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sujet; but those are the days that bind us together /wendy. |
| Wendy Charlotte Clarke feat candice accola • crick
| ◄ | • nom complet ; Wendy, Charlotte, deux prénoms des plus banals qu'elle ne rechigne pas à porter. Elle pensait que ses prénoms avaient un héritage particulier, une histoire derrière eux mais après avoir posé la question à ses parents lors d'un repas, les yeux brillants, il s'est avéré qu'il n'y avait rien de tout cela. Ils aimaient la consonance de Wendy et de Charlotte, voilà tout. Clarke, nom de famille d'origine purement anglaise, aujourd'hui plus connu pour la trahison récente d'un de leurs derniers enfants. • surnom(s) ; Wendy n'aime pas les surnoms. Ou plutôt, elle n'aime pas que l'on s'autorise à l'affubler d'un diminutif, n'étant pas fana des familiarités en tout genre. Le seul qui revient couramment est blondie. Alors certes, ce n'est pas très classe et elle aussi a horreur qu'on l'appelle comme cela mais depuis son entrée à Poudlard, les plus culottés s'y sont habitués. • naissance ; Elle est née il y a vingt-deux ans de cela, lors d'un pluvieux jour d'automne à l'hôpital Sainte-Mangouste, dans la capitale britannique (oh, encore de la pluie à Londres, comme c'est étrange!). Habituée des naissances de garçons depuis quelques générations, ce fut avec surprise et un peu d'amertume que Wendy fut accueillie chez les Clarke. Il faut dire qu'un garçon, au moins, ça prolonge le nom de famille. • ascendance ; Depuis des décennies, voire des siècles, les Clarke prônent la pureté du sang sorcier. Il n'aura pourtant suffi qu'un seul de leurs ancêtres déroge à la règle du mariage consanguin pour que la lignée ne soit définitivement rayée du registre des Sang-Pur. En effet, le trisaïeul (comprendre l'arrière-arrière grand père) de Wendy s'est lié avec une moldue, plongeant ainsi le reste dans la famille au statut de Sang-Mêlé. Les Clarke considèrent encore aujourd'hui cette entorse à leur pureté comme une abomination et il n'y a aucun doute quant à la réputation qu'ils tirent de cette personne qui a osé commettre une infraction d'aussi grande envergure. • camp ; Parce qu'elle est soucieuse que ces temps-ci, s'attirer les faveurs du Magister ne pourra qu'améliorer son confort et racheter son nom de famille auprès du gouvernement, elle a décidé de se ranger du côté de Voldemort. Mais désintéressée, c'est ce qui la qualifierait encore mieux. Wendy n'a pas réellement de camp, en dépit de son entourage qui aimerait la voir enfin réellement s'impliquer dans la cause. Son parti, c'est sa propre petite personne. • métier ; Sortant fraîchement d'un service de huit mois en tant que rafleuse (où pendant les premiers jours, elle a plus pris de temps pour papoter avec les personnes qui l'accompagnaient que de traquer les insurgés avant de rapidement comprendre qu'il fallait qu'elle s'implique plus pour ne pas être promue au rang de traitre comme son frère), Wendy est aujourd'hui employée au Ministère de la Magie au service de désinformation, département régulation des créatures magiques. Elle n'affectionne pas plus que cela son métier, mais le fait qu'elle travaille au Ministère a apparemment l'air de faire plaisir à sa famille. De ce fait, elle continue, ayant même l'ambition de devenir directrice du service. • réputation ; Seule fille des Clarke, elle a une réputation de véritable diva, que ce soit auprès de ses anciens camarades qui la côtoyaient à Poudlard, de ceux qui ont pu la connaître lorsqu'elle était avec les rafleurs, ou encore maintenant, au Ministère de la Magie. Aimant se faire remarquer à n'importe quel coin de rue et réel cliché de la riche jeune fille mondaine, Wendy divise. Certains aimeront sa spontanéité et son côté drama queen, d'autres la trouveront fausse et agaçante à souhaits. Quoiqu'il en soit, beaucoup savent que sous ce visage de fille superficielle se trouve une sorcière talentueuse, en particulier en ce qui concerne les sortilèges. D'ailleurs, certains disent que Wendy pourrait peut être obtenir une place de choix auprès du Seigneur des Ténèbres, si seulement elle mettait en avant ses capacités. • état civil ; Célibataire. On murmure que ses parents ont prévu de la marier avec un bon parti mais elle se plaît à conserver un mystère autour de sa situation civile bien qu'en réalité, aucun projet de fiançailles n'est planifié pour son plus grand bonheur. Wendy n'est pas contre les mariages arrangés, qu'elle juge d'ailleurs utiles pour garder un rang social élevé, cependant, elle estime juste que se caser n'est pour l'instant pas urgent. Du haut de ses vingt trois ans, elle aimerait simplement profiter avant de devoir se marier, fonder une famille... etc. • rang social ; De part leur