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sujet; MISSION ► Back from the dead |
FONDA • tomorrow's a mystery Oblivion | Back from the dead Mission : Ginny Weasley & Emily Calaghan & Luna Lovegood & Neville Longbottom (pnj)» Sujet de mission
Voilà des jours que l'ambiance au château se fait tendue, lourde. Quigley et Whitehorn : tous les esprits sont tournés vers eux, tous les silences désignent ce duo dont la RDP n'a plus de nouvelles depuis la confirmation du succès de leur mission. Leur est-il arrivé malheur sur le chemin du retour ? C'est tandis que vous ruminez ces questions sans oser les formuler à voix haute qu'une rumeur se répand comme une trainée de poudre : un Phénix ( Griffith) rentré il y a peu a affirmé au cours de ses soins à l'infirmerie avoir vu une forme humaine prisonnière de la toile d'une Acromentule, en traversant la forêt interdite. Il était en plein délire, dit-on ; mais si les uns classent l'affaire en confirmant que le Conseil a jugé les informations trop douteuses pour valoir une investigation en ce soir de Pleine Lune et par-dessus tout, au-delà des protections verrouillant Poudlard... dans vos cœurs brûle la flamme de la rébellion. Et s'il s'agissait du duo manquant ? S'ils étaient mourant et n'attendaient qu'un geste, une aide ? Est-il juste de les abandonner ? Cette mission, si vous l'acceptez, risquent toutefois de vous coûter la vie, en plus de vous mettre dans le radar d'un Conseil trop occupé pour tolérer ce genre de rébellions... » Rappel des règles
Privilégiez l'action avec des RP qui ne doivent pas dépasser les 300 mots. De plus, la mission, une fois terminée, doit être signalée ici. Approuvé par le Ministère de la Magie |
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HERO • we saved the world Ginevra Weasley | Elle n'aurait jamais pensé se retrouver à utiliser pour de telles fins son accès aux horaires des sentinelles de Poudlard. D'ailleurs, une part d'elle espère que personne ne se doutera que mémoriser leurs tours et parcours a permis d'orchestrer correctement cette escapade — Ginny se doute bien que dans le cas contraire elle pourra dire adieu à cette responsabilité chèrement acquise. Front plissé par le doute, elle jette un coup d'oeil à ses côtés, retient Emily par le poignet juste avant qu'elle ne s'élance comme prévu. « Tu sais que tu n'es pas obligée de venir, right ? Si les choses tournent mal — » je m'en voudrai de t'avoir entraînée là-dedans. Mais elle n'a pas l'occasion d'achever sa phrase, Emily ne se laisse pas décourager. Alors Ginny soupire, culpabilisant quand même, avant de jeter un coup d’œil résolu en direction de la pleine Lune : « Au moins les loups de la RDP sont les seuls à accéder à la partie de la forêt qui nous intéresse... si les indications de Griffith ne sont pas trop faussées par les doses de potions calmantes qu'il a dû ingurgiter. » C'est le risque, lorsqu'on harcèle un malade sur son lit d'infirmerie pour lui soutirer les détails dont il croit se souvenir... « Et puisque Neville les fournit en Tue-Loup ils ne devraient pas nous causer problème. » Tout est prévu, tout devrait bien se passer — normalement. Dans l'idéal elles rentreront victorieuses avec le duo manquant, et dans un cas correct même si moins plaisant elles se faufileront dans un Poudlard encore endormi, les mains vides mais avec la satisfaction d'avoir essayé, contrairement à tous ces hypocrites qui se contentent de fermer les yeux sur la possible survie de leurs alliés lorsque le Conseil dit non.
« La voie est libre de mon côté », souffle Ginny une fois le dernier garde suffisamment éloignée sur sa droite, attendant l'aval d'Emily pour frapper le sol du pied, faire décoller le balai et voler à toute allure vers la forêt interdite. Il ne leur restait que quelques mètres à parcourir et déjà, les voilà à l'orée des arbres dont les branches forment des figures inquiétantes. C'est un avertissement de sa partenaire, cependant, qui la pousse à se figer sur place tandis que plus loin, une paire atypique profite à son tour de l'absence de gardes pour voler à leur rencontre : l'une sur un balai, l'autre sur monture ailée. Et rien qu'à voir ladite créature, aucun doute n'est possible : la cavalière n'est autre que Luna.
