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sujet; Elyon L. Beryl - Hope is a thing that no one should ever lose...[Terminée] |
| Elyon Lily Beryl feat Q'Orianka Kilcher • Tumblr et moi-même
| ◄ | • nom complet ; Elyon Lily Beryl • surnom(s) ; Ely • naissance ; 12 février 1976, à Londres • ascendance ; Sang-mêlée • camp ; Les insurgés • métier ; Autrefois Potionniste réputée, désormais rebut sans maître. • réputation ; Une main de velours dans un gant de fer, une douceur et un calme olympien qui dissimulent une volonté infaillible et une intelligence élevée... Comment ne pas craindre une femme capable de vous concocter un poison mortel en une poignée de secondes ? Elle s'est pourtant uniquement fait connaître pour ses onguents et ses baumes destinés à vivifier ceux qui les usent... • état civil ; Veuve • rang social ; Rebut • particularité(s) ;/ • patronus ; Une colombe. • épouvantard ; Un basilic • risèd ; Elle, âgée, matriarche d'une grande famille épanouie, dans un monde en paix. • animaux ; / • baguette ;Elle n'en a plus. • miroir à double sens; caractéristiques (pour les insurgés uniquement) voir explications.
• Enslaved • Inventé |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Tant de malheurs, tant d'injustices, tant de désespoir... Comment se réjouir d'une existence pareille ? Comment accepter de vivre sans agir, en sachant que nombre d'innocents trouvent la mort en quête d'espoir ? Contre ce régime, Elyon s'est battue, à sa manière, avant de perdre la partie, de rejoindre ces rebuts qu'elle plaignait de tout son coeur jusqu'alors. Aujourd'hui, elle ne veut pas qu'on la prenne en pitié. Elle ne veut pas qu'on la méprise. Aujourd'hui, Elyon mène une autre lutte, une lutte sans arme, une lutte sans magie : être reconnue comme un être humain à part entière, avec ses droits, ses opinions, son âme... Ce qui n'est pas une mince affaire. Elle ne peut plus aider les Insurgés comme autrefois, mais tourner le dos à ses principes serait les trahir. Droite dans ses bottes, elle était, droite dans ses bottes, Elyon restera. Quoi qu'il lui en coûte. ► Infos en vrac : Elyon est une potionniste des plus talentueuses. Son goût pour la cuisine y serait-il pour quelque chose ? Toujours est-il qu'elle est aussi douée pour préparer un poison qu'un délicieux ragoût. Bien évidemment, une petite prédisposition ne suffit pas à devenir Potionniste professionnelle. Tout au long de sa scolarité, Elyon n'a cessé de travailler dans ce domaine, quitte à oublier quelque peu les autres matières. • Elyon sourit. Presque tout le temps. Elle sourit quand elle est heureuse, quand elle est triste, quand une chose la contrarie, quand tout est trop dur... Elle sourit. A pleines dents. Pour se protéger de la peur, du désespoir, des larmes ? Pour conserver ce fragment d'espoir qui subsiste en son être ? Pour inciter d'autres à en faire de même ? Mystère... Elyon sourit, encore et toujours. Jusqu'à quand ? • Elyon est tenace : quoi qu'il puisse arriver, quoi qu'elle puisse subir, jamais elle ne sombrera. Jamais elle ne se laissera battre par les vicissitudes de son existence... Plus forte que le désespoir, plus forte que le chagrin, elle se relèvera, encore et encore, jusqu'à ce que ses jambes ne puissent plus la porter, jusqu'à ce que la vie ait finalement quitté son corps. Et elle sourira. Oui, elle sourira... • Le mensonge est naturel pour Elyon : elle mentira aisément sur ses sentiments, ses émotions, ses désirs... Elle ment comme elle respire, transformant la réalité, produisant petits et gros mensonges, pour de bonnes causes comme pour des mauvaises. Mais la personne qu'elle trompe le plus, dans tout cela, c'est elle-même... • Suite à un accouchement fait dans la douleur, durant lequel son bébé a trouvé la mort, Elyon est devenue stérile, ne pouvant plus donner la vie. De cet accouchement, la jeune femme a gardé une cicatrice, qui s'étend en diagonale sur son ventre. • La rumeur raconte que, si elle en avait le désir, avec un chaudron et quelques ingrédients, Elyon pourrait conquérir le monde. C'est sans doute exagéré, mais il est vrai que la jeune femme pourrait être redoutable, si elle n'était pas aussi pacifique... • La politesse est une seconde nature chez Elyon : jamais elle ne se permettra la moindre vulgarité, adoptant un ton et des propos policés, s'exprimant avec le calme qui lui est habituel, une sérénité presque déplacée dans des temps pareils... Nothing compares to you • pseudo & âge ; Sophie - 20 ans • comment as-tu trouvé le forum ? Sur PRD • ton avis, tes suggestions ; J'adore le contexte et le design ! Par contre cette icône fantôme fait affreusement ramer mon ordi xD. • connexion ; Régulière, je l'espère, un peu tous les jours • quelque chose à ajouter ? J'espère que mon perso vous plaira !
