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sujet; (areo) forget not yet |
WIZARD • always the first casuality Areo Selwyn | Areo Thomas SelwynI couldn't help but ask for you to say it all again. I tried to write it down but I could never find a pen.❝ We're running in circles again ❞WIZARD ; Inventé☇ pseudo complet & surnom(s) ; Areo inconvation d'un dieu de la guerre archaïque qui lui correspond si peu et dont le 'r' roule si mal sur les langues des anglais ; Thomas un vieux relent familial, loin des prénoms alambiqués de certains autres sang-pur, réminiscence de la proximité avec la couronne anglaise dont ont bénéficié un jour ses ancêtres et qui fait encore la fierté des Selwyn. Castrillo parce qu'il faut le dire, parce qu'on l'oublie souvent, mais pas lui, dont le sang espagnol coule chaud dans ses veines, sa mère aussi apporte à l'union un semblant de noblesse en plus d'une pureté sorcière. Pas de surnom pour lui, son prénom est suffisamment court, quoique sa sœur Ines prenne un malin plaisir à l'appeler Ari. ☇ naissance ; trente juin 1977 dans la résidence familiale, perdue dans la campagne du Kent. ☇ ascendance; fils aîné de la dernière branche des Selwyn, il est évidemment de sang pur. ☇ métier ; assistant de Jemma Howard, dénicheur professionnel d'informations, placeur de fausses preuves, et contrefacteur de documents… ☇ camp ; il n'a jamais eut de camp et est bien parti pour ne jamais en avoir, indifférent à tout, il veut bien se prétendre modéré, si ça peut être synonyme de neutralité et lui offrir la paix. ☇ réputation ; on ne le connaît pas vraiment finalement, le Selwyn à lunettes, qui se balade les épaules courbées, comme s'il cachait un terrible secret en permanence, avec sa gueule de gamin et ses sourires innocents. Quand on l'connaît de vue, tout ce qu'on sait sait que c'est un Selwyn et qu'il n'a pas de marque sur son bras, qu'il n'a pas fait parler de lui, jamais ni en bien ni en mal, qu'il ne sert pas trop à grand chose finalement, mais qu'il est sympathique, ou tout du moins qu'il en a l'air. ☇ état civil ; célibataire, il ignore s'il doit à la douceur de sa mère ou les aléas de la guerre l'absence de fiançailles arrangées. ☇ rang social ; simple civil. ☇ baguette ; bois de houx, plume de phénix, trente centimètres. ☇ épouvantard ; Allington Castle incendié, avec tous les souvenirs de sa famille, comme l'a cruellement été sa cabane dans le jardin. ☇ risèd ; Il veut juste voir sa famille heureuse, il veut juste voir Ines de retour à la maison, il veut juste voir sa cabane dans le jardin et entendre ses rires mélangés à ceux d'Ollie, nostalgique qui s'ignore. ☇ patronus ; un aigle. ☇ particularités ; aucune. ☇ animaux ; Ines lui suffit. | ☇ Avis sur la situation actuelle : Du début à la fin, Areo n'aura fait que se laisser emporter par les divers courants. Refusant de croire au retour du Seigneur des Ténèbres, avant d'accepter la vérité sans s'engager, de laisser les rebuts se faire vendre, sans en acheter, de laisser les attentats être perpétré sans se rebiffer. Contrairement à son homonyme, Areo n'aime pas les conflits et s'il peut passer entre les mailles du filet, ce que sa situation tant pécuniaire que la position que son sang lui a conféré pendant les années sous la domination du Magister lui ont permis de faire, il s'en contentera aisément. C'est ce qu'il fait encore aujourd'hui, assez indifférent aux nouvelles politiques qui ne le concernent que peu. Il n'est pas sans grincer des dents devant les saisines et les gallions qui lui sont ainsi arrachés, mais puisqu'il a un travail, puisqu'il n'est pas particulièrement dans la ligne de mire du gouvernement (grâce à Ines, l'héroïne), il ne se plaint pas et ne s'est encore rendu à aucune manifestation, ce qui peut paraître étonnant quand on sait que la Justice Magique est son métier. Quoique, son type de justice à lui, ne se repose absolument pas sur les lois et autres règlements. |
☇ Infos complémentaires ; binoclard - il en avait avant que ça soit rendu à la mode par Potter, mais ça n'aura pas empêché certains de pointer du doigt la ressemblance entre leurs deux paires rondes et de l'accuser de vouloir copier le Survivant. C'était pas comme si sa myopie était sérieuse et l'empêchait de voir clairement sans, ni comme s'il était bien plus âgé que Potter et franchement indifférent à son statut de prétendu héros, peu impressionné par les quelques triomphes d'Harry pendant leur temps commun à Poudlard - et franchement il l'a détesté par principe quand celui-ci a osé mettre son nom dans la coupe de feu alors qu'il n'en avait pas l'âge. Deux trois rendez-vous à Sainte-Mangouste à ses dix-sept ans et il était libéré du fardeau de ses deux énormes verres; il n'a plus désormais de lunettes que pour lire, et encore, on le soupçonne à raison de ne les mettre aujourd'hui que pour le "style". • Quidditch - il n'a servi que deux ans dans l'équipe de sa maison, Serpentard, de sa deuxième à sa quatrième année, une chute l'a mis hors jeu pendant quelques mois et il n'a juste jamais ramassé la batte après ça. Faut dire aussi que ça ne l'a jamais trop passionné. • Jemma - ce n’est pas la personne la plus sympathique, la plus souriante, la plus bavarde qui soit. Ce n’est certainement pas la supérieure hiérarchique idéale, mais l’attachement d’Areo pour Jemma Howard est bien réel. Une loyauté s’est créée avec le temps, plus solide que celle qu’il voue à toute autre personne au monde. Il ne réfléchit