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sujet; A physical necessity feat Beatrix Carrow

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“The smell of his hair, the taste of his mouth, the feeling of his skin seemed to have got inside her, or into the air all round her. He had become a physical necessity.”


Cela fait des semaines déjà que tu tentes de faire comprendre à ton père qu’elle ne veut pas de ce mariage, qu’elle n’est pas enceinte non plus, pourtant il s’en fiche, il ne veut rien entendre. Il te rabat les oreilles qu’avec toi elle sera en sécurité, qu’elle aura tout ce dont une femme à de besoins dans sa vie, richesse, gloire et sécurité. Il te répète que ça décision est prise et celle de Lazarus aussi, qu’elle n’est qu’une enfant et qu’elle se doit d’obéir. La seule fois où tu lui as dit qu’elle rêvait du grand amour, il a simplement éclaté d’un grand rire en hochant de la tête, te rappelant qu’elles en rêvent toutes, que c’était à toi de lui faire croire qu’elle venait de le trouver.

Essayer encore et encore, t’épuisait plus qu’autre chose, tu n’arrivais pas à lui faire entendre raison et tout cette histoire t’amenait plus de frustration et de colère. Il y avait également eu cette histoire d’attaque, le peuple c’était révolter depuis peu, tu avais sorti changer de cette histoire, tu t’inquiétais pour Sue, en ce moment les tournures que prenaient les différents évènements t’amenait beaucoup de soucis, de colère, et la bête en toi, elle s’agitait beaucoup plus que ses dix dernières années.

La présence de Beatrix dans la maison, ne te semblait pas si déplaisante, mais l’effet qu’elle avait sur toi, te rendait légèrement à cran, tu résistais à tes pulsions certes, tu ne laissais pas la bête te guider à sa chambre, mais elle désirait ardemment que tu cèdes.
Ce fut cette nuit que tu le réalisas vraiment, tu étais étendu dans ton lit, tu dormais sans doute depuis un bon moment lorsque tu te réveillas, c’était comme si tu émergeais d’un rêve, tu vis la porte de ta chambre s’ouvrir, elle entra, laissant une douce odeur sur son chemin. Elle portait cette robe blanche. Bien qu’elle n’était pas censée être là, dans ta chambre, tu te surpris à ne pas en être surpris, fâché, tu le regardait faire, elle te lança un regard et sourit simplement, allant devant le miroir sur pied dans le coin de ta chambre. Elle joua doucement dans ses mèches blonde, te souriant avec taquinerie avant de commencer à retirer une bretelle de sur son épaule. Elle retira entière la mince robe blanche qu’elle portait, la laissant tomber contre le sol, en un froissement léger, tu voyais son corps en entier en partie par son reflet et son dos, elle était nue. Elle commençait doucement à pivoter vers toi, te lançant un regard des plus aguicheur, elle te surmonta et alors que tes mains allait caresser ses fesses, elle prit soudainement une mèche de ses cheveux pour la passer sur ton visage ardemment, passant et repassant sous ton nez. Tu froncis des sourcils, ne comprenant pas son geste puis lorsque tu ouvris les yeux, tu vis que la queue de ton chat te fouettais le visage, tu venais de te réveiller, elle n’était qu’une chimère faite de ton esprit et ce satané chat venait de te réveiller avant e meilleure moment, tu le poussa d’un coup de bras «Argghh… vraiment….».

Tu regardas l’heure sur ton cadran, il affichait 2 heures du matin, tu n’arrivais pas à croire qu’elle t’obsédait au point d’en rêver la nuit maintenant. Tu soupiras, essayant de te rendormir, pourtant, bien qu’elle était au bout du couloir, tu pouvais sentir son odeur, elle planait en permanence depuis qu’elle était arrivée. Une douce odeur sucré, ce sang de vélane était un vrai fardeau par moment. Tu t’es pourtant montrer respectueux envers elle, tu essais de lui rendre son séjour le mieux possible, ta mère également, ce qui t’étonne sans doute le plus.

Tu n’as pas eu d’aventure depuis l’annonce de vos fiançailles, tu t’es toujours dit que l’image était importante et si jamais le mariage avait vraiment lieux si tu n’arrivais pas à le stopper, comme elle le souhaites, il valait mieux être fidèle, mais résultat le loup en toi s’agitait. Il te rendait plus bestiale et le fait de ne pas assouvir ce désir pressant te rendait maintenant à faire ce genre de rêve érotique. Son odeur qui planait en permanence devait sans doute avoir un lien, puisque c’était elle que tu voyais la nuit maintenant, non une autre ou un autre, mais elle.

