☇ Infos complémentaires ; il est né à st-mangouste, hôpital pour sorcier basé à londres mais a vécu une très grande partie de sa vie en irlande, d'où il est originaire. • seamus a la fâcheuse manie de tout faire exploser et ce, depuis ses premiers pas en matière de magie : le premier sort qu'il a lancé lui a explosé à la face, le couvrant d'une épaisse poudre noire. que ce soit sortilèges, potions ou même balais, il n'est pas rare qu'il fasse tout péter. • de ce fait, seamus a une prédisposition pour les explosions et la pyrotechnie, affection toute particulière. • enfant unique et choyé par ses parents dont une mère sorcière et un père moldu. • de 2001 à août 2003, après le décès de dean, il n'a donné aucun signe de vie, supposé mort. • durant sa dernière année à poudlard en 1998, les mangemorts carrow lui ont meurtri le visage, le rendant difficile à reconnaître.  cette punition apparaît suite à des rebellions de sa part, seamus ayant décidé de rejoindre l'AD, tentant de se protéger en s'enfermant dans la salle sur demande. • il n'est pas bien grand. • seamus est connu pour son fort accent irlandais et sa voix peu grave. • grand fan des crécerelles de kenmare, l'équipe irlandaise de quidditch. • impulsif qui s'oblige à agir avant de réfléchir et ce, malgré une maturité gagnée. • durant son exil de deux ans, il a sillonné les contrées reculées d'angleterre, des pays de galles ainsi que de l'irlande, pays chéri. il a également entrepris un travail tout autre. • il n'est pas rare de l'entendre geindre la nuit, signe des cauchemars et souvenirs du jour où dean fut tué par sa faute.  • brave type derrière ses grands airs de crâneur. • défiguré lors de l'attaque des rafleurs à son encontre et celle de mr thomas, alors tous deux en fuite après la dissolution de l'ordre du phénix. • visage détruit, et sa blessure faite par les carrow quelques années n'arrangeant rien, seamus fut obligé de recourir aux services peu clean d'un guérisseur, empruntant alors une forte somme d'argents à un certain doherty pour le payer. • méconnaissable, la bouille ronde et le nez épaté du jeune finnigan ne sont plus, son visage a changé du tout au tout, bien trop esquinté pour qu'on puisse le restructurer comme tel. • au fond de lui, il n'a jamais vraiment quitté l'ordre du phénix. • il doute avec facilité sur tout ce qui l'entoure, les gens, les informations de tout un tas d'autres choses, le rendant par moment crédule. pourtant, une fois qu'il comprend ses erreurs ou qu'il peut vous faire confiance, sa fidélité devient inébranlable. • bien qu'il ait suivi avec assiduité -et encore aujourd'hui- le quidditch, il n'a jamais pensé à rejoindre l'équipe de poudlard. ce n'est pas le sang d'un joueur qui coule dans ses veines mais celui d'un fervent supporter. • étranges phénomènes que sont ses cheveux. les portant toujours courts, les gens n'ont jamais remarqué mais ceux-ci virent sur un cendré l'été sous les chaleurs du soleil et foncent d'un noir corbeau sous l'hiver rude et sombre. le parfait mélange d'un père aux reflets dorés et d'une mère d'un chocolat amer. maintenant que ses cheveux sont bien plus longs, cet aspect se montre plus fort. • adepte de la moto, moyen de transport moldu qui lui convient à la perfection en tant qu'half-half.

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL
Appelez-moi ananoue/anissa. J'ai 19 ans, je viens de paname et j'ai connu le forum via bazzart fuck yeah. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 7 jours sur 7. Un dernier mot ? je ne sais pas dans quoi je m'embarque.  

❝ le passé nous retient ❞1994 - 1998, poudlard.
