Il vient soudain à l’esprit de Flora que Quigley jouait au Quidditch à l’époque, à Poudlard. Flora n’a jamais été une grande supportrice de sa maison. Elle ne s’est jamais intéressée à ce sport. Trop mainstream pour elle auraient dit certains. La vérité c’est que ce n’était juste pas à son goût. Et ça ne l'est toujours pas. Elle ne s’y est vaguement mise à sa sortie de l’école que pour pouvoir observer d’un peu plus près l’objet de l’affection d’Hestia, Gargoyle. Quigley, avec un genoux dans un état pareil, ne jouera plus jamais au Quidditch, songe-t-elle soudain, tiraillée entre une l’indifférence totale et le dégoût absolu causé par la vue des os en travers de sa jambe. Le sang s’échappe du corps du rebelle en quantités extraordinaires, beaucoup plus importantes que prévu. Et Flora observe fascinée, alors que leur victime commence à perdre connaissance, incapable de ne serait-ce qu'essayer de répondre à leurs questions. À son grand étonnement, Nott l’aide en ce sens apposant le bout de sa baguette sur la jugulaire de Ronan jusqu’à ce qu’il s’endorme, leur offrant ainsi quelques instants de répit.

“ Si il se vide de son sang, c'est de ta faute. ” Elle grogne, agacée. Nott n’est jamais content, elle en fait toujours soit trop, soit pas suffisamment. Et elle commence à en avoir assez de ses remarques désobligeantes. Assez de la pression sur ses épaules. Assez de cette mission. Elle veut rentrer chez elle et laisser Quigley se vider de son sang sur la chaussée s’il le faut. Ce n’est pas son problème. Mais ça l’est. Depuis qu’elle a obtenu sa marque c’est même plus que son problème, c’est sa responsabilité. “ What? Are you afraid of a little blood now? ” se contente-t-elle de répliquer au donneur de leçons de sa voix grave. Il a du voir pire. Elle espère qu’il a vu pire. Qu’elle ne vient pas de battre un quelconque record de créativité malsaine. “ Je vais faire le tour pour voir si aucun ne va venir le secourir. Endigue l'hémorragie, on reprend après.  Get a fucking grip, Flora. ” Elle relève l’usage de son prénom et ça lui déplaît fortement. Elle n’y sent pas le début d’une certaine camaraderie. Elle y voit de la condescendance. Et puis elle y voit le rappel de son identité. Elle n’est pas juste une “Carrow” indivisible du reste de la famille. Elle n’est pas Alecto, ni Amycus. Mais elle n’est pas Hestia non plus. Quand Nott s’éloigne, elle est désespérément seule, comme elle ne l’a jamais été, face aux conséquences d’actes accomplis par elle sans pour autant qu'elle les reconnaisse. Alors elle hait Nott pour l’avoir appelée “Flora”. Elle hait Nott pour ce qu'il lui rappelle ainsi qu’elle n’est plus comme Hestia, que révolue est l’époque où on les confondait. Elle le hait de l'empêcher par la même d'être un membre anonyme de la famille Carrow, un doigt indissociable de la Main Noire. Elle jette un regard vindicatif au corps inconscient, comme si c’était aussi la faute de Quigley, de son imprudence, de son incapacité à résister plus longtemps à leurs attaques.

En la laissant seule avec le prisonnier, Nott la prend pour ce qu’elle n’est pas. La médicomage c'est Hestia. Flora ne sait pas panser les plaies. Elle devine, ce qu’il faut faire toutefois, parce que ça relève de l'évidence: il faut prévenir l’écoulement de l’hémoglobine. Impudique, elle arrache un pan de sa robe - il ne lui vient même pas à l’esprit qu’elle pourrait prendre une manche de Quigley pour ce faire - et l’enroule autour du genou éclaté, en serrant bien fort - faisant par la même ressortir quelques os de plus. Elle réprime un haut le cœur. Vu d’aussi près, difficile de maintenir l’indifférence, de maintenir la distance mentale, de faire abstraction de la répugnance que lui inspire vraiment la blessure. Peut-être que Nott a raison, peut-être qu’elle a vraiment exagéré. Alors elle se relève bien vite et détourne la tête ramenant ses mains ensanglantées vers sa poitrine. Nott l’énerve. Elle hait Nott.

