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Tirez-moi une belle dans cœur
Arrachez-moi la belle dans’tête
Au pire tirez-moi dans dos
Mais tirez-moi une autre femme dans’peau


« J’ai peine à croire que c’était seulement mangeable ! J’dois avouer que j’ai fait n’importe quoi à la fin, pour écourter la visite de ta mère. Enfin … je l’adore, mais là maintenant … erf- »Pour une fois elle avait été semblable à l’idée que tu te faisais sur ta mère, après tout elle avait interrompu un petit jeu assez intéressant et sa remarque t’avais fait légèrement rire. Puis une fois que tu la réinstallas, sur cette table à manger qui vous servait quand vous n’aviez aucune visite, une table plus modeste faite de bois massif. La bague sembla lui plaire, elle la mise à son doigt, mais cela ne la déconcentra pas de son but premier, qui était toi, t’agrippant, collant ses jambes contre tes hanches, ses lèvres retrouvant les siennes. Elle tira sur ton chandail, tu le passas donc par-dessus ta tête, rattrapant sa nuque de tes deux mains pour l’embrasser de plus belle. Alors qu’elle tirait doucement sur l’élastique de ton pantalon, la dernière pièce de vêtements qui te restait sur le dos. « Prend-moi » avait-elle murmuré avant de te mordre l’épaule, collant d’un geste langoureux son bassin au tien. Cela ne prit que quelques secondes, glissant ta main sous ses cuisses, faisant glisser la petite culotte de dentelle le long de ses jambes, lui retirant cette légère barrière. Ne faisant que baisser légèrement ton pantalon, t’insérant en elle doucement, alors qu’elle enroulait ses jambes contre tes hanches. Tu ne savais toujours pas si c’était sa première fois, mais tu restais à l’écoute puisque tu ne voulais pas être trop brusque. Cette sensation de chaleur et d’humidité, là tout au fond elle, elle était si serrée, tu échappas un grognement de satisfaction, agrippant ses hanches alors que tu entamais un mouvement lent de vas et viens.

La laissant te mordre au sang si elle le désirait, ne ressentant que très peu la douleur de sa morsure. Tu t’insinuais en elle, la ressentant se crisper par moment. Elle était si étroite, si mouillé, tu ne pourrais plus jamais manger sur cette table sans repenser à ce soir, sachant ce que vous deux aviez fait dessus. Tu accéléras la cadence, ressentant le besoin, l’urgence d’aller plus vite, d’aller plus profondément. Tes lèvres mordillant sa chair, embrassant doucement la rondeur d’un sein par-dessus les tissus. Elle était si bonne, si chaude, si excitante… Cela faisait si longtemps que tu n’avais rien fait que tu sentais la fin imminente. Tu accéléras la cadence, plus rapide, plus puissant puis tu vins en elle, sans te poser vraiment de question, laissant un grognement de satisfaction. Dans cette précipitation tu n’avais rien mit en guise de protection, ce que tu te disais être stupide maintenant de ta part, elle avait peut-être couché avec plein d’autres hommes et si elle tombait enceinte, bon vous alliez vous mariez, mais ce serait mal vue qu’elle soit déjà enceinte de toi. Peut-être qu’elle prenait ce qu’il fallait pour que cela n’arrive pas. Tu la regardas, te sentant un peu mal de ne pas avoir pu durer plus longtemps, avait-elle au moins apprécié? «Je suis désolé, ça faisait un bail et tu étais si… serrée…ça va?» Tu scrutas son visage, n’étant sûr de rien quant à son appréciation, et si elle était vierge? Elle ne t’avait rien dit en tout cas, mais en même temps, on disait ça à l’homme qu’on aimait, celui avec qui on désirait le faire après un long processus de rendez-vous, couché sur l’oreiller, non? Tu te retiras doucement d’elle, remontant l’élastique de ton pantalon. «Tu… tu n’étais pas vierge, rassures moi, pas que c’est mal, mais j’y aurai été plus doucement si tu me l’avais dit.»

Tu la regardas, elle semblait reprendre son souffle, elle devait manquer de salive, tu l’avais bien entendue faire du bruit pendant, des cris de douleurs ou de jouissance, ça tu n’étais sûr de rien. Tu relevas doucement son visage d’une main sur son menton, histoire de voir son regard. «Hey… ça va, t’as aimé ou?» Toujours là, tout contre elle, ses jambes enrouler autour de ta taille, tu t’étais laissé submergé par l’émotion et le désir, elle t’avait demandé de le faire, t’avais donné le droit et tu avais écouté ta faim. «Tu veux quelque chose à boire, ou à manger peut-être, on est au bons endroit pour ça.» Tu lui fis un petit sourire, un secret entre vous deux, tu savais que demain matin elle y repenserait pendant le déjeuner.
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Son souffle se coupa, entreouvrant les lèvres à la recherché d’oxygène alors qu’elle pouvait le sentir entrer lentement en elle. Elle planta ses ongles avec force dans sa chair, une plainte résonnant dans la pièce. Son front se posa contre son épaule, ses muscles tendus au maximum, la sensation d’une brûlure se faisant ressentir entre ses cuisses. Ravale tes larmes fillette. Elle planta ses dents dans cette même peau, mordant avec force jusqu’à ce qu’elle sente un liquide ferreux sur le bout de sa langue. Vierge ? Non, seulement elle avait trouvé d’autres moyens pour avoir du plaisir avec les hommes que la pénétration vaginale. Elle avait toujours cru qu’elle serait destinée à épouser un homme choisi par ses parents et ne voulait certainement pas leur faire honte par des commérages suite à sa nuit de noces. Pourtant elle se retrouvait là, de grosses larmes perlant ses joues rouges d’excitation, dans la cuisine de son fiancé, à donner cette douleur à un homme qui ne le savait même pas. Sa grande sœur lui avait promis que ce n’était pas si douloureux, elle avait eu beaucoup de plaisir. La garce, elle avait bien menti et serait surement pliée de rire à la savoir pleurer de douleur. La tête lui tournait, ses yeux convulsant de ce manque d’aire, ses poumons complètement vides, asphyxiée par le sexe. Elle se sentait soudainement tomber, lentement dans le néant de sa tête. Puis la douleur s’estompa finalement, un grognement de plaisir résonant à ses oreilles. Elle inspira brusquement, écoutant ses propres gémissements brisant le silence de la pièce alors qu’elle reprenait enfin conscience. Son corps répondait de lui-même, augmentant la boule de plaisir qui se logeait au creux de son bas ventre, sentant ses mains parcourir son corps, ses lèvres s’amusant contre son sein, augmentant le rythme, pouvant le sentir de plus en plus profondément en elle. Le souffle court, elle embrassa la peau de son cou, ses doigts se resserrant contre ses fesses à peine dévoilés. Elle roula ses hanches pour venir rencontrer les siennes, suivant la cadence, prenant de plus en plus de plaisir. Soudain ses mouvements devinrent de plus en plus puissants, moins précis, une course contre la montre pour se terminer aussi brusquement que ça avait débuté. La laissant haletante contre son torse, il tentait de scruter son visage à la recherche d’une émotion. « Je suis désolé, ça faisait un bail et tu étais si… serrée…ça va? » avait-il dit avant de se retirer doucement d’elle. La jeune femme baissa la tête, dissimulant maladroitement ses émotions. Elle l’avait suppliée, elle n’avait pas le droit de se plaindre, pas pour autant qu’elle voulait lever fièrement le menton pour lui montrer ses yeux rougit. Elle avait sa fierté ! « Tu… tu n’étais pas vierge, rassure-moi, pas que c’est mal, mais j’y aurais été plus doucement si tu me l’avais dit. » - Rouge de honte elle secoua la tête négativement avec rapidité, feignant de fixer avec beaucoup d’intérêt la table sur laquelle elle se trouvait. « C’est du chêne ? J’adore les tables de ce genre. » avait-elle balbutié d’une voix toujours tremblante. Puis il posa sa main sous son menton, relevant sa tête, scrutant ses yeux des siens. « Hey… ça va, t’as aimé ou? » avait-il questionné. Peut-être avait-il senti ? C’était si différent que ça ? Probablement pas non ? « Tu veux quelque chose à boire, ou à manger peut-être, on est au bon endroit pour ça » - un faible sourire étira ses lèvres alors qu’il se voulait chaleureux, légèrement blagueur. Elle lui offrit un sourire à son tour, ne sachant que trop si cette sensation de désir s’éclipserait bientôt. La douleur avait été si brutale qu’elle n’avait ressenti du plaisir à la toute fin, curieuse de ce qui se trouvait au bout de la fin. Manger … elle grimaça, non … elle mangeait très peu, ressentant rarement la faim. « De l’eau s’il-te-plait oui ... » avait-elle dit d’une toute petite voix.

