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Tirez-moi une belle dans cœur
Arrachez-moi la belle dans’tête
Au pire tirez-moi dans dos
Mais tirez-moi une autre femme dans’peau

Tu la laissas se réveiller doucement, elle lança une phrase sans vraiment d’importance, mais tu n’eus qu’un léger sourire, trouvant cette phrase idiote et sans aucun sens. Elle se réveilla peu à peu en ricanant en remarquant qu’elle avait bien parlé de chaussette. Puis elle prit place assise dans le lit, gardant soigneusement le drap pour recouvrir son corps. « Bon matin monsieur Crouch… » Elle accepta volontiers la tasse de café que tu lui tendis et tu en profitas pour goûter au tien, ajoutant ce qu’il fallait dans le tiens, tu ne le buvais pas noir comme la demoiselle. Puis elle tire doucement sur toi, déposant un baiser sur ta gorge, un petit sourire aux lèvres «Bon matin.» Même si le diner était sur le point d’être cuit, maintenant, vous aviez trop dormit.

« Dites-moi monsieur Crouch … n’est-ce pas ma petite culotte qui trône dans ce panier à linge ? C’est pas tes parents qui l’on trouver ? Oh seigneur, le petit déjeuner ! Ta mère! Elle va – oh oh ... »
Oui c’était bien sa culotte, semblait-il que tu l’avais oublié dans la cuisine la veille, mais vous aviez oublié bien des choses dans le feu de l’action maintenant que tu lui repensais. Puis voilà qu’elle se lève et te fais de gros yeux accusateur, tu n’as pas encore réagis à ses paroles, puisque selon toi il n’y a rien de grave pour le déjeuner et c’est sans doute une domestique qui la trouver et non tes parents et voilà qu’elle crie presque ton nom en accusation. . « Constantin Salomon Crouch ! Il est hors de question que je me balade à mon mariage grosse comme une baleine pendant que l’assemblée suppose que cette histoire de fiançailles n’est le résultat d’un bâtard ! Dis-moi que ta mère a un registre des plantes qui se trouve dans le jardin ou qu’il y a un Apothicaire près d’ici. » Elle semble te parler avec un ton autoritaire, comme une mère qui gronde son enfant, non? Tu fronce des sourcils, un peu blasé et déçus de ne pas avoir eu droit à ce petit matin tout simple ou on boit notre café au lit en grignotant sans vraiment ce soucier de quoi que ce soit. Maintenant elle pense être enceinte, c’est ça? Elle pouvait le deviner comme ça, aussi brusquement le lendemain? Non, tu étais certain qu’aucun sort n’avait cette faculté. Elle n’était plus la petite brunette coquine et espiègle de la veille, non elle ressemblait à une femme hystérique et accusatrice. «Hey, calme-» Tu essais de la calmer qu’elle est déjà en train de se parler à haute voix, t’incluant semblait-il dans cette discussion sans vraiment t’écouter, t’accrochant par la cravate du même coup, elle tire si fort, un peu plus et tu pourrais avoir le visage dans sa poitrine « J’ai besoin de Tanaisy. Ça ne devrait pas être trop difficile à concocter, une potion bien simple, mais je vais délirer avec ça. Je ne peux pas retourner à la maison, comme vos parents ne doivent pas me surprendre. C’est assez douteux comme moyen … expérimental dirons-nous. Mais j’ai déjà vu des copines le faire, faut simplement me surveiller quelques heures tout au plus. » Elle parlait maintenant de concocter une potion, cette plante tu pensais bien en avoir pourtant, mais cette histoire de délires, tu avais beaucoup de mal à suivre ses dires. Elle te relâche en fin et tu la desserres de ton cou, donnant un peu de lousse après cette tension qu’elle avait causé. Puis elle inspire à fond, semblant enfin se calmer. « On a été débile, ce n’est pas la fin du monde, mais ce n’est pas le bon moment. » Alors qu’elle semble moins hystérique tu la regardes, un peu plus sévère maintenant. Prenant un peu de distance pour ta simple sécurité. «C’est beau, t’as finis ta crise? Déjà je pense que tu te fais beaucoup trop de soucis avec des futilités, il y a peu de chance que tu sois enceinte, enfin je ne connais pas ton cycle, mais je suis certain que tu t’inquiètes pour rien et si jamais tu le serais tout de même, ce bébé ne paraitrait à ce mariage et cela prendrait plus de temps avant de ressembler à une baleine… Puis ensuite, à ce que je sache, je ne suis pas le seul fautif, tu m’as offert ta virginité je ne l’ai pas prise de force… Puis sérieusement, il est presque midi, mes parents ne sont pas présent au manoir et c’est sans doute une domestique qui a ramasser ses vêtements dans la cuisine. Pour cette histoire de potion, on verra en temps et en lieux, là nous allons manger ensemble et ensuite on s’inquiètera pour la suite, bois ton café. Et puis c’est quoi cette manie de toujours tirer sur ma cravate, je vais me tourner au nœud papillon par ta faute, femme.»

