“ There will be no tenderness, no tenderness, I will show no mercy for you, you had no mercy for me. The only thing that I ask, love me mercilessly. ”
Tu le sais. Avant même que ses pas ne frôlent ton sol, tu sais qu'elle arrives, tu le sens, dans l'air plus lourd, dans tes muscles tendus. Tu le sens, tu les vois, ses doigts qui glissent partout, ses doigts destructeurs. Elle est chatte qui se frôle partout. Tu le sens, tu la vois et rien que, ça te rend fou. Elle te dégoûtes dans sa lascivité, dans ses pas de félines alors qu'elle est un louve. Tu en oublies de respirer et il faut que tu te le répètes. Tu tentes de chasser ses images de ses hanches qui t'invites à les briser, son corps cruellement séduisant, ses ongles pointus. Mais quand elle n'est pas là, elle est partout. Elle te tortures même de loin, de très loin. Même si elle approche présentement. Que tu le sens dans ton poil qui s’irise. Animal, purement et simplement, tu te mets à tourner en rond. Ou du moins, en ce que ta vingtaine de centimètre de chaines te permettent de tourner. Elle est toute proche. Tu entend Bint se plaindre pour avoir un peu d'aide, parce qu'elle devient folle ici. Pas toi, tu ne deviendras pas fou, tu le refuses. Plutôt mourir.
Tu voudrais mourir à l'instant où tu l’aperçois. Si belle qu'elle t'en donnes envie de vomir. Non. Tu ne peux pas la trouver aussi attirante, tu craches sur tes désirs, prétend qu'ils ne sont pas vrais, qu'ils n'ont jamais existé. Sa langue, coulant, doucement sur ses lèvres, comme la louve, quand elle a faim, tu ne sais plus comment respirer. Tu ne veux pas qu'elle soit là, tu ne veux pas qu'elle soit loin. Tu te déchires et un obscure nombre de morceaux. Tu es des pièces détaché, tu vas la tuer, la faire se sentir vivante. Elle t'enrage, elle te calme. Elle ne te fait rien, mais pourtant elle te fait tout. Quand elle referme la porte, y collant son corps c'est pire. Tu la veux sauvagement, sans la moindre tendresse. Tu la veux à lui en faire mal, à la faire crier. Tu ne te supportes plus, ni toi, ni elle. Tu te déchires, tu la veux aussi loin que tu la veux près de toi. Les deux te font mal d'une façon que tu ne peux expliquer. Tu es nerveux, tournant encore en rond, ton regard ne se séparant pas d'elle. Le son de ses talons est insupportable. Des coups de marteau contre ton crane. Et que dire de cette jupe qui dévoilent ses cuisses, cette jupe que tu arracherais des quelques coups de dents et de griffes. Tu la veux nue, comme toi, tu la veux morte, dans tes bras. Vous morts, ensembles. Elle s'approche narquoise, écoeuramment belle. « Comment se porte mon toutou ? Il a faim, mmn ? » Demande-t-elle alors que tes dents se serrent plus intensément ensemble. Que tu la regardes, que tu lui envoie tout ta haine. Elle se penche, elle est belle quand elle se penche, quand elle se lève, quand elle marche, quand elle arrêtes, quand elle dort, quand elle te fait mal, toujours, constamment et c'est souffrant pour toi. Quand elle s'accroupis, offre sa poitrine à ta vue, celle dont tu rêves, depuis trop longtemps.