Elle l’observa s’éloigner d’elle alors qu’il se dirigeait vers le frigo, lui tendant une bouteille d’eau froide. Elle posa ses lèvres, avalant à grosse gorgée. Elle déposa la bouteille à ses coté, tirant sur sa main pour qu’il reprenne sa position précédente, déposant un long baiser sur ses lèvres, plus doux cette fois. Elle posa finalement son front contre sa bouche, l’empêchant de parler alors qu’elle observait son ventre, ses doigts dessinant des cercles sur sa peau chaude et marquée par ses ongles. « Les maris veulent des vierges, mais l’homme veut une femme expérimentée. C’est difficile, à mon âge de rester chaste pour l’homme qui arriverait un jour. Je voulais attendre, l’offrir à l’homme qui serait officiellement à mon mari. Puis à la longue, au milieu des caresses, des provocations, la bague. J’me suis dis que. C’était assuré que. On va se marier non ? J’me suis dis que à défaut de marier une femme que tu aimes, je pouvais bien t’offrir ça. » - avait-elle murmuré, relevant finalement le visage, encadrant sa mâchoire de ses mains. « Maintenant si tu oses me laisser en plan, j’devrai te faire la peau. Je sais où tu habites et ma connaissance en poison est assez impressionnante. » avait-elle dit bien sérieusement, avant d’afficher un grand sourire, resserrant ses jambes autour de ses hanches pour se presser contre lui. L’amour n’y était peut-être pas, mais elle aimait la proximité de son corps. Elle mordilla sa lèvre avec espièglerie, ses mains se faisant un chemin pour retrouver son dos, ses reins, entrant sous son vêtement pour agripper ses fesses. « On devrait peut-être retourner à la chambre maintenant ? Je n’ai pas sommeil, mais on ne peut pas non plus passer la nuit dans la cuisine ! Je n’ai pas envie de tomber sur ton père cette fois ! »

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Elle était sur la table, regardant le bois, quelque chose n’allait vraiment pas, elle demanda une question des plus idiotes sur ce bois. Tu levas un sourcil en la regardant, mais tu n’y répondis pas, elle essayait de dévier la conversation vers quelques chose d’anodin. Tu lui offres à boire, elle te demande finalement de l’eau, que tu lui tends, prenant une autre pour toi, buvant quelque gorgée avant que tu ne sentes sa main te tirer vers elle de nouveau. Tu avais cru voir quelque chose entre ses jambes, une légère teinte de rouge, du sang peut-être, mais elle t’avait tiré vers elle, t’embrassant de nouveau, puis posant son front contre ta bouche, tu pouvais sentir ses mains te caresser le dos, descendant vers te fesses. Puis elle parla enfin…«Les maris veulent des vierges, mais l’homme veut une femme expérimentée. C’est difficile, à mon âge de rester chaste pour l’homme qui arriverait un jour. Je voulais attendre, l’offrir à l’homme qui serait officiellement à mon mari. Puis à la longue, au milieu des caresses, des provocations, la bague. J’me suis dit que. C’était assuré que. On va se marier non ? J’me suis dit qu’à défaut de marier une femme que tu aimes, je pouvais bien t’offrir ça. » En clair, elle était bien vierge, elle ne l’était plus, mais tu n’avais pas été des plus tendre, te laissant submergé par la pulsion, le moment et de la façon qu’elle te l’avait réclamé, elle semblait avoir eu de l’expérience. Tu te mordais déjà la lèvre, t’empêchant de lui crier dessus des noms d’idiotes, ressentant une certaine culpabilité. Elle te regarda et encadra ton visage de ses mains. « Maintenant si tu oses me laisser en plan, j’devrai te faire la peau. Je sais où tu habites et ma connaissance en poison est assez impressionnante. »Elle te regarda sérieusement un bon moment avant de te sourire. Tu avais compris la menace, mais le fait qu’elle ne t’a rien dit, qu’elle n’ait jamais mentionné quoi que ce soit, alors qu’elle te caressait doucement, tu lui relevas la tête un air sérieux au visage, elle devait avoir terriblement mal, tu n’avais pas té des plus tendre et tu n’étais pas sûr qu’elle puisse marcher. « On devrait peut-être retourner à la chambre maintenant ? Je n’ai pas sommeil, mais on ne peut pas non plus passer la nuit dans la cuisine ! Je n’ai pas envie de tomber sur ton père cette fois ! »