plus à deux fois, pour contourner la loi pour elle, ou s’abaisser à la moindre petite besogne et il n’est plus suffisamment naïf pour être motivé par l’idée qu’un jour il prendra peut-être sa place au cabinet Howard. C’est à croire qu’elle a du lui faire quelque chose, lui rendre un service innommable pour qu’il lui voue une telle fidélité, mais non, elle l’a juste engagé et il adore juste le métier et la femme, qu’il trouve tout à fait admirable. • Castrillo - Agostina, la mère d’Areo vient de la fière région de la Castille en Espagne, région où Areo et Ines n’ont mis les pieds qu’une fois pour visiter ses grands parents maternels à Tolède avant de passer une semaine à Madrid. Et pourtant, l’influence de la Castille sur leur vie n’est pas négligeable. Le bilinguisme par exemple est une évidence depuis la tendre enfance, quoiqu’Areo est toujours préféré répondre en anglais à qui lui parlait espagnol. Il le comprend et le parle pourtant à merveille, avec le même accent que sa mère qui laisserait croire qu'il y a passé la moitié de sa vie. • poésie - il aime beaucoup ça Areo, depuis qu’il est gamin. C’est le genre de passion qui s’explique pas, il comprenait pas la moitié des poèmes qu’il lisait, mais il les aimait quand même, parce qu’ils sonnaient bien. Son entourage a longtemps pensé qu’il s’y mettrait sûrement lui aussi un jour. Qu’il en écrirait et deviendrait connu pour ça - quoique c’était pas l’ambition qu’on entretenait pour lui, on se disait que ce serait pas mal qu’il fasse quelque chose de son inutile obsession. Sauf qu’il a jamais été capable d’aligner deux alexandrins et qu’il n’a absolument pas la rime facile. Alors il a jamais soulevé la plume lui-même et s’est contenté d’avoir comme party trick le fait de savoir bien les réciter, en en faisant presque un devoir de le faire à tout va, à n’importe quel moment. Il s’est un peu calmé avec l’âge cependant, mais quand une situation lui rappelle un de ses préférés, il le fait sans gêne aucune. • divination - chouchou de Trelawney pendant quatre ans, il a obtenu un optimal à ses BUSES comme à ses ASPICs et personne n'a vraiment jamais compris comment. Le futur est un mystère complet pour lui et il est même un très mauvais devin. Il ne possède pas une once de troisième œil en lui, juste un talent pour dire à Trelawney - puis à l'examinateur des BUSES - ce qu'ils ont envie d'entendre. 'Votre chien aura mal à la patte avant droite demain à 15h', lui-même se demande comment des arnaques aussi évidentes ont pu marcher pendant aussi longtemps. • constellations - l’astrologie, c’était ça sa véritable matière de prédilection à Poudlard. À peine arrivé en cours, il connaissait déjà la moitié du programme jusqu’à la septième année, c’est qu’il a passé beaucoup (trop) de temps sur le dos à étudier sa carte du ciel et un peu à la bibliothèque à lire tout ce qui pouvait l’informer un peu plus sur la question. C’est le genre de chose qu’encore une fois on a jamais jugé très utile, parce que les conséquences des mouvements des astres l’importent assez peu et il n’essaye de lire l’avenir en observant les étoiles avec son télescope. Il aime juste les regarder, les connaître. Petit, il leur parlait parfois un peu, comme à des amies lointaines, mais présentes. C'est une de ces passions qu'il préfère exercer seul, qu'il n'aime pas trop partager, sauf avec Ollie un peu, quand ils étaient encore amis. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL Appelez-moi jiji/flora & cie. J'ai 22, je viens de paris et j'ai connu le forum via je sais plus. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 7 jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ? je m'auto shame.Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Areo Selwyn le Ven 10 Fév 2017 - 0:28, édité 12 fois |
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WIZARD • always the first casuality Areo Selwyn | Innocentia Veritas Fides Circumdederunt me inimici mei These bloody days have broken my heart. My lust, my youth did them depart, and blind desire of estate. Who hastes to climb seeks to revert. Of truth, circa Regna tonat.❝ Forget not yet when first began the weary life ye know, since whan. The suit, the service, none tell can ❞1978-89 & Allington Castle, Kent L’accent de sa mère est toujours plus prononcé quand elle s’énerve ce qui, alors qu’Areo est enfant arrive assez souvent. C’est résolument le spanglish qui régit la maison et même Henry Selwyn a du s’y faire et se familiariser avec la langue maternelle de son épouse. Et c’est un mélange assez beau finalement cette vieille aristocracie anglaise, froide, réservée, un peu recluse dans son château racheté à un moldu peu avant la naissance d’Areo, qui se mélange au sanguin de la Castille. Agostina et Henry se sont bien trouvés pourtant, le plus ouvert et curieux des Selwyn pour la sang-pur étrangère. Si Agostina hurle cependant ce n’est pas tant qu’Areo est turbulent, il court beaucoup, mais c’est dans le jardin, il laisse un peu de bazzart, mais c’est dans la bibliothèque. Le problème d’Areo c’est juste qu’il n’a aucun filtre. C’est par exemple d’un simple : « She’s ugly » qu’il a accueilli la venue au monde de sa petite sœur (Ines Margaret Selwyn), peu impressionné par son petit corps fripé. Impossible pourtant d’en vouloir véritablement à ce qui n’est encore qu’un gamin, ce qui est et restera surtout son premier né, la prunelle de ses yeux. Agostina ne joue pas aux favoris, mais Areo est