Tu étais vraiment incapable de te rendormir, tu te levas donc, enfilant un bas de pantalon plus souple pour te diriger à la salle d’eau. En y sortant, tu t’arrêtas un instant, regardant la porte au bout du couloir, elle y était sans doute endormie, sa porte était légèrement entrouverte. Tu tourna pourtant le dos pour descendre à la cuisine, allant retrouver de quoi calmer tes ardeurs, comme tu ne répondais pas à ce besoin, ce désir, tu allais répondre à un autre sorte d’appétit et tu pris un verre dans l’armoire et la bouteille de whisky qui se cachait dans le buffet. Tu t’installas dans un des fauteuils, sirotant doucement ton verre, repensant à la dernière discussion avec Susanna, combien elle était éprouvée de cette vérité que tu lui avais cachée depuis si longtemps. Tu t’en voulais de lui avoir porté ce coup, sas vraiment désirer l’ébranler et plus tu buvais et plus tu te disais que c’était la faute des mangemorts tout ça et de Beatrix. Elle connaissait ton secret et tu savais que si elle avait touché un mot à Sue avant toi, celle-ci ne te l’aurait sans doute jamais pardonné d’apprendre que sa demi-sœur connaissait cette vérité avant elle. Pourtant, Beatrix l’avait découvert par elle-même et tu ne lui avais jamais rien dit, si elle ne savait pas, tu n’aurais sans doute rien dit comme autrefois. L’alcool semblait t’aider à y voir clair, elle illuminait tes recoins sombres pour te donner l’illumination, ce n’était pas vraiment ta faute, c’était toutes ces circonstances, comble de malheur qui s’acharnait sur toi.

Tu avais déjà vidé ton verre, l’alcool habituellement te procurait un bien fou, tu t’interdisais d’autre alternative dans le genre drogue ou cigarette… Avec cet alcool dans le sang tu allais sans doute pouvoir te rendormir maintenant, tu rangeas le tout et remontas à l’étage, prêt à aller retrouver ta chambre, quand tu revis cette porte, toujours entre ouverte, si invitante, serais-tu assez con pour lui rendre le monnaie de sa pièce, c’était sa faute en même temps si vous alliez vous marier. Tu devrais arrêter d’essayer de convaincre ton père, elle avait elle-même enclencher le processus en te séduisant, tu repensais à ton rêve soudainement, à la vue de son corps et à cette nuit que tu avais déjà partagé avec elle. Il y avait une certaine tension entre vous, tu avais l’impression qu’elle était fâchée de voir que tu n’arrivais à rien de ton côté, mais tu ne lui avais pas demandé si tes impressions étaient réelles. Tu te rendis sans vraiment réfléchir à sa porte, curieusement tu poussas un peu plus celle-ci afin qu’elle ouvre plus grand, tu vis le lit, tu voyais la masse sous les draps. Tu repensas à sa nuisette et la question de ce qu’elle portait en ce moment te traversa l’esprit, tu pris appui sur le chambranle, t’interdisant pourtant d’y entrer et tu commenças à inspirer doucement en fermant tes yeux. C’était fou, même lorsqu’elle était endormit son sang t’attirais, peut-être était-ce plus que son sang de Vélane. L’avoir ici, en ta présence, tu avais commencé à découvrir d’autre facette d’elle, bien que Susanna la déteste, tu t’étais surpris à t’amuser en sa présence, à rire avec elle parfois et à la voir autrement qu’en cette enfant non désirée de la famille Carrow.

(Si y'a quoi que ce soit hésite pas à me faire signe)
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Ça n'en avait peut-être pas l'air, mais ta vie était devenue épuisante depuis tes fiançailles. Simplement parce que tu étais entrée en guerre, en bataille constante. À courir après les rebuts échappés et les insurgés lorsque tu travaillais, pour ensuite lutter encore, lorsque tu entrais à la maison, celle qui n'était pas tienne, ne le saurais jamais. Tu luttais contre la confortabilité, la facilité de tout cela. Tu luttais contre ton père et son choix que tu t'entêtais à refuser, même s'il te déplaisait de moins en moins. Constantin c'était montré absolument adorable avec toi depuis ton arrivé. Si bien que tu avais commencé à l'apprécier, ce qui ne te faisait que lutter d'avantage. Tu ne voulais pas cela, pas accepter cette trahison de ton père, ce piège, aussi dorée soit ta prison, elle n'en restait pas moins une. Tu luttais, encore, pour t'échapper de ce mariage, de cette maison, de cette vie. Tu n'étais pas amoureuse, tu le savais, pas encore du moins, mais tu ne voulais pas leur laisser cette chance. C'est pourquoi tu te battais, trop souvent, contre toi-même. T'enfermant tôt dans ta chambre, pour dormir et éviter de faire trop de bêtises, pour te reposer et être prête au combat du lendemain.

Quelque part, ils avaient gagnés, gagnés ta confiance. La mère de Constantin, si gentille avec toi, tu cherchais le piège. Elle ne pouvait pas être autrement que comme sa soeur. Tu avais donc laissé ta porte ouverte une première nuit, pour voir si elle ne s'y glissait pas pour te couper la gorge, ou pire. Cela faisait désormais quatre jours que tu dormais avec ta porte ouverte, une invitation au mal, pour tester si elle était possédée par lui. Pourtant, après quatre nuit, tu dormais un peu plus solidement. Même couchée de dos à la porte, enroulé dans tes draps blanc, avec ta nuisette satiné, de la même couleur perle.

