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sujet; erase all the memories they will only bring us pain (haven) |
 | Haven Richard Dewsbury feat matt smith • spacemen
| ◄ | • nom complet ; tout d'abord il y a Havenam, prénom inventé par ses parents qui voulaient pour lui un prénom unique, là où s'entassaient des James et autres John. Quand à Richard et Jarvis, se sont les prénoms de ses deux grand-pères moldus. Puis Dewsbury, ce nom vient directement d'une ville d'Angleterre, près de Leeds à vrai dire, dans le Yorkshire. C'est le nom de son père, moldu, vivant toujours la tête en l'air et heureux de savoir son fils si spécial.
• surnom(s) ; Haven est déjà un diminutif employé par tous, peu de gens savent que son prénom est en réalité plus long que cela. Pendant sa scolarité il avait le droit à Havok, ou encore à Dew, à cause de son nom de famille. Il acceptait bien ces surnoms affectueux, qu'il n'a pas entendu depuis longtemps.
• naissance ; Un 15 mars à Holyhead, sur l'île de Anglesey.
• ascendance ; C'est bien cela qu'on lui reproche, il n'a pas la moins ascendace magique. Comme beaucoup de sorcier, c'est un né-moldu, de la vermine, du rebut bon a récurer les toilettes et à prendre des coups de fouets. C'est le seul avenir que lui réserve le magister à présent.
• camp ; en temps que rebut, on ne peut pas le croire un seul instant pro-magister et pour cause, il en est l'une des premières victimes. Son allégeance, hormis celle pour son maitre, est bien évidemment pour les insurgés et le ridicule espoir qu'ils peuvent représenter.
• métier ; avant la guerre, il travaillait chez le glacier Florian Fortârome sur le chemin de traverse. A son décès en 1996, il en était même devenu l'heureux propriétaire et en avait même changé l'enseigne. Sa glacerie était célèbre dans toute le monde sorcier anglais pour sa glace au lait de dragon et le fameux parfum earl grey et lavande qui faisait son succès. Aujourd'hui la boutique est détruite et personne n'a reprit sa place, ce qui lui fait étrangement plaisir.
• réputation ; Il avait la réputation d'être un excellent commerçant, n'hésitant pas sur la quantité de ses glaces et toujours près à donner un sourire à sa clientèle. Il était devenu l'heureux propriétaire du glacier sur le chemin de traverse et il n'était pas rare de voir les tables devant son établissement pleines de monde. Peu d'ennemis, un courage et une bravoure digne d'un gryffondor il n'était pas passé inaperçu au milieu de ses compères durant sa scolarité. Au début jugé trop maladroit, borné, un peu trop nul en magie pour être avec eux, il a fini par trouver sa place, à se faire des amis, sur qui il pense toujours pouvoir compter, même maintenant.
• état civil ; il est célibataire et n'a jamais réellement prit le temps de construire quelques choses de solide avec quelqu'un depuis sa sortie de Poudlard, trop absorbé par son travail peut-être, il n'a jamais réussi a faire durer une relation très longtemps. Maintenant il n'a pas a penser à ça.
• rang social ; Haven n'est rien de plus qu'un rebut, un misérable rebut, déchet de la société. Esclave, voué a faire la vaisselle et récurer les toilettes, punching-ball de choix pour la famille qui le possède.
• particularité(s) ; Hormis sa capacité a faire balancer une cuillère au bout de son nez, il n'en a pas vraiment, déjà satisfait de ses pouvoirs, de ne pas vivre dans l'ignorance comme le commun des mortels.
• patronus ; son patronus prend la forme d'un épagneul breton.
• épouvantard ;il n'a pas de peur irrationnelle, n'est plus assez proche de quelqu'un pour avoir peur de sa mort, n'a pas de famille comptant plus que cela pour lui. Sa peur n'est même pas la mort, n'est plus la mort, n'est plus rien. Il est incapable de savoir de quoi il a peur, peut-être de finir sa vie en rebut, de n'avoir jamais réussi à échapper à son maître. C'est peut-être ça, sa peur. Un reflet de lui, le temps marqué sur son visage pieds et poings liés, dans ses derniers instants de vie.
• risèd ; il prendrait également sa propre forme. Lui, libre, sans menotte, sans maître, portant toujours le tatouage qu'on lui a infligé avec fierté, pour signifier qu'il avait survécu.
• animaux ; Il possédait un chat autrefois. Il l'a suivit durant toute sa scolarité et sa vie d'adulte. A l'heure actuelle, il doit surement être mort, il est incapable de le savoir.