statut de Sang-Mêlé, les Clarke font partie des Rachetés. Ils auraient éventuellement pu rejoindre les rangs des Mangemorts mais le basculement de l'un de leurs enfants vers le camp des Insurgés a tâché leur ambition. Depuis, ils tentent de regagner les grâces du Magister en exécutant à la lettre ses ordres et promettant de châtier leur fils en fuite s'ils le retrouvent. • particularité(s) ; Sorcière lambda, elle n'a aucune particularité, si ce n'est sa personnalité si singulière et son don naturel pour les sortilèges. D'ailleurs, elle n'est pas mécontente de n'avoir hérité d'aucune de ces particularités, jugées plus contraignantes qu'autre chose. Se transformer en animal, lire dans l'avenir ou que sais-je, non merci. • patronus ; Un corbeau. Parfois, elle se demande si la forme qu'a pris son Patronus signifie quelque chose, mais elle préfère finalement ne rien savoir, peut être par crainte de se voir attribuer des points communs avec cet animal, étant donné la réputation peu méliorative dont jouit le corbeau. • épouvantard ; Cela peut être superflu compte tenu de tout ce qui pourrait arriver, mais elle a une peur bleue des strangulots. Face à eux, elle perd tous ses moyens et n'a d'ailleurs jamais encore réussi à dompter sa peur. • risèd ; Son frère et elle, enfin réunis, sans à se cacher de quiconque. Puis entourés d'argent et de luxe aussi, accessoirement. • animaux ; En règle générale, Wendy n'aime pas particulièrement les animaux, magiques ou pas, elle évite simplement de s'en approcher et n'en possède pas. • baguette ; Bois de cyprès, crin de licorne, 27,5 centimètres, souple.
• WIZARDS • Perso inventé |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Contrairement à ses parents qui se placent ouvertement du côté du gouvernement, Wendy a un tout autre avis. Ou plutôt, elle s'en fout complètement. Même quand Vous-Savez-Qui n'était pas encore au pouvoir, elle ne s'y intéressait pas. Le domaine de la politique, savoir si untel ou quelqu'un d'autre à la tête du Minstère est une bonne idée, ce n'est clairement pas son truc. De toute façon, il y aura toujours des gentils et l'opposition, pas vrai ? Wendy, du moment que son confort et sa vie sont intacts, elle ne fait de tord à personne. Elle ne se positionne pas. Officiellement, elle répète ce que l'on attend d'elle, qu'elle est partisante du camp des Mangemorts. Wendy le déclare afin de pouvoir survivre mais la vérité est qu'elle ne se soucie guère de leurs actions, comme de celles des Insurgés. Ah si, elle veille simplement à ce que son frère, actuellement parmi les fugitifs insurgés, soit encore en vie. C'est la seule chose qui la préoccupe dans cette dictature, c'est aussi l'une des seules personnes pour qui elle pourrait abandonner son confort (quoique, il faudrait encore qu'il soit vraiment dans une mauvaise situation, ce qui est déjà quand même le cas). D'ailleurs, elle ne comprend toujours pas pourquoi il a choisi de lutter contre le régime politique quand il aurait pu vivre dans la richesse et l'aisance, comme elle. ► Infos en vrac : Matérialiste, sarcastique, extravertie, dépensière, énergique, narcissique, bavarde, capricieuse, je-m'en-foutiste, impatiente, directe, un peu hystérique sur les bords, bruyante, prétentieuse, gaffeuse, opportuniste, diva, drôle malgré elle, maniérée, déterminée, exigeante, bonne menteuse, expressive, maligne, rentre-dedans, comère, spontanée.Elle est dotée d’un potentiel de pouvoir et de sorcellerie impressionnant, néanmoins, les études, très peu pour elle. En effet, elle n’est intéressée par la magie que lorsque cette dernière lui permet la couture d’une robe au tissu légèrement effiloché ou l’attraction des objets situés à quelques mètres trop éloignés de son corps. Par contre, abîmez l’une de ses tenues et vous goûterez à l’endoloris. • Durant toute sa scolarité à Poudlard, chez les Serpentard, les professeurs de Wendy se sont acharnés à la pousser au travail mais c’était peine perdue. Nullement intéressée par les cours, mais plutôt préoccupée par la dernière paire de chaussures tendance, la jolie blonde est toujours parvenue à s’en sortir sans se tuer au labeur : grâce au talent, elle récoltait toujours les notes admissibles. Du gâchis, selon ses professeurs, mais Wendy s’en contrefiche : grâce à son père, elle espère désormais occuper une place de choix au sein du ministère. Un métier hautement rémunéré, qui lui donnera accès à des séances shoppings fortement dépensières. • Soucieuse de son apparence à tout moment, elle a un attrait particulier pour le luxe et les belles choses. Elle ne considère pas du tout son côté matérialiste comme un défaut, au contraire, elle a du mal à concevoir un monde sans toutes ses richesses. La preuve, elle pourrait porter un Horcruxe