Ton instinct de survie aussi, c'était endormie. Ou, était-ce simplement parce qu'il n'y avait pas vraiment de danger. Toujours dans ton sommeil, tu te retournais vers la porte, entrouvrant les yeux. Une ombre t'étais apparue, mais tu avais refermé les yeux. Un soupir quittant tes lèvres alors que tu t'étirais doucement. Entre sommeil et réalité. Un doux rêve, où tu entrouvrais tes yeux de nouveau, le refermant avec un sourire, tendant un bras vers l'ombre dans la porte. Dans ce monde de rêve où ta retenue n'était pas aussi grande que ce qu'elle pouvait être en temps normal. « Mhmm... Constant... » Gémissais-tu au travers des brumes de tes rêves où il avait des ailles, te souriais doucement, du bout de sa porte, de la réalité où tu n'étais pas vraiment. Ses ailles, ses bras forts, nus, tu avais envie d'eux. Qu'il te serre, jusqu'à t'en étouffer, un peu. Qu'il te presse, qu'il te tienne, te retienne de ta descente aux enfers. « Viens »  Soufflais-tu, suppliante gamine a qui on ne dit pas non. Petite chatte se tordant encore dans un sommeil trop paisible. Tes doigts se tendant dans sa silhouette alors qu'en refermant de nouveau tes yeux, il semblait si près, comme si tu pouvais l'effleurer.
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“The smell of his hair, the taste of his mouth, the feeling of his skin seemed to have got inside her, or into the air all round her. He had become a physical necessity.”

Tu étais là, savourant son odeur sucré, elle avait pris la routine de prendre un bain ou bien peut-être une douche avant son couché et son savon emplissait tes narines. La première fois que tu avais été surpris par elle tu n’avais pas eu le temps de la savourer autant que tu aurais voulu, tu n’étais pas censé avoir plus que du dédain pour elle, elle avait gagné cette bataille en s’immisçant dans ton lit, tu avais céder à son corps, à la bête qui la désirait. Puis tu entendis un léger bruissement, elle bougeait dans son lit, tu savais qu’elle dormait encore et tu continuais d’humer l’air tout proche. Sa voix, bien que faible, te fit sursauté lorsqu’elle murmura doucement ton nom, enfin celui qu’elle te donnait. « Mhmm... Constant... » Tu ouvris les yeux pour la regarder, était-elle vraiment réveillée? La colère en toi c’était assagit depuis que tu respirais son odeur et repensait aux dernières semaines passés en sa compagnie. Tu savais que Suzanna n’aimait pas l’idée qu’elle devienne ta femme, mais vous aviez réussi à trouver un certain équilibre dans toute cette tornade. Tu la regardais sans nécessairement avancer encore, n’osant pas, elle leva un bras en ta direction, te souriant doucement. «Viens» te supplia-t-elle et tu la regardas avec un interdit. Elle te demandait vraiment cela?

Sans vraiment réfléchir, tu avanças d’un pas vers son lit, voyant ses doigts qu’elle te tendait, le monstre grognait en toi, prêt à bondir sur sa proie, son odeur de sucre te remplissait les narines, elle ressemblait à une friandise, une friandise faite de vanille que tu aimerais bien goûter. Tu étais certain qu’elle serait sucrée comme le miel et douce dans ta bouche.

Tu tendis une main vers ses doigts fins, lorsque ta peau toucha la sienne, tu ressentis une légère décharge électrique et cela te surpris sur le moment. La bête hurlait, se déchainait, elle désirait que tu te glisses sous ses draps, que tu la prennes, de toute façon, elle te suppliait de venir la rejoindre. Sa manière de bouger, elle semblait retenir un besoin, un besoin de ta chair? Peut-être ressentait-elle la même sensation que toi en sa présence, peut-être que ce sang de loup qui coulait en toi, l’influençait elle aussi. Depuis qu’elle était ta fiancée publiquement, tu n’avais pas assouvis ce genre de besoin, sachant que cela serait mal vue, la bête n’en pouvait plus d’attendre. Sans plus te poser de question tu te hissas sur son matelas près d’elle, prenant sa main dans la tienne et la porta contre ta bouche, glissant un léger baiser au creux de son poignet, effleurant sa douce peau de tes dents. Tu prenais le temps de la savourer, d’humer son odeur, mordillant le creux de son coude au passage. Puis tu te penchas vers elle, doucement, glissant ton visage vers sa gorge, dégagent les cheveux sur ton passage, tu lui léchas alors sa peau, la goûtant, elle avait un goût exquis. Tu aimais son odeur, tu aurais pu la mordre légèrement, ce que tu fis après un moment, glissant ta main dans sa chevelure dorée. Ton corps étant sur le sien, si elle dormait vraiment, elle venait sans doute de se réveiller ou d’émerger de son rêve. Ce n’était jamais aussi intense avec les autres, hommes ou femmes, elle était la seule vélane que tu connaissais et son odeur, son emprise sur toi te rendais fou, fou de désir, fou de chair, avec elle tu ressemblais plus au loup en toi, tu n’arrivais pas autant à te contrôler et l’alcool ne devais pas t’aider à le contenir, mais tu t’enivrais d’elle.

