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sujet; malec#5 - here comes the night time.

OUTCAST • all hail the underdogs
Alexander Howard
Alexander Howard
‹ disponibilité : always
‹ inscription : 13/12/2016
‹ messages : 437
‹ crédits : sophy, jiji, tumblr.
‹ dialogues : #666A99
malec#5 - here comes the night time. - Page 3 Siri-why-does-god-allow-suffering

‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.


‹ âge : vingt-cinq (03/07).
‹ occupation : receleur d'animaux illégaux.
‹ maison : poufsouffle
‹ scolarité : 1979 et 1996
‹ baguette : est longue de vingt-trois centimètres virgule quatre, est en bois de chêne et contient une plume de phénix.
‹ gallions (ʛ) : 3414
‹ réputation : je suis un traître, qui a un jour été un allié de la Résistance. Aujourd'hui je ne suis plus personne.
‹ particularité : bipolaire.
‹ faits : j'ai rejoint les Audacieux après la Bataille de Poudlard, me suis fait attraper et vendre comme Rebut et ça m'a traumatisé à vie. Revenu parmi les Insurgés, j'ai commencé à faire du traffic d'informations avec certains Collaborateurs, mais on m'a donné une fausse information et j'ai mené six de mes amis à leurs morts. J'ai été rejeté des Insurgés après ça. Je n'ai pas participé à la Bataille de Poudlard, je possède un chien, et je n'aime pas trop les vieux mauvais souvenirs.
‹ résidence : dans une petite chambre au dernier étage d'un immeuble du Chemin de Traverse.
‹ patronus : parfois impossible à invoquer, sinon il prend la forme d'un chat.
‹ épouvantard : une étendue aqueuse.
‹ risèd : un sourire sincère sur mon visage, et ma famille réunie.
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Elle le repousse doucement et y'a comme un spasme dans la poitrine d'Alec jusqu'à ce qu'il entende son rire et qu'il se détende. Il s'inquiète vraiment d'un rien quand y'a Mafalda dans l'équation, et c'est un peu inquiétant. C'est sans doute pour ça que le simple fait que Trishna l'ait follow sur MSN l'ait tant perturbé, l'ait fait réagir un peu stupidement. Il n'aurait pas dû mentir, il le réalise maintenant, mais bon, le mensonge a l'air de tenir la route alors... il sait que ce n'est pas une bonne manière de réfléchir et une part de lui lui rappelle ce que Kat lui disait toujours, que la vérité finissait toujours par exploser à la face des gens, c'était ce qui s'était passé avec Voldemort et Harry Potter en 96 par exemple. On pouvait additionner tous les mensonges ça servait à rien parce que la vérité finissait toujours, toujours par revenir sur le plateau.
Oh Merlin. “ This, Alec this is amazing…I did participate, I really want to go… I can’t believe you did this for me it’s… ” Il se force à sourire, à repousser ses pensées sur ses propres mensonges. Elle ne veut toujours pas s'emparer des tickets, ce qui lui semble un peu étrange, mais il les garde toujours en l'air au cas où. Il se doute qu'elle ne va pas les refuser, Mafie est littéralement observée par les WD. “ It’s waaaaaay too much! I mean it must have been hella expensive, I don’t… ” Alec ne veut même pas penser à ce qu'il a dépensé pour acheter ces billets. Mais au moins ils sont legit. Plus ou moins. C'est très possible que d'autres noms que les leurs soient inscrits dessus mais for the sake of it, il les a modifiés d'un sortilège our que ce soit les leurs. Mafie ne remarquera rien quand ils iront à l'évènement.

Oh Merlin. Il s'empêtre vraiment dans ses mensonges. Mais comment lui expliquer son travail est illégal donc que si il a récupéré des tickets à travers un collègue c'est que, forcément, c'est un peu shady?  “ Are you sure about this? ” Il hausse les sourcils. “ Of course I am, ” répond-t-il sans manquer un battement, souriant légèrement en sentant les doigts de Mafie qui laissent derrière eux des traînées de flamme sous sa peau.  “ I meant it though, you’re the best boyfriend for having even thought of it, and I love you.Those words again. Même après ce qu'ils se sont dits, Alec serait prêt à freak out là, devant elle, si elle n'était pas si proche. Elle a des yeux vraiment bleus et elle est vraiment belle. “ Tickets or no tickets. Well in that case, ” dit-il, comme si il allait déchirer les billets sous ses yeux pour ne plus jamais en entendre parler; mais son léger sourire indique qu'il plaisante, bien entendu (ça lui a coûté plusieurs centaines de Gallions après tout). Il les dépose tout de même sur la table de nuit, à l'aveugle, ses yeux ne lâchant pas Mafie une seule seconde.

Elle l'embrasse, doucement d'abord, puis en l'attirant un peu plus contre elle et pour la énième fois, Alec se dit qu'il pourrait exploser en trois mille morceaux à cause de baisers comme ça, alors qu'il la serre contre elle, un bras passant sous elle et contre le canapé, pour s'assurer qu'elle n'aille pas trop loin. “ Okay but if you kiss me like that whenever I get you tickets, I might have to stop throwing away the ones from the bus I take to come here, ” murmure-t-il contre ses lèvres, sa bouche retournant embrasser sa mâchoire et son cou, légèrement, toujours avec ce petit sourire étiré. La main du bras qu'il n'a pas passé sous elle est toujours sur sa jambe, son pouce bougeant lentement sur sa cuisse, un peu plus haut qu'il y a quelques instants. “ I love you too, ” répète-t-il, les mots étrangers et un peu délicats sur sa langue, alors qu'il se redresse pour la regarder dans les yeux, un rien intense. Il est mal à l'aise de l'aveu, mais aussi très sincère. Il a l'impression que Mafie est le genre de personne qui a besoin de l'entendre et de toutes manières, c'est vrai donc il n'a pas grand chose à regretter. “ Homework or no homework, ” rajoute-t-il pour reprendre sa formulation, avant de se pencher pour l'embrasser de nouveau, délibérément et intensément lent dans chacun de ses gestes.
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HERO • we saved the world
Mafalda Weasley
Mafalda Weasley
‹ inscription : 26/08/2016
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‹ dialogues : #996666
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‹ âge : vingt-et-un (02/06)
‹ occupation : étudiante au CEPAS bientôt diplomée, membre de la War Victims Charity et VP de la Youth Doonist League
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1994 et janvier 1999.
‹ baguette : mesure vingt-sept centimètres, est en bois de hêtre et contient une plume de phénix..
‹ gallions (ʛ) : 4082
‹ réputation : je suis une vraie weasley ou une fausse weasley selon que l'on regrette mon implication dans la résistance ou qu'on estime que je ne m'implique justement pas assez ; on trouve également que je suis une miss-je-sais-tout insupportable ainsi qu'une grande gueule qui braille sans cesse ; enfin nombreux sont ceux qui me voient comme une gamine qui aime trop jouer aux grandes. On se souvient également souvent de moi comme étant la fille qui a crisé quand on ne l'a pas nommée préfète.
‹ faits : je suis une Weasley de sang-mêlé puisque ma mère est une moldue, quoique par les temps qui courent ce n'est pas quelque chose qui se crie sur tous les toits. Il vaut mieux se munir de bouchons pour les oreilles si l'on veut passer du temps en ma compagnie. J'ai tendance à voler tous les livres qui me tombent sous la main peu importe que j'en connaisse le propriétaire ou pas. Je me suis inscrite au CEPAS pour passer BUSES et ASPICS à la fois avant de me lancer dans de grandes études de…je ne sais pas quoi.
Je suis la fan numéro un des Wand Direction.
‹ résidence : dans un studio dans le Londres moldu juste à côté du Chemin de Traverse.
‹ patronus : un poney shetland
‹ épouvantard : une colonie de cafards.
‹ risèd : sa famille, enfin réunie.
http://www.smoking-ruins.com/t5068-i-ll-recover-if-you-keep-me-a
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Well in that case ” il a l'air de dire ça comme s'il comptait s'en débarrasser, mais elle sait que c'est pas le cas — son petit sourire est déjà un bon indice —, alors elle ne fait que semblant d'être outrée et quand il a les mains libres, les billets posés sur la table basse, elle se saisit de nouveau de ses lèvres, rien ne comptant désormais plus qu'elle et lui. Elle ignore comment elle fait pour ne pas se briser quand il la serre contre lui en retour; elle ignore comment quoique ce soit d'autre au monde que lui peut avoir la moindre importance. “ Okay but if you kiss me like that whenever I get you tickets, I might have to stop throwing away the ones from the bus I take to come here ” Il laisse des traces brûlantes sur sa peau partout où se déposent ses lèvres, Mafalda n'est pas tout à fait novice dans ce jeu-là, mais elle pourrait l'être pour tout l'effet que ça lui fait, pour cette impression que tout son corps pourrait prendre feu d'un instant à l'autre, pour le besoin qu'elle a d'être encore plus près de lui, pour sa respiration tremblante et pour le désir qui grandit en elle, incontrôlable, provoqué par quelques simples baisers dans le creux de son cou et ses doigts qui bougent à peine sur sa cuisse. C'est déjà trop pour qu'elle puisse penser correctement, elle n'arrive même pas à sourire de sa blague ceci dit pas mauvaise, et pourtant elle a besoin de plus. “ I love you too” c'est encore ça qui la bouleverse le plus, il l'a déjà dit, il a dit tellement plus même, mais ça reste incroyable, ça reste magique, ça reste quelque chose dont elle a l'impression qu'elle ne se remettra jamais. “ Homework or no homework ” cette fois, elle sourit contre les lèvres qui s'approchent de nouveau pour l'embrasser. Elle ressent tellement de choses à la fois qu'elle a l'impression d'être sur le point d'exploser et en même temps elle ne les arrêterait lui et ses gestes douloureusement lents pour rien au monde. Déjà cette première fois après leur sieste, elle avait ressenti plus de choses en quelques baisers sur le comptoir de sa cuisine qu'en tout le temps passés dans les toilettes du centuries. Elle se souvient de ce qu'elle a raconté à Theodore, elle se souvient de ce qu'elle pensait à l'époque, c'était avant qu'elle sache que sa peau pouvait s'enflammer comme ça, en frissonnant tout à la fois.

