Tirez-moi une belle dans cœur Arrachez-moi la belle dans’tête Au pire tirez-moi dans dos Mais tirez-moi une autre femme dans’peau
Elle semble surprise lorsque tu émerge de l’eau tout en l’attrapant, puis une fois ta question et menace lancé, elle lève le menton comme elle aime si bien le faire, démontrant son désappointement, sa fierté sans doute et elle te parle de noyade. « Et feindre la noyade est probablement un jeu bien meilleur si je comprends bien? »Tu fronces des sourcils, elle essayait encore de changer le sujet au lieu de répondre directement à ta question. Elle se rapproche de toi, semblant prête à changer de tactique. « Ce ne sont que des jeux Constantin, il y a une grande différence entre se jouer d’une personne et jouer avec une personne. Me pousser à bout, me laisser haletante, brulante de désir. Ce n’est pas ce que tu faisais hier dans la cuisine ? Je n’ai pas le droit de m’amuser à mon tour ? Le cœur qui s’agite, le sang qui afflue, l’imagination qui dérape. La peau si sensible qu’elle fait mal, l’excitation qui grimpe à son maximum ? » Elle te reprochait l’épisode de la cuisine, non elle ne pouvait pas, car contrairement à elle, certes tu avais joué avec elle au point de la rendre dingue, mais si ta mère ne se serait pas pointer, elle aurait terminé sur cette table beaucoup plus rapidement que ce qui était arrivé. Puis ce qu’elle voulait en clair c’était de te rendre dingue d’elle? Mais ce n’était pas ce qu’elle faisait, elle t’allumait puis quittait la pièce, elle jouait l’agace. Elle murmurait tout contre tes lèvres, frôlant ta peau de sa main avant que celle-ci viennent rejoindre la tienne pour enlacer tes doigts, tu l’écoutais parler, mais tu n’étais pas encore parvenu à quitter cet état de colère. « J’aime jouer, les sensations fortes. Tu n’aimes pas, je comprends et nous trouverons bien un moyen d’entente. J’apprends qui est Constantin, tu apprends qui est Elionore. C’est comme ça qu’on sera heureux. Ta femme demande de l’attention, mais ta femme te donnera autant d’attention qu’elle en réclame.»
Tu n’arrivais plus vraiment à comprendre ce charabia de bonne femme, ce qu’elle disait ne te semblait ne pas avoir de sens, comme si elle utilisait des tonnes de mots pour ce sauver de cette colère qui bouillait en toi et tu n’aimais pas ça, pourtant elle se collait à toi, encerclant tes hanches de ses jambes, collant son visage contre ton torse. «Hey, ce n’est pas des sensations fortes, à moins que tu décides de me rendre en colère, oui là ça en sera, moi j’appelle ça jouer l’agace ce que tu me fais depuis ton réveil.» Elle te caresse avec ses hanches, te détache le pantalon en roulant des hanches contre ton membre puis elle s’enfuit, maintenant une fois ici, elle te prend en bouche puis une fois que tu recommences à être bien excité et bien dure, elle se retire, elle s’arrangeait pour ne rien recevoir avant les noces pour la punir.