Captivante, fascinante, décoiffante. La scolarité de Seamus est à la hauteur d'une bonne chanson pop psychédélique, un amour électrisant qui conduit son cœur jusqu'à de puissants battements effrénés. HARDER, STRONGER, LOUDER. Chaque moment est inoubliable, encore plus lorsque le cerveau les surévaluer, tronqué par la nostalgie et l'envie de les revivre ; tout paraît tellement mieux jeune. Il y a d'abord l’entêtante et obsédante berceuse jouée au-dessus de son berceau, les étés en Irlande puis le déménagement, renouant une bonne fois pour toute avec ses origines. La lettre tant attendue de Poudlard, la balançoire du jardin qui vole, l'élance et lui permet de croire qu'il peut caresser le ciel de ses doigts d'enfant boudinés. Et son entrée dans la cour des grands, où des murmures racontent que l'enfant ayant survécu à vous-savez-qui s'y trouve. Les premières rencontres de ceux qui l'accompagneront jusque dans la mort, les cheveux pétards suite à ses rocambolesques et fulminantes aventures. Des crises de fou-rires dans la chambre, alors que des bonbons qui explosent, aux goûts farfelus sont échangés dans une ambiance mémorable entre des garçons entretenant des liens quasi-fraternels. Survitaminé, il se sent revivre une fois ses souvenirs remémorés.

Puis, tout s'assombrit. Le fait de mourir n'est plus qu'un mauvais songe mais une réalité tout à fait plausible. L'enfance s'éloigne pour le coincer : il n'est pas prêt à devenir adulte, pas encore. Les choses changent, la confiance s’amoindrit, la rancœur apparaît. Et ne le quitte plus. Surtout pas devant le journal, où Seamus peut lire qu'Harry Potter n'est qu'un menteur. C'est à ce moment-là, à l'aube de leur cinquième année à Poudlard que la starlette fait son entrée dans le dortoir des Gryffondors, tout le monde se met à chuchoter. Seamus voit le regard de Potter se diriger vers la une qu'il tient et où est inscrit comploteur au-dessus de sa propre photo. Il marche en directeur de leur chambre puis finit par leur adresser la parole : « Dean, Seamus. Et ces vacances ? » « Pas mal. Mieux que les vacances de Seamus. » Dean n'est pas le sanguin du duo, il ne l'a jamais été. Ce dernier retourne à ses dessins exceptionnels, sans comprendre qu'il venait d'allumer une petite étincelle chez son ami. Seamus se lève, posant son journal dans un bruit de papier qui fend l'air, le silence est acerbe. « Ma mère voulait pas que je revienne. » L'irlandais répond sous la mine curieuse de l'élu, qui le scrute. « Pourquoi ? » « Attends voir. Euh, à cause de toi ? La gazette du sorcier a raconté un tas de choses sur toi et sur Dumbledore, aussi. » Insolence. Seamus s'emballe, le public muet lui donne des forces ; tout le monde pense comme lui, est-ce qu'il ment ? Menteur, menteur, menteur. Il s'avance. « Et ta mère croit ce qu'ils disent ? » Menteur. « Mais personne n'était là quand Cédric est mort. » Sa bouche tordue souhaite massacrer le Potter, pourquoi lui ment-il, à lui, alors qu'ils partagent la même chambre depuis des années et qu'une complicité règne entre eux. Un lien que Seamus détruit sans s'en rendre compte, fautif et aveugle. « Tu n'as qu'à lire la Gazette du sorcier comme ton idiote de mère et tu sauras tout ce que tu veux savoir. » Ses poings se serrent, ses lèvres se retroussent et frémissent. « J't'interdis de traiter ma mère d'idiote ! » Les bras écartés, Seamus a envie d'en venir aux mains. Petit, le visage peu accueillant par moment et le torse robuste, peu viennent l'embêter. Pourtant il sait se battre et usera de la force si ses parents sont insultés, même si les propos blessants sortent de la bouche d'un ami. « Je m'en prendrai à quiconque me traitera de menteur. » Seamus ne peut s'empêcher d'être dérouté durant une seconde par la détermination de Potter, serait-ce vrai... ? Néanmoins, la fierté triomphe. Et l'arrivé de Ron qui questionne le sang-mêlé sur ce qu'il se passe n'ébranlera en rien sa confiance aveugle. « Il est fou, voilà ce qu'il se passe. »

❝ le présent nous échappe ❞2001, irish forest.