Ses doigts s'agrippent partout où ils peuvent à sa nuque, au col de sa chemise, qu'elle voudrait lui arracher, juste pour le sentir plus près. Ils ont déjà renoncé aux devoirs, ne peuvent-ils pas renoncer à la MirrorTV, qu'elle aurait déjà parfaitement oublié si ce n'était pour le bruit de fond qu'elle émet, et au dîner ?  “Are you hungry or can we ditch dinner? ” Ils pourront toujours y revenir plus tard, certes les wings sont chaudes, mais...well, il n'y a pas qu'elles. Techniquement, elle voudrait bien changer tout le plan, même la partie makeout session on her couch. Elle pense que, elle comprend ce que c'est maintenant, de vouloir quelqu'un. Pas juste parce que tout le monde dit qu'il faut, pas juste parce qu'elle veut prouver quelque chose, pas juste parce qu'elle a besoin de réconfort, pas juste parce qu'il est là. Elle est sûre que ça ne sera pas comme avec Gregory, que ça sera mieux (ça ne peut de toute façon pas être pire), elle est sûre que..elle caresse sa mâchoire du bout de ses lèvres alors que ses doigts glissent sur sa colonne vertébrale pour chercher les pans de sa chemise et tenter de se faufiler dessous.  “You have taken me out couple of times now… ” souffle-t-elle dans sa nuque avant de s'écarter très légèrement, juste ce qu'il faut pour croiser son regard. Elle ne sait pas s'il se souvient, mais elle, elle se souvient d'à peu près tout ce qu'il lui a dit, surtout ce jour-là où ils se sont embrassés pour la première fois. Et ce n'est pas comme tout ce dont elle ne se souvient que grâce à sa mémoire eidétique qui ne fonctionne par définition qu'à l'écrit. Elle ne se souvient des mots précis d'Alec, que parce qu'elle se les est passés en boucle depuis, inlassablement, bien souvent c'est même la dernière chose qu'elle fait avant de s'endormir. Elle ne sait pas s'il se souvient du contexte, de quand elle l'a entraîné dans sa chambre et qu'il a rit après lui avoir demandé si elle ne voulait pas qu'il la take her out first, de quand, pensant qu'il dormait et embarrassée par tout ce que le fait de se réveiller près de lui provoquait en elle, il l'a murmuré de sa voix un peu groggy, sans moquerie cette fois après qu'elle se soit fustigée d'un fuck me. Il n'était adressé qu'à elle cette fois-là. Aujourd'hui, c'est pour lui.
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‹ âge : vingt-cinq (03/07).
‹ occupation : receleur d'animaux illégaux.
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‹ scolarité : 1979 et 1996
‹ baguette : est longue de vingt-trois centimètres virgule quatre, est en bois de chêne et contient une plume de phénix.
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‹ réputation : je suis un traître, qui a un jour été un allié de la Résistance. Aujourd'hui je ne suis plus personne.
‹ particularité : bipolaire.
‹ faits : j'ai rejoint les Audacieux après la Bataille de Poudlard, me suis fait attraper et vendre comme Rebut et ça m'a traumatisé à vie. Revenu parmi les Insurgés, j'ai commencé à faire du traffic d'informations avec certains Collaborateurs, mais on m'a donné une fausse information et j'ai mené six de mes amis à leurs morts. J'ai été rejeté des Insurgés après ça. Je n'ai pas participé à la Bataille de Poudlard, je possède un chien, et je n'aime pas trop les vieux mauvais souvenirs.
‹ résidence : dans une petite chambre au dernier étage d'un immeuble du Chemin de Traverse.
‹ patronus : parfois impossible à invoquer, sinon il prend la forme d'un chat.
‹ épouvantard : une étendue aqueuse.
‹ risèd : un sourire sincère sur mon visage, et ma famille réunie.
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Are you hungry or can we ditch dinner? ” Il s'en fiche du dîner, il n'a même pas faim de toutes façons, pas de wings en tout cas, il veut juste qu'elle l'embrasse, le touche encore, que ses doigts s'enfoncent dans sa nuque, qu'elle le serre contre lui. Alec ne s'est jamais plus senti désiré qu'avec Mafie, qu'en l'embrassant, qu'en la serrant dans ses bras et en la sentant enrouler les siens autour de lui. Désiré dans tous les sens du terme; c'est sans doute la seule personne au monde qui le fait se sentir à sa place quoiqu'il arrive, tant qu'elle est dans les parages. Et il est reconnaissant pour ça, parce que ça a toujours été un problème pour lui, surtout avec les autres, surtout dans ce cadre-là, alors qu'il se sent véritablement incapable de s'arrêter de l'embrasser ou de se détacher, pas maintenant qu'il lui a dit tout ce qu'il avait sur le coeur, pas alors qu'elle lui a dit qu'elle l'aimait, l'aimait vraiment, et pas juste pour les billets de l'EWS (parce qu'il a douté, pendant un instant, qu'elle ne le pense pas vraiment, bien entendu. Elle est absolument fan des WD et de tout ce qui se rapproche d'eux. Il a véritablement cru que les mots sont simplement sortis parce qu'elle était heureuse à la perspective de rencontrer ses idoles et puis... et puis il a compris qu'elle était sérieuse en lisant le reste de ses messages, d'où le freak out).
Ils continuent de s'embrasser et le monde a disparu autour d'eux, il n'existe plus que Mafie et ses mains et ses lèvres et sa cuisse nue et le fait qu'elle soit si proche et à la fois trop loin.