Tu terminas ton café, espérant qu’elle n’est pas souvent des crises de si grande violence. Tu avais remarqué aussi qu’elle ne mangeait pas tant que ça la vilaine. «Mange, tu as besoin de force pour ce que peu importe tu veux avaler tout à l’heure… Puis ce n’est pas une bêtise, tsskkk, c’est un geste spontané qui nous a apporter un moment agréable et qui nous a permis de mieux se rapprocher, cette nuit a briser des barrières qui seraient encore ériger si cela n’avait pas eu lieux, certes la prochaine fois nous prendrons le nécessaire, mais sérieusement, je pensais que tu… enfin, que tu prenais ce comprimé moldu pour empêcher de telle chose, je te croyais aussi active sexuellement parlant donc…»
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« C’est beau, t’as finis ta crise? Déjà je pense que tu te fais beaucoup trop de soucis avec des futilités, il y a peu de chance que tu sois enceinte, enfin je ne connais pas ton cycle, mais je suis certain que tu t’inquiètes pour rien et si jamais tu le serais tout de même, ce bébé ne paraitrait à ce mariage et cela prendrait plus de temps avant de ressembler à une baleine… Puis ensuite, à ce que je sache, je ne suis pas le seul fautif, tu m’as offert ta virginité je ne l’ai pas prise de force… Puis sérieusement, il est presque midi, mes parents ne sont pas présents au manoir et c’est sans doute une domestique qui a ramassé ses vêtements dans la cuisine. Pour cette histoire de potion, on verra en temps et en lieux, là nous allons manger ensemble et ensuite on s’inquiètera pour la suite, bois ton café. Et puis c’est quoi cette manie de toujours tirer sur ma cravate, je vais me tourner au nœud papillon par ta faute, femme. » avait-il dit. Elle resta immobile, les yeux ronds à l’observer avec stupeur, le souffle coupé. C’était comme une gifle, un réveil assez brutal pour la calmer. Elle inspira doucement, baissant les yeux. Il avait raison, elle avait réagi avec beaucoup trop de force pour probablement rien. Elle n’avait toutefois pas envie d’être la risée de l’élite. Et puis était-ce trop demander d’apprendre à se connaître avant de créer une famille ? Il ne pouvaient pas être une famille, ils n’étaient même pas un couple ! Elle soupira doucement, hochant lentement sa tête pour lui indiquer qu’elle s’était calmée, osant à peine le regarder, ses joues rouge écarlate. Il avait réussi à la calmer, elle se sentait stupide, mais elle était beaucoup plus calme. « Mange, tu as besoin de force pour ce que peu importe, tu veux avaler tout à l’heure… Puis ce n’est pas une bêtise, tsskkk, c’est un geste spontané qui nous a apporté un moment agréable et qui nous a permis de mieux se rapprocher, cette nuit a brisé des barrières qui seraient encore érigées si cela n’avait pas eu lieu, certes la prochaine fois nous prendrons le nécessaire, mais sérieusement, je pensais que tu… enfin, que tu prenais ce comprimé moldu pour empêcher de telle chose, je te croyais aussi active sexuellement parlant donc… » - Elle hoqueta à ses paroles, relevant le visage pour le regarder avec surprise. Il pensait qu’elle regrettait lui avoir donnée sa virginité ? Non, elle regrettait ne pas avoir pris de précaution, mais avoir couché avec lui ça non. C’était probablement la première fois qu’elle ne se réveillait pas à moitié ivre avec un homme qu’elle avait complètement oublié le nom. Elle attrapa doucement sa main, resserrant ses doigts contre celle-ci. Elle resta muette quelques minutes, choisissant bien les mots qu’elle prononcerait. Elle n’avait pas eu l’intention de l’accuser, seulement de prendre en charge une situation qui aurait pu être catastrophique… du moins pour elle. « Je ne considère pas toute cette histoire comme une bêtise Constantin. Tu me prendrais là, maintenant, et j’en serais heureuse. Je veux seulement avoir un enfant dans un moment opportun, qu’il soit désiré, aimé par des parents heureux ensemble. » avait-elle dit à demi-voix. Un enfant, ça ne demande pas à venir au monde. Et puis s’il advenait qu’il rompe les fiançailles? Que ferait-elle d’un enfant, toute seule? Elle soupira pour la énième fois, secouant la tête. Elle ne tomberait pas enceinte, c’était ridicule. Beaucoup de couples devaient attendre des mois entiers avant d’en concevoir un. Elle était beaucoup trop inquiète pour rien. Elle afficha un faible sourire, haussant les épaules, jouant nerveusement avec les doigts du plus vieux. « Les nœuds papillon c’est moche. De toute façon je te préfère complètement nu. »

Elle grimaça en regardant les petites brioches qui se trouvaient devant elle, déchirant quelques morceaux, s’affairant plus à la détruire qu’à la manger. Elle n’avait pas faim, le café était suffisant. Un autre qui semblait vouloir se battre sur le sujet de manger pour avoir des forces. Elle était forte ! Enfin, assez pour une femme de son calibre. Elle releva le menton, comme pour affirmer ses propres pensés, oui elle était forte. Elle avala rapidement une bouchée, se laissant tomber dramatiquement contre le lit, feignant de dormir. Elle avait avalé presque la moitié et but tout son café, c’était suffisant non? Elle devrait manger encore pour le diner ! Les yeux clos elle se laissa choir, relaxant paisiblement dans ce lit si confortable. Elle était une grande tragédienne disait souvent sa mère. Faire un plat avec tout et n’importe quoi si elle ne contrôlait pas la situation. Elle dérapait, c’était bien évident ? Si jeune, si naïve et pourtant elle savourait la vie avec appétit. Peut-être subissait-elle trop de pression avec toute cette nouvelle histoire, s’y perdant à chaque décision qu’elle prenait ? Un homme c’était compliqué à gérer, à comprendre et pourtant Constantin semblait bien facile à vivre. « Pardons, je ne suis pas très matinal. » avait-elle murmuré avant de se taire, restant toujours immobile dans le lit, se concentrant sur sa respiration. Ça n’excusait probablement pas sa réaction, mais au moins elle faisait l’effort de reconnaître son erreur.
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Elle semble alors stupéfaite, au moins l’effet espéré avait lieux et elle devient muette, calme et elle te regarde avec stupéfaction. Elle t’écoute sagement, prenant ta main dans les siennes et caressant celle-ci doucement. Elle se laissait gronder comme une fillette pensas-tu. « Je ne considère pas toute cette histoire comme une bêtise Constantin. Tu me prendrais là, maintenant, et j’en serais heureuse. Je veux seulement avoir un enfant dans un moment opportun, qu’il soit désiré, aimé par des parents heureux ensemble. » Elle semblait légèrement nerveuse, soupirant, fixant ta main, jouant avec tes doigts. « Les nœuds papillon c’est moche. De toute façon je te préfère complètement nu. » Un petit sourire éclaira ton visage, un peu amusé par sa déclaration.