Une barbe de trois jours, le souffle court, les deux hommes marchent avec difficulté, éreintés. Sacs sur le dos et gamelles qui s'entrechoquent sous l'effort, pas un mot, seulement le silence entrecoupé de leur respirations saccadées. Le jour tombait avec lenteur sur les compagnons, au rythme de leurs pas effrénés. Depuis la dissolution de l'ordre, Dean et Seamus ne peuvent se détacher de la terrible impression qu'un chose les suit, tapis dans l'ombre à attendre l'instant T pour bondir et les lacérer de ses griffes. « Tu ne crois pas qu'on mérite une pause ? » L'homme à la peau brune brise le silence. Son regard se plonge dans celui de l'irlandais qui capitule, il est vrai qu'ils ont besoin d'un arrêt pour se ressourcer. La forêt irlandaise où continue leur périple lui semble être une bonne cachette. Ils installent bien vite leurs affaires, habitués par de nombreux jours passés à la belle étoile.

« Qu'est-ce qui aurait pu leur arriver ? » Dit Seamus, se référant à leurs vieux compagnons. Ce n'était pas tabou mais bien un sujet à éviter. Dispatchés après leur séparation, les deux amis avaient décidé de voyager ensembles, fuyant main dans la main dans les contrées écossaises puis irlandaises. « J'sais pas. Ils voyagent peut-être aussi ? Ou alors... » Dean laisse sa phrase en suspens et se remet à manger, évitant la question. Las. « Morts, tu veux dire morts ? ... Tu doutes d'eux, c'est ça ? » Le sujet reste sensible, encore bien trop frais et seul l'irlandais ne semble pas saisir. Le basané soupire. « Ce n'est pas ce que j'insinuais. Je suis fatigué alors si on pouvait éviter les disputes. » Suites aux paroles fuyardes de son ami, Seamus ricane : « On l'évite toujours. » Le sang bout dans les veines de l'irlandais, fier âne. « Parfois j'ai l'impression que tu doutes... » Il ne peut finir que Dean, le si calme et doux Dean se met à rugir. « Le problème, c'est de ne pas le faire. Dans notre situation, pourquoi n'aurais-je pas le droit ? On a perdu, perdu, tu comprends, Seamus ? » Pause. Le feu crépite et se reflète dans les prunelles noires de Seamus. Pourtant, l'obscurité n'est pas totalement tombée. Les mots effroyables de Thomas le ramènent à une toute autre réalité : jamais il n'avait imaginé qu'il serait confronté à l'incertitude de son ami, pas de son Dean. « Tu oses penser ainsi... » Son regard se change pour ne laisser qu'apparaître du dégoût, il a envie qu'il se sente mal, sale, de l'humilier. Seamus n'est pas aussi virulent dans ses réactions habituellement, ou peut-être ne s'en rend-il pas compte, mais le fait que cela vienne de sa moitié amicale le brise plus qu'il ne devrait. Ils auraient du rester soudés et ne pas hésiter durant un tel moment. Et il ressent, se prend en pleine face le contre-coup qu'il a fait subir à Potter quand il ne l'avait pas cru, alors que ce dernier criait au retour du Lord peu après la Coupe de Feu. Il se mord les lèvres, dépité. Dean ne dit rien. « Je réitère ma question : pourquoi n'aurais-je pas le droit de douter, spécialement quand tu te l'aies permis ? » Il lit en lui comme un livre ouvert. « On est piégés, finis, bientôt morts. » Dean a l'air grave, un visage que Seamus ne lui connaît que pour de très rares occasions. Pris de court, la chute est d'autant plus violente qu'elle vient de son propre camp, comme poussé dans le vide par sa propre ombre. Seamus se relève avec brutalité du tronc où il avait pris place autour du feu un peu plus tôt. « Tu crois que ça leur ferait plaisir à Potter & co que tu retournes ta veste de cette façon ?! » Son doigt pointé tremble. Et Dean devient livide sous ses paroles, l'agacement laisse place à une peur insoutenable. Seamus ne comprend pas, ou il ne veut pas.