You have taken me out couple of times now… ” Il s'arrête et elle aussi, la regarde. Il a les sourcils froncés mais ce n'est pas parce qu'il ne s'en souvient pas, même si il ne se targue pas d'avoir la nerd memory de Mafie, il en a une bonne et puis... tout ce qu'ils se disent, tout ce qu'ils échangent, est gravé dans sa mémoire. Chaque épisode de mad banter, chaque pique, chaque blague est décortiquée, réutilisée, continuée quoiqu'il arrive; ils sont une alchimie de tailles, blagues privées et références obscures qui n'appartiennent qu'à eux et il aime ça, aussi, le côté secret de leur relation basée sur de vieilles plaisanteries qui datent de plusieurs années maintenant. “ Smooth, ” commente-t-il, sans pouvoir s'empêcher de rire légèrement, tant surpris que véritablement amusé. Il se penche lentement, pour retourner embrasser son cou, déposant ses lèvres là où son pouls s'agite, savourant pendant un instant la sensation de sentir à quel point son coeur bat vite, et fort et c'est à cause de lui (et non des wings) (enfin tout le monde l'espère). “ I'm not... ” Sa bouche descend dans son cou, l'encolure de son haut de pyjama jusqu'à la clavicule, l'extrême carré de peau offert par l'habit (pour l'instant) fermé. Sa main est lentement remontée le long de sa cuisse, les doigts se glissant superficiellement sous le short vers la hanche, avant de vite redescendre. She was right about one thing: he is a tease. “ ...too fussed about skipping dinner.

Understatement of the century très certainement. Il est très content de ne pas avoir ramené Dude cette fois, le chien aurait eu le don de casser l'ambiance; il n'y a que la MirrorTV qui grésille de son côté, mais elle pourrait lui hurler qu'il y a un nouvel orage magique que Alec ne détacherait pas ses yeux de Mafie alors qu'il se détache un peu pour faire un sort à son noeud papillon et ses boutons de chemise rapidement. Il ne peut s'empêcher d'appréhender et d'être timide, à cause du tatouage de Rebut éternel qui lui recouvre le torse quasi-entièrement et qui ne veut toujours pas s'effacer avec le temps, malgré le nombre indécent de sortilèges qu'il a utilisé en espérant mélanger l'encre noire à la peau, tout ça en vain. Mais Mafie l'a déjà vu le tatouage, de toutes façons, et puis il se doute qu'elle s'en fiche un peu en cet instant précis.
Il n'a pas le temps d'enlever la chemise de ses épaules parce qu'il tend déjà le cou pour l'embrasser encore, incapable de se retenir quand elle le regarde comme ça et est si proche, ses mains retrouvant leurs places sur ses cuisses, l'attirant un peu plus proche de lui, insatiable et incapable de se poser un stop cette fois parce qu'autant il la serre, autant elle se presse contre lui et cette sensation est intoxicante pour ne dire que ça.
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Mafalda Weasley
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‹ baguette : mesure vingt-sept centimètres, est en bois de hêtre et contient une plume de phénix..
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‹ réputation : je suis une vraie weasley ou une fausse weasley selon que l'on regrette mon implication dans la résistance ou qu'on estime que je ne m'implique justement pas assez ; on trouve également que je suis une miss-je-sais-tout insupportable ainsi qu'une grande gueule qui braille sans cesse ; enfin nombreux sont ceux qui me voient comme une gamine qui aime trop jouer aux grandes. On se souvient également souvent de moi comme étant la fille qui a crisé quand on ne l'a pas nommée préfète.
‹ faits : je suis une Weasley de sang-mêlé puisque ma mère est une moldue, quoique par les temps qui courent ce n'est pas quelque chose qui se crie sur tous les toits. Il vaut mieux se munir de bouchons pour les oreilles si l'on veut passer du temps en ma compagnie. J'ai tendance à voler tous les livres qui me tombent sous la main peu importe que j'en connaisse le propriétaire ou pas. Je me suis inscrite au CEPAS pour passer BUSES et ASPICS à la fois avant de me lancer dans de grandes études de…je ne sais pas quoi.
Je suis la fan numéro un des Wand Direction.
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Pendant une seconde Mafalda se demande s’il ne va pas se moquer d’elle ou la rejeter. Ça n’aurait pas vraiment beaucoup de sens et elle ne pourrait pas se l’expliquer s’il le faisait, pas plus qu’elle ne peut imaginer la moindre raison qui la pousse à penser ça, mais elle a un peu peur quand elle plonge son regard dans le sien. Peut-être qu’elle est trop subtile et qu’il ne va pas comprendre. Peut-être qu’elle ne l’est pas assez et ridicule. Peut-être, peut-être que c’est écrit sur son visage qu’elle ne sait pas comment ça se passe, parce que sa seule expérience se résume à un quicky dans les toilettes d’une boîte de nuit et qu’elle n’a pas du tout apprécié l’expérience en question et qu’elle ne sait pas si ça se fait de demander comme elle le fait, parce qu’avant la guerre sa mère coupait systématiquement les films et feuilletons aux moments cruciaux même si elle était plus si jeune que ça et qu’aujourd’hui elle regarde nettement moins la télévision, même sorcière et que de toute façon elle ne la croit plus sur parole. Elle se demande un peu s’il va pas la trouver needy. Il devrait, elle l’est. Tout le temps. Elle lui envoie trop de messages, et s’accroche trop à lui et le regarde trop intensément et, il va falloir qu’il réponde maintenant avant que le sang ne lui monte au visage. “ Smooth”  il rit un peu mais elle ne décèle aucune moquerie dedans et puis surtout ses lèvres retrouvent son cou, juste là où son sang court si vite qu’il fait littéralement trembler la veine contre sa peau et en même temps sa main continue lentement son escalade sur sa jambe. Elle relève le menton comme pour lui offrir un meilleur accès à sa peau dont la moindre fibre réclame l’attention d’Alec, son souffle est presque sifflotant.  

I'm not... ” Elle l’entend à peine, il se passe trop de choses à la fois, elle tremble presque quand les doigts d’Alec se glissent sous son short, ses propres doigts s’enfoncent dans sa nuque, elle ne respire presque plus quand ses lèvres viennent en même temps jouer avec la lisière de son décolleté. Et puis sa main disparaît et ses lèvres s'effacent. “ ...too fussed about skipping dinner. ” Elle pourrait le tuer de s’être éloigné comme ça, de jouer avec ses nerfs et ses hormones en vrac. “ What a tease.” fait elle plutôt agenouillée sur le canapé, les mains posées sur ses cuisses délaissées. Elle aimerait ne pas avoir un ton aussi agacée et whiney. Elle aussi elle pourrait être un tease  si elle n’était pas pressée, si elle n’avait pas besoin de le sentir contre elle, en elle. Il n’a pas l’air de vouloir la faire attendre trop longtemps ceci dit, parce qu’il ne se détache que pour défaire son nœud papillon et sa chemise, qu’il n’a même pas encore enlevée que ses lèvres s’accrochent de nouveau aux siennes et c’est elle qui l’aide à se débarrasser du vêtement le faisant glisser sur ses épaules sans que jamais ses lèvres ne s’arrachent aux siennes. Elle profite de ce que ses mains sont déjà sur sa peau nue pour explorer son torse, elle devine ce qu’il y a sous ses doigts même si c’est imperceptible au toucher et qu’elle ne la voit pas, elle devine la marque qu’elle a déjà vu sur son torse. Elle ne l’a jamais oubliée, elle la hait tellement pour ce qu’elle représente et en même temps elle poserait volontiers ses lèvres dessus si ça pouvait soulager Alec du poids qu’elle représente sûrement. De ses mains curieuses, elle se contente toutefois de la longer doucement pour nouer ses doigts à sa ceinture, alors que les mains d’Alec elles sont sur ses cuisses et l’attirent contre lui et elle s’y presse en retour, assise sur lui, un genou de part et d’autre de ses hanches. Elle joue un peu, comme lui, glissant ses doigts brièvement sous l’ourlet de son pantalon de costume, effleurant tout juste la peau à la frontière de son sous-vêtement avant de les retirer brusquement pour venir déboutonner son haut de pyjama. Ils sont peu assurés toutefois tremblant et trébuchant sur le tissus bleu nuit. Alec ne s’est pas moqué, Alec ne la voit pas comme une gamine, Alec l’aime, Alec wants this as much as she does. Alec a aussi cinq ans de plus, et son not-exactly-ex est beaucoup trop belle et adulte et elle a sûrement l’expérience qui va avec. Alec a…Ses doigts prennent le relai aussi simplement que ça, comme elle-même l’a débarrassé de sa chemise, il l’aide aussi, ils se complètent et il faut qu’elle arrête de réfléchir et c’est facile de ne penser qu’à sa peau nue contre ses doigts et à l’incendie qui se propage dans son corps et elle se laisse tomber dos contre le canapé, entraînant Alec avec elle, sur elle.