Dernière édition par Ginny Weasley le Mer 7 Sep 2016 - 19:46, édité 1 fois |
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HERO • we saved the world Emily Callaghan | Perchée sur son balai, le regard perdu dans le vide, un poids immense semblait la retenir au sol. Elle avait peur. Non pas d’aller à l’encontre de la décision du Conseil et de suivre son amie – même si cela leur vaudrait les pires réprimandes – mais plutôt de mettre en danger sa meilleure amie si elle venait à perdre une fois de plus le contrôle de son corps. Ses yeux perçant l’obscurité pour croiser ceux de Ginny, elle ne laissa pas le temps à son amie de douter de ses intentions. « Si tu y vas, j’y vais ! Tu n’as pas le choix, tu m’auras dans les pattes ! » Ferme, résolue, elle écouta Ginny détailler les risques auxquels elles seraient exposées, comme si elle voulait les rassurer toutes les deux. « On y arrivera Gin’. Je suis là, et je surveillerai tes arrières. » Promesse informulée. Elle vérifia pour la dernière fois ses équipements : le couteau dans le fourreau, la baguette dans la poche. Elle remonta sa capuche sur sa tête et observa l’orée de la forêt une dernière fois. « Libre ici aussi. » Dans un acquiescement quasi imperceptible, elles décollèrent toutes les deux et filèrent au-dessus de la cime des arbres. Le vent sifflant à ses oreilles, ses entraînements passés lui avaient appris à distinguer les sons qui pourraient détonner avec l’environnement qu’elle s’attendait à parcourir. Jetant un œil en arrière pour confirmer ses soupçons, elle aperçut deux silhouettes, non loin derrière elles. « Gin’ ! Derrière ! » Elle ralentissait maintenant en reconnaissant les deux personnes qui s’approchaient : Neville et Luna. Si elle ne les connaissait pas assez, elle pourrait douter de leurs intentions, mais ces deux-là n’étaient pas du genre à les empêcher d’agir, ils préféraient plutôt les protéger de leurs propres bêtises.
Lorsqu’ils furent à leur hauteur, elle jeta un regard mêlant bienveillance et reproche à Luna. « Tu ne devrais pas être là Lou. » Elle ne lui en voulait pas, au contraire ; mais elle se souciait de sa santé. « Moins de bavardages et plus d’action, » entendit-elle de la bouche du plus âgé d’entre eux. Se détournant, elle jeta un coup d’œil vers Ginny, cherchant une sorte d’approbation, puis baissa les yeux sur leur destination, prête à repartir. |
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HERO • we saved the world Luna Lovegood ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10416
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| Clairvoyance aidante, elle avait devancé Neville au pied des escaliers de l'école. Elle ne l'aurait pas laissé partir seul pour cette mission inopinée, dont le but était clairement d'empêcher Ginny et Emily de désobéir au Conseil. Nul besoin d'être savant ou même voyant pour comprendre que la disparition simultanée des deux sorcières n'était pas due au hasard. « C'est une aberration. — Ne l'écoute pas, Daisy. Tu es la plus belle chose qui soit ici. — Ton Thestral, et toi dessus d'ailleurs, c'est une très mauvaise idée, Luna. Pas une aberration. » Brusquement, d'un même mouvement, les deux sorciers s'abaissent : Luna aussi près de sa monture que sa condition le lui permettait et Neville contre le flanc de cette dernière, flottant à plus d'un mètre du sol, la longue cape noire de la jeune femme par-dessus la bête pour seul leurre. Au loin, la paire de sentinelles passe sans leur prêter attention. « On y va. » Sans attendre, Neville redonne un léger coup de talon sur le sol pour s'élancer, rapidement et silencieusement, dans la nuit. Le seul point positif, c'est qu'il avait cessé de marmonner ses railleries, diverses et variées, à l'égard des deux fugueuses. D'une caresse, Lovegood ordonne à Daisy de le suivre, ferme les yeux tandis que l'animal les transporte à sa suite. Elle se donne ainsi du temps pour se remettre les idées en place, pour écarter les désagréables et pernicieuses sensations qui l'envahissent de plus en plus.