Potter, Potter, Potter. Le mot résonne avec virulence dans sa boîte crânienne alors que le visage de Dean pâlit à vue d’œil. Seamus ne prend qu'à peine quelques secondes à réaliser ses paroles mais il est déjà trop tard : le ciel s'assombrit dans un tonnerre tonitruant. Ils arrivent. Les jeunes hommes se jettent sur leurs affaires. Les injures filent à toutes vitesses à travers les minces lèvres de Dean tandis que Seamus tente dans un élan désespéré et vain de ramasser le plus d'affaires possibles. Trop tard. Des bruits de transplanages se font entendre, glaçant leurs sangs. « Cours, cours ! » S'écrit Seamus, n'osant se retourner. Il n'a pas le temps d'attraper son sac et laisse tout derrière lui, poussant Dean qui fixe les nouveaux arrivants. Les ricanements si particuliers des disciples du Lord les suivent, le cauchemar reprend. Délestés de tout bagage imaginable, ils courent aussi vite que leur vies le méritent. Ne serait-ce qu'un seul ralentissement signerait leur arrêt de mort immédiatement. Tout ce qui lui importait était de savoir Dean en train de fuir. Il n'entend alors pas le sort arriver, tombant à la renverse dans un bruit de pierre assourdissant, se tordant de douleurs sous l'endoloris des rafleurs. Il ne peut se retenir de gémir, amenant Dean à s'arrêter un peu plus loin pour le récupérer. Jamais, il n'avait eu aussi mal. Rien d'autres que des plaintes ne dépassent ses lèvres, impossible de lui crier de s'enfuir. Il a l'impression que son corps se déforme durant des heures, qui ne sont qu'une poignée de secondes ; le sortilège est bien trop puissant et Seamus ne souhaite que la mort pour en finir avec ce calvaire. Son regard torturé rencontre celui de Dean qui revient vers lui, blême. Un « Non... » réussit à lui échapper sous les convulsions. La souffrance est telle qu'il ne sent pas le choc quand les rafleurs finissent par l'envoyer s'écraser contre un rocher, pour rebondir et retomber dans la boue. Il puise dans ses dernières forces pour se redresser, le sang pulse contre ses joues, cela le brûle. Vision trouble, sa tête cherche son objectif : Dean s'agite avec force pour s’échapper de la prise des rafleurs, qui le tiennent par le col comme un vulgaire sac. Sa baguette ne se trouve pas dans sa poche, la panique le submerge un peu plus, tombée lors de ses tourments. Sa main la touche presque, elle est près de la pierre.