Dernière édition par Mafalda Weasley le Ven 19 Mai 2017 - 19:38, édité 1 fois
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‹ baguette : est longue de vingt-trois centimètres virgule quatre, est en bois de chêne et contient une plume de phénix.
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attention, ils commencent
à faire du sexe

Les doigts de Mafie sur son torse lui arrachent des frissons aussi terribles que plaisants. Il sait qu'elle sait pour le tatouage, la marque d'Appleton; elle l'a soigné, tous ces mois en arrière, et est sans doute la seule personne au monde à avoir vu cette marque sur sa peau, recouvrant la quasi-totalité de son torse. Alec s'attendrait presque à ce qu'elle se détache pour mieux l'observer (il serait gêné, se détacherait peut-être, malgré lui; il déteste cette marque presqu'autant qu'il déteste Appleton), parce qu'il a été si secretive la dernière fois, quand il était blessé, que ça a forcément dû piquer sa curiosité... mais non, elle l'embrasse, ses doigts laissant derrière eux des traînées de flammes sur la peau de son torse et de ses épaules. Il s'arrête de l'embrasser pendant un battement de coeur quand le bout de ses doigts se glissent sur son bas-ventre et qu'il doit reconnecter la moitié de son cerveau pour se remettre à fonctionner, l'attirant afin qu'elle soit encore proche de lui, la faisant s'asseoir sur lui et glissant ses mains sur ses cuisses, qu'il agrippe sans y penser quand les doigts de Mafie se glissent sous l'ourlet de son pantalon. Il a l'impression que tous ses nerfs sont en feu et qu'il va finir par exploser mais à la place, il ne l'embrasse que plus ardemment, se détachant seulement quand elle retire ses doigts de contre sa peau (y laissant un vide et un froid intenses) pour faire glisser hors de leurs attaches les boutons de son haut de pyjama.

Ses mains tremblent un peu, sont maladroites. Alec ne peut pas s'empêcher de se demander si elle est vierge ou si elle a la moindre expérience, et c'est un peu d'angoisse qui se noue au désir qui lui plombe l'estomac. Pourtant, il sait qu'elle veut ça, le veut lui, au moins autant que lui veut les deux; et quoiqu'il arrive, il n'a pas envie qu'elle ait l'impression d'être inadequate ou trop gamine ou insuffisante ou whatever bullshit il a l'impression qu'elle ressent parfois alors ses doigts se mêlent aux siens avant de les remplacer, calmement, pour finir de lentement dénouer les attaches de son vêtement, révélant la peau pâle en dessous, dont Alec observe chaque centimètre carré avec révérence et le désir d'embrasser chaque parcelle de son corps jusqu'à ce qu'elle le supplie d'arrêter. Il finit de la déshabiller de son haut et s'apprête à embrasser la chair tendre entre ses seins jusqu'à remonter à son cou et sa bouche quand elle se laisse gentiment tomber sur le canapé, l'attirant dans sa chute et lui arrachant un petit sourire alors qu'il se penche pour lui dévorer le cou, descendant jusqu'à sa clavicule et menaçant d'aller plus bas encore, ses mains remontant de ses cuisses à ses hanches à sa taille jusqu'à ce que son pouce effleure le bas de sa poitrine, le geste toujours aussi délibérément lent que ses précédents mais hésitant, aussi, alors qu'il cherche son regard avec un léger froncement de sourcils. “ You okay? ” Elle est un peu fébrile mais lui aussi, il n'a pas envie de l'inciter à faire quelque chose qu'elle regretterait plus tard, et sans doute que ces doutes sont stupides quand elle lui a rendu chaque baiser, chaque caresse, mais c'est la moindre des choses de lui offrir une dernière porte de sortie pour qu'elle n'ait pas à le repousser brutalement plus tard si d'un coup elle change d'avis.

Mais non. Elle hoche légèrement la tête et Alec retourne l'embrasser, doucement et calmement, sans doute pour la rassurer parce que même si du coup lui aussi est fébrile parce qu'elle l'est un peu elle-même. Sa bouche recommence à descendre dans son cou, ses dents venant titiller à leur tour la peau, y laisser des marques roses qui s'effaceront en quelques minutes, ses mains retournant à ses cuisse pour en nouer une autour de sa taille alors qu'il continue sa lente descente. Ses lèvres viennent embrasser chaque partie de son torse, s'attardant sur sa poitrine pour en titiller les extrémités du bout de sa langue, avant qu'il ne reporte rapidement son attention sur ses côtes qu'il cajole, son bas-ventre qu'il effleure du léger stubble de son menton tandis qu'il relève les yeux vers elle une dernière fois. Puis ses mains descendent lentement, ses doigts effleurant plus qu'ils ne touchent la peau frémissante de sa taille pour aller desserrer l'élastique de son short, le faisant glisser le long de ses jambes pour l'en débarrasser. Ses mains sont sûres, ses gestes délibérés alors qu'il se redresse pour lui faire plier les jambes, retirer le vêtement, ses yeux ne lâchant pas les siens, ses paumes caressantes dès qu'elles le peuvent, épousant chaque forme, chaque courbe, chaque creux qu'elles rencontrent. Il en profite pour se débarrasser de ses chaussures rapidement (sans défaire les lacets, ce qui le stresse un peu, mais disons qu'il pense à autre chose en cet instant précis) avant de retourner cajoler le bas-ventre de Mafie, chaque petit baiser rapprochant encore plus sa bouche de la lisière du dernier sous-vêtement, dernier rempart qu'elle porte, ses baisers finissant par effleurer le tissu où elle est déjà brûlante, puis l'intérieur de sa cuisse, sa langue effleurant la peau sensible d'un flick presque provocateur, tout son corps frissonnant, enivré par la proximité de Mafie, son odeur, son désir et la manière que son corps a de réagir au sien.

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Mafalda Weasley
Mafalda Weasley
‹ inscription : 26/08/2016
‹ messages : 934
‹ crédits : whorecrux (av), jiji (gif)
‹ dialogues : #996666
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‹ âge : vingt-et-un (02/06)
‹ occupation : étudiante au CEPAS bientôt diplomée, membre de la War Victims Charity et VP de la Youth Doonist League
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1994 et janvier 1999.
‹ baguette : mesure vingt-sept centimètres, est en bois de hêtre et contient une plume de phénix..
‹ gallions (ʛ) : 4082
‹ réputation : je suis une vraie weasley ou une fausse weasley selon que l'on regrette mon implication dans la résistance ou qu'on estime que je ne m'implique justement pas assez ; on trouve également que je suis une miss-je-sais-tout insupportable ainsi qu'une grande gueule qui braille sans cesse ; enfin nombreux sont ceux qui me voient comme une gamine qui aime trop jouer aux grandes. On se souvient également souvent de moi comme étant la fille qui a crisé quand on ne l'a pas nommée préfète.
‹ faits : je suis une Weasley de sang-mêlé puisque ma mère est une moldue, quoique par les temps qui courent ce n'est pas quelque chose qui se crie sur tous les toits. Il vaut mieux se munir de bouchons pour les oreilles si l'on veut passer du temps en ma compagnie. J'ai tendance à voler tous les livres qui me tombent sous la main peu importe que j'en connaisse le propriétaire ou pas. Je me suis inscrite au CEPAS pour passer BUSES et ASPICS à la fois avant de me lancer dans de grandes études de…je ne sais pas quoi.
Je suis la fan numéro un des Wand Direction.
‹ résidence : dans un studio dans le Londres moldu juste à côté du Chemin de Traverse.
‹ patronus : un poney shetland
‹ épouvantard : une colonie de cafards.
‹ risèd : sa famille, enfin réunie.
http://www.smoking-ruins.com/t5068-i-ll-recover-if-you-keep-me-a
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You okay? ”  Non, parce ses lèvres ne sont plus contre sa peau, parce que doigts se sont arrêtés juste sous la courbe de sa poitrine et ça ne va pas parce qu’elle a un feu de forêt sous la peau qui ne fait que brûler plus fort à chaque fois qu’il la touche et la moindre absence de contact lui laisse un goût de vide et de froid intense. Elle ne répond pas parce qu’elle ne fait pas confiance à sa voix, pour ne pas trahir tout ce qu’elle ressent, alors elle se contente de hocher la tête, presque imperceptiblement; elle se demande comment c’est possible de ressentir autant de choses en même temps et d’avoir encore l’audace et la place de vouloir plus. Et ça semble lui suffire à lui qui revient l’embrasser avec un peu plus de tendresse que d’ardeur, avant de retourner explorer sa peau, de ses lèvres, de ses dents aussi. Elle n’a jamais été tant dénudée devant quelqu’un à dire vrai Mafalda, la dernière fois, la seule autre fois, elle n’avait fait qu’enlever la dentelle qui enrobait son intimité - bout de tissu qu’elle avait fini par jeter à la poubelle, par dégoût. Et elle pourrait être gênée qu’il la voie dans toute sa pâleur et son manque de forme, mais elle n’a pas le temps d’être touchée par l’embarras quand il grignote doucement sa peau, quand aucune parcelle de son buste n’est laissée à l’abandon par ses lèvres et que son début de barbe vient délicieusement chatouiller sa peau nue. Elle a l’impression d’être parcourue par un courant électrique, mais c’est la sensation la plus enivrante du monde.