en connaissance de cause juste pour sa beauté. • Elle a toujours voulu étudier à Beauxbâtons, dont elle se fait l'image utopique d'une école somptueuse, luxueuse, enfin bref, tout ce qu'elle aime. Lorsque la délégation de Beauxbâtons est venue à Poudlard, Wendy s'est liée d'amitié avec certains des élèves et aujourd'hui, elle en est encore persuadée, elle aurait certainement préféré aller en France. • A horreur de la botanique. Elle n'a jamais été douée avec ça, à Poudlard, elle provoquait des catastrophes avec ce qu'elle manipulait, ce qui lui a déjà valu plusieurs retenues. • Wendy est un vrai spectacle à elle-même. Jouant beaucoup de son physique, elle adore se montrer, que les regards soient tournés vers elle, pour une bonne ou une mauvaise raison. Elle serait capable de s'afficher dans la vitrine de la boutique des jumeaux Weasley simplement pour montrer son nouveau pendentif. • Plusieurs fois, elle a aidé son frère lorsqu'il avait besoin d'elle dans sa fuite. En effet, si elle ne prend aucune considération en ce qui concerne la guerre actuelle, la survie de son frère compte énormément à ses yeux. Durant son service aux côtés des Rafleurs, elle a d'ailleurs manigancé beaucoup de stratagèmes pour éviter sa capture. • Elle doit sûrement être l'une des rares sorcières du monde magique à ne pas aimer le Quidditch. Enfin, ce n'est pas qu'elle déteste cela, c'est plus qu'elle n'en est pas fan. S'asseoir dans des gradins pour regarder des gens voler après le Souafle ou le vif d'or, bof. En plus, encourager ces personnes en tapant des mains comme une otarie lui abime la peau. • Son désintérêt pour le Quidditch vient sûrement de sa difficulté à voler sur un balai. En effet, elle n'a jamais réussi à correctement faire un trajet sans finir par heurter quelque chose (ou causer des accidents, dans le pire des cas). Elle préfère de loin le transplanage, beaucoup plus facile à ses yeux et plus rapide. • Issue d'une famille aux traditions conservatrices, elle s'est imposée comme l'enfant capricieuse par rapport à ses deux frères qui étaient de parfaits fils modèles. Du moins, elle a néanmoins réussi à se augmenter dans l'estime de ses parents lors de la fuite du benjamin. • On la compare souvent à Dolores Ombrage parce qu'elle adoooore le rose et parce qu'apparemment, elles ont certains points communs niveau caractère mais face à cette analogie, Wendy ne peut s'empêcher de grimacer. Elle est beaucoup plus jolie que ce crapaud d'Ombrage, non ? Nothing compares to you • pseudo & âge ; Ruthless, 19 ans. • comment as-tu trouvé le forum ? Vyk tor Krum, big up à lui, gracias para todo mon petit cracmol • ton avis, tes suggestions ; Très beau forum, il me tarde de pouvoir pleinement m'investir • connexion ; Le plus souvent possible, même si en période de cours c'est un peu plus chaud. • quelque chose à ajouter ? Coulée d'amour • coup de main pour le bottin ;2. Si ton personnage est un inventé ; ▋ ▋ CANDICE ACCOLA ; wendy clarke - Code:
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▋ <a href="http://excidium.bbactif.com/u152">▋</a> <pris>CANDICE ACCOLA ;</pris> wendy clarke
Dernière édition par Wendy Clarke le Sam 1 Nov 2014 - 0:27, édité 16 fois |
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| Here comes the hurricane ――――――-―• 1994 ― beauty queen on a silver screen, i'm living life like i'm in a dream. i know i've a big ego, i really don't know why it's such big deal though. •――――-――― Ses pieds nus étaient fixement ancrés sur le sol. Aucun bruit ne pouvait se faire entendre, mis à part sa respiration saccadée et les battements de son cœur qui rythmaient à l’unisson à l’intérieur de son corps, paraissant démesurément bruyants compte tenu du silence radio de la pièce. Pas de son extérieur, pas de signe de la présence de quelqu’un. Elle était seule, dans cet endroit beaucoup trop grand pour elle. Un courant d’air vint chatouiller les pointes de ses mèches blondes, caressant par la suite les courbes de sa frêle silhouette avant de lui arracher un frisson qui traça son chemin le long de son dos. D’un geste lent, Wendy ramena son bras contre son épaule nue, ses doigts serrés sur le tissu de la serviette qui l’enveloppait, à la recherche d’un peu de chaleur. Son autre main tenant fermement ce qui s’apparentait à un morceau de bois taillé avec minutie, elle murmura un léger « Lumos » du bout des lèvres. Une petite boule blanche jaillit alors de sa baguette, éclairant les murs avec une faible intensité, mais suffisante pour qu’elle voie où elle marchait. Sur la pointe des pieds, l’adolescente s’avança, jusqu’à être face au bassin spacieux devant elle. Elle tourna la tête vers la porte afin de s'assurer que celle-ci était bien fermée et plongea un pied dans l’eau. Froide. Pas