Vivement que Nott revienne afin qu’elle ne soit plus seule avec ce qui a tout l’air d’un cadavre.

Il fait le tour, vérifie que personne ne va venir les déranger même si il se doute que les secours ne vont pas tarder. Theodore doute fortement qu'il soit juste possible de rentrer à Poudlard par un passage secret, ils doivent forcément se mettre en contact avec quelqu'un à l'intérieur pour pénétrer à travers les défenses magiques que les Mangemorts essaient d'épuiser depuis des mois maintenant, en vain.
Il n'y a rien ni personne, du moins pas qu'il puisse percevoir, alors il se permet de lancer quelques sortilèges pour le prévenir si jamais quelqu'un se mettait en tête de les approcher par derrière.
Il essaie de ne pas penser à Carrow. Flora. Whatever. Pourquoi l'a-t-il appelée Flora? Ils ne se sont jamais fréquentés, jamais appréciés, jamais réellement parlés et Theodore n'est pas du genre à passer trop vite au first name basis. C'est juste que... voir Quigley, la voir ne pas réussir à faire son sortilège, ça lui rappelle qu'ils ont le même âge, non, qu'elle est plus jeune que lui. C'est un peu de la condescendance, du coup. Ça ne lui ressemble pas trop.
Theodore finit par revenir, se gardant par avance du sang et des os qui l'attendent. Évidemment, Carrow a fait un mauvais travail de l'Atout: Theodore le voit tout de suite, accélérant le pas quand ils retournent tous les deux dans son champ de vision pour plaquer sa main sur le cou de Quigley à la recherche d'un coup. Il se rappelle encore de lui, jeune et doré, parfait sur son balai, fendant les airs, attrapant le Souaffle... c'était seulement hier, non?
Presque. “ Are you a fucking moron? ” gronde-t-il, ses mains volant à la surface du corps de Quigley, sur sa poitrine pour chercher son coeur, sous son nez pour tester sa respiration, à son poignet pour chercher là aussi son pouls — en vain, toujours, à moins qu'il soit trop nerveux et agité pour sentir les battements du coeur de l'autre. “ Tu l'as laissé mourir? What the fuck, Carrow? Vous partagez un cerveau à deux et tu l'as laissé pour la journée à ta soeur, c'est ça? ” grince-t-il en se tournant brusquement vers elle, fouillant son visage à la recherche de culpabilité, d'horreur ou de peur — ils vont se faire torturer, se faire punir d'avoir failli, d'avoir laissé mourir l'Atout. Comment peut-on être stupide à ce point? “ Est-ce que tu te rends seulement compte de-- ” Mais il s'interrompt, parce que sa baguette vient de s'éclairer d'une lueur orangée dans sa main: un sorcier vient de pénétrer dans la zone de protection qu'il a établi autour d'eux. Ils ont de la compagnie.