Dernière édition par Elyon L. Beryl le Lun 27 Oct 2014 - 3:12, édité 8 fois |
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| Here comes the hurricane ――――――-―• Liberté, ma précieuse amie •――――-――― La première chose que mes parents m'ont appris est la suivante : je pouvais être tout ce que je souhaitais. Tout. Le monde me tendait les bras et il n'appartenait qu'à moi de saisir les opportunités qui se présenteraient sur mon chemin. Peut-être parce que ma mère moldue a dû abandonner ses études pour s'occuper de moi, à qui elle avait donné naissance, peut-être parce que mon père avait tourné le dos à sa famille sorcière résolument anti-moldue... Ou peut-être était-ce cet ensemble de raisons, ces expériences passées, qui les avait poussé à m'enseigner cette leçon essentielle : j'étais libre. Libre de mes choix. Libre de mener l'existence qui me convenait. J'étais libre au point de pouvoir moi-même décider si je souhaitais poursuivre ma scolarité en milieu moldu ou à Poudlard. Mais la magie faisait partie de moi, j'étais la digne fille de mon père : je ne pouvais pas aller ailleurs qu'à l'école de sorcellerie. Là était ma place, j'en étais sûre. Poufsouffle fut ma maison, elle m'abrita sept années durant, des années de bonheur, de tristesse, d'incertitudes, d'amour, d'amitié... Poudlard a fait de moi ce que je suis : une femme libre. Assurée. Déterminée. Déterminée jusqu'au bout à ne m'intéresser qu'aux Potions, quitte à à peine savoir me servir de ma baguette magique, ce bout de bois qui ne m'était, au final, que d'une utilité relative... Etait-ce parce que je passais le plus clair de mon temps à aider mes parents aux fourneaux que les potions me paraissaient si passionnantes ? Probablement. L'idée d'un plat savoureux m'enchantait autant que la perspective d'une mixture parfaitement concoctée, capable du meilleur comme du pire... Mes pauvres cheveux n'ont jamais autant souffert que durant ma scolarité : penchée sur des vapeurs humides et magiques, je me soumettais à rude épreuve, pour mon plus grand plaisir. Mais il n'y avait pas que les potions dans ma vie, même si elles en occupaient une grande place : il y avait mes amis, fidèles comme le voulait notre maison, et, plus encore, mon amour. Dorian. Il avait pour lui une beauté de coeur qui surpassait celle de son corps, une beauté que j'étais seule à percevoir. Nous nous sommes remarqués l'un l'autre lors de notre cinquième année. Différentes maisons, différents caractères, mais une même passion : la cuisine. Oh, il n'appréciait guère les potions, il prétendait que les vapeurs lui donnaient la nausée... Mais dès lors qu'il se retrouvait en cuisine, à préparer un bon petit plat, il était le plus heureux des hommes. Nous nous retrouvions régulièrement, dans la plus grande discrétion, au sein des Cuisines de Poudlard : c'était là que nous nous sommes rencontrés, par ailleurs, guidés par le même désir : satisfaire nos pulsions gastronomiques. Nous n'avons pas tardé à nous aimer avec une passion à peine imaginable : nous savions tous deux, sans même avoir à le formuler, que nous étions faits l'un pour l'autre. Lui, Gryffondor ambitieux, né-moldu rêvant d'ouvrir le plus grand restaurant que le monde ait jamais porté, moi, humble Poufsouffle, aspirant à une existence calme auprès de mes proches et de mes chers chaudrons, nous menions notre petit bonhomme de vie avec entrain et détermination. Notre septième année fut un véritable tournant dans notre relation : c'était l'année 1992. Un professeur de défense contre les forces du mal peu brillant, un Survivant qui blessait malencontreusement le magnifique Saule Cogneur de Poudlard et, pire que tout, le monstre : le Basilic. A cause de lui, j'ai failli le perdre : Dorian aurait pu mourir. Par chance, il ne l'a pas regardé directement dans les yeux, se contentant d'un reflet dans une vitre. Mais j'ai perdu Dorian pendant des