Une minute de silence pour sa veste sur-mesure d’un créateur sorcier mondialement connu – l’une de ses possessions qu’il n’a pas pu se résoudre à revendre dans le but de remplir ses placards de nourriture. Ce gouvernement est vraiment pourri jusqu’à la moelle, personne ne se soucie de ses rouflaquettes qui sont laissées sans produits de soin. Et maintenant, même sa veste est foutue et il pleut encore et puis quelqu’un (Neelam jtmp) lui rentre dedans ; joie. Non seulement on lui rentre dedans comme s’il était un pauvre déchet qui s’est égaré par terre mais en plus, le gens ose montrer de l’agressivité à son égard ? « Tu pouvais pas regarder où tu fous les pieds ? » Arsenius la toise avec tout le mépris dont il possède, même dans sa position. « Plaît-il??? C’est toi qui – » il s’interrompt, se rendant compte de sa répartie puérile du ‘’c’est pas moi c’est toi’’ parce que Arsenius Lestrange est quelqu’un de parfaitement mature, thank you very much. Bizarrement, elle se permet quand même de lui venir en aide en lui tendant la main. « C’est bon, remets toi. » Il regarde la main tendue suspicieusement mais l’attrape quand même, notant la poigne ferme de la gamine. À présent debout, il se rend compte que son visage lui est familier, hm, il ne l’a jamais rencontrée mais il l’a définitivement vue dans les vieux grimoires familiaux. « Rosier… ? » Merci à sa mémoire eidétique. C’est à cause du mariage de son oncle Rodolphus avec Bellatrix Black qu’il a fait ses recherches, les Black étant apparentés aux Rosier. Cousine d’un taulard et d’un sans-domicile-fixe, c’est pas facile, pauvre gamine. Soudainement, quelqu’un (Ambroise) passe tout près d’eux, genre vraiment tout près, avec une pluie de crapauds lui tombant dessus. Arsenius se retient de pousser un cri en voyant les immondes créatures quand il s’aperçoit que l’un des crapauds a réussi à se faufiler dans les cheveux de Rosier. Une minute de silence pour les cheveux de Neelam. « Monsieur, qu’il beugle à l’attention d l’Homme aux Crapauds (Ambroise), vous en avez oublié un sur sa tête ! »

Spoiler:

Tout ce que voulait Angus ce soir-là c’était se détendre dans son fauteuil au coin du feu. Une soirée tranquille après une journée de boulot épuisante. Mais il faut croire que ce n’était pas ce soir qu’il allait pouvoir en profiter. L’alarme de protection de son petit appartement se mit à hurler à tout rompre, lui brisant les tympans. Il se couvrit les oreilles par réflexe et grimaça au son répétitif insupportable. Il se saisit de sa baguette et tenta de l’éteindre, mais rien ne se produisit. Il fronça les sourcils et retenta le coup sans que cela ne fasse encore rien. Il n’eut pas le temps de réfléchir à ce qu’il se passait que sa cheminée crachait violemment une personne (Rolf) qui s’écrasa au sol. La personne se releva péniblement, lâchant un « Holy shit » lui confirmant que c’était un homme. Il l’observa de la tête aux pieds, sous le choc de son arrivée intempestive. Il était couvert de suie et de cendres. Tout se passa ensuite très vite. Sa cheminée explosa sous ses yeux écarquillés. Il eut juste le temps de protéger son visage de ses bras avant de se faire projeter dans la rue par le souffle de l’explosion. « Bordel de merde… » grogna-t-il en se relevant. Il se tourna vers l’autre homme qu’un jeune (Blaise) aidait à se relever. « Putain mais c’est quoi ton prob… » Il s’interrompit dans sa diatribe quand un nuage apparut de nulle part se mit à déverser des trombes d’eau sur les deux jeunes hommes devant ses yeux effarés. Il prit alors le temps de regarder autour de lui et vit enfin le chaos qui régnait dans le quartier. « Qu’est-ce que c’est que cette merde…? » lacha-t-il dans un murmure.
Il se retourne vers les deux autres pour voir qu'une gamine est apparue. Celle-ci pose une question à laquelle il aimerait bien lui-même une réponse. « L'un de vous a une idée de c'qu'il se passe ? » Il intervient à son tour. « C'est ce que j'aimerais savoir moi aussi. »

Résumé:

