C'EST BON POUR NOUS

hola

Lexie Grosvenor ; traceur
Motivation ; (en vrai c’est juste un don que je zyeute depuis longtemps vu qu’à la touuuute base j’voulais prendre le pv de lara sacchetti back in the days ) 
Même avant qu’elle mette un nom dessus, ou comprenne tout simplement l’existence de la magie, Lexie a toujours été influencée par son don. En percevant la signature magique des gens, elle se fait une idée de leur personnalité, ce qui fait qu’effectivement à son arrivée dans le monde sorcier elle a eu une très forte tendance à juger plutôt vite les gens, pour parfois, mais assez rarement, changer d’avis plus tard. Elle ne se rendait pas compte que ça avait avoir avec leur flux magiques, avec les impressions aussi qu’ils laissaient sur leur passage et que totalement subjectivement elle aimait ou pas. Assez observatrice, peut-être l’aurait elle été sans le don, mais c’est décidément quelque chose qui aura su accentuer ce trait de personnalité, parce qu’elle a toujours vu plus que les autres.
Le nom, elle l’a mis dessus quand elle est devenue rebut. C’est pour ça qu’on l’a achetée et pour ça qu’on l’a gardée en bon état. On voulait en faire une bonne petite traceuse pour le Magister, qui aiderait à attraper des vilains rebelles. Elle a donc passé ses années de rebut à s’entraîner, scindant ses journées entre le département des Transports et la cave de son maître, à essayer de comprendre et maîtriser son don. Finalement elle a acquis une assez bonne maîtrise pour une sorcière somme toute bien jeune et aux connaissances magiques très limitées, elle n’a toutefois pu suivre avec succès qu’une seule cible avant d’être libérée et d’abandonner l’usage de ce don rebutée par ce qu’on l’a forcée à faire. Mais la capacité innée ainsi entraînée ne s’éteint pas automatiquement et ça reste une chose avec laquelle elle doit vivre et qui lui donne la sensation très désagréable de violer l’intimité des autres.

Maîtrise ; Elle a mis du temps à découvrir, puis comprendre son don, mais son maître lui ne l’a pas raté et l’a forcée à l’utiliser au service du gouvernement pour traquer des rebelles. Aussi, malgré son âge, son don est assez développé sans être perfectionné pour autant. Elle a fait la formation au Ministère pendant un an et demi, mais elle n’a pas beaucoup pratiqué depuis, ses analyses manquent donc de finesse, restent très instinctives finalement, quoique sa perception a été décuplée par l’entraînement et le passage du TPTD. Elle est bien plus sensible aux signatures magiques des gens autours d’elle qu’avant. Elle perçoit très bien les flux magiques, et pourrait tracer des personnes sur une certaine distance (mais bien plus facilement si elle les connaît/a passé du temps en leur présence) cependant ce n’est pas quelque chose qu’elle fait puisqu’elle associe ce don à sa période de rebut et le traumatisme engendré et donc se refuse à l’utiliser sciemment. De même elle n’a jamais vu l’ébauche d’une silhouette ciblée qu’une ou deux fois et rejette bien trop son don pour faire l’effort de réessayer ou de l’affiner. Quant à toutes ces choses moins volontaires, le fait de sentir la trace magique du dernier utilisateur d’un objet par exemple, elles la dégoûtent plus qu’autre chose, même si elle ne peut rien y faire.

merci de votre considération

je te remonte

C'est bon pour nous

merci

Kingsley Shacklebolt ; magie sans baguette

Motivation ;  Agréable surprise du poste vacant, la magie sans baguette donne une dimension autre au personnage. Descendant du peuple Dagari, la magie est une cure, un remède, un instrument respectable et respecté. La baguette est aussi inconnue de son cursus scolaire à Uagadou en Afrique, alors que la noblesse du bout de bois est un produit de l’Occident. Je suis motivé a priori par la particularité décidée pour le poste vacant, mais a fortiori pour ce que ça apporte comme possibilités de jeu et d’histoires. La particularité, lorsque tel est son choix, est soumise à la discrétion de son magicien. Kingsley reste un homme de réserve et, dans son architecture, dans sa construction, la tentation d’en abuser est totalement absente. Il fut aussi proche de grands sorciers, dans l’Ordre et au Ministère, et il a pu se reconnaitre dans l’exception et l’originalité de son utilisation de la magie. De cela, il en a retiré le recul nécessaire, un point de vue différent sur les flux et les reflux magiques. On eut imaginé aussi que la particularité sert à des enchantements curatifs ou à des rituels plus anciens, plus long, et qui nécessite moins de puissance mais plus de subtilité qu’un bâton meurtrier ou trop intense.

Maîtrise ; A quel point votre personnage contrôle-t-il sa particularité ? Les années passent depuis sa jeunesse, et des décennies de pratiques sont derrière lui. Les charmes couteux l’affectent puisqu’ils demandent une concentration d’épuisement et de sueur. Il utilise sa baguette lors des événements à enjeux. Il place la magie sans baguette au creux de son quotidien, dans la familiarité et le ménager. C’est une particularité de l’ordinaire, qui ne nécessite pas de sortir le tilleul argenté à chaque verre qui tombe ou à chaque bougie à allumer ; sa maitrise est grande mais humble. C’est aussi un soutien en duel, pour repousser ou protéger. La magie sans baguette a les limites qu’elle s’impose et que Kingsley accorde lui-même à sa santé. Elle est une nourriture supplémentaire à ses talents, il la retient de se nourrir de lui.

je fais remonter

c'est bon pour nous

Bon j'espère que tout ira bien et je me serais correctement exprimée sur ce que je pensais.