Un des rafleurs brise le cercle qu'ils avaient formé autour de l'ébène et s'en approche. Il lui tient le visage par le menton qu'il serre, le frôlant par un reniflement répugnant. Des mots sont murmurés à son oreille que Seamus ne perçoit pas, il semble au bord des larmes, ne quitte pas des yeux son ami qui ne peut se relever. Seamus y est presque, ses doigts frôlent la baguette. « Observe ce magnifique spectacle, vermine. » Les dents jaunis lui parlent ; l'éclair bleu sort de la baguette, punition divine. Le corps tombe trop vite, s'écrase au sol. Le rafleur se contorsionne dans un rire machiavélique ; Seamus veut vomir. La fureur prend le contrôle de son cœur et dans un geste, il réussit à attraper sa baguette pour ne lancer qu'un expelliarmus honteux vis-à-vis des cruels. Il se retrouve ensuite plongé un tourbillon verdâtre, le corps de Dean disparaît progressivement tout comme la forêt, la noirceur de la nuit, les souffles courts, rires démoniaques mais cette douleur dans son corps entier, son être grandit. Ses genoux flanchent et il s'écroule dans un parc pour enfants, autour de différentes structures de jeux. Le parc où il s'amusait plus jeune. Les oreilles qui bourdonnent, quelqu'un semble crier alors que le parc est désert. Il y a une heure encore, les deux hommes s'entêtaient dans un discours vain. Maintenant, il est seul. Seamus se laisse rejoindre le sol sablé pour poser son visage qui ne le brûle plus, il le consume désormais. C'est ainsi qu'il réalise que sa bouche est grande ouverte et que les cris proviennent de son âme, meurtrie, déchirée. Le sang, les larmes et le sables se lient salement.
Ainsi est la faiblesse.

❝ l'avenir nous tourmente ❞2003, england
Noirs, perçants, condamnables. Chaque nuit, chaque soir, Seamus rêve de ces prunelles qui le hantent, trempant ses draps par ses cauchemars insensés. Il le reconnaît, comment oublier un tel regard quand on a passé dix ans auprès de son détenteur ? Celui de Dean qui ne le lâche pas alors qu'il se relevait avec peine, le visage tuméfié et boueux, coupable et lâche. Seamus se souvient de la scène avec exactitude, pourtant ses rêves se focalisent sur cette vision, comme si le champs avait été effacé, tout comme le corps de son ancien ami et les fracas des Rafleurs. Une pensée terrible lui traverse l'esprit alors qu'il retrouve avec familiarité les odeurs de la ville de Londres, endroit où il revient après deux ans : la mort de son ami devient peu à peu un lointain souvenir. Peut-être que cela fait plus de deux ans qu'il n'est pas venu jusqu'ici, l'exactitude n'a jamais été son fort, si l'on compte ses années post-phénix. Capuche sur la tête pour combattre la légère pluie, il virevolte avec aisance au travers de la foule de travailleurs, pressés de rentrer dans leur doux foyers. Seamus arrive devant une ruelle sombre et ne tarde pas à s'y engouffrer ; il connait le chemin jusque là mais la suite n'est qu'incertitude. Les odeurs du Chaudron Baveur lui fouettent le visage une fois la porte passée, il devrait être dégoûté mais il n'y arrive pas, une certaine mélancolie et nostalgie cachent les véritables senteurs. Personne ne semble lui prêter attention, inconnu de tous à cause de ce nouveau visage. Depuis ce jour funèbre, tout n'est qu'allé crescendo pour le Finnigan : perdre le plus proche de ses amis ainsi que son identité. Sa face était immonde, impossible à montrer au reste du monde, après que les Rafleurs l'aient profondément blessé. Après des mois à se triturer l'esprit, à se dissimuler aux yeux de tous, Seamus fit la rencontre du diable en personne avec qui il passa l'un des pires pactes. Peut-être trouvera-t-on qu'il est bien plus beau qu'avant ; seulement il ne se reconnaît pas. L'envie de pleurer, les yeux trop secs après l'avoir trop fait, que devient l'avenir quand notre reflet nous effraie ? Les premiers pas en tant que nouvel être ont été d'une dureté sans nom, il ne voulait plus sortir, plus se montrer ni qu'on le regarde. Et chaque yeux qui se posaient sur son minois lui laissaient la désagréable sensation de lacération de chair. Le polynectar ressemble à un doux breuvage à côté de l'épreuve qu'il subit, sans personne pour l'épauler et le spectre de sa redevance qui plane au-dessus de sa tête. Seulement, se morfondre n'est pas une habitude et bien vite, Seamus dut se rendre à l'évidence que ces traits étaient une sorte de bénédiction à tendance maudite. Comme une chance d'effacer ses erreurs passées pour un nouveau départ.