gelée, mais pas non plus à température ambiante. Elle ferma les yeux. Juste cinq secondes, comme le temps qu’on lui apprit de ne jamais dépasser quand il s’agissait de prendre une décision. Cinq secondes, Wendy. Pas plus. Pas moins. S’accrochant avec ferveur à sa baguette, elle luttait intérieurement contre la désagréable sensation qui s’était répandue dans sa jambe raidie à cause de l’eau. A la troisième seconde, elle hésita, son regard oscillant avec vivacité entre la porte et le bassin. Et puis, accompagnée d’une pulsion qui la poussait à continuer ce pourquoi elle était là, Wendy plongea le deuxième pied. Elle abandonna sa serviette qui tomba au sol, son corps s’enfonça dans l’eau trouble qui semblait se réchauffer avec sa température corporelle. Partant d’une douloureuse sensation, la blonde avait maintenant l’impression que le froid contre sa peau l’apaisait bien plus qu’elle ne l’aurait cru. Elle se sentait revigorée, relaxée. Sa baguette toujours tenue entre ses doigts, elle veillait soigneusement à ne pas la mouiller et lorsqu’elle s’approcha des bords du bassin, elle posa l’instrument, s’accoudant par la même occasion contre le marbre blanc de la baignoire, les yeux clos. « Eh, toi ! Tu n’as pas le droit d’être ici ! » Son visage se mua en une mine d’agacement tandis qu’elle tournait la tête, prête à fusiller du regard celui qui avait osé troubler sa tranquillité. « Qu’est ce que tu fais là ? » tonna-t-il d’une voix autoritaire. Malgré l’obscurité et les faibles lueurs de leurs baguettes respectives qui luisaient, Wendy pouvait détailler les traits de son visage. Grand, cheveux bouclés, brun. Et surtout, elle put distinguer les couleurs du blason de sa robe de sorcier. Vert. Un Serpentard. Plus précisément, elle reconnut un des préfets de sa maison. « Parle moins fort, tu vas attirer l’attention ! » le réprimanda-t-elle, un doigt sur les lèvres pour lui faire comprendre ce qu’elle voulait dire. « Qu’est ce que tu fais ici ? » réitéra-t-il. Elle remarqua qu’il pointait sa baguette vers elle et l’idée qu’il puisse utiliser la magie contre elle la fit doucement sourire. « Les bains de minuit, ça te dit quelque chose ? » Un air mutin - incroyablement agaçant selon l’interprétation que l’on faisait - vint se loger sur les traits de son visage alors que paradoxalement, le front de son interlocuteur se ridait d’impatience. « C’est la salle de bain des préfets. Les autres élèves ne sont pas autorisés à y pénétrer. » Sans rire. La prenait-elle pour une première année qui découvrait l’établissement ? Wendy haussa les épaules. Elle s’enfonça un peu plus, ses épaules dépassant à peine la surface de l’eau, la tête contre le bord du bassin. Ses prunelles bleues scrutèrent avec attention le garçon, ne loupant aucune de ses réactions. « Il paraît que c’est ici que Diggory et Potter ont réussi à ouvrir leur œuf. Tu crois que l’eau de votre salle de bain a des propriétés spéciales ? » demanda-t-elle d’un ton léger, réellement intéressée. Non pas par les champions de Poudlard – ou plutôt, soi-disant champions, elle n’avait rien contre eux mais était persuadée qu’un Serpentard méritait au moins de représenter l’école – mais plus par cette fameuse eau. « D’ailleurs, pourquoi vous, les préfets, auriez-vous droit à une salle de bain particulière ? Celle de notre maison est lugubre, l’eau m’irrite la peau contrairement à la votre. Il y a vraiment de profondes inégalités dans cette école. » se plaignit-elle avant de croiser les bras. Elle était parfaitement sérieuse et parlait en connaissance de cause, persuadée d’avoir soulevé un point des plus cruciaux. Un sourire s’étira sur les lèvres du jeune homme avant qu’il ne réprime un léger rire. Wendy fronça les sourcils, essayant de comprendre ce qu’elle avait pu dire de drôle, et remarqua alors qu’il avait abaissé sa baguette. « Par Merlin, c’est encore pire que ce que l’on m’avait dit à ton sujet. » Elle lui lança un regard appuyé. Quoi, des rumeurs couraient encore sur elle ? Quels ragots se murmuraient donc dans les couloirs de Poudlard ? D’ordinaire, elle ne s’était jamais préoccupée de ce qui se racontait sur elle. Elle se prenait en charge elle-même, savait mieux que quiconque ce qu’elle valait et ce qu’elle voulait, le reste n’était qu’artifices. Qu’importe ce que l’on disait, au moins, on parlait d’elle. « Tu es tellement superficielle, Clarke. Arrête de faire la belle. » Wendy détourna la tête d’un air dédaigneux, les yeux levés au ciel. Ses boucles blondes virevoltèrent légèrement au mouvement de ses épaules qui pivotaient, tournant alors le dos au préfet. « Je ne fais pas la belle. Je suis belle. » ――――――-―• 2000 ― the time will come, when you'll have to rise above the best, and improve yourself, your spirit