Elle parait pourtant sereine, Luna, une fois qu'ils eurent rattrapé les deux rebelles. « Tu ne devrais pas être là Lou. » La blonde entrouvre les lèvres pour la rassurer mais le ton sec et cassant de Neville la prend de court. « Moins de bavardages et plus d’action. » Le regard céruléen de la cavalière se pose alors sur Ginny, échange avec elle des paroles qui n'ont nul besoin d'être prononcées pour exister (il aurait préféré que tu viennes le trouver), avant de donner un léger coup de talon dans les côtes du Thestral. « Je te suis, Emily. Daisy n'aime pas rester sur place. » La blonde jette un regard aux alentours, s'assurant de l'absence de nouvelles sentinelles, avant de reprendre sa chevauchée, laissant le soin à Ginny et Neville de fermer la marche. Ils ont besoin de s'expliquer ; c'est ce qu'elle se dit tandis que ses paupières s'abaissent à nouveau. Elle ne les rouvre que dix minutes plus tard, lorsque le Thestral s'ébroue en plein vol. La Forêt Interdite a ce don de vous faire frissonner dés son orée et pourtant, ici plus qu'ailleurs, l'animal est angoissé. Coup d’œil vers Emily, puis sur Ginny et Neville, qui les talonnent toujours ; elle ne le sait pas mais Luna affirme : « On y est presque. » Au loin, un paysage argenté se profilait. Luna trouve les toiles d'Acromentule magnifiques. |
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HERO • we saved the world Ginevra Weasley | Neville est muré dans le silence et elle manoeuvre son balai de façon à se rapprocher de lui, frôlant sa jambe de la sienne, butant légèrement son épaule pour forcer son attention. « Tu serais parti sans moi si tu avais pu me stopper. » L'affirmation flotte un instant entre eux et malgré ses lèvres un peu pincées par la frustration il hausse vaguement les épaules et esquisse un sourire piteux, parce que c'est un fait. Ce n'est pas un rejet, seulement une tentative maladroite de s'épargner les uns les autres, même si — « Je suis contente que vous soyez là. » « Tant mieux, vu qu'on ne te laisse pas le choix. » « Évidemment. » Ils échangent un bref sourire avant de retourner leur attention sur l'enjeu de cette escapade. Le vent siffle furieusement autour d'eux, compliquant les échanges, et puisqu'ils volent juste au-dessus des arbres pour éviter d'être repérés par les gaffes laissés derrière, les branches menacent sans cesse d'aggriper et de desarçonner le quatuor intrus ; mais l'avertissement de Luna leur parvient et la rouquine fronce les sourcils en évaluant la distance qu'il leur reste à parcourir.