su adorado hijo. Ines n’est pas en reste toutefois, aisément la préférée de son père, la petite princesse de la famille à qui on ne refuse rien. Y a qu’Areo qui n’a pas reçu le mémo, à ce sujet. Il ne l’a plus jamais vraiment traitée de laideron, mais il lui a pas beaucoup prêté ses jouets, a jamais trop voulu traîner avec elle de façon générale et a toujours fait son chef. Mais il acceptait quand même qu’elle vienne se réfugier dans sa chambre après des cauchemars et même, une fois, il l’a laissée lui faire des couettes et lui peindre les ongles. Ines l’a répété à un de leur cousin pourtant, ce qui eut pour effet de suspendre pendant près d'un an toute complicité entre eux. Ce fut également la dernière fois qu'Areo laissa sa sœur s'approcher à moins d'une vingtaine de centimètres de ses cheveux. ❝ Forget not then thine own approved, the which so long hath thee so loved, whose steadfast faith yet never moved: Forget not this! ❞ 1990 & Allington Castle, Kent URSA MAJOR C’est le genre de mot de passe qu’il aurait bien retenu pour l’entrée dans sa cabane ultra-exclusive. Déjà parce que c’est en latin donc par définition, ça ajoute toujours du cachet. Mais aussi parce que c’est en rapport selon lui avec l’ essence de la cabane, qui, pour Areo, n’est autre que son plafond. C’est pas ce qu’on remarque forcément en entrant, si on ne sait pas qu’il est là, le plafond, les planches de bois sombres recouvertes par une immense carte stellaire phosphorescente. Ollie elle le sait parce qu’elle est venue trop de fois pour ne pas l’avoir vue et puis surtout parce qu’elle passe son temps allongée sur le dos à étudier les différentes constellations. Tout de même, c’est seul qu’il passe ses soirées à la regarder briller, tantôt allongé sur le sol de la cabane, tantôt le cou tordu et le télescope vissé à l’œil droit pour les voir scintiller pour de vrai quand c’est possible. Malgré tout, c’est Ollie qui sait et est le plus à même de comprendre et pourtant c’est elle qui a choisi le mot de passe et c’est le plus nul du monde. Love you for ten thousand years. Areo est bien content que ce soit sa cabane parce que du coup il est assez rare que ce soit à lui de le prononcer et ça épargne ses oreilles et ses joues et sa gorge aussi qui a envie de s’étrangler sur ces mots. Il aurait du lui dire non, il l’a pas fait. Ce choix signifie toutefois, nécessairement qu’il refuse catégoriquement de faire part du mot de passe à qui que ce soit d’autre, ce qui rend finalement l’utilité d’un mot de passe assez limitée. S’il n’y a qu’Olivia qui le connaisse et l’utilise, autant se contenter de reconnaître sa voix, ce qu’il est parfaitement en mesure de faire, puisqu’elle est tout le temps là. Mais le mot de passe, c’est une excuse pour ne pas laisser rentrer Ines, la morveuse, le bébé qui fout de la confiture partout où elle passe et geint plus fort que tous les agneaux de l’abattage du coin réunis. Ines est curieuse, collante, bruyante, Ines est surtout cinq ans plus jeune alors, comprenez bien qu’il lui est parfaitement impossible de se montrer gentil avec elle. Surtout en public. Areo est grand, il va à Poudlard lui, il a été réparti à Serpentard, lui, il va bientôt entrer en troisième année et étudier l’astronomie et la divination, c’est un grand qui traîne avec des grands et qui déteste qu’on l’appelle Ari, merci. Ce qu’on voit d’abord en entant dans la cabane, quand on a la chance et l’honneur de le faire, c’est la valise en plein milieu de la pièce, offrande de Selwyn père, remplie de souvenirs qui semblent à Areo aussi vieux que le monde. C’est que l’Histoire est une de ses grandes passions, un peu forcée peut-être vu celle attachée à leur simple patronyme. Areo lui ne partage pas vraiment cette inclination, n’ayant remarqué le choix de résidence de son père - le château d’Allington ayant longtemps appartenu à la famille Wyatt fut un temps voisins des Boleyn dont leur ancêtre Mary - qu’en s’intéressant à la poésie et, au passage il est vrai, à l’un des anciens habitants de leur demeure. Et c’est cette découverte qui l’a poussé, cercle un peu vicieux, à se pencher un peu plus sur l’œuvre de Thomas Wyatt Senior. « And wilt thou leave me thus? Say nay, say nay, for shame, To save thee from the blame Of all my grief and grame; And wilt thou leave me thus? Say nay, say nay! » Il est doué pour réciter les poèmes, pour regarder son audience droit dans les yeux, les trémolos de sa voix audibles sans être trop travaillés et son élocution parfaitement maîtrisée. Il est doué pour s'en rappeler, même des plus mauvais, même des plus niais et pour les citer quand la situation s'y prête le moins, parfois c'est utile, une morale ou un trait philosophique y est caché, parfois ça détend l'atmosphère, parfois ça agace. Mais c'est devant Ollie qu'il devient le plus loquace, qu'il sort les grands mots, ses préférés et les récite comme le bénédicité. C’est pas que ça soit la plus réceptive de tous, sa mère est encore sa plus grand fan, quoiqu’elle ait un intérêt assez peu poussé pour la poésie. Mais tout ce que fait Areo est toujours grandiose pour elle, alors autant qu’il s’en tienne à ce qui l’intéresse lui. Ollie elle écoute distraitement le plus souvent, peut-être même qu’elle n’écoute pas, mais il sait pas, il se sent plus inspiré quand elle est là. « And wilt thou leave me thus, That hath loved thee so long In wealth and woe among? And is thy heart so strong As for to leave me thus? Say nay, say nay!