Malgré elle, ses ongles se sont légèrement enfoncés dans la peau de sa nuque, elle se demande si ses sens sont exacerbés parce que c'est la première fois ou si c'est toujours comme ça, quand c'est bien fait. Ses yeux semblent demander une permission qu’elle n’est plus en mesure de donner, ses lèvres sont pincées, son cerveau, à peine capable de processer tous les stimulus provoqués par Alec, let alone formuler quelque chose de cohérent. Mais sûrement que ses prunelles d’ordinaire si claires et désormais voilées par la convoitise parlent pour elle, parce qu’il continue, ses mains retrouvent sa taille, en un toucher trop léger à son goût, et puis le short ne presse plus sa peau et glisse sur ses jambes, les doigts d’Alec avec, leurs regards fermement ancrés l’un dans l’autre.

Elle se demande si ses doigts sentent sa chair de poule, s’il a conscience de ses frissons continus, de la tension dans ses cuisses protectrices du cœur qu’il tarde à découvrir et de l’effort qu’elle fait pour ne pas laisser échapper les gémissements qui se pressent contre ses lèvres fermement clauses. Elle ne le retient pas pourtant ce trémolo dans sa voix quand son visage s’approche trop, quand elle sent son souffle à travers la soie mais qu’il ne s’y arrête pas, les lèvres d'Alec préférant jouer avec la peau si réceptive de l’intérieur de sa cuisse, sa langue se mêlant brièvement au baiser, les hanches de Mafie se soulevant très légèrement en réponse. “Alec…” elle avait raison de ne pas se faire confiance, sa voix est tendue, plaintive. Stop teasing. Alec please.” Elle n’est même pas sûre de ce qu’elle demande, elle n’est même pas certaine de savoir ce qu’elle veut vraiment, elle a juste besoin de plus, elle a besoin qu’il revienne vers son centre, qu’il lui donne toute l’attention que les nerfs qui y sont concentrés réclament. Ses cuisses se sont un peu resserrées instinctivement tentant d’assurer la pression qu’il ne lui a pas offert, son corps conscient de ce qu’elle souhaite avant même son esprit.

Et après I want you, après I love you… “I need you.” murmure-t-elle les doigts tirant doucement sur les boucles de ses cheveux bruns, pour l'attirer vers le haut. Peu importe quelle part de lui il lui offre, le renflement dans son entrejambe qu'elle a senti quand elle était encore assise sur lui, ou sa bouche si parfaite. Elle a juste besoin qu'il la libère de ce poids brûlant dans son bas-ventre. Tant pis si c'est désordre, tant pis s'ils font les choses à l'envers, il n'y a rien dans leur histoire qu'elle modifierait si ça risquait d'affecter le moindre détail de cet instant.

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‹ crédits : sophy, jiji, tumblr.
‹ dialogues : #666A99
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‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.


‹ âge : vingt-cinq (03/07).
‹ occupation : receleur d'animaux illégaux.
‹ maison : poufsouffle
‹ scolarité : 1979 et 1996
‹ baguette : est longue de vingt-trois centimètres virgule quatre, est en bois de chêne et contient une plume de phénix.
‹ gallions (ʛ) : 3414
‹ réputation : je suis un traître, qui a un jour été un allié de la Résistance. Aujourd'hui je ne suis plus personne.
‹ particularité : bipolaire.
‹ faits : j'ai rejoint les Audacieux après la Bataille de Poudlard, me suis fait attraper et vendre comme Rebut et ça m'a traumatisé à vie. Revenu parmi les Insurgés, j'ai commencé à faire du traffic d'informations avec certains Collaborateurs, mais on m'a donné une fausse information et j'ai mené six de mes amis à leurs morts. J'ai été rejeté des Insurgés après ça. Je n'ai pas participé à la Bataille de Poudlard, je possède un chien, et je n'aime pas trop les vieux mauvais souvenirs.
‹ résidence : dans une petite chambre au dernier étage d'un immeuble du Chemin de Traverse.
‹ patronus : parfois impossible à invoquer, sinon il prend la forme d'un chat.
‹ épouvantard : une étendue aqueuse.
‹ risèd : un sourire sincère sur mon visage, et ma famille réunie.
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Alec… ” Son prénom dans sa voix, alors qu'elle est dans cette position, offerte à lui et complètement, undone et qu'il sent sa fébrilité, qui n'a plus rien à voir avec de la nervosité ou de l'angoisse, envoie des frissons le long de la colonne vertébrale d'Alec. Il aimerait enfermer le son de sa voix, tremblante et peu sûre d'elle, pour pouvoir s'en enivrer jusqu'à la fin de ses jours; il a l'impression qu'il va devenir fou, avec les doigts de Mafie dans ses cheveux, ses ongles râpant contre son crâne sans même que ce soit douloureux ou désagréable, au contraire. Elle le veut, ce qui semble aussi impossible que naturel, subitement. Elle le veut, le veut vraiment, et veut ça aussi, et il n'a jamais été aussi impatient de le lui donner.

Ça ne l'empêche pas de se contenter d'embrasser la peau de sa cuisse, chaque seconde le rapprochant un peu plus de la source de chaleur impatiente qu'il sent près de sa pommette. “ Alec please.Ça aussi, il pourrait s'en enivrer des jours durant. Il n'a jamais été aussi fasciné par quelqu'un, par sa voix et son corps et la manière qu'il a de répondre au sien, comment ses hanches se soulèvent à chaque fois qu'il détache lentement sa bouche de sa peau, comme si il allait interrompre sa lente progression jusqu'à son centre, comme si il allait l'abandonner maintenant — cette possibilité ne lui effleure même pas l'esprit, d'une part parce qu'il la veut, la veut vraiment, et elle doit l'avoir senti; d'autre part parce que ce serait cruel, et Alec est tout sauf un amant cruel —, comme si il n'allait pas la rendre folle si il en avait l'opportunité. “ I need you.

Sa bouche se presse contre elle, à travers le tissu déjà un peu moite, son souffle se répercutant à travers le dernier sous-vêtement, brûlant contre ses chairs tout aussi chaudes. Il sent la pression des doigts de Mafie s'accentuer dans ses cheveux, alors qu'il appuie sa langue sur le tissu, fort, suffisamment pour qu'elle sente encore plus leur proximité, et la pression qu'il accentue jusqu'à ce qu'un gémissement étouffé s'échappe d'entre les lèvres de Mafie; alors seulement se détache-t-il, satisfait mais pas tout à fait encore.

