- Dortoir (masculin) des 1ères années des Serdaigles -
Je bouillonne encore quelques seconde devant cette foutue porte, donnant de délicieux sobriquets aux deux « alliées » derrière la porte. Nous retrouvons la directrice –que nous avions laissé choir de façon fort peu élégante, en gros elle s’était explosé le nez en tombant comme une bouse, face contre terre- alors que je tente toujours de me calmer, d’étouffer mes angoisses et de ravaler ma colère pour avancer. J’avais la chance d’être avec Elli et Lee qui avaient su me parler et même me faire sourire. Merci… Voilà c’était dit, inutile d’en faire des caisses, ils avaient bien du comprendre ma peur et ainsi ma réaction… virulente. C’est le dortoir des premières années… ils sont 5 t’es prête ? Un petit sourire et un hochement de tête. J’ai une idée… ça m’a valu un mois de colle à mon époque mais je me suis bien marré, je crois qu’on peut reproduire l’action. Tu insonorises le dortoir ? Inutile de réveiller les autres chambres. Elli s’exécute et je pointe ma baguette sous la porte avant de lancer un sortilège de brouillard anti-gravité. Surtout ne touche pas à la brume et éclates toi. Grâce à la directrice nous pouvons déverrouiller le dortoir et ainsi constater cinq petits angelots endormis dans leurs petits lits. Je laisse tombé la directrice au sol – une bosse de plus ou de moins maintenant…- et observe silencieusement la brume recouvrir tout le sol du dortoir avant de lancer d’une voix forte. SORTEZ PLUMES ET PARCHEMINS, CONTRÔLE SURPRISE ! Elli se marre déjà alors qu’ils se lèvent tous d’un bond qui les entraine rapidement entre ciel et terre. Le choc fut violent pour deux d’entre eux qui venaient tout simplement d’embrasser le plafond et se retrouvaient assommés, les autres tentaient encore de comprendre ce qui venait de se passer. Plus que trois à pétrifier avant de passer au dortoir suivant. Accio Baguettes ! Rien. J’hausse les épaules avant d’ajouter. Fallait essayer. De toute façon aucun d’eux ne pouvait atteindre son arme. Elli tente à son tour un sort que je vois ricocher contre un blason de Serdaigle. Mon sort atteint le plafond à son tour ratant le rouquin qui semble hésiter entre l’hilarité et la dangerosité de la situation … qu’est-ce qu’on est con à 11 ans. Faut les choper un peu comme des lutins de Cornouailles. Le ton était léger parce que les trois morveux n’étaient pas un grand risque et que nous étions de toute façon bloquer d’un côté comme de l’autre.
Dernière édition par Brice Brain le Lun 9 Mai 2016 - 20:06, édité 1 fois
××× Dortoir (masculin) des 1ères années des Serdaigles ×××
Assis sur le corps de la directrice, parce que c’était quand même plus confortable que par terre, je laissais les filles s’amuser avec les premières années puisque Brice avait décidé de s'occuper pendant que nous étions coincés. Faut dire que c'était un peu con comme situation mais bon, on trouverait bien une façon de s'en sortir. Je vérifiais que mon matériel pour émettre n’avait souffert d’aucun désagrément ou bien sorts comme il fallait qu’il fonctionne si jamais on en avait besoin et surtout parce qu’avec Albane on avait dans l’idée d’émettre du haut d’une des tours de Poudlard pour la prochaine émission. Rien de mieux pour redonner espoir aux gens ! Tout allait bien aussi je me redressais histoire de voir où en étaient les filles et regardais les trois premières années encore debout en train de courir partout. ××× Je me souvenais pas qu’on était aussi con. Si ?! ××× demandais je à Elli et Brice avant de lancer un sort qui pétrifia le premier devant moi. Mon second sort tapa contre un lit et le troisième me revint dans la tronche aussi je me décalais rapidement pour le voir frapper la directrice déjà au sol. Ah bah comme ça… J’hochais les épaules en regardant Brice et tapotais sur mon miroir pour papoter avec Fleur. ××× Ça va les filles ? Vous trouvez une solution ? Pas d’inquiétude je suis sur que vous allez y arriver vous êtes les meilleures ! ××× Ne jamais s’en prendre aux autres, toujours les encourager. Je fis un grand sourire à Brice sans faire attention à son regard noir. ××× Avoues, tu as toujours rêvé d’être enfermé avec moi. ××× Bah quoi ? On n'allait pas se laisser abattre quand même !