Puis elle s’attaqua enfin à son petit déjeuner tout en buvant son café. Tu la regardais s’attaquer à une des brioches, l’émiettant plus qu’elle la mangeait. Elle en mangea quelques peu et puis une fois sa tasse vide, elle déposa le tout et s’étendit sur ton lit, s’étirant doucement. « Pardon, je ne suis pas très matinal. » Tu déposes toi aussi ta tasse et ton assiette, elle semblait à nouveau plus calme, moins proche de la crise d’hystérie. «Hum, mais c’est que nous sommes loin du matin, alors maintenant, je me demandais ce que tu aimerais faire, mes parents ne sont pas présent et si jamais tu veux vraiment te concocter une potion, j’ai un jardin remplit de plante.» Tu passas une main contre son corps, par-dessus ce drap, caressant légèrement son corps, arrêtant à son ventre, te demandant vraiment ce qu’il faudrait faire si un petit être si logeait. «Tu sais Elionore, si jamais tu étais vraiment enceinte, je crois que nous pourrions être heureux, bon nous ne sommes pas encore un couple, mais je crois qu’il y a quelque chose entre nous et que cela grandira de plus en plus avec le temps. Il faut simplement laisser le temps à ses choses de devenir plus, de prendre une plus grande ampleur. Moi à ta place je ne ferais pas cette potion.» Avoir une jeune fille qui délirait toute la journée, tu n’étais pas sûr d’avoir envie d’un tel spectacle, en plus tu serais préoccupé, tu prendrais soin d’elle et tu n’avais aucune idée de ce que cette potion pourrait lui causer et tu n’avais pas envie de le voir nécessairement.« Mais c’est ton corps donc la décision de reviens.» Oui, tu n’étais pas pour cette option, mais e fin de compte, ce n’était pas toi qui prenait la chance de voir son corps se transformer si l’inévitable avait vraiment eu lieux pendant cette nuit de caresse. Tu repensas à cette nuit, à sa façon de redemander ce dont tu lui avais fait goûter pour la toute première fois, repensant à ce cadeau qu’elle t’avait offert, tu n’en revenais toujours pas qu’elle t’est vraiment offert sa virginité alors que vous n’étiez pas encore mariés. Tu la regardais, ainsi seulement recouverte d’un drap, sachant qu’elle n’avait rien sur son corps, admirant sa beauté, bien que tu n’avais pu encore admirer son corps sous la lumière du jour, quand elle serait ta femme elle serait peut-être plus à l’aise de son corps, pour l’instant tu sentais une gêne venant de sa part.

«Dans le pire des cas, j’ai ma cousine qui s’y connait beaucoup en botanique, même si ce serait un peu étrange de te la faire rencontrer pour ce genre de circonstance. Elle a tout de même un jardin remplit de toutes les herbes et plantes…»
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Elle releva la tête, ouvrant doucement les yeux pour l’observer parler, lui demandant ce qu’elle voulait faire. Ses parents étaient de sorties, c’était presque tentant de le déshabiller sur le champ. Elle retint un rire, passant délicatement une main contre son visage, frissonnant alors qu’il caressait son corps par-dessus le drap. Coquine, gourmande … elle devrait sans doute faire de grand effort pour se contenir pour ne pas abuser de son corps en tout temps. Elle soupira, observant sa main posée contre son ventre. « Tu sais Elionore, si jamais tu étais vraiment enceinte, je crois que nous pourrions être heureux, bon nous ne sommes pas encore un couple, mais je crois qu’il y a quelque chose entre nous et que cela grandira de plus en plus avec le temps. Il faut simplement laisser le temps à ses choses de devenir plus, de prendre une plus grande ampleur. Moi à ta place je ne ferais pas cette potion. » avait-il finalement dit. Elle pouvait sentir ses muscles se raidir sous la nervosité qui la gagnait à nouveau. Avoir un enfant, elle en voulait tellement un. C’était pratiquement devenu une obsession depuis qu’elle avait rencontré cette voyante ! Une malédiction, elle ne savait même pas pourquoi ! Prendre la chance d’aimer quelqu’un sans savoir s’il survivrait. Ce n’était peut-être que des foutaises, une vieille femme qui en voulait à la terre pour son malheur. Si les choses tournaient mal, elle en évoquerait les possibilités. Ce n’était pas une dingue qui lui dicterait sa vie non? « , Mais c’est ton corps donc la décision de reviens. » - Elle secoua la tête négativement. « On ne peux pas forcer l’un comme l’autre, mais c’est une décision qui se prend à deux je crois. Enfin, si on veut un jour se considérer comme une famille, on doit penser comme une famille non? » avait-elle dit avec un léger petit sourire aux lèvres. Elle croyait aussi qu’il y avait quelque chose de bien entre eux, déjà. Avec un peu de recul, elle pouvait y croire, sans trop pousser la donne, elle pouvait y croire. Qu’il y aurait un eux, pas seulement par alliance, mais simplement parce qu’elle avait la foi, en la vie, en l’amour. Mais il ne fallait certainement pas lui poser la question alors qu’il se trouvait entre ses jambes, elle vous répondrait qu’il était l’homme de sa vie. Oui, le sexe rendait les gens fous. « Dans le pire des cas, j’ai ma cousine qui s’y connait beaucoup en botanique, même si c’était un peu étrange de te la faire rencontrer pour ce genre de circonstance. Elle a tout de même un jardin remplit de toutes les herbes et plantes… » - Elle déclina l’offre d’un revers de main, affichant un petit sourire. « Les chances sont faible je crois. Nous pouvons nous concentrer sur le présent. Je surveillerai les signes dans le cas, mais … on peut laisser ça de coté. Aujourd’hui j’aimerais qu’on essaie de penser à un possible nous. » avait-elle dit doucement, se redressant pour entourer délicatement son visage de ses petites mains. Elle déposa un petit baiser contre ses lèvres, se reculant pour l’observer un instant. Il était séduisant et surtout très patient avec elle. Il avaient six ans de différence et il semblait accepter qu’elle nécessitait probablement plus de patience qu’une autre promise. Elle l’embrassa une nouvelle fois, plus intensément, laissant libre court à ses envies. Heureusement, elle était le genre de femme à prendre rapidement ses aises, s’appropriant l’affection sans trop de gêne, ce qui faciliterait sans doute les choses entre eux. Et puis il n’était pas bien difficile ! Presque mignon lorsqu’il le voulait ! Elle aimait comment il l’appelait déjà sa femme, s’impliquant dans une grossesse imaginaire. Elle soupira doucement se redressant finalement sur ses genoux pour venir prendre place derrière lui, faisant fi de sa nudité, s’affairant à masser ses épaules, sa nuque, ses omoplates. « nous avons amplement le choix, un jour vous devrez venir faire une visite à la maison monsieur Crouch, mais aujourd’hui nous pouvons simplement aller marcher un peu dans vos jardins ou si l’envie vous prends, aller marcher dans pré-au-lard un peu pour profiter du soleil! Nous avons une liste de cadeau de mariage à préparer pour notre prochaine vie de Crouch ! »