À son regard quasi-indigné, il adresse un sourire en coin (presque triomphal), alors qu'il s'active à lentement faire glisser le sous-vêtement le long de ses jambes jusqu'à l'en débarrasser complètement, ses lèvres venant se poser de nouveau sur ses cuisses, la naissance de ses jambes et puis l'intérieur de ses cuisses, et puis ses lèvres sont contre les siennes, sa langue la pressant jusqu'à ce qu'elle étouffe un autre bruit tant de surpris que de plaisir. Il glisse un bras sous sa cuisse pour la soulever, la poser sur son épaule alors que son bras s'enroule autour de la jambe, sa main venant trouver sa hanche, enfoncer ses doigts dans sa peau pour la maintenir en place alors qu'il s'occupe, lentement, à la défaire pièce par pièce, l'explorant de ses lèvres et de sa langue, ses dents venant parfois effleurer la peau sensible juste pour entendre sa respiration s'étouffer dans sa gorge.

Il accepte seulement de se détacher quand les doigts de Mafie se font pressants, non pas pour l'inciter à continuer, mais pour le ramener contre elle, pour qu'il l'embrasse, et le baiser de Mafie est enflammé, enivré. Il n'y a aucun espace entre leurs deux corps, la seule barrière étant le pantalon de costume qu'il porte toujours et avec la ceinture duquel elle est déjà en train de se battre, fiévreusement, pour l'enlever au plus vite.

La main d'Alec, celle qui ne l'aide pas à se maintenir au-dessus d'elle, s'est glissée entre leurs deux corps pour repartir explorer ce que sa bouche connait désormais, la faisant s'arrêter dans ses gestes quand il glisse un doigt en elle, la paralysant entièrement et c'est presque aussi satisfaisant pour lui que ça l'est pour elle, l'expression de pure vulnérabilité qui s'inscrit sur le visage de Mafie avant qu'elle ne se presse contre lui, marmonnant tant encouragements que directions, impatiente dans chacun de ses gestes alors qu'il cherche l'endroit, le point qui va la rendre dingue. Mais elle est plus rapide que lui dans son exploration parce que bientôt, elle est en train de glisser son pantalon de ses jambes; il a à peine le temps de le retirer d'un coup de pied impatient que la main de Mafie se referme autour de lui, à travers le caleçon qu'il regrette déjà d'avoir gardé.

Alec ne peut pas s'empêcher de pousser un léger grognement de contentement, et déjà la main de Mafie se glisse jusqu'à l'élastique de son sous-vêtement, les doigts se glissant jusqu'à s'enrouler autour de lui, l'explorant du bout des doigts tandis qu'il revient dévorer sa bouche, plus demandeur qu'avant, réclamant son attention, réclamant plus, toujours plus, parce qu'elle vient de réveiller un feu en lui et Alec n'est pas sûr que quoique ce soit soit capable de l'éteindre maintenant. Il n'y a plus de marche arrière à faire et de toutes façons, il a l'impression, non, il sait qu'ils en sont tous les deux incapables. Il y a un millier d'autres choses qu'il voudrait faire en cet instant précis, la faire exploser jusqu'à épuisement, lui refaire dire please aussi audiblement que la première fois, il aimerait que son nom s'enroule encore autour de sa langue; mais il ne peut pas penser à autre chose qu'à elle, et combien il la veut, veut la posséder et l'avoir en cet instant précis, sa main brûlante autour de lui réduisant en cendres toute tentative de résistance ou de retenue. C'est seulement quand elle redemande de nouveau — “ please, ” —, sa voix rauque et tremblante de désir, alors qu'elle enroule ses bras autour de lui, ses ongles s'enfonçant superficiellement dans son dos, qu'il rapproche réellement leurs bassins, le doigt (et le second, ajouté pour satisfaire sa gourmandise) occupé à l'explorer se retirant pour que sa main se pose sur sa cuisse, amenant sa jambe contre lui, la refermant autour de sa hanche. Son regard est intense et sombre et il aimerait photographier cette image de Mafie pour toujours dans ses pensées, défaite et frémissante et magnifique.

Et puis il glisse en elle, guidé par la main dont les doigts ne s'enfoncent pas dans la chair de sa cuisse, un peu trop fort sans aucun doute — et ils se perdent tous les deux dans l'étreinte, aussi needy l'un que l'autre, demandeurs et intenses et incapables de se retenir, leurs bouches se cherchant et s'effleurant à peine dans la précipitation, gémissements à peine étouffés contre leurs cous, grognements contentés et impatients, prénoms murmurés tout contre la peau l'un de l'autre, comme on marmonnerait une prière à l'autel, avec révérence et passion. “ Mafie, I'm g-- ” Mais elle étouffe chaque doute et parole dans un énième baiser ravageur, cinq ongles s'enfonçant contre sa joue et sa mâchoire alors qu'elle l'attire son visage au sien, tremblante et incapable de parler.
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Mafalda Weasley
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Mafalda aimerait pouvoir rester comme ça pour toujours. Tout ce qu'il lui fait ressentir, la façon qu'il a de la goûter, d'effacer de ses mouvements si lents les dernières traces de quiconque serait passé avant lui, alors qu'elle voudrait que la sienne de marque reste en elle pour toujours, mais elle a besoin de plus, elle a besoin de le voir et besoin de ses lèvres ailleurs et d'autre chose là où elles sont actuellement. Elle ne veut pas être la seule à profiter du feu qui la déchire, entre désir brûlant et un plaisir aussi étrange que puissant. Elle veut qu'il sache à quel point tout son être le réclame, alors elle tire sur ses cheveux, finissant par se goûter sur ses lèvres, ce qui serait de nature à la faire s'arrêter un instant, curieuse, si elle n'était pas toute concentrée à essayer de le débarrasser de la dernière barrière qui les sépare. Elle a besoin de lui, elle n'a pas menti. Elle a besoin de lui, maintenant. Il glisse un doigt à l'endroit que sa bouche a déjà visité, la prenant de court, alors qu'elle s'arrête un instant, surprise par le plaisir que ça lui procure, avant de moan quelques encouragements et indications qu'elle oublie presque aussitôt qu'ils passent ses lèvres, essayant de s'approcher, toujours plus jusqu'à ce qu'elle parvienne enfin à le défaire de son pantalon, pour le découvrir sous des doigts aussi délicatement curieux que ses lèvres sont avides. Elle sent son désir désormais, s'étonnant elle-même de l'envie qui la prend de vouloir y goûter, jusqu'à ce qu'elle abandonne toute résistance, toute la patience qu'elle n'a jamais vraiment eu, ses lèvres écrasées contre les siennes, souhaitant qu'il remplace ses doigts avec his hardness, comme elle n'a jamais rien voulu de sa vie. Le dernière please passe ses lèvres et il consent cette fois à s'introduire en elle alors qu'elle ne peut s'empêcher de fermer les yeux. Ça ne lui fait pas mal, peut-être parce qu'elle est si eager, ou peut-être parce qu'il n'est pas le premier à l'intérieur, quoiqu'à ce moment précis et même sous la menace elle serait parfaitement incapable de prononcer (de se souvenir même) le nom de qui lui a pris sa place. Mais si elle est intoxiquée cette fois, ce n'est que par lui, par the feeling of him, et la sensation d'elle autour de lui, bassins qui se meuvent de concert, leurs souffles mêlés, elle ne sait plus où elle se termine et où il commence; ils font corps, tous deux incapables de retenir soupirs et gémissements et grognement contre la peau de l'autre. Et puis, ça lui vient en vagues, le corps tressaillant, le frisson allant jusqu'à faire ourler ses orteils, elle est brûlante et tremblante tout à la fois. “Mafie I'm go--”  ses ongles s'enfoncent dans la peau de sa joue et elle le fait taire les lèvres pressées contre les siennes pour absorber sa propre félicité, quoique, de sa voix étranglée, elle laisse échapper son nom plus fort qu'elle ne l'aurait cru quand elle atteint son paroxysme, son noyau se refermant autour de lui. Elle n'est pas redescendue que ses doigts retrouvent son dos et qu'elle le pousse - comme si c'était encore possible - plus près d'elle encore, “come, come for me”  murmure-t-elle contre sa joue. And he let go.