Et voilà tu t’inquiétais d’avoir déchiré plus que son hymen maintenant, qu’elle saigne de façon trop forte, mais s’il y avait peu de chance tu aurais senti l’odeur du sang. « J’aurai préféré le savoir avant que ça se passe, là je me sens coupable de ne pas avoir été doux avec toi, la première fois on fait ça dans un lit, pas sur une table…» Tu la sermonnais un peu, doucement, calmement. Tu te tournas dos à elle et lui agrippa les cuisses, bien près des fesses. «Aller accroche toi, j’te ramène à ma chambre et je te porte pour la cause, je sais que tu as mal.» Lorsqu’elle entoura ton cou de ses bras, tu te dirigeas vers ta chambre, oubliant cette culotte de dentelle dans un coin de la cuisine, l’oubliant totalement. Tu la portas jusqu’à ta chambre et la déposa sur ton lit, prenant place assise sur le lit afin de la libérer doucement, puis tu te retournas vers elle. «Tu veux prendre un bain? Tu te sentiras peut-être mieux dans l’eau chaude non?» Tu ne savais pas vraiment quel genre de douleur pouvait ressentir les femmes dans ce genre de situation, mais la première fois que tu avais déviergé une de tes premières copines, tu te souvenais qu’elle en pleurait de douleur et quand clair ça n’avait pas été si bon ni pour toi ni pour elle. «en clair, t’as ressenti que de la douleur».
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Il la sermonnait, mais ce n’était pas bien méchant. Elle mordait sa lèvre pour contenir un rire qui lui chatouillait la gorge. Qu’est-ce que ça changeait au final sur un lit ou une table ? Elle poussa un soupire, agacée par tout ce chichi. Elle avait eu mal certes, mais elle n’était pas mourante par la barbe de merlin ! C’était bien son choix non ? Si elle avait désiré des pétales de rose sur un lit en forme de cœur, elle l’aurait exigée, mais là , cette table était bien parfaite et avait fait exactement la même chose que ce dit lit. Il pivota sur lui-même, agrippant ses fesses alors qu’elle enroulait ses jambes autour de ses hanches, s’accrochant à son cou. Il la souleva sans peine, son rire résonant dans la pièce, choyée par Constantin.

Son corps reposa finalement sur le lit, s’étirant longuement pour contrer ses muscles meurtris. Elle observa silencieusement Constantin qui était toujours assis. « Tu veux prendre un bain? Tu te sentiras peut-être mieux dans l’eau chaude non? » Demandait-il soudainement. Elle retroussa les lèvres, songeant à la possibilité de prendre un bon bain chaud. C’était probablement une bonne idée, elle pourrait se détendre et vider son esprit un instant. Elle se sentait physiquement épuisée, soudainement, étendue dans ce lit si confortable. « en clair, t’as ressenti que de la douleur. » avait-il conclu de lui-même. Elle soupira, il axait beaucoup trop sur le négatif du positif. N’avait-il pas compris qu’elle lui avait offert quelque chose de bien précieux ? Lui, l’homme que ses parents avaient décidé qu’elle épouserait. Une fausse union réunissant deux jeunes gens contre leurs grés. À défaut de lui offrir son cœur, elle lui offrait quelque chose d’important pour lui montrer que malgré les arrangements, elle était complètement investie à lui rendre la vie plus facile. Elle lui faisait confiance, n’était-ce pas ça qui était important ? Pleurait-elle à chaude larme ? Lui avait-elle demandé d’arrêter, l’avait-elle accusée de l’avoir blessée ? Non, elle était une grande fille, une femme maintenant. Elle se redressa brusquement, avançant sur ses genoux dans sa direction, fronçant les sourcils. La jeune femme posa sa main contre sa gorge, serrant légèrement ses doigts pour faire pression. Elle posa brusquement ses lèvres contre les siennes, un baiser presque tendre malgré sa frustration bien visible. Elle enjamba ses cuisses, prenant place sur lui.
« Je ne suis plus une gamine Constantin. Je ne vais pas mourir d’ici demain parce que tu n’a pas été – Écoute, il est vrai que j’ai ressenti une douleur ! Pourtant … » Elle l’observa, soudainement silencieuse. Ses mains glissèrent lentement contre son propre corps, retirant sa robe avec délicatesse, pour la jeter au bout du lit. Elle resta ainsi un instant, nue et vulnérable sous son regard. Elle traça délicatement les traits de son visage du bout de ses doigts, embrassant doucement ses paupières alors qu’elle laissait ses mains vagabonder à leurs guises, effleurant sa cicatrice. Elle soupira contre ses lèvres poussant un gémissement alors qu’elle se pressait contre son bas ventre, recherchant une réaction. « pourtant j’ai encore envie de ressentir cette sensation. Crier ton nom, marquer ta peau, vibrer sous tes mains agiles. On verra plus tard pour le bain … » - elle pressa sa main contre son torse, lui intimant de se coucher sur le dos. Elle embrassa sa gorge, descendant lentement vers son torse, caressant ses cotes, ses longs cheveux chatouillant sa peau. Elle était restée sur sa faim et ce n’était certainement pas ce qu’elle se souviendrait de sa première fois. Elle glissa le bout de sa langue contre son ventre, se reculant légèrement avant d’aspirer soudainement, créant une sensation glaciale sous son nombril. Elle releva la tête, scrutant son visage. Ses doigts s’amusant contre l’ourlet de son pantalon, alors qu’elle déposait un baisé contre le tissu, à proximité de son excitation. Ses mains glissant le dernier vêtement qu’il portait, de plus en plus bas jusqu’à le retirer entièrement. Elle se faisait bien sérieuse, tout d’un coup. Il lui avait montré une infime partie du plaisir qu’elle pouvait maintenant ressentir, déclenchant un ouragan insatiable qui la tourmentait maintenant. Deux fois, deux fois l’avait-il mené si près avant de brusquement lui couper l’herbe sous le pied. Deux fois de trop, elle érafla ses hanches des ses ongles, admirant les rougeurs qui décoraient déjà sa peau. Elle pouvait sentir son propre cœur s’emballer d’excitation à nouveau alors qu’elle le prenait en bouche, obsédée d’un homme sans amour. Elle voulait une deuxième ronde, une deuxième farandole, parce qu’elle n’avait pas assez profité, pas assez découvert. Aller doucement, lentement, seulement pour tout comprendre, tout apprendre, tout goûter de ses lèvres qui s’amusaient de lui procurer plaisir. Elle se redressa, se hissant contre son bassin, cambrant le dos pour se presser contre son membre. Elle gémissait faiblement, ses hanches s’activant alors qu’elle se délectait du simple touché de sa peau nu contre la sienne. Elle se souvenait se son visage affamé, ses grognements résonants à nouveau dans sa tête, un sourire flottant sur ses lèvres. Elle se rapprocha de son visage, goûtant ses lèvres une nouvelle fois, une autre fois, toujours plus. L’horrible sensation de toujours le trouver trop loin s’installant dans ses tripes, sa cage thoracique se soulevant tant bien que mal sous son souffle saccadé. Il n’y avait pas d’échappatoire, pas de seconde option. Un viol, s’il voulait le qualifier ainsi, tant pis, elle prendrait plaisir ce soir et obtiendrait la jouissance qui la narguait depuis des heures maintenant. Elle l’inséra en elle, grimaçant légèrement alors qu’elle stoppait sa course à mi-chemin, mordant sa lèvre inférieure. C’était toujours sensible, mêlé entre la douleur et la satisfaction, une douloureux plaisir qui l’envoutait avec férocité. Elle roula ses hanches, cette sensation de plaisir augmentant considérablement alors qu’elle le sentait si profondément en elle. Elle soupira contre ses lèvres, s’activant dans une cadence plus sensuelle, lentement pour tout sentir, lentement pour savourer. Elle murmura son prénom, coupé d’un gémissement alors qu’elle se resserrait d’extase de l’intérieur, son corps lui indiquant de lui-même le plaisir qui la ravageait. Elle frissonna, ses lèvres tremblantes d’excitation contrent son lobe d’oreille alors qu’elle continuait son rythme beaucoup trop lent, douce tentative pour le rendre aussi fou qu’elle.
« Fait moi la peau Constantin, avant que j’me fasse la tienne. »

