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sujet; MISSION ► Turn wounds into wisdom |
FONDA • tomorrow's a mystery Oblivion | Turn wounds into wisdom Mission : Astoria Greengrass, Eris Burke & Guenièvre Lestrange» Sujet de mission
La Brigade de Police Magique continue d’effectuer des descentes régulières aux domiciles des sorciers soupçonnés de vol ou de recèle des objets dérobés aux musées en septembre 2002. Ce soir, les recherches se sont avérées fructueuses mais le résultat, chaotique ; ceux sur qui pesaient les soupçons ont refusé de coopérer et leurs proches et voisins s’en sont mêlés, faisant rapidement dégénérer l’échange. Entre sorts virulents et objets ensorcelés libérés de façon inconsidérée (certains d’entre eux ayant même tout simplement été mal conditionné depuis leur vol), on compte une bonne dizaine de blessés, tant parmi les civils que dans les rangs de la BPM. Les plus touchés sont ceux ayant écopé de malédictions en plus de sorts perçus ; les civils en état d’arrestation sont, pour leur part, menottés à leurs brancards, et seront à surveiller étroitement. Vous avez donc été affectées à l’équipe d’urgence chargée de prendre en charge cet arrivage conséquent de cas délicats, pour prêter main forte à l’une des employés du service ; Guenièvre Lestrange. Les talents de soigneuse d’ Astoria seront à utiliser avec parcimonie et équilibre, afin d’accorder un sursis aux blessés les plus graves sans pour autant la vider de sa force vitale, et Eris Burke fera office de consultante, ayant été recommandée par un mangemort pour ses connaissances surprenantes en termes d’anciennes reliques. » Rappel des règles
Privilégiez l'action avec des RP qui ne doivent pas dépasser les 300 mots. De plus, la mission, une fois terminée, doit être signalée ici. Approuvé par le Ministère de la Magie |
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| Elle pense bien faire encadrer la lettre du Ministère la conviant ELLE, Eris Burke, à Sainte-Mangouste, pour son expertise en anciennes reliques. Pas Corvus Burke, ni Martis Burke, ni même Seth Burke : Eris Burke. Ce jour est un grand jour et lorsque la sorcière parcourt les couloirs de l’hôpital, perchée sur ses hauts talons, c’est avec l’allure d’une reine fraîchement couronnée.
Évidemment, aux urgences, ce n’est pas une cour admirative qui l’attend, mais un bordel immense, et elle est soulagée de voir Gwen, prête à donner des ordres à son experte personne (elle n’en reviendra jamais, non), et non loin Astoria, apparemment aussi engagée dans leur petite équipe. Au moins, elle est en bonne compagnie ! « Gweeeeeen ! » Elle trottine jusqu’à elle, la serre dans ses bras, puis regarde d’un œil circonspect les couloirs bondés, les civières auxquelles sont menottés des blessés et les civils qui s’échangent des insultes des plus originales. Ça ne sera pas de la tarte. Elle claque également la bise à la Greengrass, sans se départir de son enthousiasme. Il est bon de voir Astoria bien remise de ses affreuses aventures chez les insurgés ! « Où veux-tu que je débute ? », qu'elle demande avec un enthousiasme qui ne s'étiole pas une seule miette en constatant le travail qu'elle devra faire.