Son parfum. Tu le sens. Toujours. Il embaume la maison, même quand elle n'est pas là. Tu as beau te rouler dans la saleté, l'odeur de ta propriétaire est sur toi, même quand on demande à Bint de te laver. Elle ne te frottes jamais assez fort pour que ça parte, la putain d'odeur de Dulci. Tu veux qu'elle parte, mais pourtant. Pourtant quand ta propriétaire part de la maison, elle s'en va doucement son odeur. Elle s'échappe et ça t'effraie, alors tu le retrouves, ce but de tissus lui appartenant. Ce mouchoir, dérobé, oublié, volé. Tu le retires et tu le renifles jusqu'à hyperventiler, jusqu'à ce qu'elle revienne. Tu es si pathétique que souvent tu voudrais en pleurer, mais tu ne peux pas, c'est ce qu'elle veut, c'est exactement ce qu'elle veut. Te manquer, te rendre fou, comme elle l'as toujours fait. Son parfum est encore plus intense depuis qu'elle est entrée dans la pièce. Il t'étouffes, t'asphyxie. Tu ne demandes pourtant pas mieux alors qu'il t'agresses dans sa proximité. Son odeur vanillé, naturelle pourtant, qui varie selon les saisons. Toi pourtant, tu les mémorises, tu les apprivoises, tu veux te les approprier, te rouler dedans, en boire et le vomir, parce qu'il te pourrira de l'intérieur, comme elle. Ton nez se retrousse pourtant pour humer l'air trois petits coups. Un long grognement s'échappes de toi. Un avertissement qu'elle ne prend pas au sérieux, inclinant sa tête d'un côté, puis de l'autre. Tu l'avais avertis, pourtant et elle continuait. Tu te sentais menacé alors tu t'élançais vers elle comme un imbécile oubliant ses chaînes. Tes dents claquaient dans les airs pourtant avant que ta chaîne ne te retires vers l'arrière, ton collier de torture blessant ton cou dans un grognement de douleur. Diablesse. Tu t'éloigne d'elle en chancelant, en te traînant. Ton ventre grogne alors que tu te recroqueville en boule. Tu as faim. Tu as soif. Ta tête te tournes et tu sens tes forces te quitter pendant quelques secondes où tu tentes de te ressaisir. Deux jours que tu n'as pas mangé aujourd'hui. Et encore, ce que tu as mangé il y a deux jour était assez petit pour se cacher dans le creux d'une main, comme une surprise empoisonné te rendant plus mince que tu ne l'étais déjà.
“Love me cancerously, like a salt-sore soaked in the sea. "High maintenance" means your a gluttonous queen, narcissistic and mean. ”
Le tissus de sa jupe sautille sous ses doigts, te laissant entrevoir de dentelles que tu n'as pas goûté depuis trop longtemps, entre ta vie d'insurgé et ton nouveau statut de rebut, sans parler de ton temps reclus avec Davius. Rouge. Comme le sang qu'elle a parfois encore sur les lèvres en fin de nuit. Tu avales difficilement ta salive. Tentant d convaincre qu'elle n'attires pas quand même elle est ta louve. Elle ne peut t'attirer après tout ce qu'elle t'as fait, cette torture qu'elle t'as fait subir ici comme ailleurs. Tu veux lui faire mal, la faire tomber de ses escarpins, tu le ferais certainement si elle était plus près, a ta merci ou encore si tu avais plus de force. Elle me traite comme un cabot, mais c'est pourtant elle qui halète doucement, comme la succulente chienne qu'elle est. Elle lèche ses lèvres alors que se yeux coulent sur moi comme si je n'étais qu'un putain de morceau de viande. Elle n'est qu'une dominatrice, tu n'es pas spécial pour elle, pas tant que la lune n'est pas aussi ronde et belle que sa poitrine. Je ne sais plus si son désir est le mien, le sien ou un savant mélange des deux. Ma respiration s'accorde à la sienne, mes battements aux siens, en harmonie, mon sang se propulse dans mon corps au même rythme, nos sentiments se mélangeant en une seule coupole où se verses la colère, la rage, l'appétit, l'envie, le besoin de l'autre aussi près que loin. Une seul âme pour deux créatures beaucoup trop différentes. Elle prend ce chemin vers ton coeur auquel elle n'as pas le droit. Elle en abuse, est-ce que la lune approches. Tu ne sais plus. Ce pourrait être ce soir que tu ne le saurais pas tellement tu es toujours agressif, perturbé, agité et grognant.
Ses pensées parasites doucement les tiennes dans des images que tu ne voient que de façons très floues. Tu ne veux pas. Tu luttes comme elle luttes alors que tu tentes de lui transmettre la douleur qui fait gargouiller ton ventre parce qu'elle est trop cruelle pour te nourrir convenablement. Si elle ne te donnes pas à manger, tu la boufferas elle. Ton geste ne fait pourtant que faire saigner ton cou, t'étourdissant en l’entraînant avec toi dans ce malaise. Ta bouche est tellement sèche que tu le laisserais cracher dans ta bouche pour te désaltérer un peu. Elle soupire, mécontente de devoir me faire plaisir alors qu'elle sort un bol qu'elle remplis d'eau. Tu es pourtant méfiant. Peut-être qu'elle est bouillante, contaminée ou empoisonnée. Tu ne lui fais plus confiance. Parce que lui faire confiance t'as amené ici. « Ne fait pas le faible, Chav. Bois. » Tu laisses échapper un long grognement. Parce que l'eau, elle ne te l'as pas encore donné et qu'elle assez cruel pour le vider sur ta tête. Elle s'approche alors que tu grognes davantage, mais sans mordre. Elle te menace de sa baguette passant par dessus une chaîne, elle vient poser ton bol d'eau près de toi, te fichant un cou dans une jambe alors qu'un autre grognement t'échappes. « redresse toi ou je ne te nourrirais pas ! » Tu te complais dans un autre grognement alors que tu te redresses pour te jeter sur le plat d'eau, le lapant à une vitesse fulgurante pour un humain, un sorcier. Tu gardes pourtant un oeil attentif sur celle qui s'est irrigué comme étant ta maîtresse.
Le bol d'eau terminé, tu t'éloignes, la regarde sauvagement. Tu n'as plus soif, mais tu as d'autres besoin qui hurlent. Entre celui de te nourrir ou de la prendre comme si elle était ta louve, tu ne sais pas lequel tord d'avantage ton estomac. Tu ne sais même pas réellement à qui est ce désir, mais il est là. Tu le sais et elle le sait. Elle sait tout, de comment tu la désirais à Poudlard, comme t'étais amoureux d'elle quand vous étiez gosses, comment t'avais pas su faire mieux que tirer ses cheveux pour te faire remarquer. Toi aussi, tu savais tout, de ses amants, ceux que t'aurais piétinés, même si ce soir, elle ne veut personne que toi. Tu sais te venger, de toutes façons. Lui envoyant de tes sourires en image lorsqu'elle est dans ses lits luxueux. Lui envoyant des images de ton corps à toi, qui se languis, seul, dans les caves. Tu la hantes, lui donnes envie de s'enfuir pour venir te retrouver, par jalousie, pure jalousie. Pourtant tu fais mine de ne pas la vouloir alors qu'elle t'envoie tous ses fantasmes du soir. Elle serre la pochette, se détournant doucement de moi, m'offrant sa hanche gauche. Tu as faim, tu ne peux pas t'empêcher de tomber pour elle. Tu veux être ce rebut sauvage, indomptable, qu'on préfères tuer que ne pas arriver à dompter. Pourtant elle fait naître en toi des désirs aussi humains que bestiaux. Redresser au niveau de sa hanche, toute près d'elle alors que ton corps s'y penche malgré toi. Tes lèvres effleurant le tissus de sa jupe alors que ton coeur s'emballes. Et tu grognes. Parce que tu voudrais la mordre, lui mordre la cuisse assez férocement pour lui faire payer tout, mais tu n'y arrives pas. Tu as faim, mais tu ne peux lui dire que dans une petite plainte canine, légèrement plus aiguë, parce que tu te languis, d'elle, de nourriture, de caresses, de présence. Tu es réduit à être une petite chienne, un petit soumis parce qu'elle ne te combles en rien et le fait après, pour te soumettre, que tu cesses de toujours vouloir l'agresser comme si elle n'était pas ta louve.
Dès que tu l'avais aperçu, tu savais qu'elle serait dangereuse pour toi, te réduirais à bien moins qu'un homme. Tu ne pouvais pas laisser cela se faire. Puéril gamin, tu ne savais pas gérer ce besoin d'avoir toute l'attention de la belle gamine mulâtre. Tu ne savais pas comment faire taire cet énervement. Tu étais à cet âge puéril où les filles n'étaient que des pleurnichardes qui vous rebutaient, qui n'avaient même pas le droit de faire partie de vos petites cliques. L'âge n'avait rien amélioré. Tu étais toujours aussi abjecte avec elle pour étouffer un désir que, tu en avais peur, elle ne te rendrais jamais. Tu ne voulais pas prendre ce risque qu'elle puisse t'atteindre, te faire mal. Et maintenant, même si tout est différent. Même si elle ne peut pas jouer avec ton coeur davantage que comment elle a osé le faire, tu continues de la détester de tout ton être, tes yeux et ton âme rageuse. Tu ne veux pas la désirer, même si ça bouille en toi. Tu veux lui faire mal, mais lorsque tu pense à la douceur et au goût de sa peau nue lors de votre matin après votre première lune, tu sais que tu n'arriverais pas à te débarrasser d'elle. Elle était pire que ce besoin de nicotine qui brulait encore quelque part dans ta poitrine. T'injectant dans le sang cette nuit où vos doux loups s'étaient unis sous la lune, affamés, amoureux, leur folie romantique coulant encore sur vos propres peau. Comment tu l'avais aimée cette nuit-là, aveuglément, ne souhaitant plus voir alors qu'elle t'enveloppait de la nuit. Faisant une bénédiction de ta malédiction. Elle t'avait fait tomber du haut de cet orgueil que la bête n'avait pas. Même au réveil, de nouveau humain, tu ne pouvais plus séparer ton corps de la chaleur du sien. Tu aurais pu y passer la journée, à dormir, nu, avec elle, dans les bois, contre toi. Encore malade, encore amoureux d'elle malgré le matin venu. C'était avant pourtant, avant qu'elle ne te trahisse, te jettes là où tu méritais d'être. Tu étais sien désormais. Son rebut, son jouet, sa petite chose. Tu avais ce que tu voulais, ce pour quoi tu priais lors de votre matin d'amour, tu étais sien. Tu n'avais simplement pas envisagé les choses de cette perspective. Devenu plus bête qu'humain après tant de tortures, tu ne peux t'empêcher de la désirer avec violence, malgré tout le dégoût que tes envies peuvent t'inspirer. Le loup veut sa louve, veut la dominer, sait qu'elle veut se faire dominer. Tu as envie de vomir, de lui arracher sa robe et d'empoigner ses seins. Tu as envie de la faire saigner pour lui faire payer son crime, votre crime, tu as envie de perdre ton nez dans ses cheveux, vous oublier tous les deux le temps d'une union. Tu veux qu'elle soit à toi, rien qu'à toi, à personne d'autre. L'attacher pour qu'elle soit ta chose à toi. Te venger, la laisser être dévorée par la faim jusqu'à ce que son ventre en pleure. Tu n'arrives pourtant pas à décidé quel besoin t'es le plus vital, manger ou la prendre férocement ? Tu as peur de la réponse, peur de ce qu'elle a fait de toi.
Ton nez se frottant contre le tissus de sa jupe. Tu as faim, tu crève de faim alors que tu t'accroches à elle, toute ses émotions se brouillant en toi pour n'être qu'un amas diffus. Tu as besoin qu'elle te touche, qu'elle te fasse ressentir bien plus. Sa main se glissant alors dans tes cheveux. Elle te caresses doucement alors que tu frottes ton visage à elle, plein d'une tendresse que tu ne devrais pas lui donner. « Bon garçon… » Souffle-t-elle, à t'en faire rager, mais tu restes muet, reste doux contre elle. Te frottant doucement à ses doigts, réclamant plus de caresses. Plus d'amour, assez pour combler ton appétit vorace. C'est armée de sa baguette qu'elle se glisse à genoux à tes côtés. Elle sait qu'elle n'as plus rien à craindre, elle le croit, peut-être naïvement. Elle se penche sur toi, alarmant tout ce qui peut encore brûler en ton ventre. Sa main crispée dans tes cheveux, son corps narguant le sien alors que tu porte toujours tes chaines et se collier dangereux menaçant de détruire ta gorge. Tu la déteste et à défaut de lui cracher au visage, tu fais passer toute ta colère dans tes yeux. Puis elle vient t'embrasse. Ton corps se tord, hurle. Elle te pousse au bout de toi-même. Tu voudrais lui mordre la langue, mais tu la dévorer, la goûte voracement, te mettant hors de toi. Ton souffle est si corps, ton corps si tendu et tu sais qu'elle est assez cruelle pour te laisser ainsi, insatisfait, ne pouvant que rêver de son corps contre le tien. Ta langue roule contre la sienne, le feu te consumant déjà, malgré ta gorge ensanglanté a force que celle-ci s'avance pour approfondir se baiser qui arrive à faire grimper ton excitation à des sommets que tu n'aurais osé imaginer. La douleur est jointe au plaisir par ses doigts tirant sur ton crâne, par ses chaines et ce collier qui lacèrent ta peau. Cette douleur qu'elle t'as appris à aimer, cette bête qu'elle a fait de toi alors que tu serais incapable de prendre qui que ce soit tendrement. Il t'avait déjà forgée pour lui plaire à elle, rien qu'à elle. À ses services, surtout sexuellement. Son corps prend les formes du mien, rendant le supplice plus invivable encore. Tu ne sais pas combien de temps tu pourras résister encore avant d'exploser lors qu'elle se frotte à toi. Il y a longtemps, trop longtemps. Avec ta capture et ton entraînement, il y avait trop longtemps que tu n'avais satisfaite aucune pulsion de ce genre. Elle se frotte à toi, te rendant déjà extatique. Ton désir est tout contre elle et tu ne peux nier ce que ton corps lui hurle, elle le sait, s'en amuse. Et tu ne peut même pas la toucher, tes mains prisonnières empêchant ton désir de s'exprimer autrement que par la dureté de ton envie. Elle remonte sa main jusqu'à ta cuisse alors que tu grogne, qu'elle vient te l'entailler avec ses doigts, que t'en veux encore. Toujours, plus.
