Les torches ensorcelées projettent des ombres un peu partout et déjà, des élèves aux bras chargés de livres se pressent, revenant de la bibliothèque ou faisant du moins semblant d'avoir été studieux. Depuis le Grand Hall, il est facile de les suivre et se fondre dans le décor, pressant le pas, échangeant quelques mots. Une volée de marches pour descendre jusqu'aux cachots et atteindre la salle commune des Serpentard, un couloir à la dérobée pour filer jusqu'aux cuisines et finalement se faufiler chez les Poufsouffle ? Ne soyez pas trop distraits par la vision horrifique de Minerva McGonagall, végétative et enchainée à une chaise, gardant l'entrée de la Grande Salle, vous avez des tâches urgentes à accomplir.

NB : Pensez à utiliser la balise <'as3'> <'/as3'> (sans les ') pour signaler au début de chaque message votre position actuelle afin de facilier la logistique pour vos camarades.
L'utilisation dé "duels" est recommandées en cas d'affrontement avec des élèves rebelles ou autres obstacles humains.
Les dialogues par miroir sont à placer en italique.
Si vous mentionnez un personnage joué et attendez une réaction ou une réponse, utilisez l'option @"prénom nom" de forumactif / n'oubliez pas de vérifier vos notifications pour voir si on vous a mentionné.

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Dès de duel :

entrée de la salle commune des poufsouffle

Elle n’avait pas pu s’empêcher de songer à la dernière fois où elle s’était retrouvée dans Poudlard sous polynectar. La potion avait fait des dégâts à l’époque, mais elle aurait donné pas mal, à cet instant, pour être aussi discrète et légère qu’un chat de gouttière se faufilant sans se faire remarquer, profitant de l’obscurité pour évoluer sans souci. A la place, elle devait se contenter d’une autre identité, celle d’un élève aux cheveux blonds et bouclés, un peu trop longs sans doute puisque venant constamment effleurer son front. Depuis plusieurs minutes, depuis qu’ils s’étaient enfoncés dans les égouts pour rejoindre l’école et à vrai dire, elle avait oublié sa gêne lorsqu’ils s’étaient retrouvés dans l’entrée du château, un haut le cœur violent et n’ayant rien à voir avec l’immonde potion ingurgitée lui tordant les boyaux. McGonagall. L’image alla s’incruster dans ses souvenirs. Il fallut que Bill l’attrape et la tire à sa suite pour qu’elle bouge, se concentrant de son mieux sur la tâche à accomplir.

Grace à Albane, ils se retrouvèrent bientôt chez les Poufsouffle, Hermione connaissant un peu ces couloirs pour y avoir effectué quelques rondes, à l’époque, essayant de canaliser les élèves du château, élèves comme celui qui ne tarda pas à finir au sol, pétrifié d’un sort lancé par Bill pour le neutralisé. « Ca commence bien... » souffla le Weasley et nerveusement, Hermione passa une main sur sa nuque. « Quelqu’un a un Poufsouffle ? » murmura-t-elle à ses collègues d’infortune, dans la pénombre, tirant sur la cravate qu’elle portait pour aller en vérifier la couleur -bleu et bronze, pour elle- « Histoire de voir combien ils sont… ou on avance juste ? » et le craquement dans sa voix indiqua sans doute à quel point l’idée de foncer dans le tas lui déplaisait.

ENTRÉE DE LA SALLE COMMUNE DES POUFSOUFFLE ⊹

"Ça commence bien..." Murmura  Bill en rattrapent le corps de l'élève qui venait de se figer sous l'emprise du maléfice du saucisson, avant qu'il  ne heurte le sol "Quelqu'un a un Poufsouffle ?  Histoire de voir combien ils sont… ou on avance juste ?" fit  Hermione  d'un ton anxieux. L'élève dont elle avait pris l'apparence était de Serdaigle. Albane baissa les yeux vers sa cravate jaune et noir et acquiesça d'un signe de tête. "J'y vais . En plus je connais les lieux, attendez-moi là." Faire du repérage n'était pas une mauvaise idée, le couvre-feu n'allait plus tarder, ça devrait bien se passer, avec un peu de chance, celui qui les avait surpris était un des derniers retardataires.

Elle s'avança dans le couloir avec l'étrange impression de rentrer chez elle après des années d'absence, mais avec la peur de retrouver un foyer méconnaissable a mille lieux de son souvenir. Elle se retourna et fit un pas dans le couloir, à quelque mettre, on apercevrait les lumières chaleureuses de la salle commune. Mais à peine eut-elle fait un pas qu'une voix s'éleva dans son dos. "Hé ! qu'est-ce que vous faites encore là, c'est presque le couvre-feu !" Un préfet accompagné de deux élèves s'avançaient d'un pas vif dans leur direction ! "Hé mais, vous n'êtes pas de Poufsouffle !" Le sang d'Albane ne fit qu'un tour, elle se retourna vivement. "Ils sont avec moi !"répondit-elle, dans l'espoir de calmer les hardeurs du jeune hommes. Mais elle prit aussi-tôt conscience que la petite deuxième année dont elle avait pris l'apparence n'avait probablement aucun crédit face à lui. "Et t'es qui pour ramener des élevé étranger dans nos dortoir toi ?" Dit-il d'un ton agressif. Ce serait un miracle que ça tapage n'alerte pas les potentiels élèves restés dans la salle commune Le préfet amorça un mouvement pour sortir sa baguette. Mais Albane fut plus rapide. Un éclaire rouge jaillit de sa baguette. Le sortilège de stupefixion foudroya le jeune homme. Mais ses deux acolyte étaient déjà sur le point de répliquer.

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