And wilt thou leave me thus, That hath given thee my heart Never for to depart, Nother for pain nor smart; And wilt thou leave me thus? Say nay, say — » Olivia finit par l'interrompre avant la fin, pour rire délicatement de la puissance dramatique qu'il confère à ces vers qu'il s'approprie pour quelques minutes. Elle ne comprend pas, pas plus que lui d'ailleurs, la détresse que ces mots peuvent contenir, le désespoir qui imprègne chacune des syllabes prononcées. Il ne s'adresse pas à elle, pas vraiment. Ollie elle a toujours été là. Ollie sera toujours là. Say nay, say nay… ❝ And I have leave to go of her goodness, and she also, to use newfangleness. But since that I so kindly am served I would fain know what she hath deserved ❞2003 & London Elle n’est pas restée finalement. Olivia elle s’est barrée un jour et il l’a juste plus revu. L’excuse c’est sûrement ses bras croisés et sa moue pas convaincue devant la une des journaux. Ils se sont bien consolés l’un l’autre quand ils ont vu le corps sans vie de Cedric Diggory devant l’entrée du Labyrinthe. Mais la convergence de leur esprit s’est arrêtée là. Elle pensait déjà à se battre, il a répondu qu’ils n’étaient pas encore sûrs qu’il y ait quelqu’un contre qui se battre. Elle a fait la gueule, à la Ollie. Elle a pas disparu tout de suite pourtant, ça a pris un peu plus de temps. Ça a pris quelques autres disputes, mais aussi quelques conversations parfaitement ordinaires autour d’une bièraubeurre. Un jour elle est juste plus venue. « ¿Dónde está tu novia? » Lançait sa mère de temps en temps, cornant la page du livre qu’elle avait sur les genoux, comme dans l’espoir de commencer une longue conversation. Mais Areo il relevait vaguement les yeux de son propre ouvrage à chaque fois et haussait les épaules :« She wasn’t my girlfriend mama. » La réplique perdant de son acidité à chaque fois, la fatigue, la mélancolie aussi, prenant la place de la défense adolescente trop bien rodée. « Pssh you know what I mean. Olivia, I liked her. » Me too mama, n'a-t-il jamais répondu, parce qu'il s'est jamais contenté de juste like Olivia et parce que la fierté meurtrie à sa subite disparition de la circulation, il a jamais su comment la panser. Y a qu’en déménageant dans son propre appartement à Londres qu’il s’est débarrassé des remarques, parce que Agostina, pas plus que lui, n’a jamais su oublier Ollie. Et puis elle est revenue quand il ne l’attendait plus. Mais il ne veut pas dire qu’elle est revenue Areo. Parce qu’elle avait peut-être les mêmes traits et le même don et la même voix, mais c’était pas la même personne. Elle l’a menacé de sa baguette, lui. Mais c’est même pas ça qu’il retient, c’est même pas ça qu’il l’a fait s’échouer au sol contre le mur quand ils sont partis, eux, ces thugs qu’elle a ramené avec elle pour l’intimider, le visage enfoui dans ses mains. Elle a brûlé la cabane dans le jardin, sa cabane, leur cabane et ça il lui pardonnera jamais, encore moins peut-être que son nouveau tatouage, que cette fouille illégale qu’il lui a fait subir et qui l’a laissé humilié. Elle peut bien faire ce qu'elle veut, s'agenouiller devant qui elle veut, même si c'est tellement étrange venant d'elle, tellement bizarre qu'il a d'abord eut peur pour elle en la voyant, se demandant ce qu'ils avaient bien pu lui faire pour la forcer à les rejoindre, elle qui l'a écarté de sa vie sous prétexte qu'il ne voulait pas se battre contre Voldemort. Mais ce qui est impardonnable, c'est d'avoir donné l'ordre d'effacer leur cachette à eux et tout ce qu'elle représente. C'est d'avoir tiré un trait sur eux. Sa meilleure amie a disparu, y a qu’une garce finie à sa place, qu’il refuse de reconnaître comme Ollie. « She's gone Mama, she's dead. » ❝ By proof, I say, there did I learn: Wit helpeth not defence too yerne, of innocency to plead or prate. Bear low, therefore, give God the stern ❞2000-2004 & London « Aren’t the Howards and Selwyns related? » Il se redresse un peu sur sa chaise devant le regard curieux de la sorcière à la défense, soudain trop conscient de son manque de manière. « I’ve heard the rumours… » Il ne s’attendait pas à voir le sujet abordé, pourtant c’était assez prévisible ; il a du perdre de son vieux talent en divination. Ou peut-être qu’il a jamais été bon, juste doué pour faire semblant devant Trelawney. « They aren’t rumours, I reckon simply opening a history textbook would tell you the answer. — You mean a muggle history textbook? » Il comprend son erreur un peu trop tard, quand elle le regarde sans ciller pendant trop longtemps et qu’il se sent forcé de baisser un peu la tête. Jemma Howard collabore avec le régime, forcément, sinon elle ne serait pas là aujourd’hui dans son grand bureau, toujours très demandée par l’élite aux nombreux problèmes juridiques. Mais apparemment Jemma Howard n’aime pas trop ce genre de remarques condescendantes sans le vouloir. Areo trouve le courage de reprendre la parole malgré le regard brûlant de la sorcière à la défense. « In any case, yes, I suppose we are related but to a degree so great it must make us related to half of England if not Britain. » Le petit sourire ne trouve pas échos sur le visage neutre de sa vis-à-vis. Tant pis, il aura essayé. Il faut dire que ça l’agace un peu cette histoire et qu’il n’a pas très envie de s’y attarder. Ce n’est que parce que leurs ancêtres ont été connus à un moment donné - au moment crucial en fait où leurs lignes se sont rencontrées - qu’il est possible de tracer leur arbre jusqu’à ce fameux point de rencontre: Mary Boleyn, fille d’Elizabeth Howard. « And are you prepared to work for your mixed-bred relatives? » Il ne sait pas trop si elle plaisante ou pas — elle n'a pas l'air d'être le genre de femme qui a le trait d'humour facile — alors il n’ose pas rire ce qui est dommage parce que ç’aurait été un excellent moyen de masquer son malaise. Jemma n’est une Howard que par mariage, ils n’ont aucun lien du tout. Et ça présence ici, n'a rien avoir avec ces histoires de prétendue parenté. « I’m prepared to work for you. See I’ve heard you’re the best there is. » Ce n’est pas tout