Elle n'a jamais patrouillé dans ce secteur mais — « Hey, Em' » interpelle-t-elle en accélérant juste assez pour rejoindre le duo de tête. « Les flammes bleues là-bas, ce sont les repères qu'on a vus sur les cartes tout à l'heure non ? » Elle fait référence aux buissons ardents qui bordent la limite des protections du domaine ; invisibles et intangibles tant qu'on se trouve à l'intérieur, mais infranchissables une fois passé de l'autre côté des barrières. Sa mine s'assombrit lorsqu'elle avise les toiles comme tissées d'argent, perceptibles loin au-delà, à travers les arbres de plus en plus denses. « J'en déduis que le périple et le retour risquent d'être plus compliqués que prévu ? » Ils se stoppent à proximité de la limite supposée, le temps de corriger leur stratégie. « Y'aura probablement pas de mangemorts sur le territoire des Acromentules, mais autant rester prudent. » « Deux de nous peuvent élaborer des boucliers pour le groupe, pendant que les deux autres cherchent la bonne toile ? Je peux participer aux sorts défensifs. » Et à ceux d'attaques, si une menace trop virulente se manifeste. |
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HERO • we saved the world Emily Callaghan | Les nuits à cette hauteur étaient plutôt froides et la première partie de leur parcours à vitesse soutenue n’avait pas arrangé la sensation de froid qui la parcourait en cet instant. Rejetant cet inconfort au fond de ses pensées, elle resserra tout de même les pans de sa cape sur elle et fixa l’horizon, bien décidée à se repérer dans l’obscure forêt. « Je te suis, Emily. Daisy n'aime pas rester sur place. » Elle acquiesça, l’air un peu renfrognée. Elle s’était donné tant de mal pour éviter à Luna d’être surmenée ces derniers temps, et pourtant cette dernière était là, à braver les interdits avec eux. Comme au bon vieux temps ; ce furent les seules pensées qui la réconfortèrent. Donnant une légère poussée en avant à son balai, elle prit la tête du groupe, talonnée par Luna. Laissant rapidement son attention s’évader au rythme de cette liberté retrouvée, ce fut la petite voix chantante de sa comparse qui la ramena à la réalité. Reportant son regard vers les lueurs qui brillaient au loin, elle sut que Luna avait raison : ils seraient bientôt arrivés. Observant avec un peu plus de précision l’environnement qui les entourait, elle repéra les flammes bleues juste au moment où Ginny se posta à côté d’elle pour les lui faire remarquer. « Oui, ce sont bien ces repères. Ces mêmes repères qui marquent les limites des protections de Poudlard. Ces mêmes repères qui se trouvent bien avant notre destination. » Une grimace traversa son visage et elle se maudissait déjà de ne pas avoir vu le coup lui venir en pleine face. Qu’allaient-ils faire ?
Neville tenta de rassurer un peu les troupes, alors que Ginny suggéra une nouvelle stratégie, modelée pour une mission à quatre. Une expression perplexe était figée sur son visage. Elle n’était plus très sûre. Elle n’avait jamais reculé devant rien, mais là … Et si dehors elle était un danger pour les autres ? Et si elle venait à attaquer malencontreusement ses propres amis ? Balayant difficilement ces hypothèses, elle alla dans le sens de Ginny. « Je m’occupe des toiles ! Neville devrait s’occuper des protections avec toi Gin’. Lou’ ça te gêne pas d’être avec moi ? » Elle laissa son balai perdre un peu d’altitude, juste assez pour être dissimulée par des branches. Elle vérifia la position des Sentinelles et remonta à hauteur de ses compagnons. « La frontière passée, on devrait finir notre traversée à hauteur du sol. Bien qu’au-delà de la limite, je pense que le colonie d’Acromentules reste assez proche pour que les ennemis ne rôdent pas autour. En restant au-dessus des arbres, on risque d’être plus exposé. Il suffit qu’ils nous surveillent depuis les hauteurs et on est perdu. » Ne sachant pas vraiment si son plan était plus sécurisant que de survoler la cime des arbres, elle chercha une quelconque approbation.