“ Are you a fucking moron?. ” Elle sursaute. C’est peut-être le ton, c’est peut-être les mots si grossier (ça lui est égal) c’est peut-être et surtout la panique sous-jacente, la peur qu’elle devine en lui comme en elle alors qu’il s’agenouille auprès de Quigley. Elle ne bouge pas plus que ça pourtant, restant dans son étrange position, les bras ramenés contre sa poitrine presque comme si elle cherchait à s’enlacer elle-même.  “ Tu l'as laissé mourir? What the fuck, Carrow? Vous partagez un cerveau à deux et tu l'as laissé pour la journée à ta soeur, c'est ça? ” Flora cligne des yeux, les lèvres fermement serrées. Elle n’a pas l’habitude qu’on lui adresse la parole sur ce ton. Raven est rarement appréciée, souvent accusée de tous les maux, mais pas de bêtise, jamais. Elle n’est pas raillée non plus, du moins pas devant elle, même par un Nott. Elle encaisse la remarque néanmoins parce que, plus que l’insulte, c’est la première question qui la fait grincer, qui enclenche un rouage dans son cerveau et semble en même temps paralyser son cœur. Elle l’a laissé mourir. Il est mort donc. Première conséquence logique. Elle n’a pas osé être anxieuse en voyant Theodore tâter le pouls de Quigley, trouvant sa simple présence réconfortante et choisissant d’ignorer le reste. Mais il est mort. Et c’est elle qui l’a laissé mourir. Ce n’est peut-être pas la première fois que quelqu’un meure par sa faute, elle ne sait pas. Peut-être qu’indirectement elle en a causé des dizaines ; probablement qu’en jouant avec la guerre et les différents clans elle causé quelques dégâts. Mais ici les mots de Nott semblent être des euphémismes. Elle ne l’a pas laissé mourir comme elle aurait laissé se noyer quelqu’un qui serait tombé tout seul dans une mare. Là, c’est elle qui l’a poussé. C’est elle qui a causé son hémorragie, puis qui n’a pas su l’arrêter. Elle ne l’a pas laissé mourir, elle l’a tué. “ Est-ce que tu te rends seulement compte de- ” Elle ne remarque pas qu’il se tait soudain. Elle ne remarque rien que le battement exacerbé dans sa poitrine, le sang brûlant qui tambourine dans ses tempes. Ses pupilles dilatées voient à peine la lueur orangée qui s’échappe soudain de la baguette de son collègue, mais surtout à aucun moment l’information n’est traitée par son cerveau. Elle ne fait pas le lien, ne voit pas le danger immédiat. Le seul danger qu'elle perçoit, c’est elle.

“ I'm sorry. ” le murmure est inaudible, elle-même ne sait pas si les mots se ont véritablement été prononcés, ou si elle n’a fait que les penser. Et surtout, elle ne sait pas si c’est à Nott, Quigley ou elle-même qu’elle s’adresse. La situation a de quoi la désoler en effet. Mais avant qu’elle n’ait le temps de décider du destinataire de ses excuses, des voix inconnues se font entendre. Elle relève un regard inquiet vers Nott. “ Qu’est-ce qu’on fait ?” Doivent-ils partir et rentrer bredouille ? (Elle s'en fiche). Doivent-ils rester et combattre ? (Alors qu’en toute honnêteté elle trouve qu’ils font une équipe bien mauvaise) Flora ne cherche plus à faire ses preuves. Elle a échoué. Elle ne cherche plus à être traitée comme une égale. Nott n’est pas si doué, il est agaçant, condescendant et franchement pas très utile en temps de crise. Mais Nott a plus d’expérience et s’il veut prendre les devants qu'il le fasse donc. Qu'il prenne la responsabilité de ce qui adviendra. Flora, elle, s’en lave les mains cette fois-ci; elles sont déjà bien trop sales à son goût.