Elle goûtait merveilleusement bon, la seule envie que tu avais était de retirer le drap entre son corps et le tien, puis le détail des vêtements viendrait sans doute après, tu n’avais qu’un pantalon et tu ignorais ce qu’elle cachait sous ce drap de satin. Tu laissas un sourd grognement s’échapper de ta gorge, la bête en demandant plus, tu préférais tout de même son consentement bien qu’elle t’est suppliée de venir la rejoindre, tu redressas la tête, recherchant ses lèvres des tiennes, désirant voir sa réaction, tu la désirée vraiment en ce moment et un refus de sa part, ne ferais surement pas ton bonheur. Il y avait des jours qu’elle hantait tes nuits, que son odeur en sa présence te semblait insoutenable, mais tu étais trop bien éduquer pour la prendre ainsi, déjà ce soir tu sautais la clôture, oubliant ce qu’il adviendrait du après. «Tu es délicieuses, si tu savais combien de temps que je me retiens, dit moi oui…» Tu le lui murmuras tout près de ses lèvres, attendant sa réaction, son consentement, si elle se refusait, tu savais tu ne la forcerait pas, mais tu grognerais sans doute, au point auxquels son odeur t’avais enivrer, tu avais vraiment envie d’elle et de personne d’autre à l’instant présent.
(je me sentais inspirer alors voilà mwaha en coup de vent)
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Le sommeil te gorgeais encore, emmêlant tes longs cheveux sur ton corps lancinant d'une douleur qui te caressait sagement le creux de l'estomac. Ta main tendue vers lui, ce besoin, de ne pas être seule, d'être tenue, serrée, étranglée, étranglés tes cris funeste, tes prières perdues, comme toi, au milieu d'un lit défait, un amour avorté. Ses doigts se tendait vers ta main, sa peau ardente ne faisant que t'enfoncer plus profondément dans ton charnel sommeil, belle au bois dormant, endormie pour l'éternité, violée, abusée dans ses rêves devenus cauchemars. Il varappait jusqu'à ta tour, dressée, vers lui, ton dos creusé dans tes étirements que ne t'arrachais à aucun sommeil. Ta main contre sa bouche, un baiser sur ton poignet, tes doigts tombant jusqu'à ses lèvres, les caressant, s'y baignant, tremblants. Ses dents contre toi, ton majeur osant même s'y écorché, les aiguisant doucement. Dans sa chute sur ton bras, il mordillait l'intérieur de ton coude, semant une tsunami de frisson qui closaient tes yeux encore lourd. Comme si ce n'était pas la réalité, mais un fantasme où ce genre de tremblements t'étaient permis sans honte due. Où tes mains s'agrippaient à lui, à ses vêtements, sa peau dont elles la libérait alors qu'il traçait sa route sur ta gorge, liquéfiant tout ce qui était autrefois solide en toi. Laissant sa signature dans ton cou, des marques rouges qui l'étoilais désormais, en faisant une galaxie brûlante, une voie lactée soupirante. Ses doigts dans tes cheveux, tirant légèrement pour se faire offrande de toi, tout de toi. Ses grognements pour berceuse de la bête à la belle. Ses lèvres venant chercher les tiennes, les trouvant dans un effleurement fouettant tout ce qu'il y avait de descend. « Tu es délicieuse, si tu savais combien de temps que je me retiens, dit moi oui…» Un rire cristallin remontait dans ta poitrine pour tremper des lèvres d'un sourire. Tu étais toujours lampée de quelques goûtes des larmes de Morphée qui ne voulait pas que tu la quittes. Un état où tu n'étais que plus féline, jouant doucement avec un petit souris du bout de ses griffes marquant doucement sa peau de loup. Tes dents attrapant ta lèvre dans une risette. Tes doigts remontant jusqu'à la bouche de ton fiancé, s'y compromettant, ta langue glissant doucement sur sa langue inférieur. C'était une très mauvaise idée, de jouer ainsi avec la raison.

«Non. » Ricanes-tu, ta main se posant sur son torse pour le bascule sur le dos. C'est ton tour de le surplomber, bouleversant les draps d'un même mouvement dans un tourbillon de cheveux et de soie blanche couvrant ton corps. Ta main fourmillant sur ton torse. Tes hanches ondulant sur lui, contre lui, dans un autre rire. «Tu m'as mentis Constant, tu n'auras mon corps que lorsque nos fiançailles seront rompus. Tu m'avais fait une promesse... » Murmures-tu, tes mains remontant pourtant le long de tes cuisses qui tu dénudaient doucement, exhibant devant lui, pour mieux le faire souffrir. Tu étais perdue, entre désir, haine, rage. Perdus dans tes désirs, dans toi, dans lui, dans ce que tu voulais être, ce que tu serais et que tu ne serais jamais. Tu avais envie, aussi, de faire frissonner les murs, palpiter tout ce qu'il y avait à l'intérieur de vous, mais tu te sentais toujours autant prise au piège, même si au fond, tu avais commencé à t'amouracher de Constant avant même vos fiançailles.  
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“ Baby tonight, There's so much love in between us, You say you gotta get home, Stay here with me, I won't tell a soul
Oh if you want me like I want you, I won’t judge you, This could be our little secret, our secret”

