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sujet; demandes de particularités réglées |
| bonsoiiiir Ophelia Carrow ; loup-garou Motivation ; ophelia, depuis sa plus tendre enfance, a de grandes difficultés à ressentir les émotions. elle a un manque flagrant d'empathie et vit dans un espèce de vide émotionnel intérieur, non par volonté mais par nature puisque c'est un trouble psychologique qui l'a conduite à si apathique, si indifférente aux sentiments d'autrui et aux siens. elle est calme, toujours calme — elle le croit, et l'impulsivité pour elle n'est que le moyen de se soustraire au néant qui la dévore. elle se donne l'illusion de ressentir. quelques ébauches, un peu fausses, d'anxiété, de haine, juste parce qu'elle n'est pas comme les autres. sa transformation en loup-garou va radicalement changer sa vie car l'animal est émotions. c'est un tourbillon qui la happe, des sensations qui lui échappent. cette rage, cette fureur, elle ne les a jamais réellement ressenties. l'animal les libère, leur donne libre cours. c'est une libération, une rédemption, une malédiction. elle l'abhorre et l'adore en secret, la jolie petite bête qui gronde sous sa peau et lui murmure d'horribles mots. c'est ce qui la rend plus humaine, au fond. un peu moins cruelle — au moins, ce n'est pas par dépit qu'elle sème ses horreurs. c'est un nouvel univers, empli de vie et de colère, de contradictions et de confusions. Maîtrise ; très peu de maîtrise. elle n'en veux pas, n'essaie même pas. on l'enferme, les nuits de pleine lune, pour éviter les ravages. on prétexte des maladies, des excuses et des fantaisies. elle est violente, s'exalte dans les saveurs bestiales, l'intensité brutale. et l'habitude reprend le pas, des fois. le vide revient. alors c'est son frère qui l'épaule, refoule la sauvagerie quand elle a peur, de lire dans ses yeux le mépris, de le voir qui s'enfuit. le contrôle, ça n'a jamais été pour elle, ça ne le sera sans doute jamais. mais elle s'efforce, pour lui faire plaisir, éviter de le faire souffrir. elle continue, d'être un peu elle-même, d'oublier la bête. il le faut bien, ils lui ont dit, pour vivre en société. |
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WIZARD • always the first casuality Amara Bataglia | Je fais remonter ça et on te dit au plus vite
EDIT : c'est bon pour nous ( j'te mpotte pour être sûre que tu vois la réponse ) |
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| Bonjour. en vous remerciant par avance pour le temps que vous y accorderez, ainsi qu'en espérant que ce ne soit pas trop fouillis. Narcissa Malfoy ; Occlumens Motivation ; En naissant au sein d'une famille si mystérieuse et controversée, si emplie de secret, il ne fallait jamais être trop prudent. Donner plus de force au sexe faible, la force de se défendre, de ne jamais laisser personne s'immiscer trop en profondeur, et surtout desceller l'un des nombreux mystères planant autour de la femme trop parfaite. Maîtrise ; Si douée et pourtant à des lieues du traditionalisme, elle s'est perfectionné elle-même, bien que les bases lui venaient d'aînés. Et si les enseignements menaient à résultats, elle n'a jamais mieux maîtrisé le pouvoir que dès lors la décision prise de l'utiliser de sa propre façon. Vider son esprit, élever un mur par devant ses pensées, des méthodes bien trop peu naturelles pour celle qui préfère au contraire emplir son esprit de maintes songes futiles qu'elle multiplie à outrance pour ne laisser à l'assaillant d'autre choix que de s'arracher à la contemplation aussi épuisante que détestable. Et sûrement ne se doutait-elle pas des bienfaits de cette méthode jusqu'à peu, jusqu'à ce que presque malgré elle, elle l'utilise pour échapper à la réalité. S'évader, laisser son esprit divaguer, s'emplir de futilités, ça l'empêche de penser, de réaliser l'état dans lequel elle se trouve, ou du moins cela l'aide à s'arracher un instant à cette douleur incessante qui ne la quitte un brin que lorsqu'elle use de cette particularité. Et pourtant, s'il l'aide en cette