Sa main vient agripper l'une de tes fesses nue, venant écraser vos bassins plus férocement ensemble. Elle te torture, se fait plaisir dans un couinent t'arrachant un sourire en coin. Tu as faim, d'elle comme de réelle nourriture. Sans avoir manger, tes reins ne pourront pas fracasser les siens comme tu le voudrais. Tu ne pourra pas lui donner tout ce que tu possèdes, comme tu le voudrais. Elle grogne en saisissant ton besoin, elle n'as pas envie de te nourrir. Tu te frottes à elle, serrant tes dents ensemble, tu rêves qu'elle te touche, poses ses mains ou sa bouche sur toi, satisfaisant l'une de tes faims. Ses dents tirent ta lèvre, tu grogne encore pour te venger. Attrapant sa lèvre inférieur entre tes dents, arquant un côté de ta lippe supérieur dans une moue de bête fâchée montrant les dents malgré la morsure déjà en cours. Tu joue avec la fragilité de sa peau, serrant plus fort, testant comment tu dois mordre avant que son sang ne coule dans sa bouche. Tu lui faisais mal, elle te le rendait bien. Déchirant la peau de ta fesse avec ses ongles pour t'en arracher une autre plainte rageuse. Ton arme blanche, dressée, comme une épée, ne voulait que la faire tienne, se frottant contre son ventre, tentant de glisser sur sa jupe, te faire ta place sans même utiliser tes mains. Tu 'en peut plus, tu n'arrives plus à la haïr. Tu n'arrives plus a te retenir. Tu t'arrachera le cou et les mains si ça continue. Il faut que ça cesse.
« Détaches-moi. » Ordonnes-tu dans un grognement plus que roque, plus loup qu'humain. Tu te fiches de ne plus savoir quel jour vous êtes, quand la lune arrivera, quel mois, quelle heure il pouvait être. Tu voulais être détaché malgré la fureur que pourra jeter son père sur vous. Tu veux la prendre, user de tes dernières réserves d'énergie pour la faire femme, la faire louve, jeter tes louveteaux dans son ventre. Tu l'aimes autant que tu peux la haïr, n'imaginais plus ton avenir sans elle. Ils sont doué pour briser les gens, les Grimaldi. Tu sembles peut-être encore sauvage, mais tu es attaché à Dulcinea plus que tu ne l'avouera jamais. Cela même t'empêchant de la mordre à l'instant pour lui arracher la moitié du visage. Tu la mord pour le plaisir, tu veux te repaître d'elle alors qu'elle s'amuses de toi. « Je te détestes. » Lui craches-tu, ta façon à toi de lui dire que tu la veut. Tu la veut tellement que tu aurais honte si elle arrivait à faire éclater le plaisir au bout de ton sexe sans même avoir à y toucher. Rien qu'en se frottant contre elle, son nombril. Tu refuses pourtant, tu la veux, satisfaire son désir aussi frustré que le tiens. Lui donner ce qu'aucuns autre homme ou femme ne peut lui apporter. Parce qu'elle aussi se meurt lentement de toi. Tu l'obsèdes autant qu'elle fait partie de ta propre peau, son nom gravé bien plus creux que simplement dans ta chair. Tu l'aimes. Tu l'aimes à vouloir la tuer.
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