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sujet; demandes de particularités réglées |
| Miaaaaw !!! Merciiiii !!! |
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| Bonsoir Prénom & Nom de votre personnage ; Loup-Garou Motivation ; J'vais donner dans le lieu commun avec ça, mais c'est en partie autour de ce point que j'ai construit Moira. Ca risque d'être un peu redondant avec la partie d'après, concernant la maîtrise, mais l'idée de Moira, c'est qu'elle a été mordue quand elle n'était encore qu'une gamine (elle avait 15 ans). Ca fait donc environ 12 ans qu'elle vit avec cette particuliarité, et à la différence de beaucoup de loup-garou et de semi, elle ne la vit pas du tout comme une malédiction. Au contraire, elle a toujours eu un côté un peu animal, et de fait, elle n'est jamais rentrée en conflit avec sa partie animale après sa morsure. Pour donner dans la métaphore vaseuse, ça lui a permi de venir elle-même. Concrètement, ça n'a plus d'impact réel dans sa vie au quotidien, elle prend les avantages de sa nature de loup et les utilise à son avantage (surtout maintenant avec l'époque totalement troublée). Elle devient nerveuse deux ou trois jours avant la pleine lune, incontrolable, forcément, la nuit de celle-ci, et se trouve terriblement épuisée quelques jours après celle-ci. Dans l'histoire, son créateur a un rôle essentiel, puisqu'ils entretiennent une relation particulièrement intense de haine et d'affection. Leur nature lupine se cherchent et s'apprécient là où les deux natures humaines s'opposent entièrement. Il l'a aidé à faire ses premiers pas de louve et l'a guidée les premiers temps, pour les premières lune, comment s'isoler pour ne pas risquer de blesser des gens, des choses très terre à terre et très concrète pour l'aider à vivre avec sa nouvelle particularité. Globalement, avec Moira, je veux tester à fond la part animale qu'on peut trouver chez quelqu'un : des réactions très primaires, pas dosées, spontannées, violentes et influencées par le côté loup. Et le rapport assez malsain que Moira a avec les concepts de vie et de mort pourront se révéler assez intéresants à jouer, couplé avec ça. Maîtrise ; Il n'y a rien à maîtriser, concrètement. Comme tous, Moira est soumise aux cycles de la lune. Comme je le disais plus haut, elle est en paix avec sa nature lupine et en retire quelques avantages : ses sens et sa force restent plus développés que ceux d'un humain lamba, je dirai qu'elle a un instinct plus développé aussi. Elle est, cela dit, aussi beaucoup plus sauvage et animale qu'avant dans ses réactions, plus promptes à sortir les poings qu'à dialoguer. Paradoxalement, je pense qu'elle vit bien sa condition de louve, puisqu'elle ne le subit pas vraiment comme une malédiction, tout au plus comme une maladie avec laquelle il faut vivre (et comme elle connaît déjà cela, ce n'est plus vraiment une difficulté.) Merci d'avance |
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| Coucou ici aussi ! Vos smilies sont devenus les songes de mes nuits. Gloria Flint (Je pourrais vous écrire tout un poème pour me l'avoir permis, mais je ne suis pas certaine que ce soit un cadeau, en fait. ) ; Traceur. Motivation ; C'est un don familial auquel Gloria n'a pas échappé – et elle s'en accommode à merveille. Étant la benjamine des Flint, c'est-à-dire en quelque sorte attendue nulle part en particulier sur la scène sociale – ses aînés sont déjà bien assez mariés comme ça –, elle a d'autant plus eu le loisir de le cultiver. Je suppose aussi qu'il a été question pour elle d'acquérir par là un minimum d'importance et, en dépit du contexte, une forme d'indépendance puisque c'est une source importante de revenus. Son don a en tout cas été un passeport pour rejoindre les mangemorts – il se combine d'ailleurs particulièrement bien avec son rôle de stratège et d'informatrice – comme il est sa porte de sortie s'il lui faut un jour disparaître. (Sinon, je ne sais pas à quel point les joueurs ont carte blanche pour détailler le métier de traceur, et moi plus spécifiquement pour imaginer les secrets ancestraux des Flint, mais