situation à laquelle elle n'aurait jamais pensé être confrontée, nul doute que cette dernière abrase son don à mesure que les mois défilent, à mesure que les blessures gagnent du terrain sur son corps. Elle est faible, trop faible pour pouvoir prétendre avoir la même concentration qu'auparavant. Ainsi, si l'assaillant fait preuve d'acharnement, elle ne serait capable de faire perdurer l'enchantement bien longtemps, serait certainement percée à jour, trop épuisée pour fermer son esprit, ou ne serait-ce que ranger ses souvenirs et pensées dans un ordre qui auparavant rendait invisible les plus délicats. Oui, elle demeure à ce jour bien trop faible pour cela, et si elle réussi toujours à user de cette technique dans son état, sûrement est-ce parce qu'elle n'a eu de cesse de l'affiner, la perfectionner auparavant. Elle se sert donc de ses bases tel un automate, mais sa faiblesse l'empêche de l'utiliser pleinement. |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | je fais remonter |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | eeet c'est bon pour nous ! |
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| Meeerci |
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| Phoenix Greyback ; Animagi en loup Motivation ; C'est la mère de Phoenix, Morgana, qui lui a appris cette particularité dès l'âge de 15 ans. Elle ne souhaitait pas que sa fille vive le même enfer qu'elle. Mariée à Fenrir Greyback, Morgana devint très vite un loup garou. Elle devait obéir à son époux, non seulement sous forme humaine, mais également les nuits de pleine lune. Fenrir a toujours eu ce pouvoir sur elle. Greyback, ayant le besoin de dominer, et de continuer à peupler son espèce, désirait transformer ses propres enfants. C'était un honneur de devenir un lycan, mais cet avis n'était pas partagé par Morgana. Il était hors de question qu'il inflige ça à sa fille. Phoenix n'a pas l'apparence d'une Greyback, si ce n'est peut-être le regard. Plus elle grandissait, plus Morgana se reflétait en elle. Elle méritait une meilleure vie que d'être enchaînée aux Greyback et à leur idéologie de sang pur. Lui apprendre à se métamorphoser en animal garantissait sa sécurité les nuits de pleine lune. Fenrir ne la mordrait pas en dehors, elle en était certaine. Pour lui, Phoenix serait une Greyback lorsqu'elle accepterait la morsure du loup. Or, ce n'était sans compter le tempérament rebelle de la petite brune. Elle ne voulait pas devenir comme sa mère, docile, supposée accepter le courroux du patriarche. Les relations sont plutôt tendues entre Greyback et sa cadette. Afin de contrer le destin, elle s'entraîna le plus souvent possible pour devenir une animagi. Les nuits de pleine lune, il lui suffirait de se transformer pour éviter son paternel. C'était plus honorable que de se cacher comme une petite souris pour ne pas être retrouvée. Malheureusement, Phoenix ne réussit pas à apprendre à se transformer. A croire, que quelque chose en elle, souhaitait appartenir à cette famille néfaste. Elle détestait son père, les meurtres dont il se délectait, et en même temps, il était sa famille, son propre sang. C'est à la veille de ses 17 ans que Phoenix assista au meurtre de sa mère. Intriguée par les éclats de voix qui provenaient du salon, elle s'était rapprochée discrètement du couple en train de vociférer. Malheureusement, lorsqu'elle arriva, elle vit le corps de sa mère, tomber lourdement au sol, le regard vitreux dirigé vers elle. Phoenix prit de panique, croisa le regard de Greyback avant de s'enfuir dans une course folle. Elle entendait son père hurler son prénom, ce qui la fit courir plus vite encore. Il ne fallait pas qu'il l'attrapa. Elle devait s'éloigner de lui le plus vite possible. Dans sa course folle, alors qu'elle entendait Fenrir s'approcher d'elle, elle se transforma pour la première fois en animagi : Une louve blanche. Maîtrise ; Phoenix contrôle plus ou moins cette particularité. Les nuits de pleine lune, elle se transforme sans le vouloir, par réflexe pour ne pas se faire mordre par un