Rolf est beaucoup trop bourré pour réagir quand on lui marche dessus et qu'on lui tend la main, si bien qu'il n'a même pas le temps de se dire que non, mauvaise idée, avec son don d'empathie; il empoigne la main tendue et parvient à revenir sur ses pieds, malgré l'averse qui lui tombe dessus... et seulement sur lui. C'est pas plus mal, ça lui permet un peu de retrouver ses repères, parce qu'il est complètement sonné et qu'il ne comprend rien à ce qu'il se passe. Quelqu'un d'autre [Mafalda] rentre dans son sauveur [Blaise] et tombe et Rolf se dit que quand même, ce serait sympa que son nuage se mette à partager parce qu'il commence vraiment à être trempé. « I don’t know you. — Well I don't know you, ” répond-t-il tout aussi agressivement, sa rhétorique déjà moyenne mise à mal par l'alcool dans son sang. « L'un de vous a une idée de c'qu'il se passe ? » NON SINON ON SERAIT PAS LÀ- Bon, apparemment, c'est le rendez-vous des cons parce que déjà, un autre gars [Angus] se pointe, il est énervé, Rolf l'entend dans ses émotions. « C'est ce que j'aimerais savoir moi aussi. — Il pleut, vous voyez pas? ” rétorque Rolf avec humeur... jusqu'à comprendre que l'homme à qui il vient de répondre est celui chez qui il a débarqué et à qui il a forcé l'explosion de sa cheminée... parfait. “ Bordel de merde, ” marmonne Rolf en se détournant quand la pluie redouble d'intensité sur ses épaules et qu'il attrape sa baguette dans sa poche en espérant réduire le nuage, au moins, le faire disparaître, au mieux. Un sortilège et... bien évidemment, le sortilège n'en fait qu'à sa tête et bientôt, le nuage les surplombe tous les quatre et en quelques secondes, ils sont trempés. Bien fait, au moins, il sera plus le seul à souffrir. “ Bon allez, salut, moi, je vais me sécher, ” commence à marmonner Rolf avec humeur (et désirant sincèrement que l'autre homme oublie son existence et ne lui envoie pas la facture de la réparation de sa cheminée), passant inlassablement sa main sur son visage pour essayer d'arrêter le flot d'eau qui l'empêche de voir... et puis l'air se charge d'ozone. Oh-oh.

Spoiler:

Sand n'aime pas la pluie. Elle n'a jamais aimé la pluie. Mais souvent, elle a remarqué, à Londres, celle-ci n’est pas très puissante, elle ne trempe pas jusqu’aux os dès qu’on fiche un pied dehors. Elle laisse le temps de s’échapper, surtout quand elle dure, les plus doués pouvant même prétendre à passer entre les gouttes. Et quand elle est drue et abondante, elle n’est jamais longue. Mais cette pluie-là, n'a rien avoir avec celle qu'elle a pris l'habitude de voir tomber: elle n'a encore jamais eu l'occasion d'être suivie par un nuage alors qu'elle court dans la rue pour échapper aux gouttes glacées. Elle aurait pu être à l'abri au mausolée, si elle n'avait pas passé une bonne partie de la l'après-midi dans des quartiers résidentiels hors de Londres, pour chaparder quelques plantes intéressantes dans les jardins et repérer des maisons à proposer aux Breaches pour des cambriolages. Il n'y en a plus assez à son goût, la fin de la guerre a paraît-il causé pas mal de faillites. Et comme souvent, en voyant le mode de vie des sorciers-de-maison comme elles les appelle, des riches, la fascination l'a poussée à rester un peu plus longtemps que prévu, à errer dans les rues, comme avant, quand ses plans ne devaient pas prendre en compte une ribambelle d'autres adolescents. Elle a traîné jusqu'à ce que la nuit tombe et maintenant elle se prend la tempête du siècle dans la figure. Et puis, quand elle pense que ça ne peut pas être pire, un vrombissement résonne dans son oreille droite, trop près de son tympan. Elle pousse un petit cri en découvrant un crapaud sur son épaule et d'un coup de main elle le dégage alors que d'autres lui tombent déjà sur le crâne. Depuis quand ça vrombit un crapaud ? Son nuage crache encore sa cascade d'eau, mais celui qui suit un type (Ambroise) à un mètre d'elle dégage des douzaines de crapauds la minute. « Monsieur vous en avez oublié un sur sa tête ! » Elle veut bien ajouter ses doléances à celle du monsieur (Arsenius) qui beugle contre l'instigateur de ce ce déversement contre-nature et la fille qu'il cherche apparemment à défendre (Neelam): Sand vire les bestioles de sa tête et de ses épaules à mesure qu'elles tombent, mais elles sautent suffisamment haut pour lui remonter dessus si elles le veulent - et plus encore. « Hé M'sieur ! Qu’est-ce que t’as fait pour énerver ton nuage ? » hurle-t-elle pour se faire entendre par dessus le tonnerre qui s'approche. Elle peut courir pour échapper à ces petites bêtes autant qu'elle veut, ça ne sert à rien si son nuage à elle risque aussi de se transformer d'une minute à l'autre en distributeur d'amphibiens.

