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sujet; Demande de particularités |
| *viole Clyde, et tant pis si c'est pas le bon compte ö * Merciiiii *O* |
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| Liam O'Daire ; semi-loup. Motivation ; être semi-loup est une vraie identité pour Liam et les membres de sa famille. A chaque cinquième anniversaire d'un enfant mâle du clan, ils sont griffés le long de leur flanc et sur leur tibia et c'est à partir de ce moment-là qu'ils deviennent des membres à part entière de la famille. Ce rituel est presque sacré, il dure depuis des siècles. Dans la répartition des tâches du village, il revient aux O'Daire de s'occuper des travaux les plus physiques, les plus difficiles grâce à leur excellente condition. Ils ont toujours acceptés de s'occuper des tâches mêmes les plus ingrates et ont toujours caché ce rituel. On pourrait même parler d'héritage familial, en plus de la magie. C'est vraiment l'épicentre de leur particularité et toute l'identité de mon personnage. De plus, je pensais en faire la justification de la descente des Rafleurs dans le domaine de la famille O'Daire. Leur neutralité était trop pesante, leur nature était trop dérangeante. Ils ont osé espérer le soutien des rebelles, qu'ils avaient pu aider malgré eux (parce qu'ils aident leur prochain rebelle ou non, même si ce sont des ours des montagnes rustres et parfois brusques). Liam se rattache à ça désormais, car c'est la seule chose qui ne lui a pas été enlevée et que personne ne pourra lui enlever. Maîtrise ; griffé à ses cinq ans, Liam a appris à maîtriser cette particularité auprès de ses oncles puisque son père est un moldu. Fougueux, désinvolte, Liam a toujours des carences lorsque les émotions sont trop fortes. La colère, la haine, annulent tout contrôle. C'est son principal problème, il a tendance à trop écouter son coeur et pas assez sa tête, ce qui le laisse s'emporter pour tout ce qui peut réveiller en lui des instincts plus sombres. Il n'en possède pas une maîtrise parfaite, s'il existe peu de sujet capable de lui faire perdre son sang froid, le peu qui existe le rend extrêmement dangereux, à la fois pour les autres mais aussi pour lui-même. Je vous remercie d'avance |
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| Je fais passer en ZA et je m'occupe de ta fiche de présentation juste après, selon la réponse |
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| Merci beaucoup |
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| C'est re moi Elphaba Duchannes ; Métamorphomage. Motivation ; Le symbole de l'abandon. La métamorphomagie est avant tout ce vide suprême dans une existence qui avait tout pour être paisible, rodée, tracée dans la soie et les bijoux. La gosse avait les cheveux bleu, mauves ou rouges, elle avait les yeux changeants, le corps insensible à l'absolu normalité. Ca n'est après tout, qu'un détail, qu'elle seule s'est reprochée. Elle a longtemps vécu heureuse, elle se pensait petite française simplement un peu exceptionnelle dans une société faite de travail, de mérite. Et la lettre de Poudlard est arrivée, tout s'est cassé la gueule. Pourquoi une Duchannes irait-elle à l'école de sorcellerie anglaise ? Parce qu'elle est née sur le sol anglais, parce qu'elle est un bébé trouvé, un bébé délaissé, un bébé posé sur le pavillon d'une résidence de vacances à une période durant laquelle Emma Duchannes tentait de sortir de la dépression. Lignée respectable tentant de retrouver une pureté perdue. Ils sont purifiés aujourd'hui.. et personne ne songe à souffler qu'Elphaba pourrait être autre chose. Elle a ce don, exceptionnel, qu'une ancêtre très lointaine, dit-on, possédait. Mensonges. Elphaba assume ses colorations farfelues d'une époque révolue parce qu'il le faut, parce que c'est la guerre, mais elle traîne des déboires. Elle a tenté l'alcool, les aventures d'une nuit, même pas fini ses études. Et un jour, elle s'est mariée, elle s'est rangée, devenant la petite bourgeoise parfaite, miss chichi pompom faisant tout pour maîtriser sa faculté, sortir de la fatalité. Le fait est que depuis la mort de son époux, elle songe sérieusement à mettre cette faculté au service d'une insurrection qui aurait bien besoin d'aide. Mais comment les amis d'antan pourraient-ils lui pardonner d'avoir épousé un Mangemort ? Elle avait, elle, le moyen de se fondre dans le décor, dans la masse, pour agir. Ex-Gryffondor lâche ou vendue. Une auteure au service d'un gouvernement exécrable qui pourrait vendre ses connaissances, ses anciens camarades pour quelques gallions. Pour Elphaba, la métamorphomagie ramène à ses origines qu'elle a longuement cherché et trouvé en la personne des Dollwound et la métaphore d'un avenir à double-voie qui s'ouvre devant elle. C'est aussi, un peu, ce qui lui permet d'écrire, elle peut être autre mais préfère l'écrire plutôt que le vivre pleinement. Malgré tout, elle ne rejette pas ce qu'elle est, elle accepte simplement très mal de devoir prétendre réellement descendre de ces français si dignes. Toutefois, Duchannes reste le nom qu'elle a choisi de garder. Ce don devient donc la représentation de tous ses paradoxes, de son côté rebelle à sa partie fondue dans le moule. Elle est rieuse, Elphie, mordante. Mais tout le monde vous dira qu'elle était vachement mieux avec ses mèches roses ridicules - ou si mignonnes. Maîtrise ; Elle a une plutôt bonne maîtrise, mais c'est assez récent, à dire vrai. L'étape 4 a été bouleversée par le deuil, par une vie d'épouse morose sur la fin, ce qui l'a obligée à reprendre certaines bases. Elle use de la thérapie par l'écriture, concentrant ses pensées sur son travail, son imaginaire et les quelques tours de passe-passe glissés dans de rares exemplaires de ses livres. L'étape 5 est toujours en cours, mise en pause lorsqu'Elphaba a désiré se fondre dans le moule d'une parfaite femme, elle a cessé de jouer de son apparence pour simplement fixer la couleur de ses cheveux, retard indéniable lorsqu'on sait qu'elle possède un réel potentiel pour l'observation des autres, de quoi la pousser vers une vraie faculté à jouer les copies conformes. Elle semble se méfier des travers de la métamorphomagies comme un auteur se méfie de l'impact de ses propres personnages sur sa santé mentale. Elle tente donc de concilier ce qu'elle considère comme les risques de folie latente avec la conscience exacerbée que la neutralité ne peut durer qu'un temps. & je sais toujours pas si c'est clair mais merci pour l'attentiiiion |
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| le perso a l'air vraiment intéressant le souci par contre c'est que les explications ne sont pas assez centrées sur le don au final on en sait peu concernant son utilisation, son impact sur le quotidien de ta brune... d'un point de vue politique également, les métamorphomages sont assez convoités je crois — du coup faudrait prendre en compte le fait que Voldy voudrait sans doute pouvoir user de ses capacités |
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| Je savais bien que mon neurone suivait plus après 23h J'ai ajouté les paragraphes manquants en espérant que ce soit plus clair Elphaba Duchannes ; Métamorphomage. Motivation ; Le symbole de l'abandon. La métamorphomagie est avant tout ce vide suprême dans une existence qui avait tout pour être paisible, rodée, tracée dans la soie et les bijoux. La gosse avait les cheveux bleu, mauves ou rouges, elle avait les yeux changeants, le corps insensible à l'absolu normalité. Ca n'est après tout, qu'un détail, qu'elle seule s'est reprochée. Elle a longtemps vécu heureuse, elle se pensait petite française simplement un peu exceptionnelle dans une société faite de travail, de mérite. Et la lettre de Poudlard est arrivée, tout s'est cassé la gueule. Pourquoi une Duchannes irait-elle à l'école de sorcellerie anglaise ? Parce qu'elle est née sur le sol anglais, parce qu'elle est un bébé trouvé, un bébé délaissé, un bébé posé sur le pavillon d'une résidence de vacances à une période durant laquelle Emma Duchannes tentait de sortir de la dépression. Lignée respectable tentant de retrouver une pureté perdue. Ils sont purifiés aujourd'hui.. et personne ne songe à souffler qu'Elphaba pourrait être autre chose. Elle a ce don, exceptionnel, qu'une ancêtre très lointaine, dit-on, possédait. Mensonges. Elphaba assume ses colorations farfelues d'une époque révolue parce qu'il le faut, parce que c'est la guerre, mais elle traîne des déboires. Elle a tenté l'alcool, les aventures d'une nuit, même pas fini ses études. Et un jour, elle s'est mariée, elle s'est rangée, devenant la petite bourgeoise parfaite, miss chichi pompom faisant tout pour maîtriser sa faculté, sortir de la fatalité. Le fait est que depuis la mort de son époux, elle