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sujet; event #13 (azkaban) ► magic storm |
FONDA • tomorrow's a mystery Oblivion | Event 13 : Magic storm Thunderstorms are as much our friends as the sunshine.» Contexte PRISON. Le bruit caractéristique d’un verrou que l’on ferme se fait entendre et ils tournent tous la tête, arquant déjà les sourcils, fronçant le nez. Il est pourtant trop tôt pour le comptage, le retour en cellules. Barrières magiques reconstruites trop vites, sécurité changée rapidement à la fin de la guerre, la prison sorcière fait des siennes, mise à mal par des dysfonctionnements de la Magie elle-même, mettant sens dessus dessous les différentes ailes. Déjà on s’excite contre les portes, tentant d’ouvrir la bibliothèque, les ouvertures de la cour, celles du réfectoire et quelqu’un lance « Ca y est, ils nous exterminent, ils nous abandonnent là et nous laissent mourir ! ». Les gardes en panique se mettent en branle pour contrôler le désastre qui se profile : la rumeur qui enfle parle d'évacuation et tout à coup naît l'espoir de revoir l'extérieur, peut-être même de trouver là l'occasion de fuir ? Mais lorsque l’assourdissante alarme anti-émeute se met à sonner sporadiquement s’arrête quelques instants, reprend de plus belle mais en jouant cette fois un air connu — un vieux succès de Celestina Moldubec — vous réalisez que la situation est véritablement étrange, hors de contrôle. Les fondaisons de la prison semblent vibrer, trembler sous le vacarme des vagues, eau et vent s’engouffrant de partout, jaillissant des murs même et du plafond strié d'éclairs qui déverse une pluie inexplicable. Une tempête fait rage. Dehors, dedans. Et au fracas de la météo détraquée s'ajoute le brouhaha insupportable mû par la panique... puis les claquements incontrôlables des différentes entrées qui s'ouvrent, se referment, libérant les uns, piégeant les autres dans des ailes qui prennent l'eau, dans la cour soumise aux assauts de la mer en furie. Le danger est partout et le seul espoir est l'évacuation, mais vous aurez tôt fait de percevoir que les Aurors et Brigadiers envoyés en renfort pour vous aider à déboucher sur la plateforme instable, menaçant de sombrer dans les eaux, ont aussi pour mission de faire discrètement disparaître de nombreux prisonniers... » Rappel ☇ Pour les explications de l'event, c'est par ici. ☇ Faites des réponses courtes, entre 200 et 300 mots. ☇ Pensez à utiliser les dés si vous voulez taper quelqu'un. ☇ Liens vers les autres topics communs : Ste Mungo, Diagon Alley, Quartiers résidentiels. Approuvé par le Ministère de la Magie |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | Oh, viens, viens remuer mon chaudron Et si tu prends comme il faut Je te ferai bouillir une grande passion Pour te garder ce soir près de moi bien au chaud.
COUR. Les rimes supposées sensuelles succèdent sans crier gare à l'alarme sans âme habituelle ; indécemment déplacées lorsque susurrées dans l'antre glaciale de la prison sorcière. Un frisson déplaisant court le long de l'échine de Draco tandis qu'il repousse d'un mouvement brusque la main haineuse qui le plaquait au mur de pierres - si son temps à Azkaban parmi les mangemorts qu'il a trahis est un calvaire de coups bas et de brutalité, les éclairs qui déchirent soudain le voile nocturne sont suffisants pour réfréner, cette fois, l'élan de son détracteur. Les hauts murs barricadant la cour ne masquent en rien le tumulte cernant le sombre rocher : pire que l'agitation habituelle des flots, c'est une véritable tempête qui les cloître dans sa tourmente et l'atmosphère étrangement électrique est de mauvais augure. Il se passe quelque chose d'anormal.
Les vagues d'une hauteur inattendue surplombent les remparts et se brisent à leur sommet, comme aspirant à les franchir, à en noyer l'intérieur. Quelqu'un jure à voix basse et peut-être est-ce l'autre prisonnier, peut-être est ce lui-même - sidérée, Draco ne saurait le dire. Le visage levé vers le ciel menaçant, il esquisse un pas en arrière, un autre, avant de faire volte-face. Comme s'ils n'attendaient que la réaction de l'un d'eux, tous les autres se précipitent comme un seul vers l'ouverture ; mais c'est une dizaine de corps qui se heurtent vainement à l'entrée close, tambourinent, s'emportent, moqués par le chant suave qui résonne par-dessus le fracas des flots. Ils sont enfermés. Coincés. Condamnés ?