Dernière édition par Eris Burke le Mar 20 Sep 2016 - 16:17, édité 1 fois |
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| Le calme plat n’est jamais bon signe dans un service d’Urgences je l’ai compris bien assez vite et aujourd’hui ne fait pas exception à la règle. La garde n’avait en soit rien de bien compliqué jusqu’à ce que je sois réquisitionné avec d’autres médicomages pour m’occuper de la nouvelle vague de patients qui n’allaient pas tarder. A droite à gauche, chaque coin recelait maintenant cris et agitations, sangs et sortilèges se mêlaient joyeusement dans un chaos qui s’était installé sans crier gare. Le pire dans tout ça… c’est que c’était exactement pour ces instants que j’avais choisi ce service. Agir, sans avoir à dire pourquoi, réfléchir vite et bien, parer au plus pressé sans se préoccuper de l’égo de tel ou tel sorcier. Faire ce pourquoi j’ai vraiment, choisi d’être là. Là où tout devient compliqué c’est quand les patients sont inatteignables ce qui m’agace prodigieusement. J’ai beau avoir grandi entouré de magie noire je ne suis pas une spécialiste en artefacts anciens bourrés d’une magie aussi sombre que surprenante. Mais où était Eris quand on avait besoin d’elle ! NE LE TOUCHE PA… Trop tard et Joshua se retrouve, lui aussi, au sol après un jolie vol plané –le troisième en moins de 30 minutes- ma main se porte à mon visage légèrement exaspérée qu’on ne m’écoute qu’une fois sur deux. Sur le brancard l’homme est pourtant au plus mal, son poignet ne tient que par miracle à son avant-bras par un lambeau de peau, sectionné net par une épée, son collègue na savait pas m’en dire davantage tout est arrivé « trop vite ». A part quelques égratignures et une brûlure sur tout le bras rien d’autre ne m’aidait à comprendre pourquoi nous ne pouvions accéder à cette plaie et plus largement à cet homme. Calmez-vous, on va trouver une solution. Et vite avant qu’il ne me claque entre les doigts. Et la solution me perça les tympans, mon amie vint à ma rencontre me serrant contre elle alors que je lui offre un regard moitié surpris moitié heureuse de la voir ici. Je suis contente de te voir, tu tombes bien. J’ignorais tout des missives envoyées pour demander des aides spécifiques aussi la présence d’Astoria fut également une surprise pour moi. Par lui, commence par lui et ne fait pas attention aux insultes. On ne peut pas le toucher il a été blessé avec cette épée, regarde son bras pas son poignet… Mieux valait qu’elle ne se concentre pas trop sur le sang et la chaire… inutile d’avoir une patiente de plus. On me poussait et je me retrouvais collé à Astoria l’espace d’une seconde. Fais attention à toi Astoria, le cas juste ici si tu pouvais m’aider il ne serait plus un problème. L’homme en question était menotté à la civière, il hurlait à tout va malgré la douleur qu’il devait ressentir. J’espérais en revanche qu’il n’épuiserait pas Astoria à défaut de tous nous saouler de paroles et d’insultes. |
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WIZARD • always the first casuality Astoria Greengrass ‹ inscription : 29/10/2015
‹ messages : 966
‹ crédits : whorecrux, tumblr, skam.
‹ dialogues : indianred.
‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.
‹ âge : vingt-trois (03/07)
‹ occupation : volontaire à Saint-Mangouste (TIG) et créatrice de mode, co-fondatrice de la marque OXOX, premier et populaire prêt-à-porter sorcier.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1992 à avril 98.
‹ baguette : est neuve et capricieuse. Elle mesure vingt-trois centimètres virgule six, est faite de bois d'érable et continent un crin de licorne.
‹ gallions (ʛ) : 3968
‹ réputation : je suis une petite bitch écervelée qui ne mérite pas la miséricorde avec laquelle on la traite.
‹ particularité : soigneuse, capable de guérir (presque) tous les maux.
‹ faits : j'ai été enlevée par ma propre soeur et utilisée comme otage par les insurgés pendant quatre ans Je suis aussi la mère du petit Scorpius Malfoy. J'ai été en procès parce que j'ai été Adhérente pendant la Guerre, mais j'ai été innocentée ou du moins, condamnée à plusieurs mois de TIG notamment à Saint-Mangouste.
‹ résidence : dans un petit appartement du Chemin de Traverse avec ma mère et ma soeur, loué par les soins de ma tante.