membre de la meute Greyback. Elle peut se métamorphoser lorsqu'elle le désire, mais parfois, cela lui prend du temps à reprendre forme humaine. En louve, elle se sent en sécurité, loin des problèmes qui peuvent l'entourer. Phoenix s'entraîne pour contrôler son don, mais c'est parfois bien tentant de fuir les problèmes à quatre pattes. Il lui est déjà arrivé de rester deux semaines sous forme animale. Ce qui est assez dangereux en soit, car elle risque de ne plus savoir ce qu'elle est vraiment, une sorcière ou une louve. Elle se sert de son côté animagi pour servir les belliqueux. Groupe assez extrémiste, mais qui convient parfaitement à son tempérament de feu et à sa soif de justice. |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9003
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| Je fais remonter ça en ZA et on te dit au plus vite |
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| Merci Miss Parkinson |
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| Idris Umbridge ; Maître des Runes Motivation ; Ancien étudiant de la maison créée par Rowena Serdaigle, Idris a toujours possédé cette fascination pour le savoir, le mystère et les énigmes. La découverte des Runes lors de sa troisième année ; option prise au hasard afin d’éviter la sempiternelle Divination ; lui a apporté ce qu’il attendait de cette matière. Étude fastidieuse ; néanmoins la volonté de fer accompagnant tout bon érudit, il se prit bientôt de passion pour l’apprentissage de l’alphabet particulier, puis de la traduction qu’imposait Bathsheba Babbling afin de tester le potentiel de ses élèves. Par le biais de matière que beaucoup pensaient sans intérêt, Idris sut qu’il lui serait possible de déchiffrer de vieilles antiquités présentes dans la bibliothèque familiale, et dont personne ne connaissait le sujet véritable. Par le biais des Runes, il assouvirait ce besoin de savoir, de défaire le nœud de la connaissance. Et plus encore, il pourrait certainement rabattre le caquet de son horrible cousine aux piques incessantes et provocatrices. Les années passant, il découvrit le réel potentiel de ce qu’il étudiait sans relâche, entre les entrainements de quidditch et autres activités moins lucratives : ces runes délaissées n’étaient autre que la clé vers un monde oublié, un art à part entière, une magie ancienne délaissée au profit de l’art de la baguette. Un tel savoir entre de mauvaises mains pourrait être hautement dangereux, ou même faire pencher la balance dans cette guerre actuelle. Depuis lors, Idris se consacre à trouver tout parchemin susceptible d’être mal-employé, afin de le cacher, le détruire ne pouvant être qu’aberration à l’œil de l’érudit. Cerbère avide. Il va de soi qu’il demeure discret dans la maitrise de cette aptitude, peu envieux d’être dépossédé de son libre-arbitre voire de devenir un objet de guerre. Il sait que son savoir peut s’avérer destructeur. Maîtrise ; Actif dans son étude depuis sa troisième année à Poudlard, Idris est à l’étude des Runes ce que Merlin est à son ordre. Il a étudié sans relâche pour comprendre les runes, les associer entre elles, traduire des textes, jusqu’à oublier de manger et de dormir à bien des occasions. Chaque nouveau parchemin susceptible de l’intéresser le rend aussi enthousiaste qu’un enfant, le plonge dans un monde où personne n’est le bienvenu : inutile de tenter de le déranger dès lors, il n’existe plus sur le plan physique. À sa connaissance, il est l’un des rares à avoir continué l’étude des runes, se faisant maître et pourtant continuellement élève, capable de déchiffrer en quelques heures un ancien texte dans cet étrange alphabet. Il a parfois contribué à la restauration complète d’un rituel jugé non-dangereux, voire de quelques recettes de potions oubliées. Apte à reconnaître d’un rapide coup d’œil le danger d’une traduction, il se veut neutre dans cette guerre civile, prétexte une aptitude rouillée quand il n’en est rien. Merci d'avance, quelle que soit la réponse ! |
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