« Malgré toute la colère que tu ressentiras Constantin, je vais toujours t’appartenir, c’est à toi à me guider jusqu’à la frontière de tes limites. Je suivrai. Les cérémonies ne sont que pour la galerie, je suis ta femme. » Elle parlait déjà comme si vous étiez marier, mais vous le seriez prochainement, ton père t’avait dit que ce ne serait pas long avant que vous montiez la grande allée. Elle t’offrit un léger baiser, alors que tu étais perplexe de toutes ses paroles qui n’avaient pas grands sens à tes yeux, elle semblait avoir parlé et parler sans vraiment t’expliquer à part qu’elle jouait et qu’elle voulait tester tes limites. «Teste encore mes limites une troisième fois chérie et je te punirais.» Tu lui avais relevé le menton entre ton pouce et l’index afin qu’elle te regarde et voit le sérieux de ta menace, on ne plaisantait plus. Tu étais un prédateur et non l’inverse, elle devrait tâcher de s’en rappeler. Le lièvre pouvait courir vite, mais le loup finirait toujours pas le dévorer et en ce moment tu étais beaucoup plus près de la bête que de l’homme en toi. La colère te remplissait les veines, tes sauts d’humeur étaient fréquents, mais peu de gens les subissaient, tu savais te contrôler en société, mais certes, Elionore en devenant ta femme n’aurait d’autre choix que d’être témoin de ces sauts d’humeurs. Toi qui avais espérer une journée agréable, elle qui croyait jouer avait un peu gâché le tout et maintenant tu devais laisser cette haine qui bouillait en toi se calmer avant de l’effrayer ou de rendre cela désagréable pour tout le monde. Habituellement dans ce genre de moment tu te défoulais, peu importe comment parfois tu allais courir dépenser cette énergie noire, parfois tu allais frapper quelque chose, enfin tu te défoulais sur quelque chose, le sport était un bon moyen. «Ne t’arrange pas pour que je te prive de tout jusqu’à la nuit de nos noces.» Tu déposas un baiser sur ses lèvres, brusquement, sans toutefois l’envahir, mettant fin à cet échange puis tu te défis de sa poigne. «J’ai besoin d’aller faire des longueurs.» Oui les longueurs dans l’eau seraient tout à fait convenables, tu reviendrais avec une meilleure humeur, beaucoup mieux pour elle. «Sache que je suis parfois dur à suivre Elionore, attend moi dans l’eau si tu veux ou sur la plage, je vais revenir et ça ira mieux.» Tu la laissas alors, partant plus loin, nageant et nageant avec férocité, tes bras brisant l’eau, tu nageas à t’en faire perdre l’haleine. Cette colère en toi, t’offrais une énergie puissante, cela te permettait d’être fort, d’être plus près du monstre que de l’homme, mais elle n’avait pas besoin de le rencontrer maintenant. Le loup était sorti, la créature était monstrueuse et vilaine, tu devenais terrible dans de tel occasion et bien qu’elle t’avait mise dans cet état avec ses petits jeux qui se voulait coquin, taquin et léger. Ta colère lui aurait semblé exagérer, mais cette haine qui étais toujours en toi tu n’arrivais pas toujours à la contenir, à la contrôler… La forêt avait au moins le don de te calmer, puis après un moment tu revins, te sentent plus humain, plus apte à l’écouter et à paraitre plus raisonnable, un jour tu devras lui dire, mais tu avais peur de sa réaction.
En même temps, si elle acceptait de t’épouser sans cette connaissance de cause, elle pourrait t’en vouloir de ne pas lui avoir laissé le choix, tu lui devrais une explication, tu te rapprochais de la berge, ayant nagé, cela t’avait ouvert l’appétit. Tu n’étais pas parti longtemps, juste quelques minutes, ça allait déjà mieux. Elle aurait sans doute des questions à te poser, comprendre ce qui c’était passé et tu n’aurais pas le choix de lui répondre, mais tu avais préféré te défouler contre cette eau que contre son corps. Tu ne tolérais pas de la briser, de fracasser son corps contre la bête, la bestialité dont tu pouvais faire preuve n’était pas fait pour tous, tu pouvais te rappeler des morsures que tu avais faites à Beatrix le jour de son départ, de son corps marqué par ta brutalité et la peau laiteuse d’Elionore ne devrait pas en être tâché. Tu ne paraissais plus en colère, non c’était finis, tu ne voyais plus rouge et tu te rapprochas doucement d’elle.
you strung me along, pulling me thin, cutting me loose and then dragging me in.