‹ patronus : impossible pour moi à invoquer
‹ épouvantard : Frank Hudson, un ancien leader Belliqueux désormais mort, tenant la main de Daphne et m'observant d'un air cruel.
‹ risèd : Scorpius, heureux et épanoui.
| Les longs doigts d'Astoria sont nerveux, tricotent quelque chose d'invisible, s'entremêlent, se défont, virent au blanchâtre malsain sans jamais s'arrêter. Elle est incapable de rester complètement immobile, dans cette vaste pièce de Saint-Mangouste, où circulent des corps inconscients, gémissants, criants, toute cette douleur, toute cette souffrance... on lui a expliqué que son don de soigneuse l'incitait à aider les gens, à vouloir les soigner de la seule manière possible pour elle. Elle n'a jamais ressenti telle attraction, tel besoin avant, d'aider les autres, de les toucher pour les soigner... elle est ramenée sur terre par l'intervention fracassante d'Eris et le dur rappel qu'elle est là pour aider, pas pour rester les bras ballants et les doigts tricotants sur le côté, incapable de réfléchir à cause de toute cette misère et ce sang et cette douleur dans la pièce. Elle serre brièvement Eris contre elle en hissant un petit sourire confiant sur ses lèvres, puis jette à Gwen un regard anxieux, attendant ses directives. C'est elle la professionnelle, ici. Elle et Eris ne sont là que pour aider, après tout, elles sont loin d'être des médicomages... elle se demande même ce que Burke fait là. Elle n'a pas le temps de lui poser la question, Gwen s'adresse déjà à elle: “ Fais attention à toi Astoria, le cas juste ici si tu pouvais m’aider il ne serait plus un problème. — D'a-D'accord. ” L'homme est en train d'hurler dans sa civière et Astoria n'a aucune envie de l'approcher encore moins de le toucher pour le soigner. Mais elle n'a pas le choix: elle sent déjà la peur de pas réussir lui tordre l'estomac alors elle s'approche de l'homme et pose d'ores et déjà les mains sur son cou, fermant les yeux pour se concentrer sur la douleur qui l'agite. Elle est tirée en arrière ce qui lui semble être une seconde plus tard. “ Attention! ” lui grogne une voix étrangère à l'oreille — un médicomage, voit-elle en tournant la tête. Elle se sent nauséeuse, a des vertiges, l'homme a cessé de hurler mais les autres gémissements de douleur sont comme autant de piques en fer chauffées à blanc enfoncées dans son crâne. L'homme qui l'a tirée en arrière en la voyant chanceler la tient par le bras et la lance presque sur Gwen à qui Astoria adresse un sourire désolé, toute pâle et tremblotante. “ Hm... il a cessé d'hurler, ” dit-elle piteusement, regrettant comme souvent d'être incapable de véritablement contrôler son don. |
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| Le premier cas que lui confie Gwen - elle espère que ce criminel acceptera de faire une entrevue pour parler de sa fabuleuse rencontre avec Eris Burke, véritable EXPERTE en artefacts – est… intéressant, pour sûr. Puis, même si son amie lui a dit bien de ne pas regarder son poignet, elle ne peut s’empêcher de le faire et de grimacer un peu. Heureusement que ça se recolle, ces machins-là. Quoiqu’avec une telle coupure liée à la magie noire… lui enlever toute la main sera probablement son seul salut.
« On ne vous a jamais appris à ne pas toucher ce qui ne vous appartient pas ? », gourmande Eris en observant les blessures de l’homme, de loin, sans encore pouvoir déterminer ce qui l’a ainsi blessé. Oh, elle se doute que c’est probablement une de ces épées qui bataillent toute seule, comme celle qu’elle a momentanément maîtrisé au musée. Celle avec laquelle elle aurait pu si facilement occire un de ces criminels. Le souvenir transforme sa moue heureuse en quelque chose de plus sérieux, alors qu’elle se penche un peu plus pour mieux voir les blessures. Autant le poignet que le bras, oui. Définitivement une de ces épées prises de folie.