c'est un aspect qui m'intéresse vraiment beaucoup et que je voudrais bien exploiter. ) Maîtrise ; Optimale, a priori, pour la simple raison qu'elle a d'abord été épaulée par les Traceurs de sa famille. Au terme d'une année de formation entamée dès sa sortie de Poudlard, elle a réussi ses TPTD (si ceux-ci existaient déjà bel et bien à ce moment-là) et a depuis eu tout le temps de devenir Traceur professionnel – elle est âgée de trente-quatre ans. Mais le perfectionnement n'est jamais exclu, n'est-ce pas, autrement ça ne serait pas rigolo – surtout dans le cadre de son travail officiel de Rafleuse. Je la vois mal dans le rôle de formatrice, puisqu'elle est vaniteuse de ses petits secrets, mais sa propension à martyriser les nouvelles recrues « tout en douceur » me fera peut-être céder. :wéé: Si vous avez des suggestions... J'espère que ça ira, je reste à votre disposition pour toute information complémentaire. Merci beaucoup !! |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | je fais remonter |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | c'est tout bon pour vous deux Gloria, on le veut nous ce poème j'te mp pour quelques précisions sur le don |
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| Merci |
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| HEYO ! Je poursuis donc ma quête de construction de personnage. J'ai écrit tout ça comme une vieux pied, j'en suis infiniment désolée et j'espère que ça conviendra Vayk Esterházy ; Lycanthrope Motivation ; Le couplet habituel serait que c'est essentiel dans la construction du personnage mais... En gros, Vayk est un loup dans le déni. Autant pour elle que pour les autres. Elle fuit avec une grande obstination sa condition quitte à nier en bloc sa nature profonde. Son existence est faite de paradoxe, elle est à la fois dépendante de ce qu'elle est et cherche à s'en défaire. Sans lycanthropie, elle n'aurait sûrement jamais été aussi loin dans les études et se serait contentée de glousser au bras d'un riche sang-pur. Héritière de sang-purs Hongrois, Vayk était vouée à être un garçon. Sans négociation, sans aucune autre possibilité. Les Esterházy ont tout tenté pour s’assurer la naissance du sexe fort, allant jusqu’à user de magie noire, lui attribuer un prénom masculin avec l’espoir de bousculer la chance. Mais Vayk est née femme, sans honte aucune mais sans honneur. Elle est née déception et dès lors, espoirs creux et ambitions surréalistes ont pesé sur ses épaules. Exigeante perfection pour ne pas être conforme aux plans de la dynastie, laver l’affront avec des actes. Elle a déployé des trésors d'ingéniosité et s'est conformée à chaque demande pour avoir ne serait-ce qu'un regard un tant soit peu intéressé. Avec le temps, elle a gagné un minimum de respect, de reconnaissance éclairée. On a fini par la regarder sans oublier pour autant qu'elle n'était que faible sexe. Elle a grandi infusée dans des préjugés de sang et de pureté, le dédain pour ceux qui n'étaient pas humains. Mordue à 17 ans (ou plus tard, j'ai pas encore complètement décidé *PAN*) en Angleterre, lors d'une rencontre avec son fiancée attribué, elle a vu tous ses efforts réduits à néant, la souillure d'être un monstre venant supplanter celle d'être femme en première née. Son affliction a dès lors conditionné le reste de son existence, jusqu'à sa vocation professionnelle. Extrêmement bien documentée sur la question, elle pourrait être spécialiste du domaine lupin si ce simple fait ne lui donnait pas la gerbe. Elle a lu, fréquenté les meutes et les hordes dans l'unique but d'avoir un maximum d'information pour son propre compte. Jamais, pourtant, elle ne cèdera à l'appel de la communauté. Vayk est de ces loups qui ne s'assument pas et s'épuisent à combattre l'animal sous la peau. Elle a consacré toutes ses études, toutes ses thèses et une grande partie de ses recherches à la découverte d'un remède à la malédiction. Ses expérimentations sur la Tue-Loup la mènent au bord du gouffre, elle se damne de ne pouvoir observer les effets de ses potions modifiées que le matin venu. Elle est la scientifique