“ Qu’est-ce qu’on fait ? ” Il a envie de se mettre à hurler, mais ce serait mal avisé avec des ennemis à proximité. Il devrait peut-être se mettre entre la provenance des voix et Flora mais à la place, il préfère mettre Carrow entre d'éventuelles baguettes et lui-même, reculant de quelques pas jusqu'à revenir près de Quigley. Il déteste l'idée qu'elle lui remette la responsabilité entre les mains, le poids des choix sur les épaules; alors il grogne. “ Essaie juste de te rendre utile, ” incapable de lui adresser même un mot appréciateur alors qu'il met directement sa vie entre ses mains, tournant le dos aux bruits de pas approchant pour se mettre à fouiller frénétiquement les poches de l'Insurgé. “ Oh pour l'amour de-- ” Et ses doigts rencontrent le métal froid, le miroir. Ils commencent à en avoir une sacrée collection, au Ministère, même si leur utilisation leur est encore très nébuleuse: mais sait-on jamais, Theodore est un Mangemort consciencieux et il aimerait bien être celui qui parviendra à briser le mystère de ces miroirs colorés que chaque Insurgé possède. Accio baguette, et l'arme de Quigley n'est plus.
Il adresse un regard au cadavre, puis à Flora. Ça ne sert à rien de se battre. Ils n'ont pas retiré les bonnes informations au pauvre joueur de Quidditch, ils vont s'enfuir comme des pleutres, bref, cette mission est un désastre. Par sa faute à elle, bien évidemment, même si il sait qu'ils vont être tous les deux punis... à moins qu'ils n'indiquent jamais à leurs supérieurs que quelqu'un a essayé d'entrer à Poudlard durant leur mission de surveillance. Il tend la main à Flora, pour qu'ils transplanent au moins jusqu'au même endroit. Ses doigts sont froids contre les siens.
Il attend que les voix se transforment en visage pour invoquer une gerbe de flammes, qui embrase le sol avec voracité, avant de transplaner loin d'ici.
Enfin... loin. À proximité de Pré-Au-Lard, dans une ruelle adjacente déserte: il s'éloigne aussitôt, range sa main comme si elle l'avait brûlé. “ We can't tell anyone about this, dit-il, détournant le visage pour vérifier qu'ils soient bien seuls. D'un sortilège, il fait disparaître cape et masque de Mangemorts, pour ne pas attirer l'attention: même si les Mangemorts ne sont pas les ennemis des villageois ou du Gouvernement, Theodore se méfie des habitants d'un village trop près de Poudlard. D'accord? ”

“ Essaie juste de te rendre utile, ” Il ne fait pas le moindre effort pour arrondir les angles Nott. Et quelque part, Flora préfère, elle aime mieux l’honnêteté, même sèche, même agressive, que l’hypocrisie mielleuse. Si d’autres en un instant pareil auraient sûrement aimé qu’on les rassure un peu, elle, elle préfère son ton oh combien désagréable. Parce que s’il avait pris des pincettes avec elle, elle aurait pris ça pour de la pitié, pour une reconnaissance de la faiblesse qu’il pense voir en elle. Pour autant, s'il ne blesse pas, son ordre n'a aucune espèce d'utilité, il n’est pas même un peu informatif. Elle ne sait pas quoi faire pour aider, c’est bien pour ça qu’elle lui pose la question. Nott n’attend toutefois pas de la voir bouger, fouillant les poches du défunt, à la recherche d’elle-ne-sait-quoi tandis qu’elle, la baguette levée et les doigts moins tremblants que sa respiration, attend simplement que les voix s’approchent. Elle ne songe pas à fuir seule, ça ne lui passe même pas par l’esprit. Si Theodore dit qu’il faut rester, elle reste avec lui. S’il dit qu’il faut partir elle en fera tout autant. Elle s’est totalement désintéressée de la situation. Elle s’est totalement déresponsabilisée.

Flora ignore ce qu’il se passe dans l’esprit de son collègue en quelques instants à peine, mais il lui tend soudain la main et elle l’attrape après une vague hésitation. Elle a compris ce qu’il voulait et elle n’a même pas la force d’être rebutée par avance à l’idée de transplaner. Ses doigts sont chauds et un peu moites contre les siens, elle n’aime pas, mais ne grimace pas. Une fois qu’il a laissé un cadeau enflammé à leurs ennemis, elle ferme les yeux pour endurer la torture et supplier les cieux de la laisser apparaître en un morceau.

