I bet my life on you.Mission : Alan Ancrath, Davius Llewellyn, Edouard Douglas, Fred Weasley & Hazel Fitzalan
» Sujet de mission(fin juillet 2003) Cela fait des semaines que personne n'a eu de nouvelles de Davius Llewellyn, censé être parti rallier les insurgés survivants de l'attaque des campements. Et alors que Poudlard est encerclée par les Mangemorts et que le chaos s'abat sur l'Angleterre, les baguettes expérimentées ne sont pas à négliger. Pour cette raison, lorsque Fred Weasley est venu vous proposer de se joindre à lui pour aller chercher Davius dont il a réussi à obtenir la localisation approximative du miroir, vous, Hazel, Edouard & Alan, avez accepté. Refusant de donner l'information sur l'emplacement du miroir, le Weasley a également mis une clause à cette participation : seuls vous quatre devez partir et si vous avez posé la question, il a simplement répondu qu'il vous avait choisi et n'a pas voulu vous en dire plus. Bon gré, mal gré ; vous avez accepté ses conditions et le trouvez dans le parc de Poudlard, près du Lac, où attend déjà l'elfe de maison qui vous fera transplaner hors de l'école magique. Ce que vous ignorez d'autre ? En tant que membre du Conseil, Fred est là pour vous évaluer et déterminer si vous êtes des éléments intéressants pour les Phénix.
NB ; La participation de Davius arrivera en cours de mission.
» Rappel des règlesPrivilégiez l'action avec des RP qui ne doivent pas dépasser les 300 mots. De plus, la mission, une fois terminée, doit être signalée ici.
ALAN, DAVIUS, EDOUARD, HAZEL, VICTORIA (pnj) & HAZEL LATE JULY, 2003 && HOGWARTS
P
utain, il n'a pas envie. Pas comme s'il avait le choix, ceci dit. Il est à peu près le seul à avoir assez d'affinités avec les belliqueux pour que ça ne paraisse pas suspect de les embarquer avec lui. Mais, par Gryffindor, il n'a pas particulièrement envie de gérer ceux-là. Ni celui qui fait partie des belliqueux ayant explosé un hôpital, ni ceux qui (Fred en est certain) les approuvent. Il a d'autres choses à gérer - s'assurer que la Parkinson n'approche d'aucun membre de sa famille, par exemple. (Il n'arrive toujours pas à croire qu'Hermione ait réussi à leur imposer cette raclure inutile et absolument pas repentante) Il n'a pas envie de foutre les pieds hors de Poudlard.
Pourtant, il le fait, mains dans les poches et visage fermé pour cacher son mécontentement, alors qu'il traverse le parc de Poudlard. Même démoli par la rage et le deuil, Fred fait toujours ce qu'il faut, difficile ou pas. Il est comme ça. Kingsley l'a trop bien compris, avec son putain de chantage les yeux dans les yeux. Les bons choix, hein. Le vrai bon choix, ça aurait sûrement été de crever avec George plutôt que de se laisser abandonner par son jumeau.
« Hello, lâche-t-il quand il arrive au niveau du groupe qui l'attend. A ses côtés, l'elfe de maison, sans doute peu rassuré face aux belliqueux notoires qui sont rassemblés, semble vouloir se fondre dans sa jambe bien qu'il soit trop poli pour oser s'y aggriper : Sokkey va nous faire transplaner. J'espère que vous êtes préparés, y a un peu de marche à faire. » Il y a un peu plus que de la marche à faire s'ils ne veulent pas que le transplanage massif de cinq sorciers et d'un elfe n'alerte les geôliers de Davius.
Scénario / Insurgée Audacieuse / dialogues en mediumblue
Ils ont belle mine, tous autant qu’ils sont, à attendre le dernier membre du petit groupe hétéroclite qu’ils forment, regroupés autour d’un elfe de maison qui se fait plus petit de minute en minute. À se dévisager en chiens de faïence : il ne manque que les babines retroussées pour dévoiler les crocs et elle est bien certaine que pour tous, ce n’est pas l’envie qui manque. Y compris pour elle, lorsqu’elle a aperçu Alan. Elle a préféré l’ignorer, pour le moment avec superbe. Ça ne risque pas de durer.