   Maya Swansson ; loup-garou
   Motivation ;  Alors, le fait d'être devenu un loup-garou a d'abord était un énorme boulversement pour Maya, elle fait partie d'une des familles sorcières suédoises le moins recommandable. Elle a grandit dans une ambiance particulière avec ses parents, les Swansson n'ont plus la prétention de s'estimer comme sang-purs depuis des générations, mais sont fiers de leur magie. A Stockholm, ils sont connus pour leurs différents trafics, que ce soit des créatures magiques à un simple trafic de bijoux, se fichant bien que leurs clients fassent partie du monde magique ou non, ils ont suffisamment de mains d'œuvres pour se permettre de jouer sur les deux tableaux. Donc, il n'est pas rares que des personnes aussi mal-attentionnées qu'eux s'en prennent aux leurs, c'est d'ailleurs pour cela que Maya s'est retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment après avoir terminé ses études à Dumstrang, peu après ses 17 ans .
Un loup a été engagé par une personne n'appréciant que très peu les Swansson pour faire la peau de leur dernière née. Pour une raison dont elle ne se souvient pas, les jours précédents et suivants sa morsure sont très flous pour elle, certainement une façon d'oublier en partie ce qu'il s'était passé. Elle s'est donc faite attaquer par le loup qui avait été engagé pour la tuer, la laissant pour morte, sauf qu'elle survit à son plus grand malheur dans un premier temps. Elle a été retrouvé par l'un des hommes de mains de ses parents et ramenée chez elle pour y être soignée dans la plus grande discrétion. Maya est restée plusieurs jours dans sa chambre seule, sans que ses parents ou même son frère ne viennent la voir, seulement .la guérisseuse qu'ils avaient engagés. Cell-ci prévoyait que cela risquait d'être des plus compliqués pour elle, par la suite.
Ses parents durent la faire recenser comme loup-garou par la suite et ne virent plus leur fille de la même manière. Eux qui n'avaient jamais supporté la présence de créatures magiques dans leur entourage proche, devaient se maîtriser devant leur cadette, chose qu'ils n'arrivèrent à faire qu'un temps. Maya n'appréciait pas le fait que les siens la regardent avec dégoûts, alors qu'au final ce qui lui était arrivé était de leur faute à eux pas à elle. Elle n'y était pour rien si elle était leur fille, c'était leurs agissements qui avaient poussé le loup à essayer de la tuer. Alors, elle préféra quitter le domaine familial.
Elle a erré pendant près de quatre ans, en tant que loup solitaire, loin des siens, pleine de rancœur envers eux. Maya se fit plus facilement à sa louve en étant seule, se rendant compte que ce n'était pas aussi mauvais que cela pouvait paraître, la rendant plus forte et plus sûre d'elle. Puis en 1999, elle se décide à aller en Angleterre, bien loin de s'imaginer les tourments du pays. Elle se fichait bien de la politique et n'avait pas vraiment suivi ce qui pouvait se passer dans le monde magique depuis plus de quatre ans. Elle rencontre Lyall Lockwood, un loup-garou pour laquelle elle se sentit des plus attirées, que ce soit la louve ou bien la sorcière. Il l'a fait intégrer la horde d'Eihwaz, dont elle fait toujours partie et où elle se retrouve étonnement sereine en son sein.

A la base Maya devait être un scénario pour Lyall, mais comme je connais la joueuse et qu'on en a parlé toutes les deux j'ai accroché directement sur l'idée du lien auquel elle avait pensé pour Maya/Lyall. si vous voulez en savoir un peu plus n'hésitez pas à aller voir sa fichette. Puisque cette demande est assez importe pour toute leur histoire.

   Maîtrise ; Tip-top Non plus sérieusement, elle a mis beaucoup de temps à se rendre compte de ce qu'elle pouvait faire ou non. En général, elle arrive à maîtriser en grande partie ses émotions, un bon souvenir de Suède, donc lorsque tout va bien. Les effets de la lune, ont un effet malsain sur elle depuis qu'elle s'est décidée d'accepter la louve, réellement, même si dorénavant, elle vit dans la meute d'Eihwaz. Maya est beaucoup trop indépendante, elle fait sa vie en dehors, ne gênant pas la volonté de l'Ulfric pour autant. Donc elle ne maîtrise pas toujours ce qu'elle est, même si elle tente tant bien que mal, la plupart du temps ses émotions prennent le dessus, elle n'arrive pas encore à contrôler tout ça.
Quant à la potion tue-loup, elle l'a prise tant qu'elle était chez ses parents, puis lorsqu'elle était seule, elle n'avait pas réellement de moyen de s'en procurer constamment. C'est en partie ce qui lui a permis d'accepter sa louve, de ne plus la repousser et y arriver la plupart du temps.

Je vous remercie de lire mon roman dans un premier temps, je me suis rendue comte un peu trop tard de tout ce que j'ai écris.

Je remonte