Il est tout contre elle désormais, allongé, en sueur et haletant sur son corps, toujours en elle, ses bras encerclant son dos l'empêchant de faire le moindre mouvement alors qu'elle tente encore de retrouver son souffle. Elle embrasse sa mâchoire et son stubble avec tendresse et sourit, sourit, sourit. Elle l'aime tellement et ça ? Oh my, quels mensonge elle a raconté à Theodore. Elle pourrait rester comme ça pour toujours réalise-t-elle, et l'embrasser et le sentir et se cambrer contre lui comme elle l'a fait. Elle le laisse s'échapper toutefois, leurs regards verrouillés l'un dans l'autre alors qu'il s'arrache à elle et qu'elle dépose une main possessive sur son torse, juste là où commence son tatouage indésiré. Elle se penche pour déposer un baiser à la place de ses doigts et puis un peu plus haut, suivant les lignes de l'arbre, parce qu'elle le hait, mais lui, elle l'aime tellement. Elle voudrait explorer son corps et sa peau de ses lèvres, comme il l'a fait avec elle, découvrir tout ce qu'il y a à savoir sur lui, entendre de nouveau le contentement dans sa voix rauque quand elle l'a pris dans sa main, se demandant ce qu'elle parviendrait à tirer de lui avec sa bouche. Mais elle n'a pas besoin d'être pressée. Ils n'ont pas besoin de se dépêcher. Ils ont tout le temps du monde pour qu'elle s'y attèle, parce qu'ils sont ensemble, parce qu'ils s'aiment et c'est encore ce qu'il y a de plus enivrant et de fou. “So... I guess my nickname is obsolete now?”  Elle pense à MILF, quoiqu'elle s'imagine que ça doive marcher pour Waif aussi. Elle n'est définitivement plus ça. Elle se souvient de son incapacité à comprendre ce qu'il y avait de drôle au surnom qui n'appartenait qu'à Alec, elle se souvient de s'être demandée ce qu'il voulait dire par-là, d'avoir espéré aussi que ce soit vrai et maintenant ça l'est et maintenant c'est fait. Le sourire irrépressible danse toujours sur ses lèvres, mais un léger creux se forme entre ses sourcils alors qu'elle relève la tête vers lui. “ Was it okay?”  Okay, c'est le dernier des mots qu'elle emploierait pour qualifier ce qu'ils ont fait. Okay c'est une insulte à tout ce qu'elle a ressenti et tout ce qu'elle ressent encore, une insulte à ce sentiment de contentement que le simple fait d'être allongée à côté de lui, sur le petit canapé qui est à peine suffisant pour les contenir tous les deux dans la position dans laquelle ils se trouvent, provoque. Mais elle a peur, quoique ce soit probablement totalement stupide, elle a peur que, parce que ce n'est pas nouveau pour lui, parce qu'elle n'a globalement fait que recevoir ce qu'il avait à lui offrir, elle n'ait pas été suffisante, quoique, à se rappeler de sa respiration tremblante contre sa peau en flamme, c'est difficile d'y croire.


Dernière édition par Mafalda Weasley le Lun 22 Mai 2017 - 9:42, édité 1 fois
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‹ particularité : bipolaire.
‹ faits : j'ai rejoint les Audacieux après la Bataille de Poudlard, me suis fait attraper et vendre comme Rebut et ça m'a traumatisé à vie. Revenu parmi les Insurgés, j'ai commencé à faire du traffic d'informations avec certains Collaborateurs, mais on m'a donné une fausse information et j'ai mené six de mes amis à leurs morts. J'ai été rejeté des Insurgés après ça. Je n'ai pas participé à la Bataille de Poudlard, je possède un chien, et je n'aime pas trop les vieux mauvais souvenirs.
‹ résidence : dans une petite chambre au dernier étage d'un immeuble du Chemin de Traverse.
‹ patronus : parfois impossible à invoquer, sinon il prend la forme d'un chat.
‹ épouvantard : une étendue aqueuse.
‹ risèd : un sourire sincère sur mon visage, et ma famille réunie.
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Come, come for me. ” C'est comme si elle venait d'appuyer sur tous les boutons, d'ouvrir toutes les vannes; il se laisse aller contre elle, en elle, une tension nerveuse quittant ses épaules en même temps d'un gémissement étouffé en grognement s'échappe d'entre ses lèvres, son corps s'immobilisant pour retomber contre celui de Mafie, le plaisir se mêlant à l'embarras pendant un bref instant avant qu'une vague d'apaisement s'empare de lui lors que les mains de Mafie trouvent sa peau. Il ne mentait pas, en disant que son contact le rassure, le fait se sentir ok et à sa place; ça n'a jamais été autant le cas qu'en cet instant précis, alors qu'il rattrape un souffle inégal, sa bouche pressée contre son épaule, leurs corps pressés l'un contre l'autre. Alec se retire presqu'à regret, et leurs regards se retrouvent — le sien est plein de questions, est-ce que ça lui a plu, est-ce qu'elle va bien, est-ce que c'était aussi right pour elle que ça l'était pour lui? L'expression de Mafie est difficile à analyser, mais il sait qu'elle est satisfaite. Il aimerait s'endormir ici et là, passer un bras autour d'elle, enfouir son nez dans son cou et ne plus bouger pendant des siècles, sur ce petit canapé trop étroit pour deux où ils s'imbriquent pourtant parfaitement. Il aimerait- il oublie toute pensée cohérente quand la main de Mafie se pose sur son torse, parce que tout d'un coup, maintenant qu'ils ne sont plus dans the heat of the moment, le tatouage est plus visible que jamais, sous ses doigts, et ça lui brûle le corps, le torse, la peau, il aimerait s'écorcher lui-même pour retirer la marque d'Appleton. Mais les lèvres de Mafie se déposent là où ses doigts se trouvaient un instant plus tôt et Alec se demande si elle sent son coeur qui bat trop vite dans sa poitrine en cet instant précis. Vraiment trop vite et trop fort. Il la regarde comme si il ne l'avait jamais vue avant.