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Elle semble prête à oublier cette histoire de potion, prête à attendre, prête à avouer qu’il y ai peu de chance. Cela te semble raisonnable, puisque de toute façon tu n’avais pas envie de la voir délirer pendant des heures à cause de la veille. « Les chances sont faible je crois. Nous pouvons nous concentrer sur le présent. Je surveillerai les signes dans le cas, mais … on peut laisser ça de côté. Aujourd’hui j’aimerais qu’on essaie de penser à un possible nous. » En clair, elle voulait faire une sortie? Avoir un moment entre vous deux pour créer un rapprochement non? Et toi qui t’étais promis de ne plus autant t’investir dans une prochaine relation, toi qui avait eu le cœur détruit et t’avais faite cette promesse, mais Elionore était différente, elle espérait un mariage heureux, elle ne voulait pas fuir cette union et pour cette raison, tu avais investi plus de ton temps, plus de ta personne. Puis elle t’embrassa, encerclant ta mâchoire de ses mains. Puis elle se releva doucement, restant sur le lit agenouillé, le drap ne cachant plus son corps, elle vint derrière toi pour masser tes épaules, ta nuque, tu fermas les yeux un instant. « Nous avons amplement le choix, un jour vous devrez venir faire une visite à la maison monsieur Crouch, mais aujourd’hui nous pouvons simplement aller marcher un peu dans vos jardins ou si l’envie vous prends, aller marcher dans pré-au-lard un peu pour profiter du soleil! Nous avons une liste de cadeau de mariage à préparer pour notre prochaine vie de Crouch ! » Oui, elle avait raison, tu n’avais pas vraiment encore été voir ta nouvelle famille, bon tu les connaissais, mais le dernières rencontres n’était pas dans le même cadre d’idées, il était temps que tu te montres envers sa famille, comme elle le faisait pour la tienne, tu acquiesças.

«Oui, tu as raison, je viendrai diner bientôt avec ta famille, bien que je le redoute un peu. Ta famille est plus nombreuse que la mienne et soyons franc vous n’avez pas les même mœurs que les anglais, donc je vois déjà venir les défis lancés par certains de tes frères, si ce n’est pas tous, tu es quand même leur sœur cadette.» Bon Félix t’appréciait vraiment, d’ailleurs tu n’avais jamais parlé avec Elionore de ces échanges entre son frère et toi, comment verrais-t-elle les choses si elle savait que tu ne détestais ce genre d’expérience avec d’autres hommes? Tu n’osais pas, pas encore, sans doute un jour l’apprendrait-elle, mais pas tout de suite, tu avais encore un jardin secret à entretenir et vous étiez maintenant amant, mais non as encore des âmes sœurs qui se révélait tout entre elles. Valait mieux ne plus pensez à cette barbe claire et ses yeux pâle qui t’offrais ses sourires charmeurs, non valait mieux se concentrer sur la petit sœur cadette du tigre, cette louve se disait-elle, mais elle te faisait plus penser à une lionne en chasse et là en ce moment, elle était nue sur ton lit entrain de te masser les épaules et cette simple image que tu avais eu de son corps des plus appétissant nue à la lumière du soleil. Tu te retournas un instant l’attrapant par la taille, glissant une main contre ses fesses, ta bouche allant contre sa poitrine, dévorant doucement l’un de ses mamelons. «Hum, quand nous serons unis, je crois qu’il y aura une règle où tu devrais rester toujours ainsi dans la chambre, sans vêtement, tu es magnifique et tu goûtes merveilleusement bon femme...» Tu aimais bien sa façon de bouger, certaines de ses expressions, elle avait réduit ton nom en adjectif à cette prochaine vie qui vous attendait, une vie de Crouch, cela t’avait plu, c’était mignon de sa part. Subitement tu avais hâte de pouvoir l’appeler ainsi, madame Crouch, ouais ça lui irait sacrement bien à la demoiselle. Tu attaquas sa bouche, la goutant de nouveau, après tout c’était elle qui te massait toute nue il y avait peu, elle ne pouvait pas s’attendre à pouvoir ainsi se déplacer sur ton lit sans vêtements et s’en sortir indemne non. «J’ai une suggestion alors pour toi, nous magasinerons plus tard, je n’ai pas encore envie de devoir aller me promener en public, mais plus profiter de toi, de nous…Hum… si nous allions dans notre villa au bord du lac, on pourrait s’y baigner doucement et puis rentrer avant que la nuit ne tombe, à moins qu’on en profite pour se faire un feu là-bas, c’est un endroit très calme, un terrain reculé.» Tu glissas doucement une main sur ses cuisses, caressant l’intérieur de l’une d’elle, juste assez pour la rendre patoise, folle de désir. «Puis ne t’inquiète pas pour ce qui est des maillots, c’est privée, on en aura pas besoin.» Tu lui offris un petit sourire amusé, attendant une réponse de sa part.
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« Oui, tu as raison, je viendrai diner bientôt avec ta famille, bien que je le redoute un peu. Ta famille est plus nombreuse que la mienne et soyons franc vous n’avez pas les même mœurs que les anglais, donc je vois déjà venir les défis lancés par certains de tes frères, si ce n’est pas tous, tu es quand même leur sœur cadette. » Elle éclata d’un rire sonore avant de rouler les yeux. Ah oui, il avait bien raison d’avoir des craintes! Elle se rappelait comment ses frères avaient fait les coqs à l’approche du mari de sa grande sœur ! Ils ne l’avaient pas manqué le pauvre garçon. Les Hvedrung étaient des farceurs en tout temps, jamais trop méchant, jamais trop gentil ; ils aimaient embêter et créer des malaises. Constantin n’y échapperait pas, même si sa famille le connaissait déjà. « Est-ce qu’on a peur des Danois monsieur Crouch ? Faudra leur montrer à ces petits monstres que vous savez protéger votre femme. Et probablement vous tenir loin de Nessa, je crois bien que tu lui plais. » avait-elle dit d’une voix malicieuse, cachant difficilement son hilarité. Les Crouch étaient effectivement beaucoup plus faciles à affronter que sa famille. Elle veillerait toutefois à ce que ses frères le traite comme un roi, pas question qu’il redoute chaque réunion de famille parce que la sienne se comportait en sauvage ! Parfois ils avaient tendance à réagir avec beaucoup trop d’entrain en ce qui concernait le sang frais. Elle couina soudainement, alors que le brun s’attaquait une nouvelle fois à son corps, gémissant sous sa langue qui s’amusait contre sa poitrine. Elle glissa une main dans ses cheveux, humidifiant furtivement sa lèvre inférieure du bout de sa langue. Cet homme avait raison, ils se tueraient à petit feu. « , Hum, quand nous serons unis, je crois qu’il y aura une règle où tu devrais rester toujours ainsi dans la chambre, sans vêtement, tu es magnifique et tu goûtes merveilleusement bon femme... » - Elle tira doucement sur ses cheveux, renversant délicatement sa tête vers l’arrière alors qu’il s’appropriait déjà ses lèvres. Elle répondait à son baiser avec ferveur, s’éclipsant quelques secondes. « Ah ! Si tu oses seulement porter un vêtement dans notre maison à notre premier mois de mariage, je vais me charger moi-même de foutre le feu à la penderie. » avait-elle dit, souriant contre ses lèvres, son regard teinté d’une lueur de défis. Elle ne mentait probablement pas, elle n’était pas certaine elle-même. De toute façon elle doutait bien qu’il ne serait pas celui qui refuserait des moments d’intimité avec elle. Elle s’empressa de goûter ses lèvres à nouveau, sentant son cœur s’affoler de toute cette délicieuse attention à son égard. Au moins, il avait de l’appétit, beaucoup d’appétit. « J’ai une suggestion alors pour toi, nous magasinerons plus tard, je n’ai pas encore envie de devoir aller me promener en public, mais plus profiter de toi, de nous…Hum… si nous allions dans notre villa au bord du lac, on pourrait s’y baigner doucement et puis rentrer avant que la nuit ne tombe, à moins qu’on en profite pour se faire un feu là-bas, c’est un endroit très calme, un terrain reculé. » - Son visage sembla s’illuminer davantage, hochant rapidement la tête alors qu’elle s’accrochait à son cou. Elle frissonna doucement sous ses touchers, écartant instinctivement les cuisses pour lui donner plus d’accès, mordillant sa lèvre inférieure. Seigneur, saurait-elle un jour résister à ses avances ? Elle poussa un soupire d’exaspération, bouillante d’envie, de touché concret. « Puis ne t’inquiète pas pour ce qui est des maillots, c’est privé, on en aura pas besoin » avait-il dit dans un sourire amusé.