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Tu la regardas s’étirer sur le lit, alors que tu lui offrais de faire couler un bain, elle semblait y réfléchir, mais suite à ton dernier commentaire, soucieux d’elle, elle vint te rejoindre, telle une féline sur le lit. Elle vint te rejoindre, t’empoignant la gorge, faisant une légère pression de ses doigt avant de t’embrasser doucement, ce geste était si violent et doux que ça te rendait perplexe. « Je ne suis plus une gamine Constantin. Je ne vais pas mourir d’ici demain parce que tu n’as pas été – Écoute, il est vrai que j’ai ressenti une douleur ! Pourtant … » Elle t’examina un instant puis elle retira cette robe, se retrouvant nue contre toi, tu la regardas faire, scrutant ses courbes. Puis elle se fit douce, câline, déposant des baisers sur tes paupières, caressant ton visage doucement, sa main allant caresser ta cicatrice au dos. Elle n’avait jamais posé de questions d’ailleurs ce qui t’étonnait venant de sa part…

Elle recommença à se faire aguicheuse, basculant ses hanches contre toi. « Pourtant j’ai encore envie de ressentir cette sensation. Crier ton nom, marquer ta peau, vibrée sous tes mains agiles. On verra plus tard pour le bain … » Puis elle t’imposa de t’étendre contre le matelas, une légère pression contre ton torse, tu sentais sa bouche contre ta gorge, elle suivait un chemin, semant son parcours de baisers humides, allumant tes sens, le loup attendait patiemment dans la tanière sachant que le chaperon courait vers lui. Tu fermas les yeux sous sa langue, sa bouche, ses dents, elle t’embrassait le torse, le ventre, descendant toujours plus bas, laissant son souffle te chatouiller, puis elle te retira ton pantalon, le seul vêtement qui t’empêchait d’être aussi nu qu’elle. Sa bouche revint à l’attaque, ses oncles te marquant les hanches, tu retins son souffle lorsqu’elle te goûta, la sensation était si agréable. Tu échappas une plainte, savourant son expertise pour une jeune femme qui avait gardé sa virginité. Si le but était de remettre la machine en marche, cela avait fonctionné, tu te sentais déjà prêt pour un nouvel essai, tu te ferais plus doux maintenant que tu savais.

Puis elle se redressa, venant coller son bassin au tien, pouvant ressentir son humidité, elle était comme une fillette qui venait de goûter une nouvelle sucrerie et qui en redemandait sans cesse. Tu avais maintenant l’impression que tu avais bien fait de faire cette sieste car cette nuit s’annonçait remplie. Puis elle t’inséra en elle, te laissant hoqueter de surprise de son mouvement, elle bouchait doucement, grimaçant un instant, prenant le temps d’être confortable, tu avais cessé de respirer un instant, scrutant son visage, son expression. Puis elle roula des hanches, te laissant savourer cette sensation, posant tes mains contre ses hanches, tu la regardais assit sur toi telle une guerrière. Tu observais son corps bouger, ses seins rebondir doucement sous le mouvement, elle avait un corps si envoutant, si beau, et cette peau si douce qui pourrait rendre fou n’importe quel homme. Elle se pencha sur tes lèvres, tu lui rendis son baisé, puis elle s’attaqua à ton oreille, te laissant jouir doucement. Elle bougeait si lentement, elle prenait son temps, le chaperon cueillait chaque fleur avant de rentrer dans cette tanière, le loup n’en pouvait plus d’attendre sa venue.

« Fait moi la peau Constantin, avant que j’me fasse la tienne. » Cette lenteur te rendait fou et cette phrase était bien une invitation, non? Tu repris le dessus du jeu, la faisant basculer sur la droite contre le matelas, reprenant le dessus sur elle. Tu lui relevas une jambe, doucement, descendant doucement en un mouvement lent. Allant plus profondément, sans nécessairement vouloir la blessée. Tu accélérais le rythme lentement, tu te sentais en pleine capacité, pouvant durer des heures. Puis après un moment, tu te retiras d’elle et lui ordonna de se tourner, ramenant ses fesses vers toi, changeant simplement la position, tu y allas doucement sachant que celle-ci pouvait aller plus loin, mais combien de femme l’adorait, une main au creux de ses reins, une autre qui lui agrippait la rondeur d’une fesse, tu allais d’un vas et vient doucement pour commencer et tu augmentas la cadence. Tu lui donnais tout, puis après un long moment, tu ne pus te retenir plus longtemps, te laissant aller en un grognement, une plainte rauque quittant tes lèvres alors que tu jouissais en elle encore une fois. Puis tu te retiras doucement te laissa tomber à ses côtés, épuiser, tu avais chaud, vraiment chaud malgré ta nudité, tu la collas contre toi, connaissant ce à quoi les femmes s’attendait. «Tu vas me tuer à petit feu, femme.»

