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sujet; › on a parfois l'coeur soulevé par la sauvagerie du monde.

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Naïs Goldstein
feat shailene woodley • crédits

• nom complet ; naïs. elle n'a jamais réellement su d'où il vient, peut-être bien de l'imagination débordante de cette mère oubliée. diminutif d'anaïs ou d'athénaïs, peut-être. goldstein, c'est son nom de famille. un truc sans valeur, sans importance. un truc moldu, qui lui vaut sûrement tous ses malheurs.

• surnom(s) ; naïs, c'est trop court pour être raccourci davantage encore. elle n'a pas de surnoms, cela lui importe peu.

• naissance ; née près de glasgow, en écosse, naïs est donc d'origine écossaise et y a passé toute son enfance. elle est née le quatorze mars, d'une matinée pluvieuse, triste, amère, il y a vingt ans.

• ascendance ; née-moldu, c'est un crime de la société, elle le sait. la voleuse de pouvoirs, comme on l'appelle parfois. c'est la première de sa famille, et parfois, elle est bien triste que ce soit tombé sur elle.

• camp ; naïs n'a pas de camp. ni pour ou contre voldemort, il est cependant clair qu'elle n'est pas en accord avec le gouvernement actuel. elle le déteste, même. elle, tout ce qu'elle désire, c'est que tout revienne à la normal, que tout redevienne comme avant.

• métier ; elle ne travaille pas. ou du moins, elle n'a pas de métier. naïs est en bas de l'échelle sociale, elle n'est que l'accessoire d'une riche mangemort. en tant que rebut, elle a presque tout perdu. son âme, sa raison, son caractère d'antan. le paradoxe de sa nouvelle personne a pris le dessus comme son maître a pris le dessus sur son indépendance.

• réputation ; on entend parler un peu d'elle, parfois. on parle de la jolie rebute aux cheveux courts, au charme impressionnant, à l'allure presque mondaine. on parle de cette chance qu'on lui invente. elle est maquillée, bien habillée, joliment coiffée, grâce à son maître. on complimente l'accessoire. mais elle n'est qu'une rebute, après tout. une vilaine, de la vermine.

• état civil ; célibataire, depuis bien longtemps déjà. évidement, elle ne l'a pas toujours été, mais les temps sont trop durs pour laisser une place, même infime, à l'amour, cette faiblesse. il ne lui faut aucune attache. ce serait bien trop dur.

• rang social ; rebut.

• particularité(s) ; aucune.

• patronus ; une hirondelle. c'est mignon, une hirondelle, ça hypnotise quand on l'observe voler, libre, dans les airs. mais c'est carrément inoffensif, une hirondelle.

• épouvantard ; ils sont des dizaines, des centaines. ils avancent à pas lents. ou plutôt, ils volent, en lévitation à quelques centimètres du sol. vêtus de longues capes grises, presque noires, on ne voit ni leur pieds, ni aucune parcelle de leur corps, et leurs visages sont inexistants, remplacés par des tornades bruyantes et épouvantables. des fantômes, des faucheuses ? naïs n'en a aucune idée. elle ne connait pas leur signification. mais ça la terrorise.

• risèd ; retrouver une vie normale, naturellement. elle se voit entourée de ses deux parents, alors partis à l'autre bout du monde, l'abandonnant aux mains de ces sang-purs ingrats, tenant à la main son diplôme, témoignage d'une réussite scolaire inexistante en réalité. tout va pour le mieux. elle est belle, davantage encore que son maître la trouve belle. et elle a le sourire aux lèvres, comme d'habitude. seulement, cette fois-ci, elle est heureuse. elle ne se cache pas.

• animaux ; aucun.

• baguette ; elle l'a perdue en perdant son indépendance.

• miroir à double sens; ///.

• ENSLAVED •
Perso inventé

The stars have faded away

► Avis sur la situation actuelle : Naturellement, en tant que rebute, Naïs est tout, sauf en accord avec la politique du gouvernement actuel. Si elle ne se plaint pas, ne se révolte pas, ne cherche pas à fuir par tous les moyens la demeure de son maître, au fond, elle bouillonne. Elle ne rêve que d'une chose ; se venger de tout le mal qu'on lui fait. La guerre a éveillé qu'une partie d'elle qu'elle ne se connaissait pas ; un égoïsme tragique. Elle n'est plus la Naïs qu'elle était avant. En lui volant sa liberté, on lui avait volé sa joie de vivre, son enthousiasme, sa sympathie habituelle. Elle se l'était promis ; elle allait s'endurcir, changer, devenir une autre femme. Et elle allait se battre.