Weasley se pointe – pas trop tôt – et elle peut détourner son attention des Belliqueux. Tout ceci pour aller chercher en autre et pas le moindre, d’ailleurs. Cet imbécile empafé de Davius Llewellyn, ancien Auror (et apparemment son ami, comble de malheur) possédant la capacité de réflexion d’un haricot (et elle se sent généreuse, aujourd’hui) et heureusement assez de camarades croyant en son utilité pour qu’ils partent le récupérer Merlin seul sait où. Enfin : Merlin et Fred Weasley. « De quel genre de système de défense parle-t-on ? », que la Gryffondor demande. Marcher ne la dérange certainement pas, mais il faudra bien s’introduire dans ce campement de dingues, pour reprendre le leur – et ils ont reçu si peu d’informations à propos de cette mission… Ils sont sur le point de transplaner : autant le savoir avant qu’ils soient directement dans l’action. Dans les problèmes.
L'air maussade d'Alan en disait long sur ce qu'il pensait de la compagnie dans laquelle il se trouvait. Aller chercher Davius à l'extérieur dans une mission probablement dangereuse, pourquoi pas ? Mais avec Victoria Campbell ? Si la mission n'avait pas été aussi importante et si Davius n'avait pas malgré tout été un homme qu'il respectait et appréciait, il aurait sans doute tourné les talons pour retourner se morfondre ailleurs, sans doute en dehors de Poudlard à nouveau pour ramasser les retardataires. Heureusement, la mégère ne lui avait pas adressé la parole pour le moment et il s'était calqué sur cette attitude d'un air morne. Heureusement que Hazel était là aussi, bien qu'il n'échangeait pas plus avec elle qu'avec Edouard.
Il faut dire qu'il n'y avait pas vraiment de quoi sauter de joie. Non seulement le manque d'informations relatives à cette mission leur faisait cruellement défaut, mais en plus celui qui les envoyait plus ou moins au casse-pipe avait l'outrecuidance de se permettre du retard, c'est à dire du temps supplémentaire qu'il aurait pu utiliser pour autre chose que de rester à faire les cent pas dans le parc du château. Cependant, le chef de mission arriva enfin et Alan se releva en s'époussetant.
-C'est pas trop tôt, marmonna-t-il. C'est quoi le plan ? Et pourquoi Rook est retenu prisonnier par ses propres hommes ?
Alan n'aimait pas l'idée d'affronter ceux qui étaient dans leur camp. Il ne comprenait pas en quoi Davius pouvait ne pas être libre de circuler où il le voulait, quand il le voulait.
‹ baguette : mesure trente centimètres virgule cinq, est composée de bois de chêne et contient un crin de licorne. Elle est inflexible et rigide comme son propriétaire.
‹ gallions (ʛ) : 3680
‹ réputation : j'ai été injustement envoyé à Azkaban. Mon crime? Avoir été mordu et être devenu loup-garou.
‹ particularité : un loup-garou depuis avril 1998. Je suis en triumvirat avec Amelia Cartwright, un lien émotionnel qui nous unit et nous permet parfois de partager nos pensées.
‹ faits : je suis un loup-garou, un ancien Auror bouffé par la culpabilité d'avoir vu ma famille et mes anciens amis décimés autour de moi. J'ai été défiguré à vie par mon Créateur et je me soumettais tous les jours à un sortilège d'Illusion pour cacher les dégâts. J'ai perdu un oeil dans l'affaire. J'ai fatT partie du groupe qui a attaqué Saint-Mangouste et me suis rendu compte de l'horreur de la situation trop tard. Je suis le loup-garou qui a mordu Ginny Weasley. Je suis actuellement à Azkaban à cause de ça et de l'attentat de Saint-Mangouste, même si la rumeur est que le juge m'a plus puni pour ma nature que pour mes crimes.