- Spoiler:
gaaah trop long, sorry
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HERO • we saved the world Luna Lovegood ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10416
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| Le quatuor observait méticuleusement ce qui les attendait juste en-dessous. « Je m’occupe des toiles ! Neville devrait s’occuper des protections avec toi Gin’. Lou’ ça te gêne pas d’être avec moi ? » Elle ne sait pas pourquoi elle pense à Erlkönig, à cet instant, mais elle y pense. Le regard vide, elle acquiesce en direction d'Emily, acceptant avec un soulagement certain l'inspection des toiles. Le Thestral, qui bat régulièrement des ailes pour maintenir sa cavalière à la même hauteur que les balais, se met subitement à encercler les trois autres sorciers. Peut-être essaie-t-elle de leur faire comprendre quelque chose, peut-être pas : toujours est-il que Luna ne s'arrête plus de passer sa paume le long de son encolure pour l'apaiser. Callie fond au-travers de la cime et, tout en ressassant les paroles de Ginny et Neville, Lovegood a l'impression de voir un plumage émeraude être entaché par la rouille. Elle ne sait pas pourquoi elle pense à Erlk' mais elle y pense. Inspirant une grande bouffée d'air frais, Luna regarde tour à tour Emily, Ginny et Neville avant de reporter ses deux grands yeux bleus sur la pleine lune. Un sourire amusé gracie subitement ses lèvres tandis qu'elle extrait de sous sa cape sa baguette en bois de sorbier, resserrant bien vite les pans sombres autour de ses hanches pour protéger l'arrondi de son ventre du froid ambiant. Elle donne en même temps un nouveau coup de talon dans les flancs du Thestral pour être complètement face à la barrière magique. « Portoloins à destination des campements alliés pour le retour ? » propose-t-elle de sa voix éthérée lorsque les trois sorciers sur balais se positionnent près d'elle. Il n'y avait plus grand chose à dire. Ils allaient vraiment sortir des protections rassurantes de Poudlard. Peut-être était-ce parce qu'ils avaient tous été Rebuts ou prisonniers par le passé ; peut-être parce qu'ils avaient tous espéré, au moins une fois, qu'on vienne les chercher, qu'on ne les abandonne pas, qu'ils bravaient l'interdit ensemble. Pour retrouver deux sorciers portés disparus. Peut-être allaient-ils désobéir mais ils savaient que c'était ce qu'il y avait de plus juste à faire. Elle tapote trois fois le flanc de Daisy, retient son souffle, et ne le reprend qu'au moment où le Thestral traverse la barrière magique pour plonger au-travers de la canopée de la Forêt Interdite.
Cavalière et monture gagnent les troncs d'arbres immenses au sol en quelques battements d'ailes seulement. Ses mains se crispent autour des rênes de fortune nouées autour du Thestral tandis qu'elle se focalise sur la destination à atteindre : les toiles d'Acromentules situées à plusieurs centaines de mètres de là. L'avancée est beaucoup plus chaotique qu'au-dessus des cimes mais le quatuor parvient à manœuvrer entre les troncs, les branches et les racines gigantesques, l'escadrille seulement ralentie lorsque l'animal sombre se pose à terre pour palier au manque d'espace rencontré dans les airs. Ce sont ces instants, lorsque le cheval ailé est au sol, qu'elle a l'impression qu'ils ne sont plus seuls dans cette partie de la Forêt. Ses lèvres se pincent avant de chercher Emily du regard. « S'ils sont ici, on les trouvera au cœur des toiles. » Leurs recherches doivent donc commencer par-là. Devant eux, les troncs des arbres centenaires commencent à offrir plus d'espace. Sous eux, des premiers pans filandreux parsèment le sol. Ils atteignent leur but : Ils viennent tout juste de pénétrer le territoire des Acromentules. |
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HERO • we saved the world Ginevra Weasley | Ginny acquiesce fermement à la suggestion d'Emily, voyant là leur seule option. Voler en hauteur leur assurerait d'attirer l'attention indésirable des créatures ailées tapies dans la forêt, des Acromentules, des mangemorts aux alentours — ce serait folie de s'y risquer. Sa main se resserre sur sa baguette avec détermination. Elle ne prend pas la peine de demander à quiconque d'être prudent, de faire de son mieux, de ne pas se faire blesser. Elle n'en prend pas la peine parce qu'elle sait pertinemment qu'ils sont faits pour ça : pour être coude à coude face au danger, incapables de rester les bras croisés quand d'autres sont en danger et surtout, incapable de s'abandonner les uns les autres. Si les positions avaient été inversées, elle n'aurait jamais accepté que l'un d'entre eux lui demande de rentrer au château en les laissant se charger du reste, pour sa sécurité. Alors elle se jure juste de tout donner d'elle-même pour qu'ils rentrent sains et sauf, pour ne pas se blâmer toute sa vie de les avoir conduits à leur perte. Elle se jure de ne laisser tomber aucun d'entre eux tant qu'elle aura encore la force de tenir debout.