Elle l’observa un instant, l’une de ses mains se frayant un chemin contre son corps pour venir se presser près de son entrejambe, frôlant soigneusement la bosse qui se trouvait sous le tissus de son pantalon. « Il me tarde de découvrir tous les endroits où tu pourras admirer mon corps sous toutes les lumières que tu désir. » avait-elle rétorqué avant de mordiller sa lèvre inférieure, tirant légèrement dessus. Elle se redressa lentement, enjambant ses cuisses pour se lover contre son corps. Elle roula lentement ses hanches, pressant ses hanches contre les siennes alors qu’elle cambrait délicatement le dos. Désirer Constantin lui semblait si naturel, répondre aux appels de son propre corps qui réagissait de lui-même. Elle posa ses mains contre sa ceinture, s’affairant à la détacher de ses mains tremblantes, déboutonnant son pantalon avant d’y glisser sa main à l’intérieur. Elle soupira son prénom dans une douce complainte à son oreille. Toucher pour l’exciter, toucher pour l’enivrer. S’il voulait jouer avec ses sens alors il comprendrait bien rapidement son erreur. Elle resserra ses doigts contre sa prise avant de la sortir de sa cachette, glissant doucement contre son excitation entre ses cuisses, hoquetant elle-même de surprise. Difficile, ce serait bien difficile. Un gémissement s’échappa de sa gorge, un gémissement bien franc alors qu’une chaleur se créait dans son bas ventre. « Oh Constantin, tu va me rendre complètement dingue, mais je ne sombrerai pas seule, impossible mon cœur. » avait-elle murmuré. Elle déposa un bref baiser contre ses lèvres, se redressant subitement pour quitter le lit. Elle attrapa un petit biscuit au passage, le dégustant alors qu’elle quittait simplement la pièce. « Je vais m’habiller et préparer quelques bagages. Des vêtements de rechange seront sans doute nécessaires. On se retrouve dans dix minutes ? »
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Elle semble bien amuser par le fait que ce souper te stress puisqu’elle ricane fortement lorsque tu lui dis, ce qui te vexe légèrement. « Est-ce qu’on a peur des Danois monsieur Crouch ? Faudra leur montrer à ces petits monstres que vous savez protéger votre femme. Et probablement vous tenir loin de Nessa, je crois bien que tu lui plais. » Elle te parla de sa jeune sœur, qui certes s’est toujours montrer très entreprenante en ta présence, plus qu’Elionore par le passé. Mais la logique voulait qu’on mari nos filles ainés ce qui avait donc fait qu’Élionore était la candidate que les Crouch avait réussi à obtenir, mais déjà que tu trouvais Éli jeune, tu n’aurais imaginé ce que Nessa aurait pu faire, elle était maligne la petite. «Je n’ai pas peur des Danois, seulement, j’ai une petite idée de comment se déroulera ce souper et bien que je doive me montrer à la hauteur, je sais déjà que vos frères m’en feront voir de toutes les couleurs. Pour Nessa tu as peut-être raison…» N'osant lui faire remarquer la chose concernant Félix.