• baguette ; elle était composée de bois de vigne, mesurait un peu plus de vingt-six centimètres et contenait du ventricule de dragon. Difficile à magner et rigide, il a mit un temps fou à l'apprivoiser, des années pour qu'elle se laisse guider par lui. De leur relation fusionnelle, maintenant, ne reste que des morceaux de bois arrachés, sans plus aucun sens. .
• ENSLAVED • Inventé |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : En temps que rebut, il n'est absolument pas d'accord avec la politique en cours. L'injustice de sa situation et celle de tant d'autres l'exaspère, mais pieds et poings liés il ne peut rien faire. Rien, à part attendre sagement qu'on le libère de son sort. Si toutefois on lui demandait, il répondrait qu'il trouve ça juste, équitable. Que le magister est juste et qu'il est simplement un déchet, un moins que rien et qu'il l'accepte parfaitement. Tout ça pour éviter d'envenimer sa situation déjà précaire. Tout ça pour réussir à survivre un peu plus longtemps. Il croit en un avenir meilleur, en l'arrivé miraculeuse des insurgés pour le libérer de cette prison tout sauf couverte d'or. ► Infos en vrac :Durant toute sa scolarité il s'est contenté d'avoir la moyenne, jamais vraiment au-dessus et jamais en dessous. Avoir de bon résultats n'a jamais été son objectif, simplement désireux d'avoir sa liberté à la fin de sa scolarité. Il était toutefois très bon en botanique, puisque cette matière ne demandait pas trop l'usage de la magie. • il remet constamment ses cheveux en place, désireux de paraître toujours impeccable, du moins autant que possible vu son statut. C'est encore une des rares choses que l'on ne lui a pas retiré. • il s'attache à la perspective d'un avenir meilleur. Son optimisme et son courage l'aident à tenir en général, sans craquer, pleurer. Il a toujours espoir d'être de nouveau libre et y tient plus que tout. • Haven est incapable de garder quelqu'un avec lui plus de quelques mois. Trop tête en l'air, trop frivole, passionné par son travail, occupé par ses livres et la culture moldue qu'il suit avec attention. Il avait très peu de place pour quelqu'un dans sa vie, hormis son chat dont il grattait la tête tout en lisant. • comme tout rebut, Haven porte un tatouage magique qui lui a été gravé dans la peau suite à sa vente. Son maître a choisi d'exhiber sur lui le symbole du ministère lui-même, gravé sur le côté gauche de son cou il en couvre plus de la moitié et a été un véritable supplice à placer, évidemment. Le tatouage gigantesque laisse alors s'inscrire dans sa peau la baguette et le M si massif que le haut de la lettre remonte jusqu'à son oreille. Indélébile, il affiche sa condition à la vue de tous, pour toujours. Depuis son achat, Haven a quelques cicatrises en plus de celles causées par ses mésaventures à l'école Poudlard. Assez petites, on ne notera au premier regard que celle sur son avant bras droit et celle sur sa joue, du même côté. Les autres, résultats des expériences de son maître, sont plus dures à repérer directement. • Il parait qu'on a fait de lui un exemple, puisqu'il était si souriant, si gentil, si aimé de tous. C'était la parfaite victime pour une arrestation en plein jour, en plein chemin de traverse. Ca leur a fait comprendre que les choses changeaient et à lui, ça lui a fait comprendre que ce n'est pas les sorciers neutres, qui auront pitié de lui. • Il a deux bracelets autour des poignets, bandelettes de cuir savamment tissés. Si de prime abord ils sont tout à fait ordinaires, ce sont en réalité des liens ensorcelés qui en un claquement de doigt se nouent ensemble et joignent ses mains, l'empêchant fermement de les déplacer individuellement. Si il continue à gesticuler le lien se tissera le long de ses bras jusqu'à arriver à ses épaules, l'immobilisant totalement. • le gout qu'il préfère, c'est celui de la pomme verte. En bonbon, en dentifrice, en glace, il ne jure que par la pomme verte et avait même créé le parfum de glace ultime pour lui, pomme verte, whisky pur malt et sucre pétillant. Nothing compares to you • pseudo & âge ; batteryfox also known as audrey, j'ai 20 ans. • comment as-tu trouvé le forum ? par Desdemona et PRD par défaut du coup. • ton avis, tes suggestions ; j'en ai pas vraiment pour le moment XD. • connexion ; autant que possible. • quelque chose à ajouter ? j'vous aime déjà. 