à fait vrai. Mais ce qu’il voulait Areo c’était se trouver un bon boulot, intéressant et surtout surtout sans l’aide de ses parents, ni de son nom, ni de son argent. Vu toutes les questions sur ses ancêtres, ça semble cependant assez compromis. « Report to work tomorrow at 8.» Lui, il s’attendait à lui faire office d’apprenti. À apprendre les ficelles du métiers. À devenir sorcier à la défense un jour peut-être. Et c’est pas vraiment exclu, parce que mine de rien, il apprend les secrets du métier, mais pas en préparant les plaidoiries de Jemma ou en passant des heures dans les archives du Magenmagot, pour trouver de la jurisprudence. Ce n’est pas évident de décrire ce qu’il fait pour Jemma exactement, parce que la liste est trop longue, la description du job changeant tous les jours. « What is it you do there? What is it you do? » N’arrêtent-ils pourtant pas de lui demander, comme si c’était si important de connaître les détails de ses baguenaudes pour le compte de Mrs Howard. Beaucoup auraient été contents d’avoir un fils qui s’occupe, qui gagne sa vie alors qu’il n’en a pas besoin. Beaucoup se consoleraient largement de savoir que leur fils a quelque chose de stable, qu’il travaille pour un bon cabinet de sorciers à la défense. Surtout après la guerre, ils devraient s'estimer heureux qu’il ne se retrouve pas au chômage et qu’il travaille pour des gens suffisamment malins pour s’en être sortis. Mais pas les Selwyn. Peut-être que c’est encore cette histoire de lien de parenté qui chiffonne Henry. Les Howard et Selwyn ont définitivement des racines communes. Mais quand Areo s’est fait engager, certains étaient purs et très respectés, tandis que les autres, quoique tout aussi riches, n’étaient que de sang mêlé et le souvenir de leur noblesse s’était perdu quelque part à travers les siècles. Certains avaient gardé le joli patronyme aristocratique et les autres avaient conservé la réputation chez les sorciers. Ce qui est assez drôle c’est que quoiqu’on retienne encore aujourd’hui les Selwyn comme étant les descendants des sorciers qui se sont le plus rapprochés du trône d’Angleterre, les Howard sont historiquement plus nobles. Henry Selwyn, mordu d’histoire, n’a jamais trouvé ça très drôle lui. Areo a depuis longtemps appris que whatever means necessary veut vraiment dire whatever means necessary. Et quand ça vient de Jemma, ça veut vraiment dire qu’il n’a pas intérêt revenir au bureau sans avoir ce qu’elle a demandé. Ce n’est pas dur à comprendre comme concept et après la surprise première face à certaines des tâches requises de lui, il s’y est plutôt bien plié. Mais y a deux trois choses parfois qui le laissent un peu…perplexe. Pas très longtemps bien sûr, parce que son boulot il y tient, bizarrement. Comme à Jemma à qui il est définitivement loyal. « Our guy’s innocent and this guy’s guilty, we know it the prosecution knows it, we’re just lacking…evidence. » Deux sourcils arqués et un signe de la main de Jemma plus tard il est dans la rue, un café dans la main, assis sur un muret devant l’immeuble où a eu lieu ledit crime. Il réfléchit. On lui a souvent dit qu'il était malin comme type Areo. Pas super intelligent, pas le plus cultivé de tous, ni le plus débrouillard, mais malin quand même, surtout quand il s’y met. Alors il avale son café et décide de s’y mettre. Il a déjà lu trois fois le dossier qui a atterri sur le bureau de Jemma il y a deux semaines, pour l’aider à trouver une faille dans l’argumentation de l’accusation. Y avait rien qui sautait aux yeux, mis à part ce que Jemma a dit. On sait qui est vraiment responsable, on manque juste de preuve. À ses débuts à Howards LLP il aurait jamais pensé à l’évidence qui lui saute désormais aux yeux: quand on a pas de preuve, on en fait. Et puis l’autre gars, il est vraiment coupable tout le monde le sait, et puis l’autre gars c’est pas lui qui paye le cabinet pour le défendre alors on s’en fout. Il saute sur ses pieds, il a trouvé son plan, il a juste besoin du matériel nécessaire. « Can I take care of your plate Mr Salvatore? — You look familiar. — I’m told I have a very common face. » Ce n’est pas vrai du tout, mais c’est vrai qu’il ment beaucoup mieux qu’Ollie à l’époque - la pire menteuse du monde - et c’est vrai que Mr Salvatore n'en rien à cirer que son serveur lui semble familier alors il peut récupérer son assiette à moitié vide et retourner vers les cuisines. Il laisse quelques galions tomber dans la main du garçon qui a bien voulu lui prêter son tablier et se tire par la porte de service. « Is this really necessary? We’ve looked at the scene already. — But the records we’ve got from the investigations show you haven’t looked at any fingerprints from the scene, it can be constitutive of a mistrial if — if proven that there was negligence. » Soupir agacé du membre de la Brigade de Police Magique. « We’ve established that considering the lack of overall DNA on the crime scene was sufficient to indicate that no further research on that front was necessary, but have it your way… » C’est qu’on a l’habitude avec Jemma Howard et qu’on sait qu’elle ne lâche jamais rien, alors parfois il vaut mieux céder, même quand on n'en pas très envie, juste pour pas qu’elle nous ait à l’usure. Parce que c'est certain que c'est ce qui finira par arriver. Ça prend du temps et finalement c’est à son bureau qu’on vient lui annoncer les résultats des recherches que tous prévoyaient déjà infructueuses. « Well, Mrs Howard it appears we’ve found something now, Mr Salvators fingerprints on the bathroom's towel rack ; it suggests he may have forgotten to put his gloves back on straight away… Your client might yet be off the hook. » Et à ses collègues: « I really don’t know how she pulled that one. » Et elle non plus finalement, parce qu’elle n'a rien demandé à Areo. Elle lui demande jamais rien sur les moyens employés, il a carte blanche pourvu que le résultat soit celui escompté. ❝ I have seen them gentle, tame, and meek, that now are wild, and do not remember that sometime they put themselves in danger ❞december 2003 & London Il se souvient de ses couettes et