« Teste encore mes limites une troisième fois chérie et je te punirais. » Avait-il dit en relevant son menton pour qu’elle comprenne la menace. Elle couina, mordillant l’intérieur de sa joue pour empêcher ce sourire qui lui chatouillait les lèvres. Elle était bien curieuse de savoir comment il comptait la punir. Constantin n’était pas du type joueur invétéré, mais il pouvait se montrer très créatif et elle en avait fait les frais déjà. C’était presque tentant, peut-être un défi ? « Ne t’arrange pas pour que je te prive de tout jusqu’à la nuit de nos noces. » avait-il menacé à nouveau avant de l’embrasser furtivement, un baiser fantôme. Elle l’observa avec de grands yeux. Non, ce n’était clairement pas un défi, mais une réelle menace. Elle secoua lentement la tête, il devait blaguer … pas le choix. Il ne pourrait pas résister lui-même, elle s’en assurerait. S’il pensait qu’elle accepterait la punition sans rétorquer, il se m’était un doigt dans l’œil, le coude même ! Elionore obtenait toujours ce qu’elle voulait, de sa tendre enfance à ses notes parfaites à l’école jusqu’aux hommes qu’elle désirait. Cette relation serait bien houleuse s’ils continuaient à réagir pour un oui et un non chacun de leurs cotés. Les choses ne fonctionnaient pas ainsi! Elle avait réagi trop promptement ce matin et elle avait pourtant fait l’effort de s’excuser pour son comportement, mais monsieur pouvait criser à sa guise sans avoir à régler ses comptes ? Voilà l’attitude d’un enfant unique dans une famille de riche. Elle fronça les sourcils, retroussant les lèvres. « J’ai besoin d’aller faire des longueurs . » il fit une pause, elle l’observa d’un aire outrée alors qu’il s’éloignait déjà. « sache que je suis parfois dur à suivre Elionore, attend moi dans l’eau si tu veux ou sur la plage, je vais revenir et ça ira mieux.. » - Oh le con ! Elle claqua le bout de sa langue contre son palais, agacée, blessée. Très certainement constantin, tu peux nager jusqu’en Amérique si ça te plaît, je vais sagement attendre sur la plage que tu ramènes ta bonne humeur. Elle haussa un sourcil, pinçant les lèvres pour retenir ses paroles. Elle était peut-être fâchée, mais elle avait appris à se taire lorsque nécessaire. Sincèrement, elle l’aurait bien laissé tout seul dans le lac pour aller elle aussi se calmer un peu. Mais non elle devait l’attendre comme une chienne avec une laisse. Elle s’approcha de la berge, sortant de l’eau sans lui jeter un seul regard. Maintenant c’était elle qui se sentait frustrée. Elle avait mesuré ses mots, songée ses paroles avant d’en faire un monologue. Faire un effort pour briser la tension. Mais non, constantin avait besoins de nager ! Elle lui paierait une piscine comme cadeau de mariage tiens ! Dix s’il en voulait plus, elle s’en fichait. Elle secoua la tête, ridicule. Cette histoire était complètement ridicule ! Mais l’homme était beaucoup trop borné pour comprendre qu’elle ne jouait pas les agaces pour le torturer, mais simplement pour l’attiser. Mais lui c’est un homme et les hommes dominent et sont les rois bla bla bla. Foutaise. Elle croisa les bras, insultés. Maintenant elle devait monter toutes les marches pour aller chercher sa baguette, qu’elle avait laissée dans la villa. Parce que monsieur n’avait pas compris qu’elle ne s’était pas complètement retrouvée nue dans la cuisine avant de sortir dans l’idée de continuer la chose sur la plage. Non monsieur la traitait d’agace, comme si elle n’était qu’une idiote ! Elle était une dame ! Pis les dames quand c’est frustré, ça boit du vin.