Lorsqu’elle couina sous ton attaque, cela te motiva encore plus à continuer. Elle te renverse doucement la tête alors que tu attaques ses lèvres. « Ah ! Si tu oses seulement porter un vêtement dans notre maison à notre premier mois de mariage, je vais me charger moi-même de foutre le feu à la penderie. » Tu ricanes doucement, comme si tu allais te promener nu en tout temps dans la demeure pour un mois, quoi que tu ne serais pas vraiment contre l’idée. «Ce que tu es exigeante femme.» L’accusas-tu doucement en rigolant.

Puis elle semblait emballé par ta proposition, hochant de la tête et certes tes petites caresses ne lui étaient pas indifférente, tu la vis écarter doucement les jambes, prête à te laisser plus de place pour balader tes doigts ce qui te fit sourire doucement, laissant le bout de tes doigts frôler doucement et langoureusement son entre jambe. Ses dents te mordillaient la lèvre, elle savourait et tu sentais l’impatience qu’elle dégageait. Sa menotte vint s’appuyer doucement contre toi, te caressant doucement. « Il me tarde de découvrir tous les endroits où tu pourras admirer mon corps sous toutes les lumières que tu désir. » c’est qu’elle était prête à le faire, tant mieux, elle avait un jolie corps et ne devrait pas en avoir honte.

C’est alors qu’elle commença son petit jeu, se relevant doucement, t’enjambant, elle se lova contre toi, son bassin roulant contre le tien. Elle entreprit de s’attaquer à ta ceinture, te libérant de celle-ci, glissant la fermeture éclair de ton pantalon, elle glissa sa main à la recherche de ce que tu avais de plus précieux à lui offrir, lorsqu’elle s’en empara tu ne pus refreiner ce grognement de plaisir. Puis elle se frotta tout contre, assez pour te faire découvrir combien elle était prête à t’accueillir, « Oh Constantin, tu vas me rendre complètement dingue, mais je ne sombrerai pas seule, impossible mon cœur » t’offrant à présent la possibilité de prendre, mais au lieu de poursuivre, elle se retira de tes jambes, se relevant. Un bref baiser et la belle quittait la bête. Elle attrapa un biscuit sur son passage et quitta la pièce. « Je vais m’habiller et préparer quelques bagages. Des vêtements de rechange seront sans doute nécessaires. On se retrouve dans dix minutes ? » Tu la regardais incrédule quitter la pièce complètement nue, tu te relevas légèrement frustrer, celui qui croyait prendre s’était fait avoir à son propre jeu. Tu replaças tes vêtements, refermant ton pantalon et oubliant cette excitation éphémère qui t’avais submergé. Tu pris quelque vêtements de rechange, des vêtements plus simple et tu pris le temps de te changer, on n’allait pas au lac en habit. Tu enfilas donc un short et un chandail à manche courte, peut-être y passeriez-vous la nuit, qui sait… Tu allas à la cuisine prendre certain aliment pour emporter, il y aurait sans doute certaine choses la bas, mais pour être sûr de ne rien manquer.

Puis, vous vous retrouviez, tu pris ses bagages et avec l’aide d’un portoloin, vous arriviez là-bas, un endroit calme. Le ciel bleu vous accueillait, la villa qui faisait office de chalet, c’était grand, moins grand que le manoir, mais cette maison faite de bois et de fenêtres avait un petit cachet. Une grande galerie en faisait le tour, laissant un paysage à couper le souffle, tu aimais bien cet endroit. Vous étiez loin de toute cette guerre ici, loin de ces mangemort et insurgés, il n’y avait pas de loup-garou non plus dans cet endroit, puisque c’était un endroit sur le territoire des moldus, loin de la civilisation. Le terrain descendait en pente et offrait des escaliers qui descendaient jusqu’au lac, une fois en bas, un grand quai y était afin de pouvoir y sauter, il y avait même une chaloupe des anciens propriétaires, ton père n’avait jamais vue le plaisir à aller pêcher sur le lac. Tu rentras à l’intérieur, plaçant la nourriture dans le réfrigérateur. «Alors tu veux aller te baigner ou je te fais visiter l’endroit?»
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 La jeune femme observait droit devant elle, un grand sourire etirant ses lèvres alors qu'elle admirait la vue.  Cet endroit était si magnifique, si isolé du reste du monde, à croire qu'elle pourrait rester ici pendant des mois.  Faire la paix avec sois même, hors des dechirement du peuple face a l'austérité. De toute façon, vivre si loin de la ville n'était pas un problème majeur pour des sorciers!  Elle se retourna doucement venant l'aider à serrer les alliments dans le frigo, ouvrant furtivement le congélateur pour y jetter un coup d'oeil.  Elle mordilla sa lèvre inférieur, souriant malgré elle.  Oh constantin... Si seulement elle en avait terminer avec lui. « Alors tu veux aller te baigner ou je te fais visiter l’endroit? »
Il lui posa une question sans qu'elle n'y prête attention, déjà à genoux devant lui alors qu'il serrait toujours des produits qu'il avait emportés.  Elle détacha son short comme si de rien n'était, faisant fi de ses réactions.  Elle deviendrait bien vite une petite obsédée a agir de la sorte! Elle s'amusa de sa propre penser, haussant les épaules alors qu'elle reportait son attention sur ce qui se trouvait devant elle.  « le lac c'est bien je crois? » disait-elle alors qu'elle le touchait sans trop porter d'attention a ce qu'il dirait. Au final ce n'était pas bien important!  Si?  Non, ce qui était important c'était comment elle s'y prendrait pour le rendre fou.  Une vengeance pour la chambre, pour la cuisine, pour ses beaux yeux couleur chocolat, pour sa façon de l'appeler femme.  Elle déposa un baiser sous son nombril, sa langue glissant malicieusement contre sa hanche droite relevant le visage pour le regarder un instant un sourire en coin. « j'espère que l'eau est bien fraiche, car j'ai si chaud »  disait elle dans son petit accent danois, glissant furtivement un petit glaçon contre sa langue pour le goûter enfin. Le goûter pour l'attiser par le froid, le goûter pour le faire payer, le savourer pour le tuer tendrement sous sa langue. Elle agrippa brusquement ses fesses, traçant sa peau de ses ongles. Il finirait par se frustrer réellement bientôt. Tant pis, elle désirait le pousser à bout, que ce soit son tours de supplier. Elle se recula dans un ‘’pop’’ sonore, affichant un sourire bien enfantin, se redressant pour pivoter sur elle-même, retirant le glaçon de sa bouche pour pivoter sur elle-même et quitter la pièce laissant glisser sa  robe sur son corps, dévoilant sa peau nue. Elle posa la main sur la poigner de la porte, tournant légèrement la tête pour le regarder du coin de l’œil, les shorts toujours sur les chevilles. Elle s’en amusa, ricanant alors qu’elle sortait de la villa. Elle descendit bien rapidement les escaliers pour rejoindre la plage, profitant du sable sur chaud sur ses pieds. Elle inspira longuement l’air frais de la nature, heureuse de profiter un peu de la nature. Elle s’ennuyait tant de l’eau de la mer, des falaises et du vent marin qui faisait valser ses cheveux. Une petite compensation, un semblant de ce qu’elle aimait tant avec un homme qu’elle pourrait aimer. Elle s’approcha lentement du lac, laissant les légères vagues se fracasser contre ses pieds avec douceurs. Elle avança encore et encore, ses mains glissant contre l’eau du lac, suffisamment pour recouvrir ses hanches. Elle semblait enchantée par la nature, la paix, la sainte paix. Elle leva les yeux vers le ciel, souriant un instant. Elle voulait une maison comme ça, aussi simple que ça. Se lever le matin et boire un café sur la véranda, en observant le ciel qui s’éclairait. Elle soupira d’aise, se tournant pour regarder où était donc son futur mari. Elle l’attendait d’un pied ferme, se préparant à subir tout et n’importe quoi en fait. Il ne pourrait certainement pas rester bien fâché longtemps avec le sourire qu’elle lui offrait ! S’il l’était seulement ! Elle rejeta délicatement ses cheveux vers l’arrière, l’observant la rejoindre alors qu’elle se glissait un peu plus dans l’eau. C’était rafraichissant, c’était parfait. Toujours trop beau pour être vrai avec lui.  