- Spoiler:
La cour est verrouillé, groupe de prisonniers coincé à l'intérieur donc concrètement Draco fait........ bah, rien
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Reaghan Phillips | BIBLIOTHÈQUE. Reaghan a les mains plaquées sur ses oreilles et il lance un coup d’œil mauvais en l’air. Il cherche à fusiller du regard cette alarme atroce parfois entrecoupée par la voix (qu’il a du mal à apprécier) de la chanteuse sans forcément se fixer sur un objet en particulier. Il ne comprend pas ce qu’il se passe. « Vous pouvez pas la faire taire ? » Fait-il à un gardien. Habituellement, il se serait pris un coup dans les côtes pour parler sur ce ton, mais pas cette fois. Le gars semble être aussi surpris que lui voire totalement contrarié. Ok donc c’est vraiment inhabituel ce qu’il se passe. Il entend le vent hurler au-dehors de la prison et les vagues viennent se fracasser contre les murs d’Azkaban. Ça ne change pas de d’habitude me direz-vous, mais là, c’est un niveau au-dessus. Reaghan a l’impression que la prison va s’envoler ou s’écrouler sur eux. Avaient-ils annoncé une tempête ? Oui. Les autres prisonniers sont autant agités que lui voire plus. Les portes ne s’ouvrent pas. C’est une situation qui devient vite stressante. Reaghan a essayé de jouer au plus fort à un autre gars pour accéder aux portes et désormais, il goûte la pierre fraîche. La joue plaquée contre le mur et l’oreille qui perçoit vaguement le bruit fracassant de l’extérieur. La fin du monde a sonné ? Il sent le gardien qui le plaque se détacher de lui pour essayer de contenir les quelques prisonniers qui se sont pressés contre les portes et qui tambourinent avec force en gueulant pour qu'on les sorte de là. S’ils ne le montrent pas explicitement, les gardiens ont cette lueur inquiète dans les yeux. Et si eux sont inquiets alors c’est que ça ne sent vraiment pas bon du tout. - Spoiler:
Il gueule après l'alarme et sinon il est pas plus utile que ça. Il a bien compris que les portes vont pas s'ouvrir juste en leur hurlant dessus.
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Elizabeth Atkins | RÉFECTOIRE. Elizabeth ne souvient pas vraiment comment elle s’est retrouvée là, dans cette situation, mais elle regrette déjà de ne pas être restée dans le confort de sa cellule. Dix jours à peine qu’elle était arrivée, trois jours à peine qu’Eirene l’avait rejointe, et déjà les choses tournaient mal. L’alarme anti-émeute lui arrache les tympans – presque autant que la voix de Celestina Moldubec qui s’y intercale parfois – et sa vaine tentative de l’étouffer avec la paume de ses mains se saurait être plus dérisoire. Elle arrive à peine à bouger, prise en étau entre la foule et la porte du réfectoire. Elle s’est levée dans les premières lorsque le son strident s’était déclenché. Si la plupart des prisonniers voyait ce dysfonctionnement comme une diversion parfaite pour fuir ; elle, s’était précipitée vers la porte que dans un but : partir à la recherche d’Eirene. Elles avaient beau avoir retrouvé leur identité, elle continuait à s’inquiéter pour elle comme une sœur et était incapable de l’abandonner. « Je veux pas mourir, » marmonne-t-elle à l’encontre des gardes également ballotés dans le flot de prisonniers. Entre l’alarme assourdissante, le chant de Moldubec et les cris révoltés des détenus, elle n’arrive même plus à s’entendre parler. Elle veut seulement sortir de là. Elle veut seulement qu’on la laisse retrouver Eirene et après elle retournera dans sa cellule sans rechigner. S’il vous plait, supplie-t-elle mentalement.
Elle n’arrive plus à respirer et sa vision commence à se flouter à cause du manque d’oxygène. Elle se sent partir mais l’eau qui s’écoule sur son visage la ramène à la réalité. S’infiltrant à travers les murs et le plafond, la tempête qui sévit à l’extérieur semble se répercuter à l’intérieur. Tout cela est insensé. Les gardiens profitent de l’étonnement de tout le monde pour faire résonner une alarme anti-émeute manuelle et pour plaquer quelques prisonniers au sol. Elle les entend crier par-dessus tout ce brouhaha. « Reculez tous ! Nous n’avons pas l’autorisation de vous faire sortir pour le moment ! Si vous tentez quoi que ce soit nous n’hésiterons pas à sévir ! » Ils leur ordonnent ensuite de se mettre dans un coin et de ne plus bouger. Elle suit les directives sans rien dire, mais au fond elle n’arrête pas de penser : où est Eirene ? va-t-on mourir ce soir ? Jusqu’au moment où les mots viennent à ses lèvres. « Est-ce qu’ils vont vraiment nous laisser mourir ici ? » Elle ne s’adresse à personne en particulier mais aimerait qu’on lui réponde.
- Spoiler:
bon alors, elizabeth était au réfectoire, et quand l'alarme s'est déclenché elle s'est jetée sur la porte uniquement pour partir à la recherche d'eirene, sauf que les autres ont fait la même chose et elle est restée coincée. finalement la tempête a un peu détourné l'attention des détenus et boum les gardiens les ont remis en place le temps qu'ils puissent être évacué (s'ils le sont un jour). si quelqu'un est au réfectoire et veut répondre à elizabeth, genre la gueuser, libre à vous.
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Édouard Douglas | BIBLIOTHÈQUE. Il était tranquillement en train de lire quand l'alarme s'est mise à sonner, et il s'est seulement redressé quand il reconnait la voix de Celestina, la Celestina qu'il écoutait beaucoup à une époque parce qu'Édouard fait sincèrement partie de cette catégorie de personnes qui pensent que la musique c'était mieux avant quoiqu'il arrive. Il mâchonne les paroles, parfois entrecoupées par l'alarme, et grogne quand il se rend compte que les gardiens ont pas l'air d'en mener large non plus, les autres lecteurs commençant déjà à s'activer et s'agiter pour sortir. Les portes sont fermées. Ils pourraient tout aussi bien passer les gardiens à tabac, ils sont nettement plus, pense immédiatement Édouard, avant de se souvenir qu'il est pas vraiment un criminel (si?) et qu'il aimerait bien pouvoir demander une remise de peine tantôt. Alors il ferme brusquement son livre, fouille le plafond à la recherche du transmetteur de l'alarme et une fois trouvé, il lance le livre. Il s'éclate contre le mur à cinq centimètres du transmetteur. Quand il lance le second livre qui s'écrase un bon mètre en dessous, les gardiens le voient enfin. “ HÉ, REPOSE ÇA! ” fait-on quand il s'empare du troisième livre. “ C'EST UNE PROPRIÉTÉ DU GOUVERNEMENT! — Mettez moi Celestina ou alors faITES FERMER SA GUEULE À CETTE PUTAIN D'ALARME! ” rétorque Édouard, se mettant à gueuler au milieu de la phrase, le garde ayant parlé se retrouvant avec la tranche du troisième livre dans le nez, le transmetteur avec le quatrième. Et puis il enchaîne, devenant une véritable catapultes à bouquins, jusqu'à ce que d'autres détenus s'emparent eux aussi des multiples ouvrages du Club Med complexe pénitencier, se les envoyant à la tête, aux gardiens, ou sur le mur en visant le transmetteur de l'alarme.
- Spoiler:
édouard fout la merde il apprécie celestina la céline dion du monde sorcier qui est son grand love et puis ça le fait chier d'avoir l'alarme au milieu de son morceau préféré donc il commence à envoyer des livres sur l'alarme pour la faire taire, jusqu'à ce qu'un gardien se plaigne et se retrouve avec la tranche d'un livre dans la gueule. s'ensuit une bataille avec des livres, seuls projectiles atteignables dans la bibli, pas con le lion. :pokerface: :pokerface: :pokerface: :pokerface:
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Marcus Flint | BIBLIOTHÈQUE. C’est mieux. C’est pas parfait, mais c’est mieux. Ce dosage-là semble un peu plus efficace contre la douleur et c’est loin d’être parfait mais il ne peut pas tellement espérer plus. Le problème, c’est qu’il a toujours autant la gerbe, toujours le crâne dans un étau brûlant et toujours les nerfs en pelote. La bibliothèque n’est clairement pas un lieu que Marcus Flint fréquente volontairement, d’habitude. Le fait d’être parfaitement incapable de lire correctement, même à désormais trente ans, a probablement un lien avec sa rancœur envers tout ce qui est parchemin, bouquins, et autres trucs de c’genre là. Mais ici, la bibliothèque s’avère être le seul endroit – avec l’infirmerie, mais ils ont fini par le mettre dehors - calme. Le seul endroit où les prisonniers semblent vouloir qu’on les laisse tranquille et c’est exactement ce dont Marcus a besoin.
Du silence, et personne pour l’emmerder.
C’est pour ça qu’il est littéralement à deux doigts de pleurer quand l’alarme infâme résonne dans la pièce. Et puis bien vite, c’est tout le monde qui s’agite et même Douglas qui se met à beugler et à balancer des bouquins, alors que Marcus a le crâne entre les mains et ne sait pas trop ce qu’il souhaite le plus : mourir, ou tuer Douglas une seconde fois. Il sait que s’il était plus en état, il ferait probablement la même chose que l’ancien Auror mais là tout ce qu’il veut, c’est récupérer le calme et le silence, avant qu’il ne décide de faire quelque chose qu’il finirait par regretter, comme tuer quelqu’un, par exemple. « Faites taire ce truc ou fermez-la, » gémit-il en s’affalant sur la table devant lui, les mains pressées contre ses oreilles.
- Spoiler:
marcus voulait juste être TRANQUILLE. mais y a cette ALARME de MERDE. et y a douglas qui FOUT LE BORDEL. bref, il est #soûlé. et #useless, aussi.
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Simon Rosier | PARLOIRS. « Get me some cigarettes will you ? » Rosier se prend pour un roi entre les murs d’Azkaban, et pour cause, il a réussi à se mettre non pas un, non pas deux mais bien trois gardiens dans la poche. Il a sa suite, ses privilèges, et soudainement, l’enfermement lui paraît supportable ; il est seul dans sa cellule, peut fumer en paix, personne ne l’emmerde. La sobriété ne lui va pas si mal — lucide, il est pragmatique, et plus dangereux qu’à l’ordinaire sans doute. (Le manque est toutefois là, et sa paranoïa s’aggrave, et il n’a pas l’impression de maîtriser son corps—mais tout ça, tout ça, ce ne sont que de malheureux détails auxquels il évite de trop penser.) Aujourd’hui, c’est un jour assez spécial. Aujourd’hui, il a les tripes sens dessus dessous et la gerbe, à l’idée de voir Elias. De lui parler. Il ignore encore par quel miracle son frère a finalement accepté de faire le voyage jusqu’ici, mais il imagine qu’Anna a dû trouver les arguments pour le convaincre. Et tandis qu’on l’escorte aux parloirs, Rosier doute, ralentit l’allure, de moins en moins certain que cette confrontation soit réellement une bonne idée — bordel, il avait quelque chose à lui demander, quelque chose à lui demander, ce n’était pas une confrontation. Ce n’était pas censé être une confrontation. À peine arrivé, il y a comme un tremblement, mais personne ne s’en inquiète — les vagues sont juste capricieuses. Il s’installe face à la barrière enchantée qui sépare prisonniers et visiteurs, quand l’alarme lui arrache les tympans, entrecoupée de ce tube insupportable de Celestina Moldubec. Il y a Elias, pas loin. Il y a Elias pas loin, et la barrière qui se brouille sous ses yeux avant de complètement disparaître. Son premier réflexe, c’est de partir dans la direction opposée, là où on l’a lâché quelques minutes plus tôt. « Fuck no, » la porte est fermée, ou bloquée, il n’en sait rien, il ne sait pas s’il y a quelqu’un de l’autre coté, alors il se retourne, et tout ce qu’il trouve à siffler, c’est, « tell me you have your wand ». Parce que c’est ce qu’on dit, à l’aîné qu’on a trahi et qu’on a condamné à mort. C’est exactement ce qu’on dit à la personne dont on a foutu la vie en l’air. - Spoiler:
simon :) est :) un :) abruti :) bref il est dans les parloirs avec elias jtm bro et il a une espèce d'épisode de dissociation -- il ne réalise absolument pas que la tempête c'est bien moins grave qu'être coincé avec son frangin euh sinon c'est la merde parce que techniquement y a deux gardiens maxi et puis ils sont bloqués et euh simon est juste con idk
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Reaghan Phillips | BIBLIOTHÈQUE. La situation n’a toujours pas bougé. Ils sont toujours enfermés dans la bibliothèque et tout le monde beugle en même temps que l’alarme et Celestina. Et ça devient insupportable. Même pour Reaghan. Encore plus lorsqu’il entend un gardien gueuler après un prisonnier. Quand il se retourne pour voir contre qui ils en avaient, il aperçoit Douglas qui… est armé d’un bouquin et qui vise le transmetteur de l’alarme. Intrigué, Reaghan s’approche en écartant quelques prisonniers qui sont en train de céder totalement à la panique (bon en les poussant carrément au sol, il n’aime pas qu’on l’approche en lui hurlant à la figure). Des livres ne tardent pas à voler à travers toute la pièce. Reaghan grimace carrément lorsqu’il voit des ouvrages assez vieux s’écraser lamentablement contre les murs. Il s’écarte avant de recevoir un livre en pleine figure et fusille du regard le mec qui lui a envoyé. Il en esquive un deuxième puis un troisième avant de se rendre compte qu’être planté en plein milieu de la pièce n’était peut-être pas une bonne idée. Il se baisse et vient se mettre à côté d’une table. « Faites taire ce truc ou fermez-la, » Entend-il. Y a un autre mec posé sur une chaise juste à sa droite, ah c’est Flint. « C’est pas prêt d’être le cas. T’as qu’à te fourrer des pages de bouquin dans les oreilles. » Fait-il au jeune homme en pointant des pages au sol. La situation ne semble pas se débloquer et ça empire même si on en croit les gardiens qui ont commencé à riposter de la même manière que les prisonniers. Des barbares. Ce sont tous des barbares à s’en prendre à des livres qui n’ont rien demandé. - Spoiler:
Reaghan s'aperçoit qu'on beugle beaucoup un peu plus loin des portes du coup il va voir. C'est un gardien qui hurle sur Ed parce qu'il balance des bouquins. Reaghan est pas trop pour et décide se planquer quand il en voit voler un peu trop prêt de lui. Du coup il tape la discut' à Marcus. Voilà.
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HERO • we saved the world Elias Rosier | PARLOIRS. C’est arrivé juste comme ça, sur un coup d’tête, il a passé plusieurs jours à ruminer dans son bureau jusqu’à craquer – il doit voir Simon. Il ignore quelle partie raisonnable de son cerveau a trouvé cette idée intéressante ou si ce ne serait pas plutôt un produit nébuleux de son esprit en pagaille. Mais c’est devenu une certitude, oui, il doit voir Simon. Il a le cerveau en feu et les milliers de pensées qui s’agglutinent sans qu’il ne parvienne à les démêler, ses mains occupées à faire plusieurs choses à la fois : taper sur le bois de la table en attendant l’arrivée de Simon et s’passer la main dans les cheveux graisseux à plusieurs reprises. Il pourra – il pourra lui parler de sa collection d’aiguilles, oui, pourquoi pas tiens, lui dire tous les bonnets qu’il a tricotés pour Charlie et puis tous les petits pulls quand elle sera plus grande et puis… et puis, mince, il n’était pas censé détester Simon ? Apparemment mais c’est trop vague parce qu’il s’est réveillé y’a deux jours avec une subite envie de voir