Spoiler:

Mafalda veut bien que la tempête mette tout le monde de mauvaise humeur, cependant nul besoin d’être désagréable non plus, mais y en a un (Rolf) qui n’est décidément pas d’accord avec sa vision des choses quand il leur répond à elle et un autre type (Angus) qu’elle n'a pas vu en débarquant: « Il pleut, vous voyez pas? » S’il faisait pas au moins une tête de plus qu’elle (sans compter les années qui ont l'air de les séparer, mais eh! ça ne l'a jamais arrêtée) elle lui mettrait bien une claque, parce que si c’est pour faire ce genre de remarques utiles il peut aussi la fermer. Elle l'entend marmonner des trucs pas très orthodoxes et là où ça aurait pu la faire marrer de la bouche d’un autre, chez lui avec sa tête qui lui revient pas et ses remarques inutiles, ça sert juste à le faire passer pour un putain de mal élevé. Quand même il lève sa baguette en la pointant vers son nuage personnel - le concept est fascinant, il faut l'avouer - et elle se dit qu’enfin il va peut-être faire quelque chose de bien sauf que son sort ne sert à rien d’autre qu’à agrandir le nuage et les arroser tous avec lui.  « Bon allez, salut, moi, je vais me sécher » ose-t-il leur dire en guise de toute excuse.  « T'ES SÉRIEUX ? HÉ REVIENS-LÀ ET VIENS RÉPARER TON BORDEL, OH ! J’TE CAUSE LÀ. » Elle en bouffe de la pluie maintenant que le nuage les vise tous les quatre spécifiquement. « HÉ » Elle la ferme quand elle entend quelque chose de différent dans le ciel et voit quelques éclats lumineux (c'est plutôt joli d'ailleurs, y a plusieurs couleurs) grésiller dans le nuage au-dessus de leur tête. « LIGHTNIIIIIIIIIING » Elle hurle en se mettant à courir dans le sens opposé à l’autre con (Rolf) en espérant que le nuage agrandi doive faire un choix et qu’il choisisse le bon type à griller.

Spoiler:

Event 13 ; Magic stormWhen his life was ruined, his family killed, his farm destroyed, Job knelt down on the ground and yelled up to the heavens, "Why god? Why me?" and the thundering voice of God answered, "There's just something about you that pisses me off."

. Mars 2οο4

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Au début, on se dit que c'est un dysfonctionnement du faux ciel de mauvaise facture. Puis que c'est une blague de mauvais goût (mais ce n'est probablement pas pire que de trouver une Beuglante d'insultes tous les matins ou de voir régulièrement les brigadiers venir inspecter son bureau ou sa maison ). A la fin, on se dit que c'est même un petit jeu d'humiliation de la part de la serveuse. Jusqu'à ce qu'elle voie ladite serveuse se faire poursuivre par une armée de verres et qu'elle contaste le mélange d'agacement et de panique qui se pressent contre les fenêtres. « ... on devrait partir. » Inquiète, Nyssandra est déjà debout, les mains refermées sur le manteau large, trop large - aussi large que tous les vêtements portés depuis l'accouchement. « Rejoignons la maison, ça a l'air dangereux ici. » Propose-t-elle en abandonnant la maigre addition sur la table.

Dehors, c'est le chaos et elle est trop occupée à rater ses Impervius (à tremper ses vêtements jusqu'à la trame, même) pour remarquer à temps la sorcière (Mafalda) qui lui rentre dedans. C'est Newton et ses pommes qui l'envoient fesses sur le pavé. « Oh bordel de m- » Et Nyssandra explose, non pas de colère - mais en larmes, littéralement. Parce que, sans doute qu'au final, c'est juste la Magie et la Vie qui ont décidé d'être des putes avec elle. (Et qu'Aramis n'est plus là pour se moquer de ses dérapages de langage)

Spoiler:

Le gamin était stabilisé et Daphne était en train de s’assurer qu’elle le tenait bien. « Il va falloir qu’on se fraye un passage. Surtout si on se retrouve séparés à un moment, on continue. Le but c’est d’emmener ce petit bonhomme au refuge pour qu’il se fasse soigner ! » Daphne hocha la tête. « D’accord. » La priorité, c’était l’enfant. Elles se mirent en marche et rencontrèrent toutes les difficultés possibles : les gens qui les bousculaient, le sol qui les faisait glisser et les coups qui pleuvaient. Même si pour ces derniers, ce n’était la faute de personne. Il fallait bien arriver à survivre au milieu de cette tempête. Un nuage s’était formé au-dessus de leurs têtes et Daphne ne put s’empêcher de laisser échapper un cri de surprise en sentant l’eau se déverser avec encore plus de force sur eux. La progression risquait d’être encore plus compliquée. Elles s’arrêtèrent en plein milieu de leur course. Daphne avait du mal à distinguer où ils allaient à travers toute cette eau. Elle finit par se souvenir qu’elle avait sa baguette en main, elle pointa le nuage et lança un sort visant à l’éloigner et rien. Elle fronça les sourcils et recommença plusieurs fois, mais rien. Quelques étincelles sortirent du bout de bois mais rien de plus. « Vous pouvez essayer vous ? Je sais pas ce qu’il se passe, ma magie ne répond pas. » Le gamin pleurait toujours et stressait Daphne encore plus. Sa magie déraillait. Est-ce que c’était lié à son brainwash ? En attendant le nuage se déversait toujours sur leurs têtes et Daphne avait l’impression qu’il avait redoublé d’intensité niveau quantité d’eau depuis qu’elle avait essayé de le chasser.