de sa voix stridente et de sa moue boudeuse et de son insatiable curiosité et de ses petites crises et de ses fausses larmes devant les parents. Il se souvient de la morveuse, de l’incapable, de l’inutile, du bébé, qui ne savait rien à rien, de celle qui se moquait de lui quand il récitait des vers ou jouait de la basse dans sa chambre prétendant que c’était “l’instrument le plus nul du monde”. Elle a jamais rien compris à la musique et à l’art, de toute façon. Il se souvient aussi du carnet rose bonbon qu’elle trainait partout avec elle, mais qu’il a réussi à voler une ou deux fois, pour lire les saletés qu’elle avait écrit à son sujet - et y en avait beaucoup. Il a beaucoup de souvenirs d’Ines, mais c’est pas tout à fait la même personne qui se présente sur le perron d’Allington Castle en janvier 2004. C’est bien Ines qui l’appelle Ari dès qu’elle le revoit et qui lui tombe dans les bras et qu’il serre fort contre lui. C’est bien Ines qui lui raconte les années perdues, les années où les parents l'ont cru bien à l'abri à l'étranger. Lui il savait que ce n'était pas tout à fait vrai, mais il ne savait pas à quel point elle était engagée, impliquée directement dans le conflit. Il la croyait simple passeuse, pas véritable insurgée. Et c’est tant mieux qu’il ne l'ai su qu’ après les faits, après l’avoir revue saine et sauve, couronnée de gloire, parce que sinon, lui, qui n’avait rien avoir avec toutes ces histoires politiques, il aurait foncé dans le tas pour récupérer sa petite sœur et serait sûrement mort quatre fois en cours de route. Mais ça ne l’a pas empêché de s’inquiéter rétroactivement, de réagir vivement à son récit, de la cajoler, d’être content, si content de la retrouver, elle la gamine, la morveuse. Mais Ines a grandi. Il l’a reconnu tout de suite à la porte de la maison, mais elle a beaucoup changé, ça serait presque une adulte désormais et puis surtout elle ressemble beaucoup à Maman. Cette dernière n’est pas là pour l’accueillir, pas plus que Papa. Ils ne savent pas quoi faire de la fin de la guerre, comme ils n’ont jamais trop su quoi faire de la guerre en elle-même. Alors Maman est partie se ressourcer en Espagne et Papa s’est réfugié dans le travail. Mais Ines est là donc Agostina est revenue pour sa précieuse et Henry a pris un congé. Et même si on s’en fiche et que l’important c’est qu’elle soit-là, le retour d’Ines a eut l’avantage non-négligeable de leur permettre de conserver leur beau château et une petite partie de leur fortune. N’est pas héroïne de guerre qui veut. Il ne l’aurait jamais cru Areo, voir Ines leur être aussi utile un jour et il se moquerait gentiment d’elle si elle n’était pas un peu malade, alitée la plupart du temps, si quand il allait au travail il ne passait pas la moitié de la journée à penser à sa petite sœur, au bébé qui est devenu grand, aux années qu’il a manqué à ses côtés, à tous ces souvenirs qu’ils n’ont pas pu partager. Mais il est heureux qu’elle soit-là, qu’elle aille à peu près bien, qu’ils aient un futur au moins pour rattraper le temps perdu.
Dernière édition par Areo Selwyn le Ven 10 Fév 2017 - 0:23, édité 9 fois |
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HUNTED • running man Olivia Hayek ‹ disponibilité : always.
‹ inscription : 12/01/2017
‹ messages : 472
‹ crédits : blue comet, tumblr, mashrou leila.
‹ dialogues : #D1A271 pour ollie, salmon pour ines.
‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.
‹ âge : vingt-six (20/05)
‹ occupation : en fuite.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1987 et 1995.
‹ baguette : est celle d'Ines, courte et souple, composée de bois de chêne et ayant en son coeur une plume de phénix.
‹ gallions (ʛ) : 3027
‹ réputation : je suis un peu perturbée. Manipulatrice, j'ai un humour plus que douteux mais j'étais un bon petit soldat côté Mangemort durant la Guerre. Je trolle le Gouvernement sur MSN et personne ne sait vraiment où je suis. Ines est quant à elle héroïne de guerre, jeune femme volontaire et utile qui a ramené de nombreux sorciers étrangers pendant la Guerre, et qui se faisait appeler Shrimp parmi les Pacifistes.
‹ particularité : métamorphomage, et un peu pas très douée dans le domaine. Je suis aussi maudite. La malédiction, au lieu de me nourrir en magie comme avant, draine ma magie et mon énergie vitale progressivement.
‹ faits : je suis la fille d'un Auror respecté, et la soeur adoptive d'un autre. J'étais Briseuse de Sorts mais après une mauvaise altercation avec un artefact de magie noire, je me suis tournée vers les arts obscurs pour ne jamais en revenir, allant jusqu'à prendre la Marque lors de ma quête de pouvoir.
Je suis désormais en fuite, prenant l'apparence de la petite soeur d'un ancien ami à moi pour qu'il me protège. Mon faux nom est Ines Selwyn, une héroïne de la guerre. Je me drogue à l'Aderall pour optimiser ma concentration et mon utilisation de mon don.
‹ résidence : chez Areo, sur le Chemin de Traverse.
‹ patronus : impossible à invoquer.
‹ épouvantard : un énorme serpent.
‹ risèd : Naz, l'amour de ma vie.
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WIZARD • always the first casuality Nao Chang | | | | |
HUNTED • running man Olivia Hayek ‹ disponibilité : always.
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‹ crédits : blue comet, tumblr, mashrou leila.
‹ dialogues : #D1A271 pour ollie, salmon pour ines.
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‹ âge : vingt-six (20/05)
‹ occupation : en fuite.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1987 et 1995.
‹ baguette : est celle d'Ines, courte et souple, composée de bois de chêne et ayant en son coeur une plume de phénix.
‹ gallions (ʛ) : 3027
‹ réputation : je suis un peu perturbée. Manipulatrice, j'ai un humour plus que douteux mais j'étais un bon petit soldat côté Mangemort durant la Guerre. Je trolle le Gouvernement sur MSN et personne ne sait vraiment où je suis. Ines est quant à elle héroïne de guerre, jeune femme volontaire et utile qui a ramené de nombreux sorciers étrangers pendant la Guerre, et qui se faisait appeler Shrimp parmi les Pacifistes.