son frère. Right. Son frère. Qui arrive. Il sourit quand Simon s’installe devant lui au parloir. C’est pas tout à fait le genre de sourire naturel, c’est malaisant, comme si on lui remontait de force les commissures des lèvres. Il s’apprête à parler, à cracher une avalanche de mots sur un ton enjoué et complètement à côté de la plaque quand l’alarme se déclenche. Vite, ses sourcils se froncent, Elias retrouve automatiquement sa posture de héros quand il s’rend compte que la barrière s’effrite et que quelque chose se produit pour dérégler les protections de la prison. Sauf que son expression change encore, tout comme son humeur, il devient tout à coup agité, suit Simon près de l’autre porte, sent une décharge d’adrénaline le parcourir. « Fuck no, tell me you have your wand » – sauf qu’Elias ne l’entend pas, regarde bêtement son frère comme si ça faisait dix ans qu’ils ne s’étaient pas vus. Et c’est peut-être le cas. Mais ils s’étaient vus pendant le procès, lui souffle une voix lointaine qu’il étouffe. Il a probablement pas assez dormi, il n’sait pas vraiment pourquoi son cerveau semble si embrumé, si embrouillé, pourquoi ses réactions sont aussi décalées mais il prend son frère dans ses bras alors que y’a une tempête magique dehors. « Brooo », et il lui tapote le dos. Et puis il s’écarte quand le plafond commence à vomir une flotte sur eux et les mots de Simon atteignent finalement son cerveau. « Oups, non, ils ont tout pris, même mes aiguilles à tricoter », ses sourcils se froncent de nouveau alors qu’il fixe Simon. Il voulait lui parler de quelque chose – c’était quoi déjà ? Margot ? - Spoiler:
elias est en train de faire une crise??? il a un regain d'énergie, a l'impression que ses pensées fusent trop vite dans tous les sens, a pas dormi depuis quelques jours et a eu une soudaine envie de voir simon?? bref, le dude est là, et a même hug (!!!) son bro alors qu'ils sont en pleine tempête et qu'il est censé le détester (à priori sauf que comme c'est la fiesta dans sa tête il sait pas ce qui s'passe). il apporte pas grand chose en soi, c'est juste pour des feels #elimon avant qu'il ne foute son poing dans laggle du bro (jtm)
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Édouard Douglas | BIBLIOTHÈQUE. “ FLINT!!! ” Son hurlement perce l'air, et le bruit infernal de l'alarme, alors qu'il aperçoit Marcus Flint, pitoyablement en train de se laisser aller contre une table, la tête dans les mains; il semble avoir son attention, pourtant, parce que les deux billes bleues de l'ancien Mangemort se lèvent vers lui. Cet homme l'a littéralement tué. Enfin pas littéralement, puisqu'il est là aujourd'hui, mais presque. Mais surtout, cet homme — ou plutôt, ce sac à merde — a tué son petit frère, Derek. Le premier livre que lance Édouard dans sa direction tombe sur le coin de la gueule du prisonnier à côté de lui [Reaghan]. “ DÉSOLÉ, MATE, ” fait Édouard sans lui adresser un regard, un bras tenant plein de livres contre lui tandis que l'autre s'empare déjà de la tranche d'un deux, l'envoyant une nouvelle fois en direction de Flint, espérant toucher sa précieuse colonne vertébrale, c'est un mystère pour personne que le fameux Marcus Flint a des problèmes de dos, non pas qu'Édouard s'intéresse de près ou de loin au Quidditch. Il s'approche, envoie plein des livres, jusqu'à se trouver de l'autre côté de la table, le Mangemort handicapé n'ayant pas eu le temps de bouger pendant la tempête de bouquins; autour d'eux, la rixe continue, les hurlements des prisonniers, les mises en garde de plus en plus faiblardes des gardes. “ Found you, ” agrémente le loup-garou, avant de se lancer de toutes ses forces sur son ennemi, ses mains se refermant sur ses épaules alors qu'il le jette sur le côté, avec violence, comptant bien finir ce qu'ils n'ont pas pu conclure à Pré-au-Lard.
- Spoiler:
édouard voit marcus et lui envoie des livres (un d'eux touche reaghan, sorry bro) à la gueule pendant qu'il s'approche, avant qu'il se jette sur lui (PAUVRE HANDICAPÉ!!!) pour lui nik sa race
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