mois... Pendant des mois, je l'ai vu allongé sur ce lit, raide comme une planche, incapable de parler, incapable de bouger, figé dans le temps et l'espace... Pétrifié. A son réveil, je lui ai demandé de m'épouser. Il a acquiescé. Nous avions eu si peur de nous perdre l'un l'autre... ――――――-―• Mensonge, mon allié de toujours•――――-――― Ce fut un mariage en toute simplicité. Ni lui, ni moi, nous ne souhaitions du faste ou du grandiose. Quelques amis, la famille... et nous deux. Unis par les liens sacré du mariage, jusqu'à ce que la mort ne nous sépare... Nous nous aimions. Nous voulions des enfants, puis des petits-enfants et, si notre longévité nous le permettait, des arrière-petits-enfants... Mais d'abord, les études. J'achevais ma formation de Potionniste, tandis qu'il suivait un apprentissage en Cuisine. C'était notre voie, notre rêve... Nous étions décidés à accomplir ce qui nous motivait depuis toujours et rien ni personne ne pouvait nous en empêcher. J'avais 20 ans quand ma formation fut finalement achevée. J'acquis une place chez un Apothicaire réputé du Chemin de Traverse, tandis que mon mari s'échinait aux fourneaux d'un restaurant prestigieux. Nous nous voyions peu, mais nous appréciions chacun de ces moments passés ensemble, en sachant que, à l'avenir, nous saurions nous libérer du temps l'un pour l'autre. Et ce fut le cas. En dépit de ce monde qui ne cessait de se noircir, Vous-Savez-Qui revenant d'entre les morts pour mieux continuer à déverser son idéologie terrible, nous étions heureux : Potionniste à mon compte, réputée pour les vertus curatives de mes mixtures, je travaillais à domicile, accueillant mon mari avec amour et malice lorsque l'heure de travailler était passée. A 22 ans, nous voulûmes un enfant. Probablement guidés par la peur de mourir jeunes, une peur légitime en ces temps de guerre, nous nous sommes fixés ce but, ce nouveau rêve. Quand mon ventre s'est finalement arrondi, j'ai cru que notre bonheur serait complet. Mais ce ne fut pas le cas. Mon époux s'était joint à la Bataille de Poudlard, j'avais fourni potions de soins, felix felicis et autres mixtures qui avaient su trouver leur utilité, avant de demeurer à domicile. Trop tôt, l'enfant a voulu découvrir le monde : j'étais seule à la maison et les secours qui me furent envoyés n'eurent pas le temps de me transporter à l'hôpital. J'accouchais, mais cet événement n'eut rien d'heureux : mon bébé était mort. Et moi, je ne pouvais plus donner la vie. Plus jamais. Pourtant, quand Dorian est revenu, amoché mais vivant, je l'ai accueilli avec le sourire. Mon premier mensonge... Oui, j'étais soulagée qu'il soit entier. Mais je ne pouvais m'empêcher de penser à ce bébé qui était mort, ce bébé que j'avais tant désiré : il n'était pas là. Il ne serait jamais là. Pourtant, je souriais. A quoi pleurer ? A quoi bon crier ? Il ne reviendrait pas. Il fallait sourire. Vivre. Continuer. Malgré la dureté de ce monde, ce monde qui voulait notre mort... Dorian et moi-même, nous sommes cachés, tout en continuant la lutte, chacun à notre façon. Il était sur les champs de bataille, à oeuvrer pour ce qu'il croyait, j'étais à l'arrière, offrant soin aux insurgés blessés, refuge aux nés-moldus qui en avaient besoin dans notre maison. Une maison incartable, dont Dorian était gardien du Secret... Le monde devenait fou. Les Mangemorts se prélassaient dans les sphères du pouvoir et opprimaient ceux qui s'opposaient à leur idéologie, tuant, torturant, détruisant... Chaque jour, je tremblais pour ma vie et celle de mon mari. Lui était un indésirable, un insurgé, un né-moldu... Moi, j'avais réussi à préserver une image de neutralité. J'étais la Potionniste qui ne s'intéressait guère qu'à ses mixtures, qui ne prenait pas part au conflit, alors que j'étais en plein dedans, à contribuer discrètement, en silence... Ca ne dura pas. Ca ne pouvait pas durer indéfiniment. Dorian fut le premier de nous deux à sombrer. Qu'il ne tomba pas en héros, cela n'a guère d'importance. Face à la torture, comment se taire ? Cacher ce refuge qu'était notre maison lui avait été impossible... J'ai été débusquée. Tant bien que mal, j'ai permis à la majorité de nos réfugiés de s'enfuir, mais je n'avais pas pu en faire de même. Le destin voulut que la loi pour les Rebuts soit votée la veille de ma chute. A Azkaban, j'ai préféré vivre. ――――――-―• Au revoir, Liberté...