Dernière édition par Lee J. Jordan le Jeu 26 Mai 2016 - 14:43, édité 1 fois
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10432
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
RAVENCLAW tower ; common room Հ Les effets du Polynectar se réapproprient lentement ses traits tandis qu'elle parcoure avec avidité les quartiers privés du directeur de Ravenclaw. Ses doigts vont même tâtonner les différentes surfaces des murs, dans l'espoir de pouvoir trouver un quelconque passage secret menant aux dortoirs de la maison du savoir, une centaine de mètres au-dessus d'elle. Petit salon, petite chambre, petit bureau ; si elle a l'impression de ressentir l'aura de Flitwick malgré les murs imprégnés de magie noire, elle ne trouve rien. Rien, rien, rien. Voilà un bien fâcheux contre-temps : si les trois insurgés restaient bloqués le temps d'apposer la pierre ancestrale au socle, elle ne donnait pas cher de sa peau et de celle de Fleur une fois Brain libérée de sa prison éphémère. Insultes, sortilèges, maléfices : la sorcière ne doute absolument de la capacité de sa comparse à se venger le plus rapidement possible. Elle se perd dans tous les scénarios possibles, l'insurgée, et tire sans la moindre retenue l'anneau métallique de la dernière porte du couloir. Grossière erreur. Cette dernière se met à hurler férocement, vomissant paroles menaçantes et injures pour avoir ainsi été maltraitée. « Silencio ! ». Le regard noisette observe avec horreur la poignée qui s'égosille dorénavant en silence. D'accord, là, il n'y avait plus de temps à perdre. Elle devait repartir vers la salle commune au pas de course : on ne plaçait pas ce genre de serrure au beau milieu de nulle part s'il n'y avait rien de l'autre côté, pour seulement prendre le relais et chasser les intrus. Avant de ressortir, elle s'assure que c'est le visage de Marie que lui reflète le miroir d'entrée avant de passer le seuil. Elle remonte les marches quatre à quatre, répond sèchement à la nouvelle devinette du heurtoir en bronze avant de s'engouffrer dans la salle commune. Fleur la regarde alors avec un regard plein d'espoir. « J'ai peur qu'ils soient vraiment coincés. » Marie se met à fixer intensément la statue : elle n'est plus très sûre de l'aimer, Rowena, pour l'instant. « Soit on leur demande de modifier le passage de la bibliothèque, soit on attend les autres. »
Spoiler:
[okay, mon piège, là où j'étais, c'était un peu difficile à caser … du coup, si vous voulez pimenter votre parcours ailleurs, hésitez pas à réutiliser le cri de la porte ! #loudangerpublic ]
Le polynectar n'était jamais très efficace sur Fleur, pour la simple et bonne raison que cette potion était faite pour les êtres humains et son sang de vélane, quoi que dilué, prenait le dessus trop rapidement. Il s'était à peine déroulée quarante minutes pourtant depuis ses premières gorgées. Aussi, quand Marie revint de son périple dans les quartiers du directeur de Serdaigle, la jeune femme arborait à nouveau ses longs cheveux d'un blond argenté. Fleur se tourna vers son acolyte, espérant qu'elle ait trouvé une manière d'ouvrir un passage, la statue demeurant en face des escaliers et interdisant toute circulation, tant pour y entrer qu'en sortir. « Alors ? » demande-t'elle. « J'ai peur qu'ils soient vraiment coincés. » annonce Marie et Fleur soupire, observant craintivement la porte coincée des dortoirs comme si Brice pouvait lui jeter un sortilège au travers. « Soit on leur demande de modifier le passage de la bibliothèque, soit on attend les autres. » rajoute la brunette / temporairement rouquine. Fleur n'aime pas demander de l'aide, et rechigne un instant, sentant son miroir double-sens lui brûler la peau à travers le tissu. « Oh là là. » maugrée-t'elle «Par la culotte de Merlin, Brice va nous tuer. C'en est fini de nous, si on n'arrive pas à les faire sortir de nous même. ». Toutes deux observent un instant encore la statue, la perçant de leur regard noir d'agacement. Elle attrape son miroir à contre coeur et s'adresse à @Harry Potter « Nous avons un problème » commence-t'elle « Ne nous demande pas comment, mais nous avons enfermé par erreur certaines personnes dans les dortoirs, et nous ne trouvons pas de moyen pour réouvrir le passage. Pouvez vous modifier le passage secret pour le relier à ces derniers et leur permettre de sortir ? ». Elle adresse un sourire à Marie, espérant que son message soit suffisamment clair.