Spoiler:

« Il pleut, vous voyez pas ? Mais c’est qu’il se foutait de sa gueule en plus le petit con. Ah non, il semblerait que ça n’était pas vraiment dirigé contre lui s’il en croyait le « Bordel de merde. » marmonné après qu’il ait remarqué à qui il s’adressait. Angus le voit se saisir de sa baguette et lancer un sortilège… qui fait grossir le nuage. Et les voilà tous trempés jusqu’aux os en quelques secondes. Il lance un regard agacé au jeune homme. Il a ensuite le culot de leur balancer « Bon allez, salut, moi, je vais me sécher. » avant de partir comme ça. Complètement offusqué par l’aplomb de ce morveux, il sursaute en entendant la jeune femme crier. « T'ES SÉRIEUX ? HÉ REVIENS-LÀ ET VIENS RÉPARER TON BORDEL, OH ! J’TE CAUSE LÀ.  HÉ » Lui-même se met à bouger et rattrape le jeune homme en trois grandes enjambées avant de la saisir par le col. « Crois pas que tu vas t’en sortir aussi facilement toi ! » Il se retourna en entendant un grondement, le jeune se débattant pour lui échapper. Il plissa es yeux avant qu’il ne s’écarquillent en entendant la jeune fille crier « LIGHTNIIIIIIIIIING » Il leva vivement la tête vers le nuage qui les surplombait, grimaçant en sentant son cou légèrement craquer dans l’opération et vit les éclats lumineux que commençait à produire le nuage. Il ne réfléchit pas et se jeta en avant, entrainant l’autre qu’il tenait toujours par le col avec lui. Il commençait vraiment à en avoir marre d’être projeté par terre à cause de ce type. Il se releva, prenant appui sur ses coudes. Le nuage ne semblait pas vouloir se calmer avec les éclairs. Il sortit sa baguette et tenta de lancer un sort pour essayer de contenir le nuage et les éclairs, mais son sort ne fonctionna absolument pas. Le nuage produisit un nouvel éclair qui se dirigea vers eux, comme attiré par le sort qu’il venait de lancer. Il écarquilla une nouvelle fois les yeux et eut à peine le temps de repousser l’autre et de lui-même rouler sur le côté que l’éclair frappait à l’endroit où ils se trouvaient une seconde auparaavant.

Résumé:

« Monsieur, vous en avez oublié un sur sa tête ! » Ces putains de crapauds sont en train de le rendre dingue. Il va les tuer. Il va tous les écraser. Il va en faire de la bouillie, de la purée, les bouffer en soupe, en faire du ragoût, il jure qu'il va tous les éradiquer, surtout qu'ils sautent vraiment haut et croassent vraiment fort et tout ce merdier fait vraiment peur. Ainsi, quand on le hèle en lui demandant de récupérer ses crapauds comme si c'était sa volonté depuis le début, il se retourne brutalement, attrapant un des animaux pour le lancer de toutes ses forces en direction de la voix, incarnée par un Arsenius Lestrange — fils aîné de Rabastan, et un autre membre de l'Élite. Sa colère est telle que malgré la pluie qui toujours, en plus de ces FOUTUS CRAPAUDS s'acharne sur ses épaules, le crapaud prend feu à mi-chemin en direction du joli visage de Lestrange. “ VOUS POUVEZ ALLER VOUS FAIRE FOUUUU-- — Hé M'sieur ! Qu’est-ce que t’as fait pour énerver ton nuage ? » Il se tourne vers celle qui l'a interpellée, les yeux exorbités, les flammes continuant de sortir de ses mains anxieusement, vite éteintes par la pluie. “ JE SAIS PAS!!!!! POURQUOI JE SAURAIS!!! J'AI PAS VOULU ÇA!!! JAMAIS!!! ” Voilà, il est en train de péter son boulard, avec les interférences de tout le monde qui se mêlent à ses émotions, son empathie décuplée par la magie est RAAAAAH IL VA TUER QUELQU'UN........ c'est là que tous les crapauds prennent feu et se transforment donc en petit projectiles très brûlants et très dangereux, malgré la pluie battante.

Spoiler: