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sujet; (BLAISE) devil may cry |
HERO • we saved the world Blaise Zabini | blaise isasha zabinievery night fucks every day up, every day patches the night up❝ We're running in circles again ❞PHOENIX ; SC☇ pseudo complet & surnom(s) ; ah, Zabini. c’est insultant et à double tranchant, profondément imbibé de luxure mais de mauvais augure. il porte la parjure de son nom avec désintérêt et indifférence, conscient de la vulgarité des Zabini qui prennent tout avec arrogance ; leur sang est empreint plus de vice que de vertu. son prénom, dans sa forme archaïque, Basileus, est un titre grec utilisé par les empereurs byzantins, alourdissant encore plus l’héritage lourd de son nom à la réputation bafouée et que sa mère a raccourci en Blaise pour plus de commodité. il porte Isasha en second prénom, provenant de sa Jamaïque maternelle; arborant les couleurs de son métissage avec fierté, parlant même le patwa (jamaicain patois). parmi les insurgés, il est connu en tant que Judas, à cause des blagues douteuses des insurgés qui avaient circulé sur lui au tout début, après tout Blaise a trahi son meilleur ami – blague qui est finalement devenue réalité quand il s’est rendu compte du pseudo attribué à son miroir. ☇ naissance ; le 4 novembre 1979, à ste-mangouste. ☇ ascendance; pur mais il a d’énormes doutes sur ses origines, incapable de savoir si le nom qu’il porte vient de son père biologique ou d’un homme que Imane Zabini a convaincu qu’il était son fils – elle emportera probablement le nom de son géniteur jusque dans sa tombe. ☇ métier ; aucun, il n'a jamais travaillé puisqu'il est devenu fugitif après la bataille de Poudlard. ☇ camp ; la rébellion, depuis de longues années maintenant. le bâtard qu’il est a dû faire de sales coups à ses proches pour affirmer sa prise de position et malgré les doutes qu’il peut avoir, il reste fortement convaincu qu’il a pris la bonne décision – ça ne l’empêche pas de dire à ses comparses insurgés fuck you all et d’aller frapper un arbre. ☇ réputation ; mauvaise. petit, il était souvent isolé, à cause de l’aura mystérieuse que sa mère a projeté sur lui – c’est bien plus tard qu’il a su qu’il n’y avait rien de mystérieux, juste une sale réputation que sa mante religieuse de mère se traîne depuis des décades entières. ça ne l’a jamais traumatisé ni dérangé, Blaise se talque les aisselles de ce que les gens peuvent penser de lui ou de sa mère. ça l’amuse, même, parce que même si elle ne lui a pas donné la plus parfaite des enfances, il est fier d’être le fils d’Imane Zabini. et tout en faisant partie de l’élite sorcière mais considéré comme un parasite, on le regardait en chiens de faïence, les coups d'œil dérangeants et la méfiance non-feinte. sa réputation s’est encore plus ternie quand Blaise est devenu traître à son sang à cause de ses prises de position qui ont été affirmées. mais même parmi les groupes de rebelles, son image ne s’est pas améliorée : comme un retour de karma pour ses coups bas. ☇ état civil ; céliba – nope, erreur, essaye encore. père célibataire – ouais, c’est mieux. il porte les emmerdes sentimentales comme un boulet à la cheville : lourd et problématique. c’est pas qu’il refuse d’assumer ses responsabilités. c’est pas juste une question d’ouvrir les yeux et de voir le monde autrement. c’est un problème dans son essence même : Blaise se croit foutu, Blaise a perdu une part d’humanité, Blaise est complètement perdu. il reproduit inconsciemment ce qu’il a toujours reproché à sa propre mère : l’absence d’une figure parentale stable et capable de mettre ses démons de côté pour le bien des autres. pour le bien de ses filles. mais Blaise est trop effrayé à l’idée d’avoir raison. de se rendre compte qu’il est lui-même un échec, un échec complet, fade et complètement pourri et qu’il l’a toujours été depuis le début. ☇ rang social ; fugitif. membre du rebirth of the Phoenix, anciennement Belliqueux (Aliéné). ☇ baguette ; vingt-cinq centimètres, en bois de pin, avec un poil de rougarou en son cœur. ☇ épouvantard ; Blaise est claustrophobe. son épouvantard prend la forme de la petite boîte en bois dans laquelle sa mère l’enfermait pour séduire mari numéro deux. ça l’oppresse, quand on le prive de mouvements, de lumière, quand il a le vertige, les ongles qui grattent les murs, les pieds qui cognent tout ce qu’il trouve, incapable de savoir où se trouve l’ouverture – s’il y a une ouverture. à peu près vingt ans plus tard, il ne s’est pas encore retrouvé dans des endroits trop étroits qui pourraient l’angoisser mais c’est sa plus grande peur, celle qui le ferait cracher tout secret si jamais on utilisait sa peur comme un moyen de torture. ☇ risèd ; il se voit lui-même, ayant réussi dans un métier, devenu quelqu'un d'important. ☇ patronus ; les insurgés lui ont appris à en produire un et celui-ci prend la forme d'un corbeau. ☇ particularités ; aucune, hormis son incroyable tolérance à l’alcool, son langage de charretier, son vocabulaire très riche lorsqu’il se donne la peine, son sarcasme, et oh… sa colère. ☇ animaux ; aucun animal. ☇ miroir ; en forme de cercle, avec une teinte violette. miroir qu'il possède depuis des années et qui a plusieurs marques d'usure. | ☇ Avis sur la situation actuelle : C’est la lassitude des combattants qui comptent plus de pertes dans leurs rangs que de victoires. C’est la fatigue d’être constamment aux aguets, de laisser la paranoïa prendre le dessus, d’être méfiant même avec ses alliés. C’est la souffrance de perdre un proche, du jour au lendemain. La guerre l’a changé. Il n’est plus aussi sûr qu’ils gagnent un jour, il n’est même plus sûr qu’il a les capacités pour. Mais Blaise s’accroche, doute quelques instants et retrouve la rage qui l’habite depuis des années. Il n’a pas peur pour sa mère qui est dotée d’une férocité et d’une rage qui trouvent étrangement écho en lui. La mort de Potter n’a pas démonté son envie de voir la fin de la guerre un jour ; il se considère comme un pion et agira comme tel jusqu’au bout. Et puis, Potter a probablement eu ce qu’il méritait, ce n’est pas Zabini qui va pleurer sa mort : au moins, il ne subira plus sa condescendance et ses jugements. Après la prise de Poudlard, il n’a pas hésité à rejoindre la RDP, mais il a un peu de mal à se détacher de tout ce que les belliqueux ont inculqués en lui. Lui qui était belliqueux depuis des années, il a des difficultés à mettre de côté ses vieilles habitudes. Agressif, avec une tendance à préférer les méthodes de torture durant les interrogatoires, mais Blaise sait qu’il préférera toujours les principes d’unité de la RDP qu’une rébellion sanguinaire des Belliqueux chaotiques. |
☇ Infos complémentaires ;• sweet tooth : Blaise est gourmand à l’extrême. il bouffe des cochonneries au petit-déjeuner, au déjeuner et au dîner ; son alimentation ne contient rien de sain depuis qu’il ne vit plus avec sa mère. Il fait même partie de la liste rouge de florian fortarôme pour s’être servi en prétendant avoir un permis qui disait : I can do what I want. • you treat an outside wound with rubbing alcohol, you treat an inside wound with drinking alcohol, science : l’alcool est devenu son plus fidèle compagnon quand il a rejoint la rébellion. ça lui permet de diluer ses pensées qui l’écorchent un peu plus quand il se laisse abattre par la solitude et le dépit. ça lui permet de tenir le coup quand il pense aux anciennes et nouvelles blessures ; comme incapable de faire autrement que de blesser les gens. ça lui permet d’oublier un instant qu’il était incapable de sauver sa fille. qu’il était pathétique, inutile, un raté qui existe plus qu’il ne vit. • workout : avec une alimentation malsaine et une consommation excessive d’alcool, Blaise ne devrait même pas être en forme. pourtant, il a surtout une addiction pour les entraînements physiques et intensifs qu’autre chose ; il s’entraîne jusqu’à s’écrouler par terre et sombrer dans l’inconscience pendant quelques heures. il est même capable d’oublier ses bibines pendant quelque temps juste pour améliorer son endurance et sa force. • tattoo : il en a plusieurs mais le tatouage le plus significatif est derrière l’oreille : 8 pour le mois de naissance de Violet et Briar-Rose. une façon d’avoir ses filles près de lui sans gâcher leurs vies en imposant sa présence de père complètement minable et fucked up notoire. • slytherin : il était capable d’adopter une façade calme et observatrice, mais de briser son armure avec son sarcasme et sa grossièreté. accro à l’adrénaline et aux substances illicites, Blaise a vécu ses années à poudlard avec un sourire en coin et le doigt d’honneur en l’air – il n’avait pratiquement aucune retenue. avec un faible pour les filles ressemblant de près ou de loin à pansy, dont il était amoureux depuis tout petit. « you’re tragic. gorgeous & tragic. weird girls like that kind of thing. » charismatique pour sa présence intimidante, son métissage, son visage aux traits tranchants, son regard perçant et ses manières de rude boy, Blaise attirait autant qu’il révulsait. meilleur ami de Draco et de Pansy, amoureux de cette dernière, il a même adopté le racisme envers les impurs, jusqu’à la prise de conscience tardive. se mêle alors une obsession envers Ginny Weasley qui mène jusqu’à son adhésion à l’AD, résultant sur une mission qui lui reste toujours en travers de la gorge. • voodoo child : il ne possède que de brèves notions en vaudou, sa mère ayant toujours refusé de le lui enseigner. mais il a quand même réussi à mettre la main sur des grimoires poussiéreux, des instructions douteuses pour faire des blagues aux gens de l’école avec Draco ; notamment des blagues sur Theodore. et puis, il a surtout eu envie de retrouver l’identité de son père biologique en suivant un rituel trouvé dans les affaires de sa mère – dont il manquait la dernière page. rituel raté, mais avec des conséquences sur Blaise et Draco : les émotions sont ressenties par l’autre, comme deux moitiés d’un même ensemble dans des corps différents. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi anna (obsidienne). J'ai 24, je viens de paname et j'ai connu le forum via ron swanson. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ? jpp trop de perso Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Blaise Zabini le Mer 7 Sep 2016 - 12:20, édité 9 fois |
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HERO • we saved the world Blaise Zabini | you're ripped at every edge but you're a masterpiece and he was everything that was left: molten eyes and a smile made for war.I've got some issues that nobody can see1999 & zabini manor À peine met-il un pied sur le parquet de son ancienne demeure qu’on le projette contre le mur le plus proche, une poigne féroce s’accrochant à son cou, les ongles taillés comme des griffes creusant dans sa chair. Il suffit d’un mouvement brusque pour que sa mère lui brise la nuque. Il n’a même pas tenu deux minutes avant de se faire attraper, lui qui avait pris toutes les précautions pour entrer dans le manoir de sa mère sans se faire détecter. « I – what ? But… how – » La surprise le fait baragouiner, les sourcils froncés dangereusement mais sa mère l’interrompt. « Ha, don’t flatter yourself, I let you in, boy. Do not insult my intelligence. » Il serre les dents, il serre, il serre, tellement, parce qu’il sait que quoiqu’il dise, sa mère aura toujours une longueur d’avance. Une emprise atroce et impitoyable sur entrailles, capable de briser sa carcasse en deux, de transformer son cerveau en quelque chose de malléable et obéissant. Imane Zabini est aussi cruelle qu’aimante mais face à son fils qu’elle n’a pas vu depuis des années, elle fait preuve d’une froideur macabre qui rend le libre arbitre impitoyable et la volonté inaccessible. « Sorry, ma’am. » Il avait oublié. Il avait oublié à quel point sa mère est dangereuse, mais il n’avait pas oublié que la plus grande faiblesse de sa mère, c’est lui. Les doigts enserrant sa gorge se détachent enfin et il reprend contenance, sans passer ses propres mains sur son cou, là où les marques sont rougies. « What the hell are you doing here ? » Elle le toise mais il n’y a pas de lueur menaçante dans ses yeux, elle semble plus irritée par sa présence qu’elle ne l’est par son audace de s’être introduit dans le manoir comme un voleur. « You look like shit. » Il hausse les épaules, les yeux se baladant dans le salon, repérant quelques changements drastiques de décoration. « What happened to your hair ? » Malgré l’irritation qui commence à prendre forme en lui, son regard revient sur sa mère, qu’il détaille, loin d’être surpris par la tenue pratiquement transparente ; elle s’est vêtue d’une robe de chambre noire agrémentée de froufrous roses au niveau des manches et du bas. « I don’t really care about my looks. » L’indifférence dans son ton fait hausser un sourcil chez sa mère, probablement pas habituée à ce qu’il néglige son apparence. Le Blaise qu'elle a élevé a toujours pris soin de lui. Mais la guerre est arrivée et lui a fracassé la gueule. Elle se détourne et lui fait signe d’approcher le bar. « Sit your ass down. I’ll fix it. » « Yes, ma’am. » Instinctivement, il se passe les doigts dans ses dreadlocks mais prend place sur l’un des tabourets, fixant les bouteilles à moitié vides. Elle revient à peine quelques minutes plus tard, avec son matériel qui attire brièvement l’intérêt de Blaise : elle a prévu de lui raser le crâne. Soulagé, il ne laisse pourtant rien transparaître sur son visage, par peur qu’elle change d’avis et lui fasse quelque chose de flamboyant et tape-à-l’œil. Mais Imane est concentrée dans son travail, ses ongles longs raclant son crâne, arrachant les cheveux sans délicatesse.
Un miroir est placé face au bar, probablement pour nourrir la vanité de sa mère ; il fixe, attentif aux mouvements d’Imane, impatient de retrouver son crâne rasé. Elle brise pourtant le silence, à mesure que ses doigts travaillent sur sa tête, le ton monotone mais ô combien menaçant. « You've always been a little rebellious. But do not mistake this as acceptance of your ridiculous melodrama, I know how childish you can be. And I don’t want to deal with your antics. Do you understand ? » Les yeux toujours fixés sur le miroir, il la voit de profil mais la tension sur son corps est palpable. « Yes, ma’am. » Elle acquiesce, continue de déchiqueter ses cheveux, touffe par touffe, ne laissant que quelques millimètres. « Looks better, yah ball head. » Le patois jamaïcain le surprend mais il ne le relève pas, conscient que sa mère ne s'en rend pas compte tant c'est habituel entre eux ; et puis, quelque part, le patwa lui avait manqué. Les ongles de sa mère ne quittent pourtant pas son visage, qu’elle tourne de côté pour regarder son fils encore plus de haut. « Ma’am… Did they do something to you ? Because of me ? » Quand il a trahi les siens et s’est barré avec les rebelles. Quand il a trahi sa mère et qu’il a tourné le dos à ses proches. « Stupid boy, do not underestimate me. However, I wasn’t surprised about the interrogation. I think they were planning to bore me to death. But I will be quite disappointed if you continue to embarrass me. » Il n'est même pas surpris qu'elle ait réussi à gérer l'interrogatoire comme une reine, telle qu'il connait sa mère, elle a dû s'y rendre affublée de sa plus belle robe et de ses talons vertigineux, parée de diamants et maquillée comme si elle se rendait en soirée. « I won’t, ma’am. » Sans même le prévenir, Imane l’encercle de ses bras ; l’un passé autour de son cou là où elle avait rendu la peau rougi à cause de la pression de ses doigts et l’autre passé autour des épaules larges de son fils. Elle repose sa joue contre sa tempe, la douce étreinte d’une mère qui n’a pas vu son fils depuis des années. Aussi dure et dangereuse puisse-t-elle être, Imane a toujours contrebalancé avec une douceur maternelle presqu’en contradiction avec sa sévérité malsaine. Blaise garde les mains sur le comptoir du bar, les yeux fixés sur le miroir, les souvenirs de son enfance ressurgissant : l’impression de se voir, quinze ans plus tôt, assis sur ce même tabouret, attendant que sa mère raccourcisse ses cheveux. « I missed you, boy. I don’t want you to go. » Les mots apportent un autre lot de souvenirs, ceux-là plus vifs et corrosifs, de ces hommes sans-noms qui