songe sérieusement à mettre cette faculté au service d'une insurrection qui aurait bien besoin d'aide. Mais comment les amis d'antan pourraient-ils lui pardonner d'avoir épousé un Mangemort ? Elle avait, elle, le moyen de se fondre dans le décor, dans la masse, pour agir. Ex-Gryffondor lâche ou vendue. Une auteure au service d'un gouvernement exécrable qui pourrait vendre ses connaissances, ses anciens camarades pour quelques gallions. Pour Elphaba, la métamorphomagie ramène à ses origines qu'elle a longuement cherché et trouvé en la personne des Dollwound et la métaphore d'un avenir à double-voie qui s'ouvre devant elle. C'est aussi, un peu, ce qui lui permet d'écrire, elle peut être autre mais préfère l'écrire plutôt que le vivre pleinement. Malgré tout, elle ne rejette pas ce qu'elle est, elle accepte simplement très mal de devoir prétendre réellement descendre de ces français si dignes. Toutefois, Duchannes reste le nom qu'elle a choisi de garder. Ce don devient donc la représentation de tous ses paradoxes, de son côté rebelle à sa partie fondue dans le moule. Elle est rieuse, Elphie, mordante. Mais tout le monde vous dira qu'elle était vachement mieux avec ses mèches roses ridicules - ou si mignonnes. ≤ Du côté de l'utilisation, elle s'en est beaucoup servi à l'époque de Poudlard, Gryffondor un peu farceuse, n'aimant pas tellement suivre les règlements, c'était clairement une aubaine pour se faire des amis, faire payer les emmerdeurs ou échapper à la surveillance. Bon, elle maîtrisait pas complètement donc y avait des ratés et y a eu des heures de colle mais elle en faisait pas grand cas. Quand Ombrage a débarqué à la direction, elle l'a assez mal vécu, la métamorphomagie lui a échappé, elle a découvert le côté moins plaisant de la chose, un talent désobéissant à sa volonté et bien trop influencé par l'ambiance morne. Elle a quitté l'établissement peu après. Elle a tenté d'oublier un peu son identité, à la recherche de ses origines et la pratique lui a servi à faire son enquête, jouant de tous les stratagèmes pour coller à l'image que désiraient les hommes capables de l'informer - et malheureusement, elle a surtout perdu pieds. Maintenant elle en use pour les effets de style, pour la promotion de ses livres aussi, elle sait qu'on se méfie des métamorphomages, que le gouvernement les convoite mais refuse de céder à une quelconque pression. Elle se revendique artiste, libre-penseuse et si ses oeuvres n'attaquent jamais la politique du gouvernement -jamais directement ou clairement-, elle a une fâcheuse tendance à une provocation qui pourrait lui coûter sa tête quand on lui propose de quelconques emplois. Plus la situation se dégrade, plus elle s'acharne à avoir le contrôle et la souplesse mentale afin de protéger ce qu'il lui reste de famille : sa fille. Et si ça doit un jour passer par l'espionnage pour l'un ou l'autre camp, elle préfère avoir le plein contrôle sur l'intégralité des étapes, histoire de donner le plus de chances possibles à son petit ange : l'erreur ne serait plus permise. Même si pour l'heure, elle fait passer l'entraînement pour un simple entretien de ses facultés - la grossesse avait absolument tout déréglé chez elle, ça a été un long conflit familial. C'était une épouse respectable et discrète qui a changé au décès de son époux, elle se sait donc surveillée, potentiellement en danger, mais on ne change pas une Gryffondor, n'est-ce pas ? Les cheveux qui virent au mauve, les yeux jamais de la même couleur, les looks un peu étranges par périodes, elle assume, elle compose avec les émotions, elle fait oublier si nécessaire par sa personnalité ou le charme. Jouer les caméléon schizophrènes ? C'est son quotidien Disons que ça n'est pas franchement le genre de femme à renier entièrement sa nature, elle est née avec, elle a parfois eu du mal à en accepter le poids, mais elle a passé l'âge de jouer les enfants désirant une normalité de toutes manières inaccessible. On ne peut être heureuse qu'en étant soi-même. C'est ce qu'elle est, qu'on l'approuve ou pas. Le dicton pour vivre heureux vivons cachés, très peu pour elle. Maîtrise ; Elle a une plutôt bonne maîtrise, mais c'est assez récent, à dire vrai. L'étape 4 a été bouleversée par le deuil, par une vie d'épouse morose sur la fin, ce qui l'a obligée à reprendre certaines bases. Elle use de la thérapie par l'écriture, concentrant ses