► Infos en vrac : Naïs, l'indescriptible arrogante au grand cœur. Naïs, la rebelle insoupçonnée au sourire angélique. Naïs, la rebute soumise, insoumise, discrète, indiscrète. Naïs, c'est un paradoxe à elle seule. Rares sont ceux qui, désormais, réussissent à la cerner, car elle fait en sorte d'être indomptable, de son plein gré. Elle n'accepte pas son rang de rebute, esclave de la société, martyre de ces bourreaux attentionnés. Et pourtant, elle est bien la plus obéissante, la plus aimable, la plus idiote des rebutes. Elle écoute, elle se tait, elle fait ce qu'on lui demande, toujours avec cette pointe d'arrogance, d'insolence qui lui est propre, trop faible pour qu'on puisse lui reprocher. Il y a deux Naïs. L'ancienne, et la nouvelle. La Naïs actuelle a un peu de l'ancienne, un peu de la nouvelle. Comme entre deux mondes. Elle ne se trouve pas, parce qu'elle ne se cherche pas. De toute façon, privée de toute liberté, de toute indépendance, de toute identité, elle n'est plus rien, alors à quoi bon essayer d'être quelqu'un. Avant, elle était cette fille cool que beaucoup apprécient pour sa sympathie, sa joie de vivre, son sourire éclatant et son dynamisme caractériel. Elle était ce genre de fille mauvaise à l'école, douée en heures de colle. Elle était ce genre de fille redoublante parce que pas assez travailleuse, faible parce qu'un peu trop douce et attentionnée. Elle était ce genre de filles qu'elle s'est jurée de ne plus jamais être. La nouvelle Naïs est stratège. Elle réfléchit, même si c'est compliqué, même si les conditions ne lui sont pas favorables, même si elle a été réduite en esclavage. La nouvelle Naïs se bat, va jusqu'au bout, discrètement, sournoisement. La nouvelle Naïs se cache derrière des allures de battante, s'invente un courage, parce qu'elle est terrorisée. Naïs a peur, elle n'a jamais eu aussi peur. De son maître, de la douleur, de la mort. La scolarité de Naïs a été des plus mouvementées. En effet, la jeune fille n'a jamais été une très bonne élève. Répartie à Poufsouffle en première année, elle n'a cependant jamais honoré le côté travailleur des blaireaux, mais plutôt la loyauté. Enchainant les mauvaises notes, c'est sans grande surprise qu'elle s'est vue refuser le passage en sixième année après avoir obtenu un score trop faible aux examens de cinquième année. Puis, parce que la chance et le sort ne lui ont jamais été réellement favorables, elle passe les trois quarts de sa sixième année à Ste Mangouste, suite à un grave accident de potions qui manque de lui faire perdre totalement son audition. Alors, découragée, abattue par le système scolaire sorcier, elle décide de ne pas se rendre à Poudlard pour sa septième année, et termine sa scolarité sans même passer ses ASPICs. Elle est égoïste, individualiste, rancunière, depuis que ce Mangemort est venu la chercher chez elle, en Ecosse, l'emportant à la prison sorcière, lui cassant une côte par la même occasion suite à des signes de rébellion. Elle en veut à la Terre entière, et elle se cache derrière cette haine pour ne pas exploser. Elle sait que ce n'est pas le bon moment, qu'elle n'est pas dans une bonne position pour attaquer. Désormais, Naïs n'est plus cette enfant qu'elle était avant, qui lui plaisait d'être. Elle s'est vue grandir, murir, d'un seul coup, en devenant rebute et esclave. Elle n'est pas si mal traitée que ça, chez les Warwick, c'est vrai. Mais elle est une rebute, et c'est bien trop injuste pour ne pas être révoltée. "Regardez-là, la vilaine jolie rebut aux cheveux courts, là-bas. Elle a de la chance d'avoir un maître qui la fait maquiller, coiffer, joliment habiller. Elle est originale. Mais c'est une rebut, hein. C'est dla vermine." C'est ce qu'elle entend, ce que les gens disent d'elle. Elle est jolie, lavée, coiffée, habillée, maquillée. Ses maîtres la veulent différente, elle représente la place qu'ils veulent avoir dans cette drôle de société ; la richesse, le sommet. Ils lui ont coupé les cheveux pour lui donner un style. Ils la tartinent de couleurs et de correcteur sur le visage pour masquer toutes ses imperfections. Ils font appel à de réels stylistes pour la rendre présentable, un peu. "Tais-toi et sois belle." Aucun autre état d'esprit ne serait accepter.