« Est-ce qu’elle est restée plantée longtemps dans votre poignet, l’épée ? Qu-quoi ? Est-ce qu’elle a tenté de boire votre sang ? Je-je-quoi ? Si vous ne m’aidez pas, je ne pourrai pas vous aider non plus. » Il ne répond pas plus, pourtant. Tant pis pour lui ! Sa langue claque, agacée, et elle esquisse quelques gestes de la baguette, les lèvres pincées sous l’effort magique et mental que demande l’analyse d’une blessure causée par un artefact de magie noire dont elle ignore la provenance, la puissance et tout le pedigree.
Un regard par-dessus son épaule. Ohlala, Astoria a déjà l’air si pâle ! Pauvre petite. « Il va falloir couper son poignet, Gwen, dit la sorcière, revenant à son amie. Mais vous êtes dingue ! Laissez faire les professionnels, monsieur, répond-elle, paisible, au blessé qui proteste contre une décision prise sans lui, mais bien devant lui. Et je vous assure que vous ne voudrez pas de ça comme main. » Une main tranchée par magie sombre, puis recollée ? Beurk. Un hochement de tête et elle continue d’agiter la baguette. Il lui suffira d’encore… un peu de temps, pour qu’ils réussissent à l’approcher. |
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| C’est étrange, Eris semble chez elle, comme si tout cela était un jeu lors d’une soirée de l’élite, je me demandais l’espace d’une seconde si tout cela ne l’amusait pas un peu, un tout petit peu. Mais je n’ai pas de temps à perdre en conjecture de la sorte et notre troisième alliée semble hésiter entre agir et s’évanouir pourtant son « don » est précieux, surtout dans ces circonstances ou le chaos règne dans tout l’étage. C’est sur son patient que je m’attarde donc, laissant le soin à Eris de dégager ce maudit sort qui m’empêche de faire correctement mon travail. J’incite Astoria à agir, la soutient d’un pâle sourire, la couve du regard tout en agissant moi-même à réparer ce qui peut l’être rapidement afin de ne pas l’épuiser plus que nécessaire. Nos soins conjugués feront parfaitement l’affaire pour ce patient. Eris me parle et je reléve le regard vers elle tout en maintenant la pression sur une plaie de mon second patient. J’observe les chaires déjà bien attaquées, hochant la tête. Dès qu’il est accessible je m’occupe de l’amputation et des soins. Avec un peu de chance, rien qu’avec nos propos il allait finir par tomber dans les pommes ! Astoria est de nouveau poussée contre moi et je fronce les sourcils à l’attention du médicomage. Hey, tu la lâches ok, occupes toi de tes patients ! Je retenais tout commentaires plus virulents même si l’envie ne manquait pas, ici, aux Urgences c’était parfois à celui qui parlerait le plus fort ! Je tentais de retrouver un peu plus de douceur pour parler à Astoria à qui j’offrais un sourire de réconfort. C’est presque un miracle qu’il se taise, t’as été très efficace. Je pressais sa main dans la mienne tentant de lui insuffler un peu de force et de courage. ça va aller? Tu me dis quand tu te sens partir Astoria, vraiment, tu n’attends pas d’être une patiente de plus d’accord ? Je prodigue les derniers soins à « son » patient que je confie à une infirmière, son cas n’étant plus jugé « vital », il peut rejoindre les étages qui peaufineront les soins. Dès qu’Eris a levé la malédiction on s’occupe de lui. Attrape la fiole violette derrière toi et fais là lui avaler. Une potion pour l’endormir rapidement, les amputations n’étant agréable pour personne. Mais ne le touche pas. Non pas que je doutais des capacités d’Eris mais plutôt que l’homme ne représentait pas une « Urgence » assez importante pour user des dons d’Astoria, la file d’attente des cas s’annonçait déjà assez usante pour elle. Eris ? C’était à elle de nous donner le top départ. Tout se passait vite, trop vite. |
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WIZARD • always the first casuality Astoria Greengrass ‹ inscription : 29/10/2015
‹ messages : 966
‹ crédits : whorecrux, tumblr, skam.