Dernière édition par Haven R. Dewsbury le Lun 27 Oct 2014 - 22:56, édité 31 fois |
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| | Here comes the hurricane   ――• hogwarts is my home •―― Porter une "robe" te perturbait toujours autant, toi, le gamin de onze ans qui ne savait plus où donner de la tête. Toi, qui était seul dans ton wagon, fuit comme la peste par les autres déambulant dans le couloir peut-être. Tu avais peur, c'était indéniable. Tu rentrais dans un univers dont tu n'avais pas la moindre conscience, dont tu ne connaissais ni les mœurs, ni les limites. Toi, le né-moldu, le fils unique né sur une petite île. Toi qui ajustait bien avant l'heure le chapeau sorcier sur le haut de ton crane, bataillant contre ta tignasse épaisse pour le faire tenir correctement. Tu étais fier, tu t'en souviens. Fier d'être l'un des élus à voyager dans ce train, un des seuls à savoir quel monde merveilleux t'entourait et dont tu découvrait l'existence doucement, pas à pas...Comme l'utilisation de ta baguette par exemple, bout de bois qui te laissait encore un peu rêveur, pour toi, ces baguettes n'étaient que des jouets employés par les charlatans de magiciens dans les foires, les cirques. Jusqu'au jour où tu as du passer timidement la porte de chez Ollivanders, comme tout tes camarades, le regard émerveillé par les quantités de boites dans la boutique. Comme tous, au même titre que tous, ta baguette t'as choisi pour tes compétences, pour ta personnalité. Vous étiez supposés ne faire qu'un, mais ton hésitation a eut-être ralenti les choses. Ton manque de confiance vous mettait en désaccord, cacophonique de sortilèges entrainant de nombreux accidents durant ta scolarité. Tu n'étais pas vraiment doué pour la magie, mais tu t'améliorais de jour en jours, d'années en années, si bien que rares étaient les explosions et autres enchantements lancés par ta baguette lord de ta dernière année. Tu as toujours aimé Poudlard, aimé tes cours, tes camarades. Ta scolarité dans l'établissement sorcier a été pour toi la meilleure expérience de ta vie, au cœur de la tour des gryffondors, avec les tiens. Tu ne te sentais plus si différent, oubliant totalement tes ascendances moldues les séparant de ces sorciers bien souvent issus de famille également sorcière. Tu n'avais aucune idée de ce qui allait se passer dans l'avenir. Tu ne savais pas qu'un jour, ces gens d'entourant te tourneraient le dos quand tu aurais le plus besoin d'eux. Tu ne savais pas, que ton sang aurait de nouveau une importance capitale pour le monde magique.  -• Haven Dew's ice cream parlour •- L'automate au-dessus de ta boutique frappait de ses cymbales frénétiquement à chaque entrée dans la boutique. Le petit singe en bois ensorcelé ventait les mérites et les délicieux parfums que tu vendais aux passants les moins occupés sur le chemin de traverse. Tu étais derrière ton comptoir, souriant, t'assurant que chaque boite de glace donnele plus envie possible à ta clientèle souvent indécise sur le parfum à choisir. C'était avant la guerre, avant tout ça. Tu avais travaillé d'arrache-pied pour être le futur successeur de Florian Fortarôme et sa mort prématurée, sûrement dû à des mangemorts t'avais offert tous les droits sur le commerce que la veuve t'as vendu contre un montant raisonnable de gallions. Tu étais des plus heureux, solitaire et pourtant si amical, si bienfaisant avec les autres. Rien ne semblait venir gâcher ton bonheur, peut-être le silence pesant le soir venu, peut-être, parfois. Tu as la capacité de faire fuir les autres apparemment, pas assez câlin, pas assez attentionné ton trop grand besoin de liberté t'entraînais à vivre des idylles d'une nuit, une semaine au grand maximum. T'étais heureux. T'avais ton appartement, tes disques moldus, ta technologie de ces gens au milieu desquels tu étais né. Cela te fascinait, toi qui en avait loupé tant durant tes années à Poudlard, n'ayant que le temps des vacances pour te mettre à la page. Tu avais de l'affection pour ces deux parties du monde, de toi. Le côté traditionnel et rêveur du monde moldu et la magie, les coutumes et habitudes du monde sorcier. A cheval entre les deux, tu étais ravi, tu ne pouvais pas rêver plus beau futur.  ――• now, you're just a slave •―― Tu as vu ta boutique être soufflée comme une bougie, les vitres avaient volées en éclat et la peinture menthe recouvrant les murs s'était transformée en une couleur noire charbon. Brûlé, mort. Tout était mort, tes cornets savamment alignées derrière le comptoir, tes pots de douceurs que tu saupoudrais sur les glaces tous les jours, depuis tant d'années. Plus rien ne restait de ton enseigne, affichant fièrement ton nom. L'injustice disait bouillir le sang dans tes veines. Poings liés, tu étais condamné à observer le spectacle en cours, impuissant, neutralisé. Si seulement tu pouvais atteindre ta baguette, si seulement, elle pouvait t'entendre, alors qu'elle se trouvait dans mes mains de l'un des leurs. Aucun sortilège ne venait, malgré toute la concentration du monde comme si elle aussi, dans ses mains, ne pouvait répondre à son propriétaire. Le flot de passant c'était arrêté, observant l'arrestation en cours, peu discrète, avertissement et exemple de cruauté sur le commerçant chez qui tous avaient l'habitude de se délecter en été. Soudain il se présenta devant toi, ta baguette à la main. Tu savais ce qui allait arriver, à l'instant où tu as croisé son regard que tu ne quittas pas, fier, alors que le craquement du bois déchirait avec lui une partie de toi, un lien, comme si on venait de tuer sous tes yeux une amie des plus fidèles, loyales. La douleur n'embrumait même pas tes yeux, non. Tu étais en colère, envers eux et envers les sorciers silencieux qui regardaient sans réagir le moins du monde. Les morceaux de ta baguette gisaient sur le sol. Irréparable, tu savais que tu ne pourrais la récupérer, savait qu'on ne te laisserait jamais le faire tant que ce gouvernement était en place, puisqu'à l'instant où l'on te saisit par la nuque pour te tourner vers la foule on annonçait haut et fort ton crime le plus grave, ton crime impardonnable. Né-moldu. Voilà le motif principal de ton arrestation, ton accusation la plus grave, ton péché. On t'as demandé de choisir, toi, rebut, entre la case prison ou la case esclave. La réponse semblait toute trouvée, tu préférais de loin les barreaux d'une cellule à une vie de service auprès d'un maître te traitant comme un moins que rien, moins qu'un elfe. Un vulgaire bout de viande que l'on avait aucun scrupule à torturer, à voir souffrir pour améliorer sa propre vie pleine de non-sens, tristesse et estime de soi au raz des pâquerettes. Pour toi, c'était ces gens-là. Des gens pas heureux, qui faisaient du mal aux autres pour se soulager de la douleur qu'il ressentait, t'avais pitié, t'avais pas envie de leur faire ce plaisir-là, mais on a su te convaincre, pour que tu choisisses de te vendre. On a réussi à dire les mots justes, à faire pression, à te vendre l'espoir d'un maître un peu moins cruel que tu le pensais. Peut-être que tes expériences feraient de toi un rebut de bonne qualité que personne ne voudrait abîmé en fouettant. Que tu pouvais compter sur ton joli minois, sur ta cuisine et sur ta capacité à te la fermer autant. Tu ignorais cependant que des qualités ne jouaient absolument pas lors de ton achat. Tu étais ce bout de viande que l'on découpe en pièce, mâché avec lenteur et recraché tant la chair est caoutchouteuse, infecte. Le détritus, encore et toujours. Après deux mois d'entrainement, d'évaluation de tes capacités, l'heure était venue de te vendre, d'entendre le prix que tu valais à leurs yeux, une poignée de gallions pour un né-moldu dont les méfaits sonnaient à tes oreilles comme de parfait récits et débilités. Tu es un rebut, moins que rien sans la moindre trac de sang magique. Une honte pour le monde sorcier, une erreur de la nature bonne à récurer les toilettes. Un né-moldu, un empoisonneur également d'après les accusations portées contre toi. Aurais-tu jouer à des jeux dangereux durant ton entrainement ? Il semblerait oui. Alors, il t'a acheté, lui, l'homme au regard sombre. Lui, le chef des raffleurs qui t'as affublé de cette marque, qui te feras payer pour ta naissance.
Dernière édition par Haven R. Dewsbury le Lun 27 Oct 2014 - 22:25, édité 18 fois |
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| | Maaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaattttttttttttttt !
Bienvenue parmi nous ! Hâte de lire ta fiche et de te compter parmi les belliqueux. On a des cookies et Morgana te mitonnera son fameux ragoût de mangemorts.
Bisous bisous. |
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en plus, un sacré canon 
car sinon, j'ai peut-être un petit lien à te proposer, puisque je recherche un peu de compagnie dans l'immense demeure des warwick pour ma jolie naïs 
bonne chance pour la rédaction de ta fiche et amuse toi bien parmi nous 