Nothing compares to you

• pseudo & âge ; on m'connait sous le pseudo de vieux frères, et j'ai quinze ans :siffle: . • comment as-tu trouvé le forum ? bazzart is my friend hehe . • ton avis, tes suggestions ; j'aime beaucoup ce contexte sombre, c'est inspirant. • connexion ; assez peu souvent, malheureusement... enfin, c'est les vacances, donc pour l'instant pas de soucis I love you je ferais de mon mieux quand le lycée reprendra gaah  • quelque chose à ajouter ? harcelez moi de mps par pitié. gaah

• coup de main pour le bottin ;

2. Si ton personnage est un inventé ;
CÉLÉBRITÉ (en majuscules) ; prénom nom (en minuscules)
Code:
▋ <a href="http://lienverstonprofil">▋</a> <pris>CÉLÉBRITÉ ;</pris> prénom nom


Dernière édition par Naïs Goldstein le Lun 20 Oct 2014 - 10:08, édité 9 fois
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Here comes the hurricane


――――――-―• one day baby we'll be old •――――-―――
Poudlard. Le travail, les cours, les professeurs, le directeur, les salles de classe, les devoirs à rendre, les contrôles, les -mauvaises- notes, les heures de retenu. Et en quelques mots, on pouvait aisément résumer le quotidien de Naïs au sein du château. Assise sur sa chaise de bois, les yeux rivés sur un texte qu’elle ne lisait pas, elle s’ennuyait profondément. L’irrésistible envie de retrouver immédiatement son confortable lit, son meilleur ami, traversait son esprit, et ses paupières étaient lourdes, trop lourdes. L‘histoire de la magie. Autrement dit, le cours le plus inutile de toutes les matières existantes dans l’histoire de l’école, le prof le plus barbant de toute l’histoire enseignante. Oh, comme Naïs détestait les cours d’histoire de la magie. Comme beaucoup d’autres enseignements, d’ailleurs. La jeune Goldstein n’avait jamais été une élève très scolaire, au contraire. Ennemie jurée de l’autorité, meilleure amie des bavards de la classe, rares étaient les cours qui l’intéressaient, et les devoirs qu’elle rendait en les ayant fait de manière sérieuse. Les notes lui importaient peu. Rien ne l’intéressait. Une véritable catastrophe. « Mademoiselle Goldstein, réveillez-vous. » Elle releva le regard d’une manière nonchalante, ses pupilles croisèrent celles de Lola, son amie, et un sourire amusé se logea aux coins de ses lèvres. « Et en plus, cela vous amuse ? » Elle secoua la tête, le professeur haussa un sourcil. C’était toujours la même chose, toujours le même discours. Aucune originalité. « Je suppose que le devoir que je vais ramasser à la fin de l’heure est dans votre sac, n’est-ce pas, mademoiselle Goldstein ? » Les yeux agrandis pas la surprise, elle ne répondit pas tout suite. Le devoir. Quel devoir ? Elle avait certainement oublié qu’elle avait un parchemin à faire. Peut-être une punition, ou une leçon donnée la veille. « C’est bien ce que je me disais. Et bien, vous le ferez ce soir, en retenue, dans mon bureau. » Bouche-bée, elle tenta de contester. « Mais… » « Oui ? » Et elle baissa le regard, vaincue. Qu’est-ce qu’elle pouvait faire une mauvaise élève, alors. De toute façon, ce ne serait qu’un Troll de plus à sa collection, rien de bien dramatique.