Le sombral s'agite, attitude protectrice, allure inquiétante. ça lui rappelle les vieilles années, Poudlard, Sirius Black, et elle esquisse un sourire triste en tendant la main vers l'encolure de la créature, sans la toucher. Juste le temps d'approcher du trou révoltant qu'est son oreille, et de mettre tout son cœur à lui demander de bien prendre soin de Luna et du bébé. C'est stupide, mais elle a besoin de ça, besoin de se réconforter en s'assurant que son amie n'est pas flanquée d'un balai à manœuvrer mais d'une créature intelligente et agile. Et puis la rouquine s'éloigne, cherche le regard d'Emily pour déterminer la façon dont elles devraient se placer. Un mouvement de menton vers la gauche et la droite du quatuor, un non de la tête, un signe de main pour lui indiquer de prendre l'avant, qu'elle surveillera les arrières, et elles se positionnent, complices sans qu'un mot ne soit nécessaire.
Ils quittent la protection des barrières, fondent vers les sous-bois, à couvert. Entre les branches des arbres qui fouettent et s'étirent pour les agripper dans une étreinte mortelle, tout devient plus tangible : les risques, la mort qui rode sous toutes ses capes au détour du moindre tronc. C'est réel, il n'y a pas de demi-tour possible. Lorsque leur quatuor se pose enfin, Ginny fixe le balai en travers de son dos à l'aide de sorts, pour se libérer les mains. L'avancée est compliquée par le sol inégal, les racines et les souches d'arbres à peine visibles dans l'obscurité, la terre meuble, mais ils progressent, suivant sans le moindre doute les intuitions de Luna ; et tout au long, quelques sorts sont employés pour éloigner ou mettre hors d'état de nuire les indésirables rodant autour d'eux. « Vous voyez quelque chose ? » chuchote Ginny d'une voix tendue, espérant qu'ils aperçoivent la silhouette humaine dont a parlé Griffith. Mais il n'y a rien. Ils ne sont pas encore au bon endroit.
Des cliquetis sonores rompent le silence menaçant, juste avant que ne surgissent d'immenses pattes hérissées de poils, des paires de pinces noires et brillantes. Une créature, une seconde, puis trois autres encore — et un souvenir fait brusquement surface. « Laissons-les nous emmener », souffle précipitamment Ginny à ses comparses. C'est le moyen le plus sûr de s'aventurer au coeur de leur repère : s'ils déchainent dès maintenant les odieuses créatures, ils n'atteindront jamais les toiles.
Des pattes les saisissent, les soulèvent de terre. Les transportent à vive allure sur des kilomètres au long desquels les arbres se raréfient. C'est en atteignant une vaste fosse qu'ils ralentissent ; les monstres dévalent une pente escarpée, puis les relâchent sans douceur devant un dôme au centre de la fosse. Ginny atterrit à quatre patte, récupère prestement la baguette qu'elle avait glissée dans sa manche de peur de la perdre. Atour d'eux, d'autres acromentules afflues, extatiques. Et au-dessus d'eux, les pinces claquent plus bruyamment que jamais. « Mosag ! », distingue-t-elle. « Mosag ! Nous avons trouvé de la chair, de la chair humaine. » Et l'exclamation victorieuse fait jaillir de la pénombre une araignée plus immense encore. Une femelle. |
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HERO • we saved the world Emily Callaghan | A travers l’obscurité, elle cherche la sécurité. Celle que seuls ses amis peuvent lui fournir. Elle n’a pas peur. Pas de l’obscurité, pas de l’extérieur, pas des Acromentules ou des Mangemorts. Elle se dit qu’ils ont tous vu pire, qu’ils ont déjà tous vu la mort s’accrocher à eux. Leur passé est leur moteur. Ils ont tant à perdre et si peu à gagner, et pourtant gagner leur ferait le plus grand bien. C’était l’espoir. Après la mort d’Harry, l’espoir était ce qui lui permettait de garder la tête hors de l’eau. Parce que même au-delà des protections de Poudlard, elle savait que des personnes continuaient à mourir … Ce sentiment lui était insupportable. Ils devraient pouvoir être sauvés, avoir une chance d’être sauvés. C’était pour cela qu’ils étaient là ce soir, c’était pour cela qu’ils bravaient les interdits. Alors elle lève les yeux une dernière fois vers Ginny avant de quitter le cocon dans lequel ils étaient tous enfermés, protégés, dorlotés. Elles se partagent les tâches, l’espace, les déplacements. Des gestes, des regards, elles pouvaient tout se dire ainsi. Elle s’aligne à l’avant et sans ralentir, elle passe la barrière et plonge vers le sol. Une main serrée sur sa baguette et l’autre sur le manche de son balai, elle est aux aguets. Elle jette un coup d’œil à droite, puis à gauche et finit par se poser sur la terre ferme. Ils avancent, lentement. Elle se prend les pieds dans les racines, se retient aux troncs, use de son agilité pour se déplacer plus aisément. Elle entend la voix de Luna suggérer que ce qu’ils venaient chercher se trouve au cœur des toiles. Emily acquiesce, convaincue que les prisonniers devaient sûrement être hautement surveillés.