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Une autre femme dans peau feat Constantionore (18+) - Page 3 LargeUne autre femme dans peau feat Constantionore (18+) - Page 3 Large
Tirez-moi une belle dans cœur
Arrachez-moi la belle dans’tête
Au pire tirez-moi dans dos
Mais tirez-moi une autre femme dans’peau

Elle te suit à l’intérieur, tu penses qu’elle va t’aider avec la nourriture, elle ouvre le congélateur un instant, puis elle décide sans doute d’en faire autrement puisqu’elle se pose devant toi, s’agenouillant, t’embrassant doucement le nombril et les hanches. Tu la sens détacher ton short, tu essais de l’empêcher, ce n’est pas le moment, mais elle continue tout de même, déterminer. « Le lac c'est bien je crois? » Elle t’embrasse doucement, sentant sa langue contre ta chair, ce qui te fait tressaillir doucement. « J’espère que l'eau est bien fraiche, car j'ai si chaud » Elle te parle du lac, de l’eau alors qu’elle s’affaire complètement à autre chose, te faisant rapidement oublier ses paroles anodines. Puis elle glissa quelque chose dans sa bouche pour ensuite te goûter, sa bouche froide collée contre toi, ses ongles t’agrippant solidement les fesses. «Ouuhh...» Tu avais essayé de l’empêcher, de la retirer, mais finalement tu avais arrêté de te débattre malgré ce froid qu’elle avait en bouche. Puis alors que tu commences à te détendre sous sa caresse buccale, prenant appuie contre le comptoir derrière toi, elle se recule subitement, ce sourire vainqueur aux lèvres. Puis se releva doucement, retirant cette glace de s bouche, puis se détournant de toi. Tu la regardes faire, curieux de ses faits et gestes, te demandant si elle est vraiment pour te laisser maintenant et comme ça. Elle te fait ce sourire espiègle, laissant sa robe glisser de son corps, se retrouvant complètement nue devant toi et sortant de la maison. Elle tourna la poignée en riant doucement, te laissant ainsi dans la cuisine, tu fronças des sourcils, un peu écœurer de la voir te faire des avances, qu’elle t’aguiche, jouant avec toi d’une façon si cruelle, c’était peut-être un jeu à ses yeux, mais elle jouait avec le feu et n’en avait aucune idée. Elle ne connaissait que le Constantin doux et compréhensif, joueur et charmant, mais pas cruel ni le monstrueux cœur de glace que tu savais avoir pourtant. Tu remets ton short en place et prend le temps d’aller faire le tour de la maison, oubliant cette déesse nue sur ton terrain un instant, te changeant les idées de ces perversions pour t’assurer que la maison est en ordre, qu’il n’y a eu aucun bris ou vol.