pensées sur son travail, son imaginaire et les quelques tours de passe-passe glissés dans de rares exemplaires de ses livres. L'étape 5 est toujours en cours, mise en pause lorsqu'Elphaba a désiré se fondre dans le moule d'une parfaite femme, elle a cessé de jouer de son apparence pour simplement fixer la couleur de ses cheveux, retard indéniable lorsqu'on sait qu'elle possède un réel potentiel pour l'observation des autres, de quoi la pousser vers une vraie faculté à jouer les copies conformes. Elle semble se méfier des travers de la métamorphomagies comme un auteur se méfie de l'impact de ses propres personnages sur sa santé mentale. Elle tente donc de concilier ce qu'elle considère comme les risques de folie latente avec la conscience exacerbée que la neutralité ne peut durer qu'un temps. Du coup c'est un pavé monstrueux |
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| Bonsoir. Je viens en paix. Juno Saitō ; Empathe Motivation ; Bah ! Je voulais être Empathe parce que ça sonnait bien et tout Je suis très motivée pour l'être, ci-joint une bourse remplie de gallions Plus sérieusement, le personnage de Juno est plutôt centré autour de ce don ; c'est lui qui a forgé sa personnalité lunatique, agoraphobe, solitaire. Elle a souffert depuis son enfance de cette capacité à ressentir les émotions des autres et s'est longtemps coupée de toute relation sociale par peur de ne « plus être elle-même ». À force d'essayer de cloisonner son esprit – en faisant la différence entre ses propres aspirations et les sentiments des autres –, elle a fini par rendre les siennes encore plus vives, d'où son impulsivité et son incapacité à se maîtriser en présence des autres. Alors qu'une fois seule, elle se révèle froide, et a tendance à voir les émotions de façon "mécanique" ou comme un outil. Sa capacité l'a beaucoup aidé à comprendre les autres même si elle restait éloignée d'eux. Paradoxalement, à les observer, à ressentir leurs émotions, elle les comprend beaucoup mieux qu'eux-mêmes et sait mieux les conseiller, les écouter, etc, que les autres, alors qu'elle n'aime pas vraiment les gens. Sur sa fiche, avec son prénom, je faisais référence à la dualité de la déesse Junon ; c'est exactement ça avec elle. Sa dualité intérieure, à cause de (ou grâce à) son don, en fait quelqu'un de très complexe et d'imprévisible. Elle se sent obligé d'aider les autres pour « avoir la paix » mais en même temps, quelque part, elle apprécie de faire sa p'tite bonne action du jour parce que c'est pas une mauvaise bougresse. En gros, elle crache sur les gens parce que c'est trop des cons mais comme elle veut pas se sentir comme eux, elle encaisse et elle aide. De plus qu'en temps que Rebut, je comptais l'amener à utiliser son don pour son futur maître. Tout dépendra de leur relation mais soit elle l'aidera vraiment, soit au contraire, elle lui mentira avec joie (ce qui pourrait fortement se retourner contre elle.) Maîtrise ; Sa maîtrise est variable. Comme Juno se retrouvait souvent seule, elle n'est pas devenue complètement dingue. Elle l'a travaillé à échelles croissantes : d'abord sur sa mère, sur ses deux parents, sur sa famille entière et finalement, à Poudlard, elle n'a pas eu le choix de s'attaquer à un gros morceau. Ça lui ait tombé sur le coin du nez. Mais il y a une conséquence : le fait de ne pas avoir été en contact permanent avec la possibilité d'utiliser son don fait qu'elle a beaucoup de mal à se maîtriser en présence d'autres personnes (surtout en nombre très élevé). Elle sait l'utiliser correctement quand elle se concentre. Seulement, comme je le disais plus haut, à force de vouloir dissocier ses émotions de celles des autres, elle a tendance à s'emporter et à ne pas forcément savoir mentir (voilà pourquoi je disais que mentir pourrait se retourner contre elle.) Elle explose, quoi. Elle finit par dire ce qu'elle pense vraiment comme pour s'en convaincre vraiment. Ça pourrait donner des scènes assez cool Edit : J'ajoute aussi que son expérience à Azkaban a grandement contribué à améliorer la maîtrise de son don, ou sinon, elle serait devenue complètement dingue là-bas. Voilà, si vous avez d'autres questions... Et si vous voulez d'autres gallions... |
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HERO • we saved the world June Winchester | Vos demandes sont en ZA |
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