Tu reprenais ton souffle doucement, tu la regardas alors, te questionnant. «Et là, c’était mieux, tu as éprouvée du plaisir au moins?» Tu l’avais entendu couiner certes, respirer fort, ce qui t’aidait à croire qu’elle avait dû aimer, mais tu connaissais les jeunes femmes qui découvrait cela, bientôt elle viendrait sans doute te réclamer du temps au lit plus souvent que tu le pensais. Tu étais maintenant marqué un peu partout par ses dents, ses griffes, tu te regardas un instant un peu amusé. «Hum… je me suis peut-être trompé, tu es peut-être vraiment une louve, on pourrait croire que j’ai chassé ce soir, même si je préfère nettement mieux ta morsure, elle est moins dangereuse.» tu lui offris un petit sourire, vos deux corps nus toujours collés l’un à l’autre. «Puis, ne t’inquiète pas… ce mariage aura bel et bien lieux, tu ne m’as pas fait ce cadeau pour rien, tu n’auras pas besoin de m’empoisonner…» Tu hochais de la tête en repensant à sa menace, merde c’était une femme sans doute très dangereuse si elle ne t’aimait pas. Tu sentais que tu pourrais t’endormir contre le confort de ton oreiller, tu te sentais bien, alléger d’un poids, heureux de n’avoir pensé qu’à cette brunette et aucune pensée pour cette rouquine qui t’avait quittée il y avait de ça deux mois maintenant. Tu n’avais jamais crié son nom, heureusement Elionore t’aurait frappée dans ce cas. «Hum… tu as le choix c’est le bain ou bien on s’installe pour dormir avant que je ne tombe de sommeil…»
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Elle gloussa, son corps retombant mollement contre le matelas alors qu’il échangeait les rôles, lui relevant une cuisse au passage. Elle releva ses hanches pour lui donner plus d’accessibilité, pour aller plus loin, toujours plus loin. La brunette se contorsionnait sous le plaisir, gémissant de sa voix tremblante, ses ongles marquant sa peau avec voracité. Elle voulait qu’il comprenne, qu’il sache, combien puissant son plaisir était, grandissant dans son ventre toujours et encore, prêt à exploser. Elle voulait perdre le nord, perdre la tête, se laisser tomber dans une chute qui ne s’arrêterait jamais. Devenir une autre femme, une boule d’émotion. Il lui ordonna de se retourner, agrippant férocement ses hanches pour l’attirer à lui, elle cambra le dos alors qu’une plainte s’échappa de sa gorge, rejetant ses cheveux vers l’arrière, son souffle coupé alors qu’il revenait à la charge. Plus présent, plus violent, plus précis, délectablement brutal. Haletante, elle pouvait sentir ses muscles se contracter de plaisir, comme si elle n’avait plus le contrôle de ses réactions, répondant à l’appel de ses sens. Elle suivait la cadence, au bord du précipice, se laissant finalement tomber, avalée par une sensation de joie puissante, presque malsaine. Elle n’y était plus, cambrant le dos alors qu’elle perdait la carte, à bout de souffle, à bout d’elle-même, chantant pour lui alors que ses yeux convulsaient sous la jouissance. Ses mains se resserraient contre le drap, ses jointures blanchies par la force qu’elle opérait, son plaisir accentué par la voix rauque qui résonnait à ses oreilles, frappant une nouvelle fois. Haletante, elle papillonna des paupières, inspirant enfin pour combler ses pauvres poumons meurtris, tremblants lorsqu’il l’attira à lui. Son torse se soulevait avec force et rapidité, sa respiration chancelante, tentant de reprendre ses esprits, nichant son nez contre sa peau moite. Elle poussa un dernier soupire de satisfaction, se laissant choir contre son corps. « Tu vas me tuer à petit feu, femme. » avait-il dit d’une voix teintée de plaisir et d’exténuation. Elle ricana, frissonnante à ses paroles , déposant un baisé contre le coin de sa mâchoire. « Nous mourrons tous les deux alors . »

Il lui demanda une nouvelle fois si elle avait apprécié, cette fois. Roulant des yeux, elle frappa son petit poing contre son torse, mordant sa peau à nouveau. Idiot ! Ne l’avait-il pas entendu crier de plaisir ? Frémir sous ses gestes et soupirer son nom encore et encore ? Tss, « Hum… je me suis peut-être trompé, tu es peut-être vraiment une louve, on pourrait croire que j’ai chassé ce soir, même si je préfère nettement mieux ta morsure, elle est moins dangereuse » disait-il en observant son propre corps. AH ! Ne l’avait-elle pas dit ? Elle éclata d’un rire franc, observant les diverses blessures qu’elle lui avait prodiguées sous l’extase. Elle ne l’avait pas raté effectivement, mais il n’avait pas été de mains mortes non plus remarquait-elle ! Elle devrait cacher ce corps de la vue des autres pendant quelque temps. Ce qui serait une torture dans cette chaleurs accablante ! « Puis, ne t’inquiète pas… ce mariage aura bel et bien lieu, tu ne m’as pas fait ce cadeau pour rien, tu n’auras pas besoin de m’empoisonner… » - Elle afficha un grand sourire, bien, parfait. Il serait dur de lui trouver un mari plus parfait que Constantin. Elle ne savait pas si c’était sous le chamboulement d’émotion qu’elle ressentait à l’instant, mais elle se surprenait, une partie d’elle souhaitant qu’il s’épreigne d’elle, qu’il l’aime un jour ou l’autre. « Je – Je crois avoir envie de ce mariage. Enfin c’est stupide, mais, j’ai bien hâte de descendre l’allée, toute ravissante pour toi. » C’était bien de rêver, n’est-ce pas ? Le seul homme ayant éprouvé de l’affection pour elle était tombé livide, mort devant ses yeux sur la place publique. Elle soupira, chassant cette pensée de son esprit aussi vite qu’elle n’était apparue. « Hum… tu as le choix c’est le bain ou bien on s’installe pour dormir avant que je ne tombe de sommeil… » - Elle hocha la tête, se redressant mollement sur le lit, quittant ses bras avec regret pour se diriger vers la pièce du fond.