‹ particularité : métamorphomage, et un peu pas très douée dans le domaine. Je suis aussi maudite. La malédiction, au lieu de me nourrir en magie comme avant, draine ma magie et mon énergie vitale progressivement.
‹ faits : je suis la fille d'un Auror respecté, et la soeur adoptive d'un autre. J'étais Briseuse de Sorts mais après une mauvaise altercation avec un artefact de magie noire, je me suis tournée vers les arts obscurs pour ne jamais en revenir, allant jusqu'à prendre la Marque lors de ma quête de pouvoir.
Je suis désormais en fuite, prenant l'apparence de la petite soeur d'un ancien ami à moi pour qu'il me protège. Mon faux nom est Ines Selwyn, une héroïne de la guerre. Je me drogue à l'Aderall pour optimiser ma concentration et mon utilisation de mon don.
‹ résidence : chez Areo, sur le Chemin de Traverse.
‹ patronus : impossible à invoquer.
‹ épouvantard : un énorme serpent.
‹ risèd : Naz, l'amour de ma vie.
| ON PENSAIT POUVOIR M'AVOIR!!!!!!!!!!!!!!!! MAIS NON LE EST PLUS FORT QUE TOUT |
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WIZARD • always the first casuality Nao Chang | | | | |
WIZARD • always the first casuality Areo Selwyn | vous me fatiguez…… j'vous aime toutes les deux (et ptn le gateau c'est trop beau pour être vrai ) (mets le dans ta sign lola (: ) |
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HUNTED • running man Olivia Hayek ‹ disponibilité : always.
‹ inscription : 12/01/2017
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‹ dialogues : #D1A271 pour ollie, salmon pour ines.
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‹ âge : vingt-six (20/05)
‹ occupation : en fuite.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1987 et 1995.
‹ baguette : est celle d'Ines, courte et souple, composée de bois de chêne et ayant en son coeur une plume de phénix.
‹ gallions (ʛ) : 3027
‹ réputation : je suis un peu perturbée. Manipulatrice, j'ai un humour plus que douteux mais j'étais un bon petit soldat côté Mangemort durant la Guerre. Je trolle le Gouvernement sur MSN et personne ne sait vraiment où je suis. Ines est quant à elle héroïne de guerre, jeune femme volontaire et utile qui a ramené de nombreux sorciers étrangers pendant la Guerre, et qui se faisait appeler Shrimp parmi les Pacifistes.
‹ particularité : métamorphomage, et un peu pas très douée dans le domaine. Je suis aussi maudite. La malédiction, au lieu de me nourrir en magie comme avant, draine ma magie et mon énergie vitale progressivement.
‹ faits : je suis la fille d'un Auror respecté, et la soeur adoptive d'un autre. J'étais Briseuse de Sorts mais après une mauvaise altercation avec un artefact de magie noire, je me suis tournée vers les arts obscurs pour ne jamais en revenir, allant jusqu'à prendre la Marque lors de ma quête de pouvoir.
Je suis désormais en fuite, prenant l'apparence de la petite soeur d'un ancien ami à moi pour qu'il me protège. Mon faux nom est Ines Selwyn, une héroïne de la guerre. Je me drogue à l'Aderall pour optimiser ma concentration et mon utilisation de mon don.
‹ résidence : chez Areo, sur le Chemin de Traverse.
‹ patronus : impossible à invoquer.
‹ épouvantard : un énorme serpent.
‹ risèd : Naz, l'amour de ma vie.
| done, jtm, arrête le flood, finis ta fiche et aime-moi bsx. |
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WIZARD • always the first casuality Joanne St John ‹ inscription : 20/01/2017
‹ messages : 296
‹ crédits : eledhwen pour l'avatar et crackle bones pour la signature.
‹ dialogues : steelblue.
‹ âge : trente-huit ans.
‹ occupation : Elle est conseillère au cabinet du ministre, c’est une position idéale pour elle puisqu’elle est au cœur de l’action politique du moment. Son mentor - un homme proche du ministre actuel - l'a hissé jusqu'à ce poste, il compte beaucoup sur elle et elle, elle compte beaucoup sur leurs erreurs pour un jour être en haut du podium. Elle prend ce travail très à cœur et essaie de glisser ses propres idées. Si elles sont ignorées pour l’instant, elle ne désespère pas à se faire entendre un de ces jours. Elle siège également en tant que juge au magenmagot principalement parce que ça lui permet de se rapprocher de la population sorcière en s’occupant des affaires courantes. Tout est un moyen pour gagner la confiance des gens.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1977 et 1984.
‹ baguette : Sa plus fidèle compagne. Elle est en bois de frêne, elle contient du crin de licorne et mesure vingt-cinq centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 3172
‹ réputation : Aux yeux des siens, c’est une lâche, elle n’a pas cherché à retrouver Rohan quand on lui a annoncé qu’il n’était peut-être pas mort et elle n’a pas pris les armes pour combattre le gouvernement de Voldemort alors que sa sœur l’aurait fait, mais elle n’est pas Alison et ne le sera jamais. Aux yeux des autres, c’est une garce parce que c’est elle avant tout le reste, parce que c’est une grande gueule qui n’hésite pas à vous enfoncer dès qu’elle en a l’occasion. Si vous ne lui êtes plus utile, elle va se débarrasser de vous sans aucun remord. Lyanna c’est une main de velours dans un gant de fer. Elle sait que se comporter comme ça est indispensable pour monter en grade.
‹ particularité : aucune.
‹ résidence : elle a un appartement sur le chemin de traverse.
‹ patronus : C’est un sort qu’elle a du mal à faire aller jusqu’au bout, sa baguette ne produit que des volutes argentées, rien de plus. Ses souvenirs heureux sont toujours parasités par le visage ensanglanté d’Alison.
‹ épouvantard : Même après tout ce temps, son épouvantard prend la forme des cadavres de la famille Helvar parce qu’elle n’a jamais réussi à faire son deuil.