‹ résidence : dans une cellule d'Azkaban, que je partage avec Aramis Lestrange.
‹ patronus : un ours
‹ épouvantard : les corps massacrés de mes proches, détruits par la Bête qui m'habite.
‹ risèd : moi tel que je l'étais avant, libre de l'influence du loup en moi.
Édouard a les bras croisés. Il a moins de mal à rester immobile que les autres, apparemment, attendant avec une nervosité grandissante l'arrivée du chef incontesté de la mission, Fred Weasley. Il le connait mal, si ce n'est pour dire pas du tout: les autres aussi, il les connait plus ou moins, mais sans plus. Ils ont tous fait partie des Belliqueux et ont tous apparemment la baguette facile... bref, la recette pour une mission soit magnifique, soit désastreuse mais très certainement mouvementée. Et tout ça pour aller chercher Davius Llewellyn, légende vivante aux yeux d'Édouard: c'est pour ça qu'il n'a pas pu refuser, certainement pas pour l'admirable conversation de ses compères du jour. Weasley arrive en retard et les questions fusent déjà. Édouard n'a qu'une envie: qu'ils transplanent et qu'ils s'y mettent au plus vite, il n'en peut plus d'attendre et de rester aussi immobile qu'une statue en attendant qu'ils se bougent pour faire quelque chose, quoi que ce soit. “ C'est quoi le plan ? Et pourquoi Rook est retenu prisonnier par ses propres hommes ? ” fait Ancrath et à ces mots, Édouard fronce les sourcils. “ Ses propres hommes? Personne ne m'a dit ça, siffle-t-il avec agacement. Est-ce qu'on peut avoir au moins un peu d'informations sur la région dans laquelle il se trouve? ” Et puis sans attendre, de décroiser enfin les bras pour rajouter avec un peu d'humeur, à l'adresse de Weasley: “ si tu préfères juste faire planer le mystère et nous lâcher dans la nature, autant y aller maintenant, on a perdu assez de temps comme ça, ” en faisant un geste en direction de l'elfe de maison qui les regarde de ses grands yeux globuleux d'un air complètement dépassé.
Fourmillements dans les bras, les jambes, jusqu’au bout des doigts ; l’impatience qu’elle ne sait pas camoufler, encore moins repousser. Stupide mission. Moue agacée, qu’elle a, en attendant comme les autres Belliqueux, ayant du mal à rester en place. D’un pied à l’autre, elle se balance, et, sa baguette coincée entre deux doigts, elle la fait inlassablement tourner. Ils attendent Weasley afin d’aller chercher Davius Llewellyn. Les raisons sont floues et elle ne sait déjà plus trop ce qu’elle fait là, si ce n’est son besoin presque obsédant de s’occuper, tout le temps. Rester en mouvement pour ne pas réfléchir, servir à quelque chose, se jeter à corps perdu dans chaque opportunité. Ça lui suffit, pour l’instant. Plus longtemps – qu’est-ce qu’il fiche, putain ? Il arrive enfin, cependant, et la plainte d’Alan la fait sourire légèrement. Le rictus s’efface toutefois aussi vite qu’il est venu : déjà, ça parle défenses, plan et région. Elle bascule la tête en arrière, irritée, sentant le moment du départ reculer encore davantage. Comme s’ils pouvaient se le permettre. « (…) si tu préfères juste faire planer le mystère et nous lâcher dans la nature, autant y aller maintenant, on a perdu assez de temps comme ça. » Édouard, qu’elle connait mal, semble être du même avis que le sien. Qu’ils bougent, bon sang. « Pas besoin de s’embarrasser de mille et une questions, on est déjà en retard » acquiesce-t-elle rapidement, ses inflexions quelque peu agressives. Elle en a marre de rester là, et de toute façon, elle a toujours eu un goût assez prononcé pour l’improvisation.
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