Alors ils continuent à avancer. Elle observe, écoute, sa baguette pointée parfois ici, parfois là. Elle jette des regards insistants vers Luna, parce qu’elle a peur pour le bébé, parce qu’elle a peur pour son amie. Et puis des bruits étouffés parvinrent à ses oreilles. Elle lève le bras pour arrêter le groupe. Les sons s’intensifient et les premières silhouettes sombres et imposantes apparaissent. Elle se fige, retient sa respiration alors que Ginny leur dit de se laisser emmener. Elle sait que son amie a raison, mais elle a du mal à se faire à l’idée que ces Acromentules referment leurs crochets sur elle. Elle regarde autour, les arbres et les toiles tissées, pour éviter d’être gagnée par la fébrilité. Lorsqu’ils s’arrêtent enfin, elle est lourdement lâchée sur le sol. Ses mains sont écorchées mais la vive douleur s’efface au profit de l’appréhension. Les enfants aranéides appellent leur mère. Emily lève alors les yeux sur la répugnante bête qui venait d’apparaître. Impassible, elle se relève, serre les doigts autour de sa baguette baissée et tente de parler plus fort que les cris de joie des jeunes Acromentules. « Nous ne sommes pas venus vous faire du mal. » Mosag intime à ses enfants de se faire. « Nous ne sommes pas venus pour devenir vos proies. » Un frisson parcourt son corps et elle prend une profonde inspiration avant de recommencer. « Je … Certains de nos amis ont été fait prisonniers et … » Des pinces se referment tout près de son oreille et dans un sursaut, elle trébuche et tombe par terre. Se redressant avec assurance, elle cherche de l’aide auprès de ses camarades. Le regard doux de Luna croisant le sien, elle l’incite à poursuivre. |
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HERO • we saved the world Luna Lovegood ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10416
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| « Laissons-les nous emmener. » Ses pieds sont les derniers à atteindre le sol, le Thestral lâchant un hennissement sinistre en direction des Acromentules lorsque leurs pinces menaçantes s'approchent de trop près de sa cavalière. Avec fermeté, Luna la repousse, les deux paumes sûres, et de son regard, électrique, elle lui jette un ordre inaudible. Daisy recule, s’exécute, ses sabots frappants la terre meuble, les racines, les troncs, dangereusement lorsque les bêtes velues l'approchent de trop près, et ne disparaît dans les branchages denses qu'une fois Lovegood emportée par l'Accromentule voisine à celle de l'humain mâle, en un battement de cil. Si elle doit réajuster sa position de nombreuses fois pour ne pas être déséquilibrée par son précieux chargement, Luna semble être la seule des quatre sorciers à apprécier son transport sur Acromentule : elle est même surprise lorsque la course des arachnides s'arrête brusquement devant un dôme étrange, ignorante de la pente ardue qu'ils viennent de dévaler maladroitement. Près d'elle, Neville empoigne sa baguette en même temps que Ginny et lui touche l'épaule. Est-ce que ça va ? peut-elle lire dans ses yeux et plutôt que de lui répondre, Luna relève la tête vers 'son' Acromentule. « Merci beaucoup. » L'une des pinces claque au-dessus de sa tête pour la faire taire mais là où Neville est suspicieux, Luna reste calme. Elle se souvient d'un soir où, des mois auparavant, il lui avait parlé des Acromentules : elle sait que ces arachnides ne font jamais rien sans leur chef de famille. « Mosag ! » Longbottom aide Luna à se relever tandis que les deux autres sorcières font de même, baguettes déjà en main.