never dies. •――――-――― « Blondie, t’avances ou pas ?! » Wendy pinça les lèvres, la mine rongée par l’agacement qui ne faisait que monter crescendo au fur et à mesure qu’on l’interpellait pour inlassablement lui répéter la même chose. Elle jeta un regard vif à celui qui l’avait apostrophé de la sorte, plantant ses prunelles bleutées dans les yeux sournois du sorcier qui s’était désigné comme le ‘chef’ de leur petit groupe de rafleurs. « Qu’est ce que t’as encore ? Magne-toi le derrière, princesse, on n’a pas que ça à faire. » cracha-t-il de sa voix traînante, avançant sur la côte sans se retourner. Wendy le fixait avec un tel mépris qu’elle semblait lui lancer un Avada Kedavra rien qu’avec ses pupilles. Elle le détestait, lui et son timbre insupportable. Lui, et ses cheveux longs, noirs comme l’ébène. Lui, et sa robe de sorcier ridicule qui avait l’air de sortir tout droit de la garde-robe de Rubeus Hagrid (comprendre qu’il nageait dans son vêtement). Lui, et ses manières incongrues de s’adresser à elle. Oh, par la barbe de Merlin. Qu’est-ce qu’elle le haïssait. Les bras croisés contre sa poitrine, la petite blonde leva la tête afin d’évaluer la distance qui la séparait du reste du groupe. Le plus poche d’elle – un brun qu’elle avait vaguement connu car il faisait partie de la même promotion qu’elle à Poudlard mais dont elle peinait encore à mettre un nom sur son visage – se trouvait à environ cinq mètres. Wendy soupira. En seulement une semaine passée en tant que rafleuse, elle avait l’impression que ses camarades avaient décidément gagné beaucoup d’endurance. A moins que ce soit ses propres capacités endurantes qui n’étaient pas très développées. A voir. « J’en ai maaarre ! Il fait froid, il fait moche, mes cheveux perdent de leur volume et par-dessus tout, mon maquillage est en train de fondre comme du chocolat. C’est quand qu’on s’en va ? » couina-t-elle suffisamment fort pour que les autres l’entendent malgré la longueur d’avance qu’ils avaient pris. Clarke ne fut même pas vexée de ne pas avoir de réponse à ses plaintes. Depuis le début de son service, elle avait l’habitude que ses gémissements ne soient pas entendus. De même, les autres avaient l’habitude de devoir supporter ses jérémiades. Finalement, c’était presque devenu une petite routine – certes, une routine terriblement pénible à vivre au quotidien, mais ils n’avaient pas d’autre choix que d’accepter leur situation. C’était la loi, chaque sorcier était obligé de ‘servir leur pays’, comme ils le disaient si bien. « Non mais jetez un coup d’œil à mes chaussures ! Elles sont foutues, f-o-u-t-u-e-s ! C’était une édition limitée, elles m’ont coûté une fortune chez Madame Guipure et ce n’était sûrement pas prévu pour faire une balade en forêt, évidemment ! » continua-t-elle lorsqu’elle rejoint enfin le petit groupe qui s’était arrêté un court instant. Wendy lâcha un long soupir consterné, les poings serrés dans ses gants brodés de perles. Elle détestait jouer les Rafleurs, faire l’aventurière au milieu des feuilles mortes et suivre une bande de vagabonds à la recherche d’autres vagabonds. Elle en était sûre ; elle n’était pas à sa place. « Alors pourquoi tu ramènes tes escarpins quand on va aller traquer des insurgés, blondie ? » Une nouvelle fois, elle lança un regard assassin à la personne qui avait osé faire ce commentaire. « Et toi, pourquoi t’es aussi laid ?! » Encore le roux à la tête de bouledogue, comme elle aimait si bien le qualifier. Lui, elle l’avait aussi dans sa ligne de mire. Deux fois dans la même heure qu’il se permettait de l’attaquer, il était hors de question qu’elle se laisse faire par un type dont personne n’avait jamais entendu parler jusqu’à présent. « C’est bon, on peut s’en aller ? On parcourt cette fichue forêt depuis trois jours, aucun insurgé n’est présent. Il n’y a rien, à part des arbres presque morts et de la boue qui abîme nos chaussures. » Le sorcier aux cheveux longs lui fit mine de se taire et s’avança prudemment, aux aguets, tentant de masquer au maximum le bruit du craquement des feuilles à chaque pas qu’il faisait. « Finissons-en avec ce cirque, je te dis qu’il n’y a– » « La ferme, Clarke. Des gens nous épient. » Wendy tourna rapidement la tête avant de constater que la plupart des sorciers avaient dégainé leur baguette de leur poche, prêts à se défendre à tout moment. Et soudainement, comme surgis de nulle part, des bruits de pas se firent entendre à toute vitesse. « Là-bas ! Des insurgés ! » cria quelqu’un à sa droite, le doigt pointé vers trois adolescents qui s’étaient cachés derrière un tronc d’arbre. Le sang de Wendy ne fit qu’un tour lorsque son regard se posa vers le plus grand des trois. Dylan. « Y’en a là-bas aussi, chopez-les ! » La scène s’était déroulée tellement vite sous ses yeux que la jeune femme n’avait même pas eu le temps de réagir. Tout le monde s’était dispersé, tentant de capturer un maximum de traîtres à leur sang et Wendy n’avait plus Dylan dans son champ de vision. Prise d’un sursaut de panique, son premier réflexe fut de se précipiter vers l’endroit où elle l’avait aperçu, se moquant bien du risque d’être touchée par les lumières blanches qui jaillissaient dans tous les sens. Alors qu’elle continuait à courir, la tête tournant de droite à gauche dans l’espoir d’apercevoir la tête blonde de son frère, elle percuta de plein fouet une silhouette frêle. Une insurgée. A l’aide d’une vivacité dont elle n’était imprégnée que trop rarement, Wendy désarma la jeune femme qui lui faisait face et c’est sans l’once d’une douceur ou de compassion qu’elle la tira vers le bras pour l'emmener derrière un arbre robuste, à l’abri de ses compagnons de son groupe de rafleurs. « Où est Dylan ?! » rugit-elle, la baguette pointée comme une lame vers l’insurgée, tremblante. « Où est Dylan ?! Où est mon frère ?! Tu as vu quelqu’un le capturer ?! Réponds ! » Pour l’une des premières fois de sa vie, Wendy était animée par une rage, une détermination sans égale. Celle de protéger son frère. Et plus que jamais, elle avait aujourd’hui compris qu’il était peut être déjà aux mains des rafleurs. « Réponds, ou je n’hésiterai pas à utiliser le sortilège Doloris avant de te remettre aux mains du Lord. » ajouta-t-elle d’une voix ferme, ne quittant pas de ses yeux la captive. Et dieu sait à quel point elle était capable de le faire. Elle se moquait de ce qui pouvait arriver à cette adolescente. De toute façon, c’était une insurgée, destinée à fuir, destinée à se cacher du gouvernement inlassablement. Si elle ne se faisait pas attraper aujourd’hui, elle finirait par se faire prendre dans quelques jours, quelques semaines, ou au mieux, quelques mois. Comme Dylan. Mais en ce qui concernait ce dernier, le plus tard était le mieux. Wendy serra les dents, dépitée par le peu de résultats qu’elle avait obtenu de la captive. Elles se dévisageaient fixement, immobiles, leurs poitrines se levaient doucement au rythme de leur respiration saccadée. Face à elle, l’insurgée semblait être prisonnière d’une sorte de léthargie éveillée par une peur qui se traduisait par la lueur dans ses yeux. C’en était assez, le petit jeu avait assez perduré. La blonde leva légèrement la main, s’apprêtant à devoir user d’un sortilège impardonnable, comme elle l’avait déclaré. « Laisse-la partir. » Sous l’effet de la stupéfaction, son cœur loupa un battement. Du coin de l’œil, elle reconnut… le brun de sa promotion à Poudlard, le bout de sa baguette tout droit dirigé vers elle. Ben tiens. Surprise, bitch. I bet you’d thought you’d seen the last of me. « Je me disais bien que tu avais l’air trop gentil et innocent pour réellement être du côté de Tu-Sais-Qui. » Ses pupilles toujours fixées sur l’adolescente, Wendy n’avait pas baissé sa garde. Tel un jeu de dominos, il semblait que c’était le plus rapide d’eux qui aurait le plus de chance de s’en sortir en obtenant ce qu’il voulait. « Laisse-la partir, je te dis. Ou alors je te dénonce. J’ai remarqué les magouilles que tu faisais pour éviter que ton frère ne se fasse pas prendre, sauf que ce que t’as pas compris, c’est que tu le protègeras pas en balançant d’autres insurgés à leur tour. » La jeune femme se retint de lâcher un ricanement narquois d’entre ses lèvres. Encore une fois, qu’est ce qu’elle s’en fichait du sort de ces pseudos révolutionnaires qui pensaient refaire le monde sans une once de mal. Tout ce qui l’importait, c’était que son frère soit sain et sauf. « Je pourrais te dénoncer aussi, en tant que personne introduite chez les rafleurs mais qui menace les autres rafleurs de faire leur job. J’appelle ça un espion des insurgés. Quoique, tu n’es même pas un super insurgé vu tous tes copains que tu as laissés se faire capturer. » commenta-t-elle, sa voix vibrant sur un ton cynique. S’il était évident que Wendy n’était pas le meilleur exemple de la sorcière qui se bat pour le bien contre le mal, au moins, elle avait jusqu’à présent réussi à couvrir Dylan, contrairement à ce justicier pitoyable de l’ombre, forcé d’assister tous les trois jours à une rafle de fuyards. A quelques mètres d’elle, elle le sentit se raidir à l’entente de ses provocations. « Sauf que c’est pas moi qui a un frangin qui a fui pour se ranger officiellement dans leurs rangs. N’essaye pas de faire ta maline, Clarke, ta famille fait partie des Rachetés et a encore du boulot avant de réellement se faire racheter. Un seul faux pas et vous êtes foutus, c’est pas avec ton joli minois que t’arriveras à conserver ton rang. Maintenant, lâche-la. » Touché, coulé. Il