Elle s’éloigna du lac, attrapant le t-shirt de Constantin au passage, montant les escaliers en pestant à voix haute sur son futur mari pour aller chercher ce dont elle avait besoin. Elle enfila le vêtement qui la couvrait suffisamment la gable des fesses pour la cause. Heureusement que le sort de fontaine à vin existait, sinon elle aurait probablement mis la villa sens dessus dessous à la recherche d’une bonne bouteille de vin rouge. Elle attrapa une coupe, la remplissant automatiquement du bout de sa baguette avant d’en avaler complètement le contenu, prenant appui contre le comptoir un instant. Elle devait se calmer, réfléchir, se contenir. Elle soupira brusquement par les narines en roulant les yeux, attrapant une deuxième coupe de vin malgré tout. Tant pis, s’il n’en voulait pas, elle en aurait deux que pour elle. Ah!
Elle inspira doucement, allongée contre le sable alors qu’elle tentait de relaxer sous les rayons du soleil, le laissant vaguer à défoulement physique. Elle se redressa légèrement sur un coude, prenant une longue gorgée de ce merveilleux vin qui trônait dans le sable chaud à ses cotées. Il s’approchait d’elle, elle fronça le nez, positionnant ses lunettes de soleil sur ses yeux en reprenant place contre le sol chaud. Elle avait gardé son t-shirt, légère protection contre les coups de soleil, mais protection quand même. Elle n’avait pas l’intention de se retrouver rouge écarlate à pleurer de douleur sous la douche. Sa peau rougissait si rapidement, s’en était agaçant. « Tu n’est qu’un grand crétin. » avait-elle déclaré en croisant les bras. Elle pinça les lèvres, les muscles de son corps se raidissant alors qu’elle comprenait son erreur. Grande gueule, bravo, ma chère Elionore ! Elle se redressa soudainement, haussant les épaules. Non, elle avait raison, il n’était qu’un crétin d’homme trop obsédé par ce qu’il voyait que par les options qui s’offraient à lui. Elle remonta ses lunettes, lui versant un verre de vin sans trop lui offrir. S’il le voulait bah qu’il le prenne, elle était déjà une bonne fille pour s’avoir faite violence alors qu’il l’avait traité d’agace. « Dis-moi Constantin! Pendant les longues minutes que tu a pris à cogiter sur comment j’étais une agace qui voulait seulement jouer avec tes nerfs. Tu n’as pas une seule fois envisagé que – peut-être il était possible – que je t’attendais en bas pour la suite ? C’était vraiment impossible d’imaginer que j’avais pris la peine de me dévêtir dans la cuisine sous tes yeux dans l’intention que tu me suives pour me prendre sur cette foutue plage? » avait-elle dit d’une voix étonnamment douce, haussant un sourcil. Elle leva son verre dans un toast imaginaire avant d’en prendre une nouvelle gorgée, suivie d’un petit fromage qu’elle avait rapidement coupé en petits dés pour déguster avec son vin, déposé dans une assiette contenant quelques raisins et petits biscuits salés. Elle se releva, les mains sur les hanches alors qu’elle l’affrontait soudainement, relevant le menton pour le regarder droit dans les yeux. « met toi bien ça dans la tête Constantine. Je n’ai aucune idée de ce qui est arrivé avec la dernière et je n’ai aucune envie de le savoir. Mais je ne passe pas mon temps avec toi pour des manigances ou je ne sais quoi. J’aurais parfaitement pu me contenter de préparer le tout avec ta mère et pointer le bout de mon nez quelques heures avant le mariage que cette union aurait quand même eu lieu. Sauf que je suis là et je fais mon possible pour qu’il y ait quelque chose – même d’infime – entre toi et moi. Alors quand je joue, ce n’est pas pour rire de tes réactions, mais bel et bien pour arriver à une conclusion du jeu. Si j’ai envie de me balader complètement nue dans la maison c’est effectivement pour te séduire idiot. Si je vais trop loin, tu le dis et ça se termine là, pas besoin de jouer les grands méchants loups pour une histoire de fellation dans la cuisine ! Si tu veux vraiment te défouler alors fais-le sur moi, je ne suis pas en porcelaine par la barbe de merlin !» avait-elle dit avant de retirer son chandail pour le laisser retomber contre le sol.