passaient dans le lit de sa mère, des hommes dont il avait attribué à chacun un numéro. La dernière fois qu’il avait compté, elle en était à son cinquième mari. « I’m not asking you to stay. Only to come back. » En chassant ces vieux souvenirs, il passe enfin un bras autour de la taille de sa mère, loin d’être perturbé par la tenue indécente qu’elle porte tout contre lui. Elle l’a habitué à pire. « I know, mama. Yu an mi a fambily. » Ils se détachent mais passent un peu plus d’une heure à discuter, rattraper tout ce qu’ils ont loupé ces dernières années ; les secrets ne sont pas dévoilés mais mère et fils n’ont pas besoin de s’ouvrir davantage pour savoir qu’au bout du compte, il n’y a pas plus important que la famille, dans le même camp ou pas. « So we cool ? » Elle semble perdue dans son verre de vin mais relève la tête vers lui, le détaillant des yeux attentivement. « We’re something. » Il acquiesce, retient le souffle de soulagement, qu’elle confirme que non, elle ne lui en veut pas, qu’elle ne lui tourne pas le dos mais il est conscient qu’aux yeux de sa mère, Blaise est officiellement mort, que pour le public, elle ne peut se balader avec le fardeau que représente son traître de fils ; it’s ok, l’important c’est qu’elle ne tire pas un trait sur lui définitivement. Lorsqu’il s’en va, finalement, sa mère ajoute même : « Watch your back, Blaise. » Et il l’a vue. La peur dans ses yeux. La peur de le perdre, la peur qu’il meure en guerre, sans qu’elle ne soit près de lui. Et puis, de boy, il est passé à Blaise. and all of these emotions are pouring out of me1988 & zabini manor Le petit-déjeuner à peine servi qu’il voie sa mère filer à l’étage, probablement pour se préparer. Laissé seulement avec futur Numéro Deux, Blaise tente de se concentrer sur son omelette et non sur l’homme assis à sa gauche qui ne cesse de le dévisager. Il ne l’aime pas, celui-là. Il n’en aime aucun parce qu’ils ne sont pas dignes de sa mère, ils n’ont qu’un nom ou une fortune mais rien dans la tête. Ils sont pourris et Blaise souhaite que sa mère s’en rende compte aussi. Qu’elle trouve quelqu’un de bien, quelqu’un qui la respectera et verra autre chose que la jolie femme que les hommes sifflent sur son passage. Mama mérite quelqu’un de bien. Pas lui, pas Numéro Deux qui s’approche de Blaise. Le gamin serre ses doigts sur son couteau et sa fourchette – c’est probablement une bonne chose qu’il soit gaucher. Quand Numéro Deux pose une main à plat sur la table et une autre main, plus insistante, sur sa cuisse et la remonte légèrement, Blaise le toise. Son geste ne dure que trois secondes à peine. Et Blaise réagit en plantant son couteau dans la main qui était sur la table. « Fuck, fuck, fuck… You sonovabitch – I'll cut yer throa – » « No, you won’t. » L’arrivée de sa mère dans la cuisine surprend Numéro Deux mais pas Blaise ; qui, à cause de sa proximité avec l’homme, s’était décalé après avoir planté le couteau pour éviter des représailles, conscient de sa vulnérabilité d'enfant. Il se dirige vers sa mère qui passe une main dans sa tignasse de boucles brunes mais continue de toiser l’étranger dans sa cuisine. « Yer lunatic son – just fuck shit shit it hurts like hell you stupid bitch ! » Imane grince des dents et s’écarte de son fils pour s’approcher de son amant qui agonise dans sa cuisine ; Blaise n’avait pas vu qu’elle avait sorti sa baguette. « Stop whining, you’re giving me a headache. » Le môme de neuf ans regarde la scène, indifférent, les mains jointes dans son dos, le ventre gargouillant encore pour l’omelette qu’il n’a même pas mangée. « Do not speak. I do not wish to hear your excuses. » Sans même craindre qu’il arrache le couteau et l’attaque avec, Imane approche son visage de l’homme qu’elle envisageait d’épouser. « Do not touch my son ever again. Do you understand ? » Mama will always have your back.I bring them to the light for you1993 & zabini manor Les amis, Blaise n’en a jamais eu beaucoup. Scolarisé à domicile avant Poudlard, il ne se mêlait pas non plus aux gosses du voisinage – leurs insupportables rires et cris de