Le contact des lèvres de Mafie sur son torse est intoxicant et il espèrerait presque qu'elle continue si il n'était pas si inquiet pour sa propre santé cardiaque. “ So... I guess my nickname is obsolete now? ” Alec rit légèrement. Il a passé un bras autour d'elle, et le bout de ses doigts remontent le long de quelques vertèbres, redescendent, tandis que sa bouche embrasse son épaule par intermittence. “ Hm... ” Il se permet de réfléchir, véritablement. Il aime bien la manière qu'a son corps nu de compléter le sien, chaque courbe pour chaque creux. “ Well I guess I could tweak it into... MIF? Midget I've Fucked? ” marmonne-t-il, avec sur les lèvres un sourire bien trop fier de lui-même pour quelque chose d'aussi vaseux. Quand elle relève la tête vers lui et que son regard change, il arque un sourcil, surpris puis inquiet, si ça se trouve c'était pas du tout bien pour elle, pas du tout okay en fait, elle a déteste et elle ne veut plus jamais le voir- “ Was it okay? O... kay? ” Il le prononce d'une telle manière que le mot semble lui être complètement incongru, inconnu même. Il fronce les sourcils, l'attire un peu plus contre lui. “ I don't know- I mean- Yeah- I-- ” C'était plus que okay à ses yeux, c'était parfait, et puis il voudrait bien recommencer, lui arracher d'autres soupirs et d'autres orgasmes et d'autres suppliques, et puis c'était vraiment bien et puis il ne sait pas enfin oui c'était okay mais l'important c'est pas lui c'est... “ I mean, you tell me. ” ...elle. Ses doigts s'arrêtent dans le creux du bas de son dos, avant de remonter sur sa hanche, ses côtes, son pouce revenant flirter avec le bas de sa poitrine, dans un geste auquel il pense à peine, sa paume épousant la courbe de son flanc naturellement. Il se demande si elle est aussi self-conscious qu'il peut l'être lui-même. “ You do you but for me, it was... ” Il cherche ses mots, la question le prend totalement de court, il ne sait pas quoi dire. “ I like the way you tasted, ” finit-il par murmurer, sa bouche trouvant son menton, puis son cou. “ And the way you felt around me. And I think you're lovely — I think you're beautiful. It was more than okay, MIF. You wouldn't get that new nickname if it wasn't.
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Mafalda Weasley
Mafalda Weasley
‹ inscription : 26/08/2016
‹ messages : 934
‹ crédits : whorecrux (av), jiji (gif)
‹ dialogues : #996666
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‹ âge : vingt-et-un (02/06)
‹ occupation : étudiante au CEPAS bientôt diplomée, membre de la War Victims Charity et VP de la Youth Doonist League
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1994 et janvier 1999.
‹ baguette : mesure vingt-sept centimètres, est en bois de hêtre et contient une plume de phénix..
‹ gallions (ʛ) : 4082
‹ réputation : je suis une vraie weasley ou une fausse weasley selon que l'on regrette mon implication dans la résistance ou qu'on estime que je ne m'implique justement pas assez ; on trouve également que je suis une miss-je-sais-tout insupportable ainsi qu'une grande gueule qui braille sans cesse ; enfin nombreux sont ceux qui me voient comme une gamine qui aime trop jouer aux grandes. On se souvient également souvent de moi comme étant la fille qui a crisé quand on ne l'a pas nommée préfète.
‹ faits : je suis une Weasley de sang-mêlé puisque ma mère est une moldue, quoique par les temps qui courent ce n'est pas quelque chose qui se crie sur tous les toits. Il vaut mieux se munir de bouchons pour les oreilles si l'on veut passer du temps en ma compagnie. J'ai tendance à voler tous les livres qui me tombent sous la main peu importe que j'en connaisse le propriétaire ou pas. Je me suis inscrite au CEPAS pour passer BUSES et ASPICS à la fois avant de me lancer dans de grandes études de…je ne sais pas quoi.
Je suis la fan numéro un des Wand Direction.
‹ résidence : dans un studio dans le Londres moldu juste à côté du Chemin de Traverse.
‹ patronus : un poney shetland
‹ épouvantard : une colonie de cafards.
‹ risèd : sa famille, enfin réunie.
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Well I guess I could tweak it into... MIF? Midget I've Fucked? ” elle pourrait se moquer de son sourire trop fier, mais si elle rit ce n’est que parce qu’elle aime l’idée, aussi nulle et stupide et inappropriate qu’elle puisse être. Elle aime qu’il sourie comme ça et elle aime sa main qui se balade sur sa peau et les baisers déposés sur son épaule.  Et il n’y a rien pour gâcher ça, rien d’autre que l’idée insidieuse que peut-être il n’a pas autant apprécié la chose qu’elle. “ O... kay? ” fait-il trop vite, presque…choqué ? Elle se dit qu’il doit penser comme elle que le mot est trop faible, parce que même si elle a ses doutes, elle n’est pas assez insecure pour penser que c’était nul pour lui au point de ne pas mériter un simple okay. Alors ça la rassure un peu, d’autant qu’il l’attire contre lui et qu’il ne ferait pas ça si c’était nul — sauf à l’aimer vraiment et vouloir la rassurer malgré tout. “ I don't know- I mean- Yeah- I-- ” Il ne sait pas ? Ça ça l’inquiète par contre, ça ça lui fait un peur. Il ne sait pas… “ I mean, you tell me. ” Il ne sait pas parce que ça dépend d’elle, parce que y a que it was all about her. Juste elle, parce que dans son plaisir elle l’a oublié lui ? C’est ça ? Elle se repose sur la main qui s’est trouvé un chemin sur son flanc, c’est presque naturel comme geste et en même temps elle réprime un léger frisson. Mafalda est très consciente, désormais qu’il ne sont plus dans le feu de l’action, qu’elle est nue, vraiment nue contre lui, consciente de son regard, de ses doigts à même sa peau et de son jugement aussi peut-être. “ You do you but for me, it was... ” Elle l’attend avec une avidité qui la surprend un peu elle-même, elle est needy, avec lui elle l’a toujours été, insecure aussi, c’est quelque chose qu’elle lui réserve un peu d’ailleurs, parce qu’elle a plutôt tendance à dégager une confiance en soi déroutante pour une sorcière de son âge dans les autres aspects de sa vie. Mafie pourrait lui dire tout de suite comment c’était pour elle, mais elle a besoin de l’entendre d’abord. “ I like the way you tasted ” elle sourit alors que tout son corps se détend y compris la tension qui régnait entre ses sourcils, ses lèvres contre sa peau y contribuant aussi beaucoup. Elle rougit un peu, parce qu’elle a pu se sentir, se goûter contre les lèvres d’Alec et c’était une sensation très bizarre, sur laquelle elle ne s’est pas arrêtée, mais qu’elle n’oubliera pas non plus. Elle ne croit pas qu’il soit possible d’être plus vulnérable qu’avec la bouche de quelqu’un grimpant lentement ses cuisses.

And the way you felt around me. And I think you're lovely — I think you're beautiful. It was more than okay, MIF. You wouldn't get that new nickname if it wasn't. ” Elle pousse un petit soupir soulagé alors que d’une main elle cherche le menton d’Alec pour le relever, quitte à arracher au passage ses lèvres de sa peau. Elle veut qu’il voit son ravissement, elle veut qu’il voit la sincérité dans ses yeux et son sourire qui dévoile ses dents et plisse les coins de ses yeux. “ It wasn’t okay…I don’t know why I said that- I just thought maybe I enjoyed it more than you did.” Mais apparemment pas, ou en tous cas il n’a pas détesté, au contraire, et il a trouvé ça more than okay et elle a juste envie d’enfouir son nez dans son cou et de s’endormir ici alors même que son lit bien plus confortable et grand les attend. Elle veut juste inspirer son odeur en cet instant alors que sa peau brille un peu et que leur musc respectifs sont mélangés. Pourtant elle continue: “It was…I mean, it was greater than I could ever have imagined.” Et elle ajoute précipitamment “ Not that I was a virgin…” comme si elle avait peur qu’il la juge, “but…I might as well have been…And hm I guess you could make that nickname ‘Midget I’m fucking’, as in regularly, as in I’m gonna want to do this again…a lot fait-elle du bout des lèvres quoique les mots ne les dépassent pas à haute voix. Ses doigts dessinent des formes inconnues sur son torse. Elle aimerait trouver les mots appropriés pour lui décrire ce qu’elle a ressenti, mais rien ne lui semble suffisant. “ I needed you and you were there for me, just where I needed, just how I wanted. And it was…perfect? Yeah, yes for me it was perfect. I loved every bit of it. And I can’t wait to hear that sound you make when I take you in again, and to feel you inside of me again and to feel you come and I want to do to you all the things you did to me and more.” Elle rosit un peu, mais son regard ne faiblit pas. C’est probablement trop, elle ne veut pas l’effrayer, mais elle ne veut pas lui mentir non plus et elle a confiance en lui, terriblement. Et puis…guys like sex, right?  Il ne va pas s’enfuir. “ Babe, do you really think I’m beautiful?” Pas juste pretty? Elle devrait arrêter de se comparer à elle, mais la photo de sa presque-ex qu'elle a découvert dans l'après-midi lui revient en tête. “ Even with my blonde hair?” ajoute-t-elle pour enlever un peu de la pression que contient cette question. Ses cheveux blonds que tout le monde semble détester, sauf peut-être Ines. Et elle s'en fiche des opinions des autres — même si elle songe un peu à revenir au roux, parce qu'elle a la flemme de refaire sa teinture tout le temps pour couvrir ses racines qui poussent trop vite, quoique la magie rende le processus bien plus aisé, mais aussi parce que parfois ses flammes lui manque, ce trait de Weasley aussi — mais celle d'Alec, elle compte un peu quand même.
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