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Tu la rejoins, elle est étendue sur la plage, ton chandail sur le corps, elle tient une coupe de vin, ses verres de fumées ressemblant plus à des yeux de mouche te cachent son regard, mais à la moue qu’elle a, tu devines déjà quelle n’est pas de bonne humeur. « Tu n’es qu’un grand crétin. » Ses bras vinrent se croiser devant sa poitrine, signe qu’elle se fermait à toi, qu’elle déclarait sa haine, sa colère contre toi. « Dis-moi Constantin! Pendant les longues minutes que tu as pris à cogiter sur comment j’étais une agace qui voulait seulement jouer avec tes nerfs. Tu n’as pas une seule fois envisagé que – peut-être il était possible – que je t’attendais en bas pour la suite ? C’était vraiment impossible d’imaginer que j’avais pris la peine de me dévêtir dans la cuisine sous tes yeux dans l’intention que tu me suives pour me prendre sur cette foutue plage? » Elle s’expliquait enfin clairement, mais non, ce n’étais pas ce que tu y avais compris, enfin maintenant que tu y repensais, tu te sentais un peu idiot de ne pas avoir perçu son appel ‘viens me faire l’amour sur la plage.’ Elle parlait pourtant doucement, levant un sourcil que tu vis bouger derrière ses verres presque noir. Elle leva son verre sur cela et en prit une gorgée, bon d’accord tu t’étais tromper et tu avais pris les nerfs pour peu, mais c’était dans ta nature. Elle t’avait agité et finalement tu en avais été frustré à un tel point. Elle prit un fromage dans on assiette puis se releva, faisant les dernier pas entre vous pour te regarder dans les yeux, levant le menton, les mains sur les hanches. Tu la laissas parler, sans encore t’expliquer, car ouais tu avais été con, peut-être.
« Met toi bien ça dans la tête Constantin. Je n’ai aucune idée de ce qui est arrivé avec la dernière et je n’ai aucune envie de le savoir. Mais je ne passe pas mon temps avec toi pour des manigances ou je ne sais quoi. J’aurais parfaitement pu me contenter de préparer le tout avec ta mère et pointer le bout de mon nez quelques heures avant le mariage que cette union aurait quand même eu lieu. Sauf que je suis là et je fais mon possible pour qu’il y ait quelque chose – même d’infime – entre toi et moi. Alors quand je joue, ce n’est pas pour rire de tes réactions, mais bel et bien pour arriver à une conclusion du jeu. Si j’ai envie de me balader complètement nue dans la maison c’est effectivement pour te séduire idiot. Si je vais trop loin, tu le dis et ça se termine là, pas besoin de jouer les grands méchants loups pour une histoire de fellation dans la cuisine ! Si tu veux vraiment te défouler alors fais-le sur moi, je ne suis pas en porcelaine par la barbe de merlin !» Bon c’est vrai voyant ça d’un œil extérieur, elle qui ne connaissait pas ce que cette malédiction te faisait, tu semblais avoir trop réagit pour si peu. Était-elle vraiment réaliste quant à ce que tu te défoule sur elle, elle serait bien trop amochée par la suite. Tu te sentais mal d’avoir si mal réagit alors qu’elle ne désirait qu’avoir du plaisir au final puis pour appuyer ses dires, elle retira ton chandail, laissant son corps nu en offrande. Elle te regardait, attendant une réaction de ta part, elle voulait que tu la prennes maintenant sauvagement sur le sable, alors qu’elle était en colère contre toi? Tu te rapprochas doucement d’elle, sur tes gardes tout de même. «Je m’excuse, je… enfin j’avais pas compris les signaux et je me suis emporté.» En clair tu étais bien un grand crétin comme elle t’avait accusée.