Tu la goûte doucement, savoure son odeur qu’elle laisse sur tes lèvres, alors que tu lui pose la question, ressentant sa respiration tout près. Elle semble profiter tout autant, roucouler tout doucement, ronronnant tel un chaton satisfait. Elle lèche doucement ta lèvres, elle semble réceptive et tout autant désireuse d’une conclusion. Pourtant elle te répond par le négatif, laissant un ricanement s’échapper de sa cage thoracique, elle s’amuse de ta faim. Cette démone, cette sorcière se redresse, retirant son corps des bras de Morphée pour te faire basculer contre le matelas qui tressaute doucement sous ton poids alors que tu sens son poids contre toi. Elle prend appuie sur ton torse, s’asseyant sur tes hanches, tu ressens sa chaleur, son corps si près du tien alors qu’elle bouge doucement des hanches. Tu laisses ta tête reposer contre les oreillers alors que tu la regarde, elle te surplombe alors qu’elle ricane d’un rire vicieux. «Tu m'as mentis Constant, tu n'auras mon corps que lorsque nos fiançailles seront rompus. Tu m'avais fait une promesse... » Elle te reparle de ce foutu mariage qui n’est pas encore arrivé, de cet arrangement dont elle désir fuir, pourtant elle sait qu’elle arriverait à trouver du bonheur à tes côtés, tu as vu les regards qu’elle te lançait ses dernières semaines, sans doute pas de l’amour, mais peut-être le début qui pourrait mener à ça, toi-même tu l’as ressentis. Tu vois ses mains remonter le long de ses cuisses, les dénudant doucement, tous pour t’aguicher, une vrai démone pensas-tu, mais elle ne rendait que le jeu des plus intéressant n’est-ce pas?

«Hum, tu m’accuse à tords, je ne t’ai pas menti, je n’ai simplement pas encore réussis à le convaincre, mon père est un vieux borné.» Tu lui souris doucement alors que tu glisses doucement tes mains sur ses cuisses, prêt à l’amadouer, ce soir la bête à faim, tu l’a désir, tu es déjà dans son lit, elle t’y a piégée, elle t’a invité à venir la rejoindre. Tu as déjà dépassé les limites pour contenir la bête, maintenant elle veut se repaitre de la belle. Tu te soulèves doucement en appuie sur une de tes mains, revenant à l’attaque. «Puis pourquoi devrais-je seulement avoir droit à ton corps une fois que tu ne seras plus si près, une fois que le contrat sera déchiré, je sais que tu le désir tout autant que moi Bea, laisse-moi te faire plaisir.» De ton autre main, tu lui attrape le bas des reins, la maintenant contre toi, ta bouche retournant contre sa gorge, la mordillant doucement, ta langue la caressant, descendant doucement vers sa poitrine. Ce serait sans doute moins compliqué si elle arrêtait de jouer la petite fille rebelle, qu’elle écoutait un peu plus ses besoins.

«Rebelle toi contre ton père si cela te chante beauté, mais avec moi ça ne sert à rien.» Tu te rapproches de ses lèvres et avec ou sans son accord tu en prends possession, l’embrassant avec appétit, tu sens le fourmillement dans le creux de ton ventre, tu es certain qu’elle ressent la même chose. Tu souris a repensant que la dernière fois c’était toi qui lui disait non et elle qui tentait d’obtenir ce qu’elle désirait, en dirais que ce soir les rôles seraient inversé. Ta langue rejoint la sienne, la caressant doucement, ta respiration se faisant plus rauque, le loup en désir plus, mais tu n’es pas prêt à la forcer même si son refus est basé sur de piètres convictions. Tu prends un peu plus d’élan afin de la faire valser sur le dos, les pieds contre les oreillers, venant par-dessus à nouveau, glissant un pouce sur sa lèvre. «Toi et moi, on a appris à se connaitre physiquement bien avant autre chose, tu sais que nous sommes compatible. Pourquoi te refuser ce plaisir, alors que ton corps en brûle d’impatience? Vas- tu tout te refuser qui vient de moi seulement parce que tu as peur que quelqu’un décide à ta place?»