Luna écoute Emily mais son regard ne se détache pas de l'Acromentule qui vient d'apparaître. Énorme, imposante, écoutée : d'un simple mouvement, elle vient de freiner l'ardeur des arachnides affamées. « Je … Certains de nos amis ont été fait prisonniers et … » C'est cette Acromentule-là qu'il faut craindre plus que les autres. Elle jette pourtant un regard inquiet vers Callie lorsque du coin de l'oeil, elle l'aperçoit tomber puis se relever, demander de l'aide. « Vous êtes loin de vos toiles en pierres, humains. Vous n'avez pas le droit de parler. » Le visage de Lovegood se ferme et ce n'est qu'à ce moment qu'elle raffermie sa prise autour du bois de sorbier. « Nous prenons soin des nôtres, Mosag. : nous partons à leur recherche lorsqu'ils ne reviennent pas dans nos nids. — Le semi-géant nous a dit tout ça, il y a bien longtemps. Lui nous a aussi raconté la façon dont vous vous mangiez entre vous. Mais nous, nous prenons vraiment soin des nôtres... » Les Acromentules claquent de nouveau férocement leurs pinces, en rythme, donnant plus de force aux propos de la femelle. « ... et bien mieux que vous. Nous ne nous faisons pas de mal les uns les autres. Nous nous protégeons bien, nous le protégeons bien, de vous ! » Mosag s'approche du quatuor, fait jouer ses crochets à moins de deux mètres de Luna. Il, le, lui. Le regard de Luna observe les pattes velues de l'Acromentule, distingue le dôme juste derrière l'araignée à mesure que celle-ci s'agite, fait jouer ses pince et parade devant les quatre sorciers pour leur montrer qui détenait le pouvoir sur ce territoire. Il y avait quelqu'un là-dessous.
« Mes enfants ont faim. — Nous ne sommes pas vraiment comestibles. — Toi, peut-être pas pour l'instant mais les autres, si. Et toi bientôt, bientôt, tu le seras. » Il, le, lui. Quigley ou Whitehorn était bien sous le dôme. « Et après? Qu'allez-vous faire une fois que vous nous aurez tous dévorés? Vous connaîtrez la faim, encore et encore. » L'air devient de plus en plus pesant, Mosag enfonce deux de ses pattes dans le sol ; elle rage, Luna peut voir qu'elle rage parce que ses mandibules ne s'arrêtent plus de se cogner entre elles et un liquide écumer de ces dernières. Elle sent Neville se crisper près d'elle lorsqu'elle suggère qu'ils se fassent tout simplement bouffer par la horde d'araignées géantes. « Mais si vous nous laissez récupérer notre ami, nous aurons plus de bras pour venir vous nourrir régulièrement. Nous reviendrons, je vous le jure. Nous avons juste besoin que... — JAMAIS!, hurle-t-elle et Luna a l'impression que ses tympans vont exploser lorsque s'ajoute au cri de Mosag les récriminations des autres arachnides. Jamais nous ne laisserons partir Hagrid! Il est des nôtres! Nous le protégerons toujours de votre race dégoûtante! Et vous, vous ne partirez jamais d'ici! », l'accord est lancé : les acromentules peuvent désormais attaquer. Et si son cœur manque d'un battement lorsqu'elle s'accroupit à terre pour éviter le premier coup porté par Mosag (Il, le lui, le semi-géant : Hagrid est en vie. C'est Hagrid sous le dôme), ses deux grands yeux s'écarquillent vers Ginny et Emily et l'Acromentule qui s'apprête à les frapper. « Stupéfix ! » La première bête s'écroule, Luna et Neville rejoignent les deux jeunes femmes, les quatre sorciers dos à dos pour réduire les zones d'attaque des Acromentules. « Vers le dôme donc? » |
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