Il ne les a pas emmené bien loin, en lisière de Pré-au-Lard, à l’abri des maisons et des échoppes, dans l’ombre d’une ruelle. Elle n’a pas le temps de sentir le sol, bien solide et stable sous ses pieds qu’il abandonne sa paume un peu trop vite pour que ça ne soit pas insultant. Pourtant Flora remarque à peine la chose, trop occupée à fixer une ligne imaginaire dans l’horizon au dessus de la tête de Nott. “ We can't tell anyone about this, ” Elle déglutit difficilement, moins à cause de ce qu’il propose que parce qu’elle sent un goût de bile dans le fond de sa gorge. “ D’accord? ” Elle réalise l’ampleur de la chose, le danger de la proposition. C’est elle qui est responsable de l’échec absolu de la mission, quoiqu'elle aimerait pouvoir faire reposer la responsabilité sur leurs deux paires d’épaules. Il serait parfaitement en droit - et même, ce serait logique de sa part - de la dénoncer et ainsi de la laisser s’en sortir seule. Si sa proposition est surprenante, elle ne s’imagine cependant pas un seul instant qu’il propose de la couvrir par bonté de cœur. Elle ne comprend peut-être pas son raisonnement, mais elle n’est pas non plus prête à croire en sa générosité gratuite. “ On a vu personne. D’accord. ” se contente-t-elle donc de répondre, avant d’avoir tout juste le temps de se détourner de lui pour rendre son déjeuner sur les dalles de la ruelle. Il croira sûrement que c’est à cause de ce qu’elle a vu, de ce qu’elle a fait. Encore une raison pour la penser impropre à exercer sa mission de Mangemort. Et, étonnement, Flora se demande s’il n’est pas plus opportun de le laisser y croire plutôt que d’avouer son aversion pour le transplanage. D’autant qu’elle a bien été obligée de s’adonner plusieurs fois à cette pratique détestable et c’est bien la première fois qu’un si court voyage provoque en elle un tel effet. En trente seconde c'est terminé, elle s'essuie la bouche sur un pan de sa robe déjà foutue. En trente seconde l'humiliation est parfaite.

Elle a l'air malade, petits yeux, grise mine, et ça agace encore plus Theodore. Il a envie de la prendre par les épaules, par les oreilles, et de la secouer dans tous les sens jusqu'à ce qu'elle retrouve sa trempe, son caractère, son mordant qui lui a fait mériter la Marque. “ On a vu personne. D’accord. ” Il pince des lèvres, se disant peut-être qu'il vaudrait mieux laisser le maillon faible se faire bouffer par les chiens, simplement la dénoncer comme l'envie lui tord l'estomac et s'en laver les mains, ne plus y penser; mais quelque chose l'en empêche. Certainement pas une loyauté mal placée ou une affection sortie de nulle part: il n'ignore pas qu'elle le lâcherait dans la fosse aux lions sans aucune hésitation si elle en avait la chance. Le ferait-elle vraiment? Il essaie d'imaginer la situation, avant de vite parvenir à la conclusion que oui, elle le sacrifierait sans états-d'âmes, et qu'il vaudrait mieux pour lui qu'il en fasse autant. Qu'il transplane immédiatement au Quartier Général pour rendre rapport et constatations, pour indiquer que Flora Carrow est une liability, qu'elle a tué l'otage, qu'ils n'ont pas d'informations et qu'après des heures de garde éveillée, elle a tout foutu en l'air parce qu'elle était incapable de faire ce qui était demandé d'elle. Il devrait. Mais entre le moment où il se fait cette réflexion et le moment où il prend la décision de transplaner, Flora se met à rendre son estomac sur les pavés et Theodore fait un bond en arrière, l'odeur acide l'agressant aussitôt et lui donnant lui-même des envies de dégueulades intempestives; il se passe le bras sur le visage, nez niché dans son cou, en tendant le cou de l'autre côté. “ Je te hais, grince-t-il en s'obstinant à contempler un point de l'horizon. Et tu me dégoûtes. ”
Et sur ces mots doux, après un dernier regard brûlant dans sa direction entre le dégoût le plus sincère et le démerde-toi pour rentrer, de disparaître dans un froissement de cape dédaigneux.