Tu lui souris avec amusement, la regardant avec désir, collant ton corps au sien, elle était prise au piège, le loup resserrait ses crocs sur sa proie. «Tu ne veux pas l’admettre, mais je suis à peu près sûr que tu te plaît un minimum ici, en la compagnie du chieur que je suis.» Tu lui mords alors la lèvres inférieures, doucement, juste assez pour éveiller ses sens, son appétit.
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Le sommeil était doux, te réveillant avec ta victime préférée au creux de ton lit, de ton corps, par ta faute. Tu étais celle qui avait joué, qui l'avait fait venir jusqu'ici, ne savant déjà plus ce que tu devais faire de lui, de toi, de vous. Tu n'avais jamais su bien jouer cette partie que tu avais toi-même glissée sous vos peaux, t'y prenant trop au sérieux, puis fichant tout en l'air de peur de la blessure. Tu luttais, contre lui, toi, vos entrailles, la friction de ceux-ci, la pression, de vos corps, dans vos sangs. Tu le menaçais, te cherchant une excuse, une porte de sortie. « Hum, tu m’accuse à tords, je ne t’ai pas menti, je n’ai simplement pas encore réussis à le convaincre, mon père est un vieux borné. » Ses lèvres se tirent, ses mains remontent sur ton épiderme, venant effaroucher ta raison, tentant de te convaincre d'avantage de quelques paroles. « Puis pourquoi devrais-je seulement avoir droit à ton corps une fois que tu ne seras plus si près, une fois que le contrat sera déchiré, je sais que tu le désir tout autant que moi Bea, laisse-moi te faire plaisir. » Son autre main attrapant ta croupe, te pressant à lui, sa bouche sur ta jugulaire, ses dents y jouant, descendant vers ton autre gorge, s'y invitant comme si elle était déjà sienne. « Rebelle toi contre ton père si cela te chante beauté, mais avec moi ça ne sert à rien. » Tu allais repliquer, fracasser le moment d'un réplique acerbe, d'un refus plus sentis, mais tes protestations se cassaient contre sa bouche. Affamé, à t'en donner le mal de mer. Sa langue comme bouée de sauvetage, est-ce que tu as vraiment le choix ? Te renversant, te surplombant, glissant ses doigts sur tes lèvres. Attrapant ceux-ci entre tes dents, prête à les mordre férocement si les choses n'allaient pas comme tu le voulais. « Toi et moi, on a appris à se connaitre physiquement bien avant autre chose, tu sais que nous sommes compatible. Pourquoi te refuser ce plaisir, alors que ton corps en brûle d’impatience? Vas- tu tout te refuser qui vient de moi seulement parce que tu as peur que quelqu’un décide à ta place? » Il sourit, il s'amuse le petit Crouch. Se frottant à toi, comme pour se décoller de sa propre peau. Oh, vous étiez certainement un beau dégât. Ta solitude comptant pour beaucoup dans l'équation, tes mains le repoussant autant que l'attirant à toi. « Tu ne veux pas l’admettre, mais je suis à peu près sûr que tu te plaît un minimum ici, en la compagnie du chieur que je suis. » Se convainc-il alors qu'il attrape ta lèvre inférieure. Tu n'avais pas prévu d'être son encas de minuit, ou plus tard, tu n'en avais plus conscience.

« C'est toi qui te plaît dans mes draps, Constantin.» Arrives-tu à articuler, te défaisant de ses dents de loup. On disait que vous vous étiez bien trouvés, deux bêtes, deux monstres, mais vous n'étiez pas de la même espèce, vous ne le seriez jamais, aussi charmant pouvait-il se faire. Tes mains remontaient, se glissant dans sa crinière, l'ébourriflant, approchant également vos bouches, sous ta pulsions, effleurant simplement les siennes. « C'est justement le risque. Que tu ne veuilles plus te débarrasser de moi si je te donnes ce que tu veux. » Susurres-tu, un doigt glissant doucement sur sa poitrine dénudée, remontant tes mains pour attraper son visage, glissant ton regard aux reflets verts dans les siens. « Rend-moi ma liberté, Constantin, et tu aura toutes les nuits que tu voudras, jusqu'à t'en rendre fou, ivre, si tu veux.» Jusqu'à l'overdose, jusqu'au point de non-retour, jusqu'aux meurtres, celui qu'il faudrait, celui d'un amant, ou peut-être le sien. Tu ne lui donnerais jamais ton coeur. Il l'avait déjà eut, entre ses doigts, quelques secondes et l'avait balancé avec dégoût au loin, tu l'avais ramassé, te promettant de ne plus te brûler avec la même flamme, plus avec la sienne. 
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“ Baby tonight, There's so much love in between us, You say you gotta get home, Stay here with me, I won't tell a soul
Oh if you want me like I want you, I won’t judge you, This could be our little secret, our secret”

Elle ne roucoule pas comme tu l’aurais souhaité, elle te rejette, elle se fait froide, elle devient chieuse. « C'est toi qui te plaît dans mes draps, Constantin.» Elle te crache son venin au visage, tu la regardes incrédule, elle qui a toujours jouer la carte de ses charmes pour arriver à ses fins. Tu ressens une certaines colères, une rage internes, tu grondes. Ses mains glissent contre ton cuir chevelu, elle s’enfonce contre tes cheveux, ses lèvres effleure les tiennes. « C'est justement le risque. Que tu ne veuilles plus te débarrasser de moi si je te donne ce que tu veux. »