- Dortoir (masculin) des 1ères années des Serdaigles -
Ça détend. C’est vrai, balancer des sorts en riant avec Elli et Lee ça me détends un peu. J’oublie quelques secondes que je suis, enfin que nous sommes, coincés ici. J’oublie un peu l’enfermement, l’angoisse, la peur qui gronde en moi – Je suis là – Elle l’est toujours et ça aussi c’est rassurant même si je me refuse à l’admettre parce qu’elle est dangereuse. –Tu l’es aussi Je secoue la tête, éloignant cette pensée. En revanche, je ne suis pas certaine de vouloir savoir ce qui se déroule un peu plus bas mais j’espère qu’elles vont rapidement trouver un moyen de nous sortir de là parce que le jeu ne dure qu’un temps. La joueuse de quiddtich hausse les épaules amusée par la demande de Lee et c’est moi qui lui réponds sincèrement. Nous non… toi… t’es un mec c’est pas pareil à cet âge-là ça a pas grand-chose dans le ciboulot. Ça en a pas avant des années d’ailleurs ! A question con…réponse con ! On jouait bien dans la même catégorie. Je vise de nouveau le rouquin et mon sort rebondit juste à côté de son visage, cette fois il se met à rire franchement, j’ai l’impression de voir un membre de la famille Weasley devant moi et cette pensée me fait sourire alors que j’envoie un second sort. Stupefix! le sort le touche mais au lieu de s’arrêter net il se met à gesticuler en tous sens et fini par s’assommer contre le bois du lit. Aïe… J’ai mal pour lui. J’entends les paroles d’encouragement de Lee à l’intention des filles et grogne. On a autre chose à foutre que de leur envoyer des fleurs ! J’envoie mon sort qui se croise avec celui d’ Elli oups raté. Elle achève de tous les « endormir » avec le sourire par un dernier sort parfaitement exécuté. Je lève les yeux au ciel tout en répondant à Don Juan. Dans le top ten, t’imagines même pas! Je secoue la tête amusée. je dégage la brume, on récupère les baguettes et on se fait un autre dortoir? Des idées sympa pour le prochain ? Demandais-je alors que j’ôtais la brume anti-gravité pour que nous puissions prendre les baguette, rassembler les mômes assommés/pétrifiés/stupéfixer [rayer la mention inutile] avant de passer aux suivants.
××× Dortoir (masculin) des 1ères puis 2èmes années des Serdaigles ×××
××× Nous non… toi… t’es un mec c’est pas pareil à cet âge-là ça a pas grand-chose dans le ciboulot. Ça en a pas avant des années d’ailleurs ! ××× Mince alors ! Tu veux dire que c’est pire pour vous ? ××× fis je en rigolant de bon cœur avant de les aider à mettre HS les étudiants du dortoir. Bon par contre il allait peut être falloir se concentrer un peu car on avait quand même besoin d’être trois pour arriver à assommer quelques pauvres petits premiers années… La loose ! Elli heureusement est meilleure que nous et finit d’assommer les mômes. ××× Je dégage la brume, on récupère les baguettes et on se fait un autre dortoir? Des idées sympa pour le prochain ? ××× Ok ! ××× Je vais chercher les baguettes avant de sortir et de regarder où se trouvent les autres dortoirs. ××× Un petit sort de glue ? ××× Je fis un clin d’œil aux filles avant de voir Elli se lancer tout de suite dans ce sort. Ah bah ça plaisait au moins ! Après j’adoptais la même technique que Brice tout a l’heure et quand j’eus le feu vert j’ouvrais la porte pour lancer des éclats de lumière de toutes les couleurs histoire de les réveiller. Bon normalement c’était censé éclairer que dans la pièce mais cela éclaira aussi tout le couloir et parti un peu plus loin… Oops ? ××× Bon bah on va pas s’ennuyer au moins ! ××× fis je avec un grand sourire avant de lancer des sorts sur les secondes années qui étaient tous sortis de leur lit et étaient donc englués au sol, certains n'ayant pas eu le réflexe de prendre leur baguette avant de sauter du lit.... Bon par contre si j'en touchais un ça pourrait aussi être utile...