L’innocence de l’enfance était révolue. Adieu les poupées, les coloriages et les jeux de société. Naïs avait grandi, Naïs était une jolie jeune fille, à présent, une véritable adolescente de quinze ans. Elle aimait les ragots entre filles, les après-midi shopping, les garçons. Plutôt appréciée au sein du château, ce n’était pas parce qu’elle était redoublante cette année qu’on la sous-estimait. Au contraire, on cherchait à l’aider, un peu, parce qu’on savait que l’école, ce n’était pas facile, pour elle. On la décrivait comme une fille « cool », sans prise de tête, qui avait le rire facile, qui n’en était pas pour autant une fille facile. On aimait passer du temps avec elle parce qu’elle avait cet enthousiasme constant, qu’elle était douce et attentionnée, un brin rebelle, un brin joueuse, que c’était plaisant. Elle était jolie, Naïs, également. Son charme ne laissait pas indifférent. Elle se maquillait, un peu, enjolivait son visage d’une pointe de mascara sur ses cils, d’une touche de rouge sur ses lèvres. Elle avait de jolies formes, un sourire radieux, une silhouette fine joliment dessinée. Naïs n’était plus une enfant, tout le monde l’avait bien compris, et Sam le premier. Sam, c’était le garçon énervant par sa franchise, par ses blagues pourries, par son côté séducteur qui faisait chavirer plus d’un cœur. Celui de Naïs, peut-être, un peu. Ils s’étaient rencontrés l’année dernière, alors qu’ils partageaient quelques heures de cours. Le gryffondor était grand, brun ténébreux, au regard foncé. Il était charmant, sûrement autant que le sorcier qui avait fait la couverture du Sorcier Hebdo du mois dernier, et que Naïs et ses amies avaient acheté sans hésiter en le voyant. Il s’intéressait à elle, ou du moins, elle osait l’espérer, quand elle croisait son regard et qu’il lui adressait des sourires, qu’il la serrait dans ses bras ou qu’ils partageaient des moments complices. Naïs n’avait jamais été amoureuse. Peut-être que c’était le moment. Il y avait une fête, ce soir-là, organisée par Sam et ses amis. Naïs y était conviée, naturellement. Elle voulait être belle, aujourd’hui, la plus belle, si elle le pouvait. Alors, elle avait bouclé ses cheveux, les laissant retomber en cascade dans le creux de ses reins, elle avait enfilé une magnifique robe aux couleurs printanières, des ballerines discrètes. Pas trop de rouge à lèvre, parce que c’était vulgaire, un petit peu plus de fard à joue, parce que c’était mignon. « Tu… es magnifique. » Avait déclaré Sam en la voyant, quelques instants plus tard, accompagné de sa bande d’amis habituelle. Puis, plus tard, il l’avait pris par la main, comme elle en avait souvent rêvé, et il l’avait emmené, loin, sous les étoiles, dans le parc du château. Pour une fois, elle était heureuse d’être là, à Poudlard, la nuit, avec Sam. Elle était heureuse comme elle ne l’avait jamais été, et elle souriait comme elle n’avait jamais autant souri. Premier véritable amour.

Elle n’en pouvait plus d’être enfermée dans cette chambre d’hôpital qui la rendait maussade, méchante, insupportable. Sa mère lui rendait visite, parfois. Ses amis aussi. Mais quotidiennement, seule son infirmière attitrée discutait avec elle. Déjà trois mois qu’elle était enfermée à Ste Mangouste suite à cet horrible accident de potions et elle ne rêvait que d’une seule chose ; partir, rentrer chez elle, voir même à Poudlard, si elle le pouvait. Naïs était définitivement dégoutée de l’école. Après avoir redoublé sa cinquième année, voilà qu’à cause d’une maudite heure de cours dans les sous-sol du château, elle se retrouvait clouée à son lit de malade pour les trois quarts de l’année. Elle n’avait vraiment pas de chance, et pire encore, le sort semblait s’acharner sur elle. On toqua à la porte, Naïs invita la personne à entrer, et fut surprise de découvrir Khloé. Un sourire s’afficha sur ses lèvres. La jolie blonde vint l’embrasser, lui demanda comment elle allait. « J’en peux plus d’être ici. Vous me manquez tous ! » Son amie la couvrit d’un regard compatissant, et elles passèrent un peu de temps ensemble. A discuter de tout, de rien. Parce qu’à l’époque, tout allait bien.