Pour qui se prenait-elle? Elle pensait avoir à ce point une emprise sur toi? Utiliser ses charmes seulement lorsque cela lui convenait? Tu n’étais pas totalement une bête ni un sorcier normal, mais croyait-elle être un objet de convoitise à tes yeux à ce point? Elle n’était rien d’autre qu’une mesquine femme, celle qui essayait de te contrôler comme elle le désirait, oser t’offrir ce dont tu désirais seulement une fois qu’elle obtiendrait ce qu’elle voulait. Osez dire qu’elle pourrait à ce point te faire tourner la tête que tu ne désir plus qu’elle, tu fronças des sourcils. L’envie de lui attraper la gorge te chatouillait la main, tu aurais très bien pu la forcer, la prendre ainsi avec ou sans son consentement, mais tu te plaisais à croire que tu n’étais pas ce genre d’homme. Elle glissait sa main contre ta chair, elle usait toujours de ses charmes et cela commençait rapidement à te déplaire, tu n’aimais pas te faire manipuler.

Ton père te contrôlait constamment, il prenait et quémandait en permanence, ta mère en faisait autant parfois. Tu regardas cette femme que tu désirais si ardemment pourtant. Elle blessait tout de même ton égo, te rejetant, mais tu savais qu’elle avait tout de même raison. Tu avais fait tant d’efforts pour elle, elle ne désirait pas sa situation, tu le savais. Tu avais essayé de lui rendre le tout plus confortable, tu avais fait en sorte qu’elle se sente bien le temps que la situation change, ce qui n’était pas encore arrivé. Tu avais découvert une autre femme que celle qu’on t’avait décrite, tu avais vue du bon en elle, tu avais cru pouvoir l’apprécier, tu ne redoutais plus autant cette alliance, tu savais que c’était dû en partie par son sang, mais cette faculté qu’elle avait te consolait, elle n’était pas ordinaire. Certes, elle n’était pas semi-loup comme toi, elle ne le serait jamais, elle jurait pour les mangemort, elle était une vrai fille pourri-gâté, mais il y avait en elle des choses qui t’avais plu. Tu aimais la voir sourire, tu avais aimé les discussions que vous aviez partagés ensemble, Beatrix n’était pas si difficile à vivre. « Rend-moi ma liberté, Constantin, et tu auras toutes les nuits que tu voudras, jusqu'à t'en rendre fou, ivre, si tu veux.»

Cette idée de prison, cette supposé liberté, elle était la seule à pouvoir la prendre. «Tu parles comme si je te retenais dans ma tanière, tu n’es pas une prisonnière ici Beatrix, vas-t-en si tu veux, retourne chez toi, explique toi avec ton père. Reprend ta liberté, il n’y a aucune chaînes à tes chevilles.» Tu te relevas, t’éloignant d’elle, prenant place assise à son lit, furieux, blesser d’un tel rejet, personne ne te rejetais habituellement. Tu pensais trouver beaucoup mieux en pénétrant le seuil de sa chambre, te glissant dans son lit alors qu’elle t’y avait invitée d’elle-même. Tu te sentais humilier, colérique, furieux, tant d’émotions te traversait, pourtant elle te semblait toute teinter d’encre noir. «Si tu veux vraiment quelque chose, apprend à te battre pour celle-ci, si cette alliance te dédaigne à ce point alors vas voir ton père et confronte le! J’ai fait beaucoup d’efforts pour toi et tu n’es point reconnaissante, la manipulation je connais et je déteste ça.» Tu te relèves de son lit, furieux contre toi-même d’être à ce point bouleverser par ce rejet, par ses paroles, tu n’as pas faillis à tes promesses, tu as parlé à ton père et essayer de le raisonner à mainte fois, pourtant le patriarche Carrow, ce n’est pas à toi de le convaincre. Tu la regarde avec cette haine au visage, en ce moment tu la hais. Tu n’as qu’une envie, retrouver ton lit, retrouver ton chat, retrouver cette vie tranquille que tu avais avant qu’elle ne débarque et vienne mêler tes sentiments, elle ne mérite pas l’affection que tu lui portes. «Crache ton venin sur un autre Beatrix, tes manipulations je n’en veux pas, demain tu feras tes bagages et que ton père le désir ou non je te ramènerais chez toi, tu ne pourras pas dire que je te retiens ici, tu pourras rêver de ton prince charmant et de toutes ses pacotilles de bonnes femmes.» Tu quittes sa chambre d’un pas décidé laissant la porte se fermer brusquement derrière toi, furieux, toute trace de désir s’évaporant, elle est tel un serpent, elle est vil, accusatrice et tu n’aimes pas ça. Tu retrouves ta chambre, ton lit, tu t’y laisse tomber, la chambre bascule. Tu ne ressens qu’une immense colère bouillir en toi. Le feu s’est éteint, tu te sens crasse, tu avais peut-être commencé à ressentir quelque chose pour elle, peut-être que c’était plus que son sang, plus que son corps. Cette femme, tu ne la comprenais pas, mais tu savais que tu étais en colère en ce moment, au point de fracasser quelque chose de tes poings.