avait raison. Et même si ça lui écorchait l’esprit de devoir admettre qu’elle n’était pas si intouchable qu’elle paraissait, Wendy ne pouvait pas le nier. Sa parole contre la sienne, elle était la première à être disgraciée. Agacée à l’idée qu’elle perdait ce combat par le biais du chantage, la petite blonde finit par abaisser sa baguette, laissant alors l’insurgée prendre ses jambes à son cou dans une direction quelconque. Elle se tourna vers le brunet, les lèvres pincées. Celui-ci lui adressa un vague hochement de tête et les traits de son visage se détendirent. « Eh vous deux, vous foutez quoi planqués derrière ? » entendirent-ils non loin tandis que les bruits de pas et de sorts jetés s’étaient évanouis dans un calme surprenant. « Rien. On pensait que des vagabonds s’étaient cachés là mais y’a personne. » L'air de rien, Wendy rangea sa baguette dans sa poche et se frotta les cuisses pour enlever les traces de terre qui s'étaient déposées sur son pantalon durant sa confrontation avec l'insurgée. Mais alors qu'elle relevait la tête, elle tomba nez à nez avec le chef du groupe, la faisant légèrement tressaillir. Il l'attrapa violemment par le bras et la plaqua brusquement contre un tronc d'arme, la baguette sous la gorge comme s'il se servait d'un poignard. Un frisson de terreur parcourut la tempe de la petite blonde lorsqu'elle sentit la pointe de la baguette du sorcier contre sa peau. Elle qui l'avait toujours seulement considéré comme un abruti machiste, voilà qu'il l'effrayait, définitivement. « J'te préviens, blondie, encore un de tes caprices et tu subiras le même sort que celui qu'on réserve aux sangs-de-bourbe. T'es pas une privilégiée, t'as le même sang que la vermine qu'on traque et jamais tu pourras prétendre au rang des autres. Pigé ? » Et terrorisée, elle acquiesça. ――――――-―• 2001 ― Remember what the people said "When it's said and done, let it go." •――――-――― Le menton posé dans le creux de sa paume et l’index de son autre main en train d’enrouler une mèche de ses boucles blondes, Wendy observait calmement son frère, assise sur son lit. Elle le suivait des yeux pendant qu’il ouvrait chaque armoire de sa chambre, chaque placard, chaque tiroir et se saisissait des quelques vêtements restants qu’il fourrait négligemment dans une besace. « Tu es conscient que je ne pourrai pas éternellement te protéger, n’est-ce pas ? » tonna-t-elle d’une voix claire, rompant alors le silence qui flottait dans l’air depuis d’interminables minutes. Pour la première fois de sa vie, Wendy admettait enfin. Elle avait toujours revendiqué et s’était même vantée de son égoïsme, de sa facilité à n’agir que pour son propre bien mais les évènements de ces derniers mois l’avaient fortement poussée à revoir ses priorités. Alors, évidemment, sa petite personne passait toujours avant tout le monde. La blonde en était convaincue et campait sur ses positions envers et contre tous, dans ce monde, ce n’est pas en faisant du social que l’on arrive en haut de l’échelle. Mais aujourd’hui, quelque chose avait changé. Ou plutôt, la survie de Dylan était un nouvel élément dans sa quête du bonheur. C’était un fait, pire qu’un instinct, c’était une envie viscérale qu’elle ne pouvait se résigner à abandonner. « Ah parce que le coup de la dernière fois, c’était dans le but de me protéger ? » Wendy soupira, lasse. Quand bien même elle l’aidait, il n’était pas fichu de lui apporter un peu de reconnaissance. Voilà pourquoi agir seulement pour soi était le meilleur mode de vie. « Un merci suffisait. » répondit-elle, les yeux levés au ciel. Elle le connaissait. Elle savait comment il allait réagir à des kilomètres à la ronde. Elle était parfaitement consciente qu’il lui ferait la morale et lui dirait qu’il n’approuvait pas du tout ses méthodes mais encore une fois, Wendy était butée. Quoiqu’il en dise, elle continuerait à le protéger, à vendre des insurgés à sa place s’il le fallait. Elle aurait tout fait pour ne pas qu’on lui annonce un jour sa capture ou pire encore, sa mort. « Je ne te demande pas de me couvrir. Je suis assez grand pour me débrouiller tout seul. » Un sourire qui en disait long sur ses pensées naissait avec légèreté sur les lèvres rosées de la blonde. Dixit le type qui avait failli y passer pas loin de trois fois avant qu’elle n’intervienne. Il avait beau faire deux têtes de plus qu’elle, il restait son petit frère sur qui elle veillait. Et même si ses parents avaient promis au Magister que s’ils capturaient Dylan, ils n’auraient aucun scrupule à le réduire en tant que rebut ou pire, à l’envoyer à Azkaban, il était hors de question pour Wendy qu’elle ne fasse rien pour le couvrir. « Tu es des leurs, je ne veux même pas que tu me protèges. » déclara-t-il sans appel, plongeant