‹ risèd : Elle a des rêves de grandeur. Elle s’est toujours vu ministre de la magie alors son risèd la montre assise sur le siège qu’occupe l’autre guignol avec un grand sourire sur les lèvres.
| Lola jpp de toi REBONJOUR MONSIEUR ptain j'ai hâte de voir ce perso en action et de lire vos plans (encore) (on va avoir mal ?) (jpp de vous sérieux ) En tout cas fais comme chez toi |
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WIZARD • always the first casuality Even Li ‹ disponibilité : dispo !
‹ inscription : 29/01/2017
‹ messages : 766
‹ crédits : neo venus.
‹ dialogues : sienna.
‹ âge : 18 yo (19.12.85).
‹ occupation : ancien élève de Mahoutokoro, 1er cycle achevé au RU par correspondance (vitmagic). désormais étudiant à la WADA cursus Arts visuels. jobbe en tant qu'animateur au CEPAS en semaine et au dirico express le samedi (club d'art pour une ribambelle de gosses qu'il adore).
‹ scolarité : 1992 à aujourd'hui.
‹ baguette : cerisier, 27cm, écailles de kappa.
‹ gallions (ʛ) : 3664
‹ réputation : party boy, slut assumée, toujours partant pour des hook up sans signification et probablement un brin obsédé par le sexe, sans limite, dork en compagnie de ses potes, skater taré, doué avec les gosses, artiste prometteur.
‹ faits : - personnalité:
steven jiélùn li, dit even • pyrokinésiste • il porte le nom de sa mère, sorcière pangcah (taïwanaise), plutôt que le "Matsuoka" hérité de son père (japonais) • il a 4 soeurs • tyrannisé à l'école, il a fait une tentative de suicide à 13 ans et est encore aujourd'hui terrifié par le vide. • il a un soft spot pour les gosses mal aimés de son club d'art. • sa famille paternelle est propriétaire de Shape the Future (grand groupe spécialisé en technomagie), où sa mère travaille en tant que directrice marketing de la branche brit. son père a délaissé l'entreprise familiale au profit de sa passion pour l'art et est désormais directeur de la Wada. sa soeur aînée est créatrice de mode, la cadette ingémage chez des concurrents, tandis que les deux dernières sont encore aux études.
- vu par le monde:
Even est de ces jeunes qu'aucun adulte ayant une vie stable et un boulot respectable ne prend au sérieux. de ces énergumènes aux fringues déchirées et aux piercings jugés rebutants, évoluant au sein de bandes qui dérangent l'ordre social, qu'on qualifie de punks et que l'on considère comme d'éternels adolescents attardés. on le fixe avec un agacement mêlé de dédain losqu'il déambule dans les rues avec sa planche coincée sous un avant-bras peinturluré, on le blâme lorsque les roues sales souillent les coussins d'un café, on l'accuse de risquer de cogner les passants lorsqu'il slalome à vive allure parmi la foule, on s'exclame qu'il est complètement inconscient quand il perd le contrôle en plein trick et que son board file entre les pattes des pauvres badauds (ou fait un vole-plané dans une vitrine) après l'avoir envoyé heurter une calèche de plein fouet. on dévisage ses membres couturés de cicatrices, d'égratignures ou pire, et ses genoux ouverts, en le traitant de casse-cou infréquentable. il s'en fiche, ces gens là ne comprennent pas la passion, refusent de voir que c'est un mode de vie, un vecteur de culture, un regard sur la ville et l'architecture. c'est une chose qu'on lui reproche aussi, d'ailleurs : de sembler se foutre de tout. héritier de culture fun et d'une contre-culture urbaine devenue street culture, adepte de pratique sauvage, obnubilé par l'esthétique underground, revendicateur d'un idéal libertaire. lorsqu'une girlfriend exigeant plus d'attention ou un rabat-joie critique le prend de haut, il soupire lourdement et réplique irrémédiablement, avec une patience feinte : "you don’t understand, mom. it’s not a phase. this is who I am."
il a toujours un appareil photo, des multiplettes ou un pinceau au bout des doigts • big softie sous ses allures punk • aime être sous les feux des projecteurs lorsqu'il est dans son élément mais devient socially awkward et mal à l'aise avec les gens aussitôt qu'il doute de lui-même. • praise kink • il préfère cependant se tenir derrière la caméra plutôt qu'être mis en avant. • dents de lapin, sourire de bunny. • veut devenir photographe pro. • poste des cover de chant et de danse sur son msn pour satisfaire ses autres passions. • trop d'alcool, trop de sexe, trop d'orviétan, trop de boissons énergisantes. il ne peut pas s'empêcher d'abuser, bien qu'il ait vu sa sœur Lily frôler la mort à cause d'une overdose. • ses potes et lui sont adeptes de bodypainting et font office de toiles humaines les uns pour les autres. • a l'air mort quand il dort. • infoutu de cuisiner, vit de bouffe à emporter et de gras de fast food. • passe un quart de son temps au skatepark, un autre à l'Espresso Patronum, et sèche beaucoup trop les cours pour son bien. • il a un caméléon (kowalski) et mickey et lui ont adopté d'autres animaux, dont un hérisson et un chien.
‹ résidence : vit au Sawl Yard, dans un appart pour deux avec son bff Rhee Min Ki (aka Mickey), rentre chez ses vieux un week-end sur deux environ.
‹ patronus : un kappa, encore une fois. Son animal totem, décidément : très protecteur de son territoire.
‹ épouvantard : ses proches privés de mémoire. Depuis qu'on leur a rendu un Shin tout sauf lui-même, Even s'aperçoit qu'être totalement oublié par quelqu'un qu'on aime est presque aussi terrible que le perdre à jamais... ou peut-être pire.
‹ risèd : quelque chose ayant trait à son paternel, probablement, mais Even préférerait crever plutôt que l'avouer.
| CE NOM DE SHIP ??? REBIENVENUE, amuse-toi bien avec ton nouveau bb |
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