folle qui expérimente sur sa propre personne faute de mieux et caresse le rêve un peu fou d'obtenir des cobayes pour ses oeuvres, celle qui s'enferme dans un sous-sol quand la lune est pleine, autant pour surveiller les effets de son travail que pour s'éviter un carnage. Il y a chez Vayk l'immense paradoxe d'être une aristocrate, une fille de bonne famille élevée dans la mesure et la bienséance mais dont les entrailles abritent une violence sans borne. Chaque jour, elle s'applique à polir son image pour que le tout venant oublie sa disgrâce. Elle en est venue à être obsédée par le regard des autres, paranoïaque à l'idée que tout le monde sache et la montre du doigt pour la jeter dans la fange. Elle passerait son temps à fuir si elle le pouvait mais elle a beaucoup trop de fierté, d'ambition. C'est en partie pour cela qu'elle adhère au Magister. Outre son éducation tournée vers le culte de la pureté, elle a obstinément besoin de reconnaissance et s'est laissée séduire par les promesses de Voldemort, ignorant l'éléphant dans la pièce. Elle sait qu'elle est méprisée mais espère toujours se frayer un chemin dans les hautes sphères société, la place qu'elle mérite de naissance, par ses efforts incessants. Elle s'évertue à mener un semblant de vie normale, exécutant pourtant sans ciller les demandes du Lord et consorts avec, en échange, son emploi assuré, la sécurité de son identité. Si un jour on lui demande de lever une armée de loups, pour son ambition dévorante, pour son envie de reconnaissance, parce qu'elle est docile par éducation, elle le fera sûrement sans ciller. Bon, jme suis un peu laissée emportée mais plus généralement, je suis intéressée par l'idée d'explorer le côté pétri de préjugés de Vayk, incapable de se remettre en question face à la montée de violence, la propagande dans laquelle elle se roule allègrement tout en sachant pertinemment qu'elle est dans le faux. Bref Maîtrise ; Erratique. Sporadique. La co-existence de Vayk et sa louve est un éternel combat. Elle cherche encore l'équilibre mais sait très bien qu'elle ne s'en satisfera jamais. Elle veut les pleins pouvoirs tout comme l'animal souhaite dévorer le territoire de l'humain. Dépendante de la Tue-Loup comme elle le serait d'une drogue, la potion lui permet de garder un certain contrôle les nuits de pleine lune mais ne règle pas le problème d'irritabilité, de rage incontrôlable qui l'envahit les jours précédents. Elle n'empêche pas non plus la transformation et, de toute évidence, c'est ce qui la dérange le plus. Vayk dissocie volontairement ses réactions animales et impute tout débordement à sa louve. Elle se plaît à dire que certains accès de colère sont des points qu'elle concède à la bête avec le fol espoir qu'elle la laisse en paix. Des fois cela fonctionne. Souvent, non. De manière générale, elle combat ses instincts, elle combat la moindre parcelle animale dans son être avec la peur viscérale d'être regardée comme une tare. |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9003
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| Je remonte ça en ZA et on te donne la réponse au plus vite
EDIT : don accordé |
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| Dorian Selwyn ; Fourchelangue Motivation ; Encore un, oui. Encore moi, oui. Est-ce que je suis désolée ? Même pas. > Au départ, je voulais construire Dorian, sans cette particularité. Mais je me suis aperçue que ça lui offrait une profondeur, une autre saveur. Je me suis aperçue que ce ne serait pas juste une particularité dans le vent. Ce n'est pas pour faire joli. Ce n'est pas non plus simple. Dorian est un ancien personnage que j'ai décidé d'adapter parce qu'il me manquait. Dorian est une vieille histoire parsemée de déboires, d’au revoir & de départs. Il n'a jamais été dans cette douce facilité, il est pourtant tout en fragilité, en blessures & en fissures. Dorian est à la faiblesse ce qu'Octave est aux tendresses mielleuses & Aramis à la maladresse orageuse. Dorian n'est pas le personnage des combats. Dorian n'est pas l'homme courageux. Dorian ne reste qu'une victime peureuse. Et