joie, leurs stupides vélos et leurs stupides sourires, stupides gamins qui le rendent aigri et amer. Avec pour seule compagnie, une mère qui sort un nouveau jeu pour son nouveau mari et les employés du manoir qui ont plus de conversations que les quatre murs de sa chambre. Solitaire et taciturne, c’est à Poudlard que Blaise s’est ouvert aux autres. Il ne saurait trouver ce qui a vraiment changé en lui, pour considérer ces gamins de la même maison comme des amis, lui qui se complaisait dans la médiocrité de sa solitude. Il a invité Draco, Pansy et Theodore chez lui – Vincent et Gregory devraient arriver un peu plus tard. Quand il entend du bruit dans l’entrée, Blaise descend les marches en sautant quelques-unes, arrive dans le couloir, époussette sa tenue et se débarrasse de l’impatience de voir ses amis pour adopter la désinvolture qu’il a perfectionnée en traînant avec ces Serpentards. À mesure qu’il avance dans le couloir, il remarque que c’est sa mère qui les a accueillis et qui se permet de tripoter les joues des garçons. Shit. «…so cute, so soft… Your beautiful skin… Have you been working out, Theodore ? Draco, you have nurtured your skin so lovingly, you boys are so cute, les yeux d’Imane ne cessent de passer de Draco à Theo, ses doigts caressant les joues des garçons malgré leurs expressions interloquées ; elle se tourne finalement vers Pansy. Oh, Pansy, baby love, so pretty, you should be a model. Always moisturize your body – and oh, the softness of your hair, I can see why my son – » « Mother, stop harassing my friends ! » En poussant ses amis déroutés vers l’escalier, il lance un regard noir sur sa mère qui s’esclaffe de rire en resserrant sa robe de chambre fuchsia. Quand il ferme la porte derrière eux, Pansy lâche soudainement : « Your mum is weird. Weird but hot. » Les bras croisés, il la toise et grimace de dégoût. « No, she isn’t. » Elle a probablement besoin de consulter un ophtalmomage. « Shut up. » Les garçons semblent plutôt partager l’avis de Pansy. « I hate y’all. »
Dernière édition par Blaise Zabini le Lun 10 Oct 2016 - 1:08, édité 11 fois |
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HERO • we saved the world Blaise Zabini | now you're tearing through the pages and the ink he didn’t sound very interested, but that was part of the blaise zabini brand. it was impossible to tell how deep his disinterest truly was.when your eyes are red and emptiness is all you know, with the darkness fed I will be your scarecrow24 octobre 2002 “How arrogant we are, to deliver babies who can’t walk or talk or feed themselves. How sure we are that nothing will destroy them before they can take care of themselves. How fragile they were, how easily abandoned and neglected and beaten and hated. Prey animals were born afraid.” – Le flou attaque ses pupilles, le fou ricane à gorge déployée, le son atroce se répercutant dans ses oreilles mais un autre son émerge de nouveau ; même avec toute la volonté du monde, Blaise ne parvient à poser ses yeux hagards sur l’origine, se baladant de gauche à droite, de haut en bas, incapables de savoir si c’est son imagination ou la réalité funeste qui a réuni père et fille juste avant leur mort. Mâchoire serrée, les mains attachées dans son dos, il se débat malgré le brouillard qui s’est installé dans son cerveau. Mais c’est la magie que Hudson a lancé pour lui attacher les mains. Et une drogue qu'il lui a injecté, créant une brume dans son cerveau. « Don't hurt her. She is innocent. Please. » Sa voix est atrocement irritée, lui qui a passé son temps à crier, crier, crier des insultes, des menaces de mort, maintenant il se met à supplier. Parce que Blaise ne peut concevoir que dans cette réalité, il est la cause de la mort de sa fille. Parce qu’il a été incapable de ne pas s’approcher de sa bibine qu’il a été récupéré comme une merde et facilement par Frank Hudson. L'enfoiré qui lui a présenté sa fille avant de la poser dans l’herbe, les pleurs de l’enfant répercutant dans ses oreilles. Les vaisseaux sanguins ont éclaté, ses yeux rougis et les sortilèges d’entrave le laissent