――――――-―• the girl on fire •――――-―――
Tous les regards étaient braqués sur elle alors que ses yeux, humides, fixaient l'horizon. Elle avait envie de pleurer, d'exploser, de s’effondrer en sanglots sur le sol. Mais elle ne pouvait pas, ils lui interdisaient le moindre mouvement avant que quelqu'un ait décidé de la prendre, de la récupérer, de l'acheter. Depuis que ce Lysander Selwyn, ce misérable, était venu la chercher chez elle, en Ecosse, sa vie n'était plus que malheur. Elle s'y était attendue, un peu, elle savait qu'on la capturerait. Ç’a avait été douloureux, et elle s'était vainement rebellée, comme une débutante, comme une sorcière de bas niveau. Il avait casser sa baguette, et sa dernière côte. Elle avait passé des mois enfermée, seule au monde, privée de tout, sous-nourrie, maltraitée. Elle avait passé les pires mois de toutes sa vie. Alors, on lui avait proposé les enchères. Devenir une rebute, l'esclave de riches sorciers qui la désireraient comme accessoire. Elle avait accepter, une autre parole en l'air, qui n'avait plus de valeur, plus d'importance désormais. Elle était un ange déchue, une nouvelle Naïs, qui n'avait plus rien, qui ne cherchait même plus à devenir quelqu'un. Elle était une bête féroce qu'on tenait en cage, on la privait de son oxygène. Égoïste, individualiste, rancunière on la rendait. Et voilà où la guerre l'avait menée, comme tous les autres sorciers de son statut. Les nés-moldu. Des incapables, et pire encore, des criminels, comme la société les appelait. Voilà où la guerre l'avait menée. « Naïs Goldstein, née-moldu, ancienne Poufsouffle n'ayant jamais atteint la fin de sa scolarité après un redoublement et une année presque entièrement passée à Ste Mangouste. » Elle n'écouta pas plus longtemps, retint ses larmes encore un peu. Elle n'avait aucune valeur, après tout, elle n'était personne. Qui voudrait bien d'elle ? Quel autre idiot balancerait une somme sans importance, qui briserait cet effroyable silence dans la salle ? Quel autre connard signerait le contrat pour la réduire en esclavage, tristement, injustement ? Ils étaient tous stupides, de toute façon. Elle valait bien mieux que ces idiots. Même enchainée. Alors, elle fut achetée. Par les parents de son ancienne amie, Khloé. Cela ne l'atteignait même pas, elle s'en foutait littéralement. Cette fille ne l'avait pas soutenu lorsqu'elle était en danger, lorsqu'elle était fugitive. Cette fille ne faisait plus partie de sa vie, n'était plus sa camarade. Ses parents l'avaient achetée, et c'était tout ce qui importait. Ce jour-là, Naïs changea radicalement. Elle passa de la bonne copine à la révoltée, de la fille sympathique à la fille égoïste. Elle ne serait plus jamais faible. Elle se le jura.


Dernière édition par Naïs Goldstein le Lun 20 Oct 2014 - 11:34, édité 3 fois
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MA-GNI-FIQUEUH demoiselle bave bave bave bave bave bave bed bed bed Je te souhaite la bienvenue ici et j'espère que tu vas te plaire ici leche Pour le propriétaire, tu cherches quel genre de lien, a priori ? Difficile (violent) ?
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t'es belle rougit et le nom aussi I love you
bienvenue potte
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BIENVENUE gaah je voulais te proposer un petit quelque chose avec mon DC, Clyde, mais je viens de me rendre compte que ça ne va pas coller. Enfin, peut-être que si, si je modifie deux trois détails hm juste par curiosité, elle a quel âge, Naïs ? yeux bon courage pour ta fiche, n'hésite pas à mpotter un membre du staff en cas de question jule
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dylan, jamie, holland, gosh, quel forum de bombes atomiques tbe adore
merci beaucoup à vous trois, et daphné, naïs a vingt ans. ce serait avec plaisir pour un lien avec ton clyde I love you
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La jolie Shailene iiih
A un an près, on était de la même année, il nous faudra un lien, même si vu la position de sang pur d'Astoria, ça sera pas très amical, mais plutôt froid et distant Arrow

Bienvenuuuuuuue et bon courage pour ta fiche pompom
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naïs, naïs, naïs ! bienvenue parmi nous, j'aime ton prénom ! cache
et shailene, très très bon choix, bonne rédaction de fichette ! minikr
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merci beaucoup vous deux, j'aime vos avatars I love you yeux
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je suis fan du prénom potte bienvenue sur le forum I love you grouh
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