Elle s’observa un instant devant le miroir, songeuse alors qu’elle faisait couler un bon bain. La trouvait-il belle ? Elle savait que la précédente était une demi-vélane et il était peu probable qu’il ait résisté à ses charmes. C’était pratiquement impossible, complètement impossible. Alors la trouvait-il belle ? Était-il déçu ? Elle n’était pas dupe, un homme refusait rarement les courbes du femme, ils étaient si faibles devant les femmes qui s’offraient à eux. Elle soupira, observant ses cheveux en batailles et sa peau blanche marquée de ses morsures. Un petit sourire étira toutefois ses lèvres alors qu’elle pensait à ce qui venait de se passer. Il se montrait câlin avec elle, ce qui était bien. Elle avait dû user de tout son courage pour s’imposer dans sa vie, faire sa place, elle voulait tant qu’il l’aime. Avoir un mariage heureux et satisfaisant, c’était difficile, il lui semblait avoir été des inconnus que quelques secondes plutôt. Tout allait si vite, mais si bien, ce n’était pratiquement pas bon signe. Quelque chose n’irait pas, c’était beaucoup trop beau pour être vrai ! Elle haussa les épaules, se tournant vers la baignoire pour arrêter le débit d’eau, lui demandant d’une voix chantante. Cette vision lui plaisait, venir le réveiller tard le soir après un repos bien mérité suite à une chasse pénible, faire l’amour pendant des heures avant de relaxer dans un bon bain chaud. Elle l’observa du coin de l’œil alors qu’elle prenait place dans le bain, ses mains jouant délicatement avec l’eau qui rougissait sa peau de perle. Elle lui adressa un sourire joueur, l’invitant d’un coup de tête à la rejoindre. N’était-ce pas étrange à quel point, elle souhaitait tant le toucher, le serrer dans ses bras ? Le sexe rendait, les gens fous pensa-t,-elle ! Non, Constantin rendait simplement les choses bien faciles, du moins pour le moment. Rien n’était jamais parfait jusqu’à la fin des temps. Elle profiterait donc de cette joie jusqu’à la dernière seconde. Elle glissa ses doigts contre son dos, venant se rejoindre contre son torse alors qu’elle l’attirait contre son corps, enroulant ses jambes autour de sa taille, le laissant choir tout contre elle. Elle renversa sa tête vers l’arrière, sa nuque se reposant contre le métal froid de la baignoire. Elle se sentait enfin détendue, bien silencieuse pour une grande jacasseuse qu’elle était. Elle profitait du moment, de se livrer si vulnérable et heureuse devant lui. Elle resta immobile quelques minutes, perdue dans ses songes et ses délires. Elle glissa finalement ses mains pour venir retrouver son dos, déposant des baisés papillons contre sa nuque. « Merci » avait-elle finalement dit d’une voix sincère, s’affairant à laver délicatement son dos. Elle le remerciait d’être lui, d’être là, de l’accepter et de se prêter à un jeu bien vicieux, bien effrayant. Beaucoup de gens se perdaient à jouer ainsi, dépassant les limites de la réalité. Elle se sentait doucement flancher pour cet homme qui se montrait doux et attentif. Il la briserait un jour, elle le sentait, elle la fille à la peau de porcelaine. Elle se brisait elle-même, ça n’avait pas de sens toute cette histoire et pourtant, elle se fissurait. Ses mains glissaient contre sa peau « raconte moi cette histoire.» avait-elle murmuré, , laissant couler l’eau savonneuse de ses mains contre son énorme cicatrice.
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Elle était couchée contre toi, relaxant tout autant que toi de cette séance, riant de ton commentaire sur le fait qu’elle était louve. « Je – Je crois avoir envie de ce mariage. Enfin c’est stupide, mais, j’ai bien hâte de descendre l’allée, toute ravissante pour toi. » C’était une phrase des plus étranges, venait-elle de tomber sous ton charme après si peu de temps? Bon vous étiez compatible, son corps te plaisait énormément et sa nature coquine t’excitait. Oui Elionore était vraiment jolie, elle était jeune et avait une nature plus espiègle, mais tu arriverais tout de même à le tolérer. «J’apprécie que tu ne vois pas ce mariage comme une prison ou un enchainement.» Oui Beatrix voyait cela comme une trahison de son père, tout ce qu’elle désirait c’était être libre de choisir, celui qui lui conviendrait et ce n’était pas toi. Puis elle acquiesça pour cette offre de bain, tu te relevas donc avec épuisement, ne prenant pas la peine d’enfiler quoi que ce soit, tirant doucement la main de la brunette afin qu’elle en fasse autant que toi, parcourant le peu de couloir pour te rendre à la salle de bain. Elle fit couler l’eau alors que tu avais pris soin de prendre ta baguette, histoire d’allumer les chandelles d’une simple parole. La lumière tamisée des chandails te paraissaient beaucoup moins agressante aux yeux, peut-être plus romantique aux yeux d’Elionore, mais bon. Elle plaça l’eau et entra dans la baignoire, t’invitant à y entrer, ce que tu fis, lui faisant dos, elle inséra ses jambes de chaque côté de toi et tu pris appui sur elle, c’était bien, c’était relaxante. Elle t’embrassait la nuque délicatement, te murmurant un merci. Un merci pour quoi, tu avais autant prit que donner, par contre tu ne savais plus le raison qui t’avait amené à l’embrasser, à te laisser aller à ce petit jeu dans la cuisine, son corps, son odeur, sa présence. Le fait de vouloir rendre la chose plus facile, peut-être que ton geste allait seulement rendre les choses plus compliquer, tu ne pouvais pas encore affirmer l’aimer comme tu devrais l’aimer, par contre tu savais que tu la désirais, que tu l’appréciais, à mi-chemin entre amitié et un peu plus. Puis tu sentis sa main contre ta cicatrise. « Raconte-moi cette histoire.»