•――――-――― Ai-je fait le bon choix ? Aujourd'hui encore, que d'incertitudes... Je suis désormais semblable à une Elfe de Maison, au service de sorciers et sorcières que l'on juge supérieurs à ma personne. J'ai sacrifié ma liberté, mais il me reste le mensonge. Faire croire que la mort de mon mari ne m'atteint pas, que je n'ai pas pleuré là où j'ai, malgré moi, versé des larmes que je n'ai su retenir... Faire croire que mon sourire, encore et toujours, est sincère. Pur. Vrai. Alors qu'il n'est que mensonge...
Dernière édition par Elyon L. Beryl le Lun 27 Oct 2014 - 11:24, édité 1 fois |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | BIENVENUE dis donc, fiche déjà finie ? ça c'est de l'efficacité je ne te souhaite pas bon courage du coup, mais plutôt de bien t'amuser parmi nous une fois que t'auras tes couleurs (sorry par contre je ne pourrai pas me charger ce soir de ta validation, ce sera pour demain du coup ) |
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| Je connais ton avatar, mais j'arrive plus à savoir d'où En tout cas, bon choix ! Bienvenuuuuuuuuuuuuuuue petite rebut |
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| Merci :D !
Elle a joué Pocahontas dans "Le nouveau monde" et Lily la Tigresse dans la mini-série "Neverland" ^^. Elle a aussi joué dans "Sons of Anarchy". J'espère que ma fiche vous plaira ^^. |
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| lily la tigresse bienvenue parmi nous, j'aime trop le nom aussi |
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| OMG, quelle rapidité Bienvenue à toi ici, j'espère vraiment que tu te plairas parmi nous Et je plussoie, ton avatar envoie du pâté. J'avais jamais vu, mais j'approuve à mort |
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| La jeune femme sur ton vava est vraiment belle ! Et je plussoie Lysander pour Lily la tigresse ! Bienvenue et bravo pour ta fiche, amuse toi bien sur Exci. |
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HERO • we saved the world June Winchester | Te voilà validée congratulations : you made it, mate ! Tout d'abord, je te souhaite la bienvenue sur exci ensuite, j'ai trouvé ton personnage vraiment touchant, je sais pas si c'est le fait qu'elle arrive toujours à sourire même dans les moments difficiles ou quoi, mais c'était touchant j'espère que tu trouveras un maître qui ne te fera pas trop souffrir (au pire, tu l'empoisonnes vite fait bien fait (okjesors)) et que tu t'amuseras bien parmi nous Maintenant que tu as franchi l'étape la plus casse-pied, tu peux enfin gambader librement dans les prés verd- wait, mauvais script, ahem. On en était où ? Ah oui, à toi gambadant gaiement (ou pas hein, chacun son délire) à travers le forum, avec ta couleur toute neuve. Tes potes les enslaved sont sans doute ravis de compter un nouveau membre dans leurs rangs ! Mais j'crois bien qu'il te reste encore un peu de paperasse à remplir... besoin d'un coup de main, peut-être ? ► renseigne-toi sur le fonctionnement des gallions ► pense à réclamer tes xp ► aide nous à mettre à jour la liste des métiers ; ► crée ton carnet de relations et organise la liste de tes rp ; Et pour finir : ta mission si tu l'acceptes sera de t'éclater bien comme il faut. Bon jeu ! |
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| | | | | Elyon L. Beryl - Hope is a thing that no one should ever lose...[Terminée] | |
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