encore une fois sa main dans son sac pour y glisser un pull - hideux, eurk, et encore, selon Wendy, le mot n’était même pas assez fort - en laine. La jeune femme se leva dans l’optique de vérifier son reflet dans la glace et remit pour la énième fois en place ses cheveux, ignorant d’ailleurs les remarques du miroir qu’elle avait si souvent entendues ( « arrête un peu de me monopoliser et laisse de la place à ce garçon qui mériterait d’ailleurs un petit coup de peigne ! »). « Je ne suis pas des leurs. » répliqua-t-elle calmement, d’un ton un poil désintéressé. Elle n’avait pas envie de se lancer une nouvelle fois dans cette discussion qui s’avérait être à chaque tentative un débat stérile. C’était inutile. De la perte de temps, pour lui comme pour elle. Mais Dylan s’entêtait. Comme quoi, le caractère buté était décidément de famille. « Bien sûr que si. Tu te contentes de minauder sans te mouiller, sans te préoccuper de ce qui se passe autour de toi. Ouvre les yeux, Wendy, ce monde, Tu-Sais-Qui au pouvoir avec son armée de Mangemorts, c’est inacceptable ! » Du même sang, mais pourtant si différents. Wendy avait l’impression d’entendre ses parents lui parler mais d’un avis contraire. Que ce soit d’un côté ou d’un autre, on lui reprochait la même chose : sa passivité. Elle l’avait très bien compris, on attendait d’elle qu’elle se range dans un camp. C’était fait : elle choisissait celui qui lui permettrait de conserver son confort. « Mais qu’est-ce-que je m’en moque comme de ma première cape que Tu-Sais-Qui ou Dumbledore ou un gobelin soit au pouvoir ! Ne me vends pas tes convictions pleines de bons sentiments; Je. M'en. Fiche. Et tu ferais mieux de faire comme moi au lieu de courir dans les bois à la recherche d’un peu de terre à manger ou que sais-je. Abandonne, Dylan. Ce n’est pas ton combat, ce rang d’insurgé ne te sied pas. Tu n’es pas un héros. » Elle s’était tournée vers son frère et le fixait d’un air autoritaire, les bras croisés contre sa poitrine. « Oui, c’est sûr que toi, ton objectif premier, c’est d’être couronnée la plus belle du monde ou un truc du genre. Tu ne te sens absolument pas concernée par la situation. » « Exactement. » Voilà qui coupait court à la discussion. Ce n’était pas une première. Ils se disputaient presque à chaque fois qu’ils se voyaient et jamais ils n’avaient fait preuve d’un seul geste d’affection. Finalement, c’était leur moyen de communication. Ils se montraient leur amour fraternel en se reprochant tour à tour leurs positions vis-à-vis du gouvernement. « Je vais y aller, je sais que Père et Mère rentrent bientôt. » La jeune femme lui fit un bref signe de tête puis recula légèrement pour le laisser au centre de la pièce. Dylan lui adressa un dernier regard et son corps pivota, le transplanant alors vers une destination dont Wendy ne voulait même pas entendre parler.
Dernière édition par Wendy Clarke le Sam 1 Nov 2014 - 0:19, édité 11 fois |
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| Non mais le mec il me dit qu'il a préparé son message depuis cet aprèm et tu me sors ça, PUBLICITÉ MENSONGÈRE. Trahison, disgrâce l'esprit du mal est marqué sur ta face. J'attends un meilleur accueil, pustule va ! |
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| A chaque fois j'te fais des accueils de folie, tu réponds jamais, tu te fous de qui Nan bon, en vrai, je vais aller chercher mon journal intime, comme ça je pourrais y écrire : "Cher journal, aujourd'hui ça fait 8 mois que j'ai pas niqué, mais je m'en fous, Clodo s'est inscrite sur Excidium" J'suis content que t'ais accepté de venir ma grosse, même si tu m'auras bien cassé les chocogrenouilles avec ton perso' à la con :siffle: D'ailleurs, très belle plume, ton style d'écriture par moment me tient en haleine (les vrais comprendront) Booon je maintiens le fait que le patronus de l'oie lui irait à merveille :siffle: et qu'elle aurait dû s'appeler Eileen pour Come On Eileen (t'as aucun respect pour notre amitié wesh, enfin, pour ça, faudrait déjà que tu retiennes la date de notre amiversaire ou de mon anniversaire, ça serait pas mal aussi ) mais à part tout ça, j'ai déjà hâte de jouer avec toi, admire ce nom de ship : Wendyk ON AURA NOTRE SUJET DE NOËL VERSION HP INCHALLAH MEC ! - Citation :
- elle pourrait porter un Horcruxe en connaissance de cause juste pour sa beauté
A peine tâche la meuf :siffle: mais +1 pour la phrase Bon allez, j'termine ce message de bienvenue avec classe et dignité (et bordel, t'as intérêt à y répondre en bonne et due forme, et non pas comme la dernière fois ) : https://www.youtube.com/watch?v=B-kx9YgItFY MY HIPS DON'T LIE (vise-moi ce smiley) Ceci était un message de la reine danoise. |
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