez-moi avant tout de m'enquérir de votre sécurité et de votre santé, afin de m'assurer qu'il n'y a aucune modification à apporter à votre protection. » Tout être voulant blesser, détourner, utiliser son petit Selwyn personnel aurait affaire à la punition de Rookwood. « Et puis, je suis très curieux de connaître le déroulement de votre rendez-vous avec M. Molchaline. Avez-vous pu avancer dans les recherches ? » Et, pour une fois, il n'y avait aucune malice dans la question du mangemort qui commençait déjà à se ressaisir de la tasse de thé.
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