c'est justement pour ça que je veux ce don. Parce que ça l'a conditionné à fuir, à s'enfuir, à se terrer, à n'être qu'un enfant terrassé. Charles a pour ainsi dire tout rafler à la naissance. Entre don ancestrale & adoration, Charles a été tracé dans l'héritier parfait, qu'on attendait. Il en a honteusement profité, usé & abusé. Surtout sur Anne & Dorian. On décèle déjà la lueur de ses jeux pervers, de ses serpents cachés dans les vestes, dans les draps, qui se colle pour le faire pleurer, pour le ravager. Charles aimait asseoir sa domination. Charles aimait martyriser, presser, désespérer Dorian. Il a bien réussi. Dorian a bien appris, compris ; Il n'est rien. Bon à rien, Dorian est trop mais aussi pas assez. Il n'est pas parfait. Il n'est pas l'enfant rêvé. Trop lent, trop pesant, il est mal vu. On le tait très vite, il n'est pas digne d'intérêt. Relativement peu connu, on assume pas cet enfant qui tarde à tout. Là où la magie a explosé sous les doigts de ses aînés, Dorian a mis du temps. Elle n'a glissé que publiquement à ses neuf ans. On l'a pensé cracmol. On l'a pensé trop futile, imbécile. On l'a presque puni d'être né. On l'a presque détruit. Il a résisté. Il s'est effondré mais il a résisté. Et il s'est révélé. Instabilité. Sa magie est brutale, animale. Elle se fait féroce, véloce. Elle n'est pas adapté, il ne la maîtrise pas. Contrairement à Charles qui maîtrisait tout, Dorian n'a pas ce contrôle. Là où Charles ne voyait qu'une utilité au serpents, Dorian y a vu des amis. Il s'est plu à parler, à aimer & sans doute, a-t-il fidéliser certains de ses compagnons dans cette douceur. Dorian n'a jamais cherché asseoir une quelconque domination, il n'a laissé que des hésitations & des questions avec ses compagnons. Il en a été bien puni, bien détruit. Si on ne dresse pas, c'est nous qui nous faisons dresser. Dorian a-t-il sombré, s'est-il fait dresser ? Oui & non. Il est clair & net que Dorian considère Denerys, sa vipère, comme un membre de sa famille. Donc non, il n'est pas dressé par les caprices de son serpent. Il n'est pas non plus soumis à elle. Une relation de confiance & de totale fidélité s'est immiscé. Denerys a pour habitude de se glisser dans les manches de Dorian & de veiller, d'observer. Elle tuera celui qui osera porter la main sur lui. Et ainsi, elle représente son unique défense. Peut-elle le contrôler ? Sans aucun doute. Mais elle ne le fait pas parce qu'il est son œuf comme elle le dit. Dorian a eu des soucis avec ce don. Tellement. On ne comprend pas pourquoi lui. On ne comprend pas pourquoi cet enfant raté, tout juste achevé, a hérité de ça. Il est tout sauf le candidat parfait. Et je trouve intéressant le contraste entre Charles & Dorian. Je trouve aussi que ça apporte son lot de questionnement & de malaise mais aussi de traitements injustes. Puisqu'au fond, ce qui fragilise Dorian, c'est bien son histoire. La dernière motivation est que ce don est associé au Selwyn, mais aussi à VDM. Dorian fait parti de ses antiques lignées descendant de Salazar, de ses mains qu'on destine à la magie noire. Rare, il rappelle que Dorian est associé au pire mais qu'il est peut-être meilleur. Je veux apporter une autre vision de ce don. Je veux donner un autre regard. Tout en laissant un potentiel d'une dangerosité féroce surgir, anéantir. Maîtrise ; Oui & non. On va être honnête ; Nagini fait ce qu'elle veut, quand elle veut & où elle veut de Dorian. Clairement, il n'a pas la force de caractère pour lui résister ou résister à un Basilic. Il est faible si un serpent veut réellement prendre le contrôle. On peut facilement le renverser, le détrôner. Et comme dit plus haut, Denerys ne le fait pas parce qu'elle lui est fidèle & dévouée. Mais en gros, ce n'est pas pour rien que beaucoup de sorciers ont crus que Charles était le dernier Selwyn possesseur de ce don. On a bien cachés, bien gardés les secrets de Dorian. On l'a surtout étouffé, condamné. Il n'est jamais assez parfait, il n'est juste qu'un jouet cassé & bousillé. Hors de question de tolérer l'incompétence. |
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