Parler de ça, maintenant ce serait sans doute trop tôt, elle pourrait changer d’avis, te voir comme un monstre, tu pris appuis contre elle, appuyant ta tête contre le creux de son épaule, ton corps profitait de la chaleur de l’eau, les jambes de celle-ci retombant sur tes côtés, la mousses vous envahissant un peu, recouvrant vos corps. Tu frottas doucement un de ses pieds, aimant voir sa peau satiné sur ses jambes, la lumière des chandelles se reflétant un peu dessus. Tu savais qu’elle pourrait être frustrée si tu refusais de lui en parler, mais en même temps tu redoutais sa réaction. «Ça date de loin tu sais… mes souvenirs ne sont sûrement pas si fidèles et encore aujourd’hui, il y a encore une tonne de mystères entourant cet évènement, même pour moi.» Tu repensais à cette nuit, à cette frayeur qui se tapissait dans le noir, cette chasse et cette fuite. Tu étais un lapin prit au piège, sans moyen de te défendre, tu étais si jeune à cette époque. «Résumons la en disant que j’ai servis un jour dans ma vie de jouet qui couine à un loup-garou, j’avais 14 ans et je ne sais pas pourquoi je me suis réveiller dans cette forêt interdite, sans rien pour me défendre a part mes jambes pour courir, cette créature n’a pas eu la chance de me tuer, mais voilà le souvenir qu’il m’a laissé…»
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La jeune femme hoqueta, se dandinant alors qu’il frottait l’un de ses pieds, couinant malgré elle. Faiblesse, elle devait user de beaucoup de contrôle pour ne pas le frapper malgré elle. Elle souffla enfin alors qu’il glissait maintenant vers son molet, poussant une plainte de soulagement. « Résumons la en disant que j’ai servi un jour dans ma vie de jouet qui couine à un loup-garou, j’avais 14 ans et je ne sais pas pourquoi je me suis réveiller dans cette forêt interdite, sans rien pour me défendre à part mes jambes pour courir, cette créature n’a pas eu la chance de me tuer, mais voilà le souvenir qu’il m’a laissé… » - elle hocha sa tête, fronçant les sourcils alors qu’elle examinait sa peau dans la pénombre. « Logan dit que- .» - elle marqua une pause, brève, mais une pause, son corps se tendant quelques instant. Elle afficha un sourire, pour elle-même, idiot. « Logan disait qu’il y avait des semi-loup, Je ne me souviens plus clairement de ce qu’il racontait, ça pouvait durer des heures et honnêtement la plupart du temps j’étais beaucoup trop saoule pour comprendre. » disait-elle, riant bêtement de ses propres erreurs, mélancoliques. Elle aurait dû lui accorder plus d’importance, plus de place. C’était trop tard, pour elle , pour lui, pour les autres. Elle hésita tout de même à poser la question fatidique. En quoi cela ferait-il une différence finalement ? Il ne serait pas moins Constantin, pas plus un autre. Elle ne voulait pas le brusquer, ni déclencher une conversation qu’il ne semblait pas réellement vouloir aborder avec elle. Elle avait son jardin, il avait le sien, c’était son droit, les dernières pensées qui leur étaient propres. Elle poussa un long soupire, se réajustant légèrement dans la baignoire, son menton trempant presque complètement dans l’eau tant elle glissait vers l’avant. Elle gigota doucement sous lui, son corps légèrement écrasé sous le poids de son fiancé qui prenait ses aises, sa tête posée contre son épaule. Respire, ce n’est qu’un bain. « Est-ce que tu es souvent blessé ? D’autres cicatrices ? Je ne suis pas doué en ce qui concerne les grands soins, seulement les blessures mineurs.» demanda-t-elle curieuse et perplexe. Un fiancé mort, c’est un fiancé mort … soyons honnête ce n’est pas sexy ! Elle doutait bien que des plaies béantes se réparaient à coup de bec et bobo. Elle le repoussa légèrement de ses mains, soufflant finalement. Il n’était pas spécialement lourd, mais avec la chaleur qui s’émanait de l’eau, elle peinait à respirer convenablement. « Tu m’écrase !» expliqua-t-elle en ricanant, un regard faussement accusateur dans sa direction.

Elle se redressa finalement après quelques minutes à savourer ce bain, se dirigeant rapidement vers une serviette alors que son corps était secoué de frisson, le froid percutant sa peau. Elle lui déposa une serviette tout près du bain avant de sortir de la pièce, parcourant le couloir à pas de souris dans la crainte d’être surprise par quelqu’un. Elle vint finalement prendre place contre le lit, soupirant d’aise, ses genoux recoquiller contre sa poitrine. Elle avait bien froid tout d’un coup ! Elle tira les couvertures brusquement contre son corps, se sentant soudainement épuisée, basculant doucement vers le sommeil. Il vint finalement la rejoindre dans le lit, elle releva la couverture pour lui faire une place, ouvrant à peine les paupières pour lui offrir un doux sourire. « Constantin ?» disait-elle d’une voix endormie, divaguant légèrement dans ses songes, elle pivota doucement sur le lit pour coller son dos contre son torse, cherchant de la chaleur pour réchauffer son corps. Il était si chaud, toujours trop brulant. « Ça prend un loup pour la louve.» disait-elle finalement, riant doucement .
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Elle parla alors d’un certain Logan, qui lui avait semblait-il parler des semi-loups, cela t’étonna qu’elle amène ce sujet, suspectait-elle quelque chose? « Logan disait qu’il y avait des semi-loups, Je ne me souviens plus clairement de ce qu’il racontait, ça pouvait durer des heures et honnêtement la plupart du temps j’étais beaucoup trop saoule pour comprendre. » Tu acquiesças à son commentaire. «Oui, c’est vrai, le terme semi-loup existe, mais il y a beaucoup moins d’informations les concernant.» Tu la sentis remuer doucement, changeant sans doute un peu ses jambes de place. « Est-ce que tu es souvent blessé ? D’autres cicatrices ? Je ne suis pas doué en ce qui concerne les grands soins, seulement les blessures mineurs.» Tu ricanas doucement en secouant la tête. «Non, ne t’inquiète pas, je m’arrange maintenant pour ne pas être blesser, dans le pire des cas je transporte toujours avec moi un portoloin qui me ramènerait ici immédiatement.» Puis elle te poussa loin d’elle doucement, reprenant son souffle, tu repris place plus assis, prenant appuie au bord de la baignoire. « Tu m’écrase !» Un sourire aux lèvres, tu revins à la charge, te plaquant légèrement a elle. «Ah oui? Vraiment?» Puis rigolant doucement, tu te retiras, la laissant se relever et quitter l’eau, prenant une des serviettes que tu avais placées proche pour leur usage, elle t’approcha la seconde sur le bord de l’eau. Tu pouvais y comprendre le message que le bain était terminé.