‹ dialogues : indianred.
‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.
‹ âge : vingt-trois (03/07)
‹ occupation : volontaire à Saint-Mangouste (TIG) et créatrice de mode, co-fondatrice de la marque OXOX, premier et populaire prêt-à-porter sorcier.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1992 à avril 98.
‹ baguette : est neuve et capricieuse. Elle mesure vingt-trois centimètres virgule six, est faite de bois d'érable et continent un crin de licorne.
‹ gallions (ʛ) : 3968
‹ réputation : je suis une petite bitch écervelée qui ne mérite pas la miséricorde avec laquelle on la traite.
‹ particularité : soigneuse, capable de guérir (presque) tous les maux.
‹ faits : j'ai été enlevée par ma propre soeur et utilisée comme otage par les insurgés pendant quatre ans Je suis aussi la mère du petit Scorpius Malfoy. J'ai été en procès parce que j'ai été Adhérente pendant la Guerre, mais j'ai été innocentée ou du moins, condamnée à plusieurs mois de TIG notamment à Saint-Mangouste.
‹ résidence : dans un petit appartement du Chemin de Traverse avec ma mère et ma soeur, loué par les soins de ma tante.
‹ patronus : impossible pour moi à invoquer
‹ épouvantard : Frank Hudson, un ancien leader Belliqueux désormais mort, tenant la main de Daphne et m'observant d'un air cruel.
‹ risèd : Scorpius, heureux et épanoui.
| Parlent-elles sérieusement d'amputation...? Astoria essaie vraiment de se dire que c'est un cauchemar mais non. Oui. Elles parlent d'amputation. Comme si c'était la chose la plus raisonnable à faire: ne peuvent-elles pas le soigner? Astoria peut le faire, elle... non? Elle ne sait pas, elle ne veut pas en tout cas. Astoria se sent nauséeuse, elle ne sait pas quoi dire, faire, penser, bref, elle se détache un peu de la dure réalité, du sang et des cris et des larmes, jusqu'à ce que la main de Gwen se glisse contre la sienne pour la presser légèrement. “ Ça va aller? Tu me dis quand tu te sens partir Astoria, vraiment, tu n’attends pas d’être une patiente de plus d’accord ? — Oui, oui, d'accord, ça marche, ” marmonne-t-elle en retour, pâle comme un linge, incapable de dire quelque chose de plus pour la rassurer. Gwen lui donne quelques instructions et Astoria attrape la fiole violette en approuvant du menton, l'air toujours un peu hésitante et tremblante — mais volontaire, c'est déjà ça, et déterminée. Ne pas le toucher? Facile, Astoria n'a aucune envie de s'en approcher. Eris va lever la malédiction... Astoria ignorait qu'elle était capable de faire ça. Que quiconque était capable de faire ça. Ne serait-il pas plus avisé de le laisser mourir pour sauver d'autres gens, plus utiles, plus connus (son visage ne lui dit rien) si c'est si compliqué de le sauver? Mais elle ne partage pas ses pensées, jusqu'à ce qu'Eris se tende avec l'air de bientôt se concentrer sur leur patient actuel. “ Mais l'am-l'amputation... tu vas la faire comment? ” demande-t-elle timidement à Gwen, s'attendant à la voir sortir une scie à dents de sa poche arrière. Mais les yeux d'Astoria tombent sur la baguette tenue par la médicomage, et elle comprend, et elle verdit, et elle manque de lâcher la fiole entre ses mains. “ D'accord, d'accord, parfait, génial, un deux trois quatre cinq six, tout va bien, allons-y, ” marmonne-t-elle malgré elle sous sa barbe, pour calmer la cavalcade infernale de son coeur. |
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