Tu te sentais plus coupable qu’autrement à présent, la haine s’était vidée de ton corps, elle ne bouillait plus en tes veines, mais tu te sentais idiot et redevable envers elle. Tu l’agrippas alors, rapprochant son corps du tiens, relevant son visage vers toi. «Je sais que je te dois une explication et je compte bien t’en offrir une. J’ai vraiment été crétin…» Alors tu lui offres ce qu’elle semble réclamer, tu l’embrasse avec fougue, collant son corps au tien. Repensant à ses moments où elle s’était montrer vilaine, coquine, et non dans le but de t’agacer, mais seulement celui de t’allumer pour continuer ailleurs, en clair elle était restée sur sa faim la pauvre. Tu fis en sorte de vous étendre sur cette plage de sable, tu finirais recouvert de sable avec ton corps encore humide, mais ce n’était pas grave, caressant sa poitrine, tes dents mordillait son cou, sa clavicule, un sein, son ventre, descendant tout doucement vers la basse histoire de te faire pardonner, la goûtant à ton tour, l’embrassant dans son intimité, léchant et mordillant tendrement. Puis après un long moment, tu la ressentais prête, tu revins vers elle, l’embrassant tout en t’insérant en elle, la pénétrant de nouveau, plus fort, plus brusquement, c’est ce qu’elle semblait désirer non? Puis ta tête était pleine, tu ne pensais plus vraiment, trop de sensation alors que tu donnais des coups de bassin encore et encore en elle, glissant tes mains sur sa poitrine.
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« Je m’excuse, je… enfin j’avais pas compris les signaux et je me suis emporté. » - Et bien ! Ce n’était pas exactement la réaction attendue, mais elle ne s’en plaindrait certainement pas ! Si elle devait l’insulter pour obtenir des excuses, alors elle s’en donnerait à cœur joie ! Non, enfin, fallait pas abuser non plus. Heureusement ses paroles avaient fait leurs chemins dans la cervelle pleine de testostérone de Constantin et avaient calmé le jeu. Elle doutait fortement que la chance lui sourie une seconde fois sur la tactique, toutefois elle ne se gênerait pas pour lui dire sa façon de penser au grand brun. Elle hoqueta alors qu’il l’attirait enfin à elle, affichant un grand sourire. Heureusement pour lui, elle était facilement distraite et s’amusait d’un rien. Elle releva doucement le visage à sa requête, fronçant les sourcils pour afficher un regard faussement outré, posant ses mains contre son torse encore mouillé par sa baignade. « Monsieur Crouch ! J’étais toute sèche ! » - « Je sais que je te dois une explication et je compte bien t’en offrir une. J’ai vraiment été crétin… » - « Un sombre crétin oui ! » avait-elle surenrichi en riant, profitant de l’occasion pour dire de gros mots. Ça n’arriverait pas tous les jours, elle devait profiter de l’occasion ! Son souffle se coupa alors qu’il lui volait un baiser, pressant son corps contre le sien. Elle soupira d’aise à son contact, il avait enfin compris l’homme ! Elle se laissa porter, s’accrochant à son cou alors qu’il la déposait au sol. Son souffle s’accélérait bien rapidement au gré de ses mordillements, frissonnant alors qu’il explorait son corps à sa guise. Il se rattrapait bien, si bien. Elle hoqueta, ses muscles se crispant alors qu’il s’amusait du bout de sa langue entre ses cuisses. La jeune femme releva instinctivement les hanches pour lui donner plus d’accès, des ondes de choc lui traversant entièrement le corps. Elle glissa doucement sa main dans sa chevelure, ses petits doigts se refermant pour agripper ses cheveux, un doux gémissement mourant contre ses lèvres. Elle se sentait si près, la boule de chaleur s’accentuant entre ses reins dans une excitation presque démesurée. Puis il s’arrêta soudainement, elle poussa une plainte de déception, il n’allait pas oser lui faire le coup de la revanche après la crise qu’il venait de lui faire ! Elle se redressa légèrement sur un coude pour l’observer avec désespoir, posant une main contre sa joue pour l’attirer à elle.
Elle répondit à son baiser avec puissance, ses muscles se crispant alors qu’il se forçait en elle. Elle poussa