Après un moment, tu sortis de l’eau, elle avait déjà quitté la salle de bain, se dirigeant à ta chambre, tu t’essuyas sommairement puis enroulant la serviette à ta taille, tu allas dans ta chambre une fois l’eau vidé du bain et les chandelles soufflés. Tu la regardas, elle était déjà installer sous les draps, tu étendis la serviette sur une chaise puis vint la rejoindre, elle colla aussitôt son dos contre toi, tu passas un bras autour de sa taille par automatisme, c’était comme dormir avec Sue, sauf que là vous étiez nus et avec Sue eh bien on gardait ses vêtements. Tu fermais déjà les yeux, le sommeil t’envahissant déjà de nouveau. « Constantin ?» Tu laissas un léger grognement répondre à son appel, pour confirmer que tu l’écoutais. « Ça prend un loup pour la louve.» elle ricana doucement, te laissant sous-entendre quelque chose, mais tu étais un peu trop endormit pour t’inquiéter. Tu lui donnas un nouveau grognement de consentement et tu sombras dans un sommeil profond assez rapidement. Le lendemain cela prit un bon moment avant que tu ne t’éveilles, elle aussi semblait-il, elle était encore coller contre toi, tout blottis contre toi, tu examinas l’heure de ton horloge au mur et vit qu’il approchait bientôt le diner. Vous n’aviez pas été présent au petit déjeuner alors. Tu te levas doucement, essayant de ne pas la réveiller.

Tu t’habillas silencieusement, la laissant reprendre des forces puis en ouvrant ta porte, tu remarquas le panier de linge propre placer devant ta porte, tu le plaças sur la chaise près, ne remarquant aucunement que ton chandail de la veille oublier à la cuisine ainsi que la culotte de la demoiselle prônait sur le dessus. Tu sortis, ajustant ta cravate, c’était une norme que tu avais gardé de ton père concernant la cravate. Tu allas à la cuisine, allant chercher quelques petites choses à grignoter ainsi que deux grands cafés, apportant sucre et lait sur un cabaret. Tu ne rencontras pas tes parents, mais il était vrai que ta mère était partie rendre visite à sa sœur et ton père ne manquait jamais une occasion de voir Lazarus Carrow alors, il l’avait sans doute accompagnée. Tu retournas dans la chambre, déposant le cabaret tout près sur une commode, venant t’asseoir près d’elle sur le lit, une tasse de café en main, espérant qu’elle aimait bien, pour la chance tu avais pris la peine d’apporter un verre de jus d’orange. Tu lui passas une main dans les cheveux tentant tant bien que mal de la réveiller, à croire que vos acrobaties de la veille l’avaient bien sonnée.
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La jeune femme poussa une plainte, des mains glissant délicatement dans ses longs cheveux bruns. Elle fronça les sourcils, remontant vivement la couverture par dessus sa tête, gigotant dans tous les sens. « Je jure que c’tai la dame jaune, j’ai pas pris les chaussettes ! » balbutia-t-elle d’une voix endormie. Puis elle se calma, soupirant alors qu’elle s’étirait de tout son long pour détendre ses muscles un instant. Quelques minutes passèrent avant qu’elle ne sorte le bout de son nez, observant Constantin avec de tout petits yeux bouffis. Elle devait avoir une sale tête. Elle poussa un dernier gémissement, elle n’avait jamais vraiment été l’une de ses personnes qui se réveillaient comme un charme. Tout était toujours si confus, brumeux … Avait-elle parlé de chaussettes ? Elle pouffa de rire, se redressant maladroitement dans le lit, gardant les couvertures contre son corps nu. Si Constantin n’avait aucune gène avec son corps, la jeune femme gardait une certaine pudeur. Elle accepta volontiers la tasse de café qu’il lui tendait, affichant un sourire. Elle le buvait noir, comme son père, comme la nuit. Elle grimaça légèrement le liquide brûlant sa gorge à son passage, puis elle ferma doucement les yeux, restant immobile, profitant du goût onctueux de la caféine. « Bon matin monsieur Crouch… » disait-elle d’une voix douce et légèrement plus cohérente. Il comprendrait avec le temps, elle ne demandait pas grand-chose, seulement quelques minutes pour reprendre ses esprits lorsqu’elle se réveillait. Il ne fallait jamais lui poser une question importante lorsqu’elle ouvrait les paupières, elle risquait de grommeler une réponse sans même le savoir. Il avait toutefois visé juste avec le café. Elle avala une grande gorgée avant de se laisser tomber contre le lit, ayant déposé la tasse contre une petite table de chevet à ses côtés. Elle tendit la main dans sa direction, l’attirant jusqu’à elle pour lui offrir un sourire espiègle, déposant un baiser contre sa gorge, ses mains baladeuses parcourant déjà son corps. Il devait bien regretter d’avoir joué avec elle la veille, aussi insatiable qu’une toxicomane.

« Dites-moi monsieur Crouch … n’est-ce pas ma petite culotte qui trône dans ce panier à linge ? C’est pas tes parents qui l’on trouver ? Oh seigneur, le petit déjeuner ! Ta mère! Elle va – oh oh ... » - elle posa sa main contre ses yeux, soupirant. Elle n’avait certainement pas besoin que ses parents croient à tort et à travers qu’ils batifolaient partout dans la maison ! Sa mère jubilerait surement à l’attente d’un petit Crouch. Oh seigneur … ils ne s’étaient pas protégés. Elle se redressa vivement dans le lit l’observant avec de grand yeux accusateurs. « Constantin Salomon Crouch ! Il est hors de question que je me balade à mon mariage grosse comme une baleine pendant que l’assemblée suppose que cette histoire de fiançailles n’est le résultat d’un bâtard ! Dis-moi que ta mère a un registre des plantes qui se trouve dans le jardin ou qu’il y a un Apothicaire près d’ici. » avait-elle dit d’une voix calme, mais ferme, crispant la mâchoire. Inspire, expire, inspire, expire. Les femmes ne tombaient pas enceintes, du jour au lendemain aussi facilement que ça, était-elle seulement en période d’ovulation ? Non, elle en doutait. Ce n’était toutefois pas pour autant qu’elle tenterait le diable! Elle voyait déjà les rires moqueurs de l’élite se poser sur elle à son passage. Non non, c’était facile à régler. S’ils n’avaient pas été aussi idiots aussi ! C’était sa faute à lui avec ses yeux chocolat et ses baisers, ses mains agiles, ses cheveux en batailles et sa peau si douce. Elle pesta contre lui, attrapant sa cravate avec violence, l’attirant davantage contre elle. « J’ai besoin de Tanaisy. Ça ne devrait pas être trop difficile à concocter, une potion bien simple, mais je vais délirer avec ça. Je ne peux pas retourner à la maison, comme vos parents ne doivent pas me surprendre. C’est assez douteux comme moyen … expérimental dirons-nous. Mais j’ai déjà vu des copines le faire, faut simplement me surveiller quelques heures tout au plus. » - Hystérique elle relâcha finalement son emprise, posant ses mains contre son visage, inspire – expire. Elle soupira longuement, lui demandant pardon à demi-voix. « On a été débile, ce n’est pas la fin du monde, mais ce n’est pas le bon moment. »
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