HARPER, HAZEL, RON & FRED MARCH 25th, 2003 && GRYFFINDOR TOWER
I
l grommelle. Un peu parce que Harper l'énerve, un peu parce qu'elle le distrait. Putain, c'est vraiment pas le moment. Y a George partout, y a des mangemorts partout. Elle risque d'y passer, elle aussi, s'il ne fait pas attention.
(S'il ne fait pas attention, il va la perdre aussi) Et il ne fait pas attention, les réflexes de ce Fred reviennent, mortels et assassins. L'éclair vert a déjà disparu quand il réalise ce qu'il vient de faire devant elle. Dans ses tripes, le monstre de glace ronronne, satisfait par la sentence. Mais, pour une fois, son coeur s'agite, angoissé, dans sa poitrine. C'est sûr qu'il va la perdre. (Elle va détester le monstre qu'il est vraiment) (Ou elle va vouloir le changer, le faire redevenir celui qu'il était avant, et ce sera pire : ce sera lui qui va la détester)
Il n'ose même plus la regarder dans les yeux. Fred en oublie même de l'engueuler pour son imprudence (mauvaise foi, quand tu nous tiens) alors qu'il s'applique à regarder sa pommette pour ne pas montrer qu'il veut éviter son regard (son jugement).
« Vous nous ouvrez le chemin avant que ses copains ne rappliquent? » Ses doigts se serrent plus fort autour de sa baguette. Il est en colère contre lui d'avoir merdé comme ça, d'avoir autant dérapé devant elle. Il est en colère contre elle aussi, il croit qu'elle va l'abandonner parce qu'il n'est pas ce mec trop roux et trop maigre des USA. Putain, il lui en veut de ne pas avoir su être plus clairvoyante, de ne pas avoir vu qu'il était un meurtrier aux mains dégueulasses. Harper est pourtant le genre de nana qui comprend vite les gens (qui le comprend vite). Pourquoi elle a l'air tellement perturbée de le voir lui ? Elle devait bien s'en douter un peu, non ? (Mais tu as bien caché ton jeu, non ? Tu as trop joué au mec normal là-bas.)
« Fred, je te laisse les balais, j’ai un elfe dissipé à surveiller. » Il a déjà les balais dans la main quand elle propose ça. « Non, il grogne, énervé par ce qu'il croit comprendre de sa proposition : c'est dangereux ici, je ne te laisse pas seule et on va pas s'encombrer d'un elfe. Stupéfixie-le, cache-le dans un placard et on y va. » Sans lui laisser le temps de protester, Fred stupéfixie lui-même l'elfe mais trop énervé, il n'arrive pas à verrouiller magiquement le placard où il a jeté la créature neutralisée et claque la porte violemment avant d'attraper Harper par la main pour la forcer à le suivre à la suite de Ron et Hazel.
Il n'arrive toujours pas à la regarder dans les yeux (il ne la regardera pas dans les yeux jusqu'à la fin de la mission, et même au-delà, quand ils bosseront à débloquer Poudlard). Il a toujours un peu honte de lui montrer qu'il n'est pas le type bien, un peu grognon, qu'elle pense qu'il est. Mais il ne va pas la perdre, il refuse.
#EVENTS & #MISSIONS. NE MANQUEZ PAS LA WIZPRIDE (rp et hrp) !#SCRYNEWS. refonte du ministère (plus d'infos) & nouveaux procès de guerre (plus d'infos)#FORUMATHON.