Tu prends le temps de te calmer, elle ta fait ce coup avant votre départ et maintenant ici, tu commençais à la trouver beaucoup moins drôle et mignonne de se jouer ainsi de toi, elle qui encore la veille était vierge. Tu la vis dans une des fenêtres descendre les marches vers la plage du lac. C’était plus ou moins sécuritaire de la laisser se baigner seule, tu soupiras, encore un peu fâché de cette nouvelle tendance qu’elle a prise. Tu sors à l’extérieur, descendant près de la plage, ressentant cette douce brise chaude d’été, le vent soufflait laissant la verdure des arbres danser sous sa caresse. Plus tu approchais ce sable et mieux tu voyais son corps, elle descendait le lac, l’eau recouvrant en partie la moitié de son corps, elle était dos à toi, laissant sa peau laiteuse briller sous la lumière chaude du soleil. La chaleur était assez accablante sous la chaleur du soleil, tu fis donc comme elle, retirant tes vêtements, les laissant près contre les rambardes de l’escalier, tu vins la rejoindre trouvant l’eau fraîche, mais pas trop froide. Plus tu approchais d’elle et plus elle s’éloignait de toi, ce même sourire qui enjolivait ses traits, mais tu n’étais pas d’humeur à jouer. Elle t’avait fait le coup deux fois en peu de temps, il n’était pas question qu’elle recommence une tierce fois. Lorsque l’eau t’arriva sous les aisselles, tu te laissas glisser sur celle-ci, commençant à nager, laissant tes pieds flotter doucement dans cette eau, sans toucher à la vase. On pouvait entendre le bruit calme de l’eau frappé la berge, puis le chant de certains oiseaux dans les arbres qui vous entourait. Vous vous retrouviez en intimité dans cette étendue immense du lac, seulement vous deux, loin de bien des tracas.
Tu comptais jouer la carte de l’ignorance pour un petit moment, tu plongeas sous l’eau, retenant ton souffle, allant assez profondément dans cette eau brunâtre, afin de la rejoindre sans qu’elle ne te voit arriver, tu en avais assez de ce petit jeu. Peut-être s’inquièterait-elle de ne pas te voir remonter à la surface, tu pouvais retenir ton souffle assez longtemps, chose qui t’impressionnait encore parmi les facultés que tu avais obtenues de cet état. Tu allas la rejoindre et ressortis tout près d’elle l’empoignant solidement par les bras. «C’est quoi ce foutu jeu, tu veux bien me le dire, je commence à ne plus vouloir y participer!» Tu fronçais des sourcils, la regardant avec sérieux, l’empêchant de se libérer de ton emprise, serrant ni trop fort, mais ta poigne était de fer.
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 Ah là, elle avait peut-être trop misé sur son joli minois pour s’échapper de cette histoire. Elle pinça les lèvres, l’observant s’approcher d’un air fâché, limite menaçante. Pourquoi se mettait-elle toujours les pieds dans les plats ? Elle haussa les sourcils alors qu’il plongeait sous l’eau, un sourire étirant ses lèvres alors qu’elle s’attendait à sentir quelque chose tirer son pied en guise de vengeance. Mais non, le calme plat, rien, silence radio. Elle nageait en surplace, tournant légèrement sur elle-même à l’affut d’un signe quelconque à la surface. Il semblait bien savoir nager pourtant ! Il ne pouvait certainement pas s’être noyé tout bonnement ? Elle fronça les sourcils, cherchant une explication. Plus les secondes s’écoulaient, plus la jeune femme doutait, s’apprêtant à plonger à son tour alors qu’il immergeait soudainement pour lui empoigner le bras. Elle hoqueta, tentant de se dégager sous la surprise. « C’est quoi ce foutu jeu, tu veux bien me le dire, je commence à ne plus vouloir y participer » disait-il le plus sérieusement du monde. Elle soupira brusquement, levant fièrement le nez sous ses réprimandes. « Et feindre la noyade est probablement un jeu bien meilleur si je comprends bien? » avait-elle rétorqué sous l’impulsion. Elle secoua la tête, ce n’était pas aussi facile que ça. Elle voulait le pousser à la limite du possible, plus intense. Ce n’était pas de sa faute si monsieur n’avait plus l’humeur à jouer! Il savait parfaitement qu’elle se donnerait entièrement à lui sans même poser de question. Elle inspira doucement, s’approchant finalement de lui. Apprendre à calmer une personne susceptible était quelque chose de bien compliquer, elle ne pouvait pas toujours se fier sur ses yeux de biche ou son accent pour adoucir la colère d’un homme. Comprendre Constantin était toutefois important. Elle devrait passer le reste de ses jours avec lui et connaître ses limites et comment lui chasser la rage du cœur était  probablement les fondements d’une relation saine entre eux. En même temps, la brune l’observait avec curiosité. Ses cheveux mouillés, ses sourcils froncés, sa voix rauque sous la frustration. Elle pouvait parfaitement sentir une onde de choc lui traverser l’échine alors qu’elle se perdait dans ce regard noirci par cette colère exagérée. « Ce ne sont que des jeux Constantin, il y a une grande différence entre se jouer d’une personne et jouer avec une personne. Me pousser à bout, me laisser haletante, brulante de désir. Ce n’est pas ce que tu faisais hier dans la cuisine ? Je n’ai pas le droit de m’amuser à mon tour ? Le cœur qui s’agite, le sang qui afflue, l’imagination qui dérape. La peau si sensible qu’elle fait mal, l’excitation qui grimpe à son maximum ? » murmurait-elle contre ses lèvres, les yeux à demi-clos. Elle glissa doucement sa main contre son torse, venant retrouver sa main libre, entre lassant ses doigts aux siens. Elle fit une pause, haletante par ses propres paroles ou par la fatigue de nager sur place, elle s’y perdait. Les yeux rivés contre l’eau miroitante, elle reprit enfin la parole. « J’aime jouer, les sensations fortes. Tu n’aimes pas, je comprends et nous trouverons bien un moyen d’entente. J’apprends qui est Constantin, tu apprends qui est Elionore. C’est comme ça qu’on sera heureux. Ta femme demande de l’attention, mais ta femme te donnera autant d’attention qu’elle en réclame.» avait-elle dit d’une voix douce, le regardant finalement dans les yeux, un petit sourire étirant ses lèvres alors, qu’elle enroulait ses jambes contre ses hanches, prenant appui contre son corps. Elle scruta ses yeux un instant, à la recherche d’une émotion. La différence entre l’homme qui se trouvait devant elle et celui à qui elle avait passé la nuit était bien grande. Des millions de facettes pour une seule âme. N’était-ce pas ça la beauté de l’être humain ? Elle déposa un délicat baiser au coin de ses lèvres, se reculant pour l’observer de ses grands yeux aux couleurs hétéroclites. N’étaient-ils pas venus ici pour profiter de l’écart de la population ? Devenir les deux derniers sorciers sur terre? Elle glissa ses bras autour de son cou, pressant sa poitrine contre son torse. Sa peau chaude faisant un grand contraste avec la température de l’eau qui les avalait doucement. « Malgré toute la colère que tu ressentiras Constantin, je vais toujours t’appartenir, c’est à toi à me guider jusqu’à la frontière de tes limites. Je suivrai. Les cérémonies ne sont que pour la galerie, je suis ta femme. » avait-elle dit contre son oreille, resserrant son étreinte. C’était simple, elle lui appartenait parce qu’il agissait ainsi avec elle. L’autorité, la patience, la façon dont il la dévorait des yeux chaque fois qu’elle se déshabillait devant lui. Pour cette raison, elle se considérait comme sa femme, sa femme qui jouait avec ses nerfs certes, mais sa femme.

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Dernière édition par Elionore A. Hvedrung le Jeu 16 Juil 2015 - 0:45, édité 1 fois
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