encore plus désorienté, impuissant et ô combien effrayé de voir Hudson reculer et d’écraser le crâne du bébé avec sa bottine crasseuse. Les descriptions abominables et détaillées sur la mort de sa fille tournent en boucle dans son crâne mais les pleurs lui procurent de l’espoir que quelqu’un viendra. Somebody, please, help us. « Shut the fuck up or I’m going to rip her throat out with my teeth. I’m thinking about something. » Il s’oblige à fermer les yeux, chasser les images d’horreur, chasser le flou qui s’est paré de ses yeux. Il compte les secondes, souffle doucement, calme sa propre respiration en rythme avec les cris de sa fille, plusieurs mètres plus loin. « Oh Daddy you can’t help her y’know. » Hudson est tout près de lui, traçant de sa baguette la tempe de Blaise qui ouvre les paupières brusquement pour le fixer. Mais son instinct premier réagit viscéralement quand il mentionne encore et encore sa fille et les dents de Blaise mordent férocement l’entrejambe de Hudson, qui, sous le coup de la surprise, lâche même sa baguette. Blaise ne relâche pas son emprise, prêt même à arracher son membre quitte à faire gagner du temps et sauver sa fille. Un peu de sang a même traversé le pantalon, tâchant ses lèvres, avant que Hudson ne réagisse et lui foute une droite qui le fait brusquement ouvrir la gueule. Ses viscères se contractent quand il sent son propre sang dans sa bouche, à mesure que Hudson encastre ses bottines sur sa gueule mais Blaise se fiche tant que pour l’espace d’un instant, il détourne l’attention de sa fille. Battu, drogué, délirant, son esprit embrumé a quand même réussi à trouver une brèche pour trouver sa fille et là, par terre, la tête tournée de côté, il voit l’enfant qui pleure mais le courage rend la motricité à ses jambes quand il donne lui-même des coups, les mains toujours jointes dans son dos. Désespéré, à bout, il le frappe à la moldue, parvient même à se mettre debout pour envoyer un coup de tête. Mais tout s’arrête quand il entend du monde approcher, deux personnes, et quand il voit les formes de Pansy et Potter, Blaise lâche le souffle qu’il retenait depuis tout ce temps. Quelqu'un va sauver sa fille. it’s not the world that’s cruel, it’s the people in it2003 & hogwarts « Potter. » L’interpelé vers lui, un sourcil arqué et l’expression irritée ; Potter a visiblement un problème avec lui. Blaise balade ses yeux dans le couloir, vérifiant une seconde fois qu’ils sont seuls mais il est nerveux. Pour ce qu’il s’apprête à dire. Ça fait des semaines, depuis la prise de Poudlard, qu'il cherche à avoir cette conversation. Entre sa lâcheté et son incapacité à coincer Potter seul dans un couloir, Blaise a retardé leur entrevue le plus possible. « I wanted to thank you. » « For what ? » « For Violet. » Et dès que le prénom de sa fille est lâché dans l’air, l’attitude de Potter change drastiquement. L’irritation fait place à quelque chose d'autre, quelque chose qu’il n’aurait jamais pensé voir sur le survivant. Potter le juge. « I didn’t do it for you. So keep your mouth shut. » La condescendance de Potter est une claque qu’il se prend dans la gueule : jamais il n’aurait pensé que Potter, le prendrait de haut, lui, Zabini. « Don’t be an ass, Potter », crache-t-il, les dents serrées. « I don’t care. Should’ve known you’d be so pathetic. » Plus il reste planté là, devant cette figure emblématique du héros et plus la différence de taille est gommée : Zabini se sent petit. Petit et inutile. Potter le prend pour une merde collée à sa chaussure, il n’est qu’un rat des égouts émacié et puant, un produit pathétique de la guerre. Incapable même de trouver les mots justes pour la reconnaissance qu'il ressent à l'égard de celui qui a sauvé Violet. « Don’t judge me. You don’t know me the fuck at all. » Et puis finalement, Potter assène le coup final : « Your daughter was in danger because of you drunkass moron. I don’t care what you have to say to me. Get lost, Zabini. »
Dernière édition par Blaise Zabini le Jeu 8 Sep 2016 - 16:39, édité 10 fois |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | .
edit ; wannabe Malfoy avec tes cheveux blonds lol
Dernière édition par Draco Malfoy le Lun 29 Aoû 2016 - 2:20, édité 1 fois |
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HUNTED • running man Theodore Nott ‹ disponibilité : always.
‹ inscription : 08/05/2016
‹ messages : 978
‹ crédits : killer from a gang pour l'avatar, tumblr, crooked fingers.
‹ dialogues : sienna.
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‹ âge : vingt-quatre ans. (21/06)
‹ occupation : un ancien langue-de-plomb, désormais un Mangemort en fuite.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1991 et 1998.
‹ baguette : m'a été rendue par Mafalda. Vingt-deux centimètres virgule trois, ventricule de dragon (boutefeu chinois) et bois de chêne rouge.
‹ gallions (ʛ) : 4367
‹ réputation : je suis un déchet, un étudiant qui a un jour été prometteur, et n'est plus que l'ombre de lui-même.
‹ faits : j'étais un Mangemort défectueux, déterminé mais sans passion. J'ai été capturé par Blaise et Draco peu avant la Bataille et ai passé deux mois dans les cachots de Poudlard à additionner les crises de manque et quelques crises cardiaques sympathiques, dues à mon addiction à l'Orviétan (Excess).
J'ai été condamné au Baiser du Détraqueur quelques jours avant l'abolition de la peine de mort. J'ai été condamné à perpétuité à la place. Je me suis évadé d'Azkaban avec Penelope Clearwater, avec l'aide extérieure de Percy Weasley et vit désormais la vie du parfait moldu.
‹ résidence : dans un petit cottage sorcier posé.
‹ patronus : impossible à invoquer
‹ épouvantard : des milliers frelons qui tournent autour de lui et l'achèvent; la résurrection de Voldemort; le cadavre de sa filleule Cat.
‹ risèd : l'indépendance, une vie paisible et sans remous, aux côtés de Nephtys.
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Dernière édition par Theodore Nott le Lun 29 Aoû 2016 - 21:12, édité 2 fois |
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HERO • we saved the world Rohan Helvar | | | | |
HERO • we saved the world Ginevra Weasley | | | | |
| T'AS PAS HONTE. (je sais que non ) |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9022
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| ALLEZ MOURIR *marque son territoire et revient*
Je reviens d'entre les morts parce qu'au final, j'ai décédé complet. Je. JPP. HOW ? WHY ? I DON'T DESERVE THIS ? Ptn mais le rêve, la beauté, la joie et la félicité, sortez les tambours, réveillez le monde entier, jpp jpp jpp. J'ai trop hâte, t'as pas idée, t'es perf, c'est magique, glorieux, grandiose et aaaaah rererebienvenue et omg
Dernière édition par Pansy Parkinson le Lun 29 Aoû 2016 - 13:03, édité 1 fois |
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HERO • we saved the world June Winchester | ok c'est tipar, mes canards. Toi en Blaise. Toi. En. Blaise. (j'allais te demander si ça allait niveau schizophrénie, mais boarf ) Je sais pas, mais j'ai trouvé que c'était l'une des meilleures nouvelles de la journée ça (toi en Blaise). Non parce que le Blaisou, on l'attendait trop et toi comme une fleur go. JTM voilà quoi. On a enfin un Blaise, jpp, mon cœur tient plus. Il demande à lire tous les rps possible avec le monsieur alors vite vite termine cette fiche. Je veux voir Blaise en papa voilà, c'était un message sans queue ni tête. Je me suis contenue sinon il aurait été entièrement en majuscules allez go, t'es la meilleure ah si et rebienvenue ofc |
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