En ce moment tu détestais ton père qui te l’avait glissé entre les pattes, cela était plus simple autrefois, tu ne te posais aucune question, elle n’était que la demi-sœur détestable de Susanna, la fille bâtarde de Lazarus Carrow, elle n’était rien à tes yeux. Tu la détestais pour l’emprise qu’elle réussissait à avoir sur toi, tu n’étais pas un chien et encore moins une bête. Elle n’était pas prise au piège, barricadé dans ce manoir, elle n’avait qu’à quitter l’endroit. Tu respires à fond, prêt à tous saccagé, mais ce n’est pas le moment, il est tard et elle ne mérite pas de te rendre autant en colère. Cette boule de poil vient te rejoindre, tu le caresse, te laissant bercer par son ronronnement, essayant de retrouver les bras de Morphée. Te laissant bercer par l’odeur familière de cuire qui règne dans ta chambre, par la pénombre, la noirceur et tu serres les poings, retrouvant peu à peu un calme interne.
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C'était la plus difficile des unions que tu avais vécue, celle qui était allée le plus près du mariage, du cauchemar. Le pire, c'était que tu aurais pu te plaire dans cette union, t'y abandonner, tomber, de haut, très haut, en haute voltige, te rompre le cou. Ce qui t'avais surtout, toujours retenu c'était que bien avant votre union, il t'avait brisé le coeur. Il t'avais lui-même rejetée, repoussée. Aujourd'hui, ironie du sort, c'était à toi de le briser. Douce, cruelle vengeance. Ce n'était pas ce que tu avais voulu, c'était néanmoins ce qui arrivait. Comme si ta beauté surhumaine ne pouvait que détruire les gens autour de toi. Ton père, ton frère, Sue, puis Constantin. C'était inévitable. Tu allais le blesser, le traîner vers le bas, le rendre fou, c'était ce que tu faisais, ce que tu faisais toujours. « Tu parles comme si je te retenais dans ma tanière, tu n’es pas une prisonnière ici Beatrix, vas-t-en si tu veux, retourne chez toi, explique toi avec ton père. Reprend ta liberté, il n’y a aucune chaînes à tes chevilles. » Un rire froid quittait ta poitrine. Non. Tu n'avais pas de chaîne à tes pieds.

« Elle est à mon doigt, la chaîne. »

Soufflais-tu, le poignardant une nouvelle fois dans ton innocence. Il se relevait, s'éloignant de tes enfers, pour s'asseoir sur le lit, rageur, furieux et avec raison. Tu l'avais mis en pièce détachée, inconstante comme la mer, tu t'en voulais et tu t'en voulais de t'en vouloir, de ne pas être indifférente.  « Si tu veux vraiment quelque chose, apprend à te battre pour celle-ci, si cette alliance te dédaigne à ce point alors vas voir ton père et confronte le! J’ai fait beaucoup d’efforts pour toi et tu n’es point reconnaissante, la manipulation je connais et je déteste ça. » Ta langue claque contre ton palais. Tu n'avais jamais vraiment compter le manipuler. Tout ce que tu voulais, c'est qu'il n'oublie pas le but de votre bonne entente. Malgré les désirs qui pouvaient bouillir sous vos peaux. Se relevant furieusement de ton lit. Il était brûlant, mais n'avait pas moins raison. Tu t'étais rarement battu pour ce que tu voulais, on te le donnait, en quelques battements de cil. Et ce regard haineux qu'il a contre toi, tu ne sais que faire d'autre que de battre des cils encore, espérer qu'il ne te déteste pas. « Crache ton venin sur un autre Beatrix, tes manipulations je n’en veux pas, demain tu feras tes bagages et que ton père le désir ou non je te ramènerais chez toi, tu ne pourras pas dire que je te retiens ici, tu pourras rêver de ton prince charmant et de toutes ses pacotilles de bonnes femmes. » Ta langue claque contre ton palais. Il n'a vraiment rien compris. Tu n'es pas faite pour le mariage, ni avec lui, ni avec personne. Prendre le nom d'un homme, devenir sienne. Malfoy avait raison, tu n'étais pas une femme, tu étais une amante. Tu étais de celle qu'on ne possède jamais, même si on le veut ardemment. Libre, pour toujours, déesse aux pieds nus courant dans les bois.

« Je suis désolée, Constant... » La porte claques. Il part. Il s'enfuis, te laissant seule dans le noir de ta chambre, cette chambre qui ne sera jamais tienne. Tu as réussi. Bravo Bea. Demain tu pars, tu n'as aucune idée d'où tu vas. Demain tu ne rentres pas à la maison, tu n'as jamais eut autre chose que des prisons. Demain tu pars et tu ne sais pas où tu iras. Demain, tu t'abandonnes, tu dormiras dans la rue, dans la forêt, chez Draco, sous ses tortures, n'importe quoi. Demain tu pars et ça te terrifies. Demain tu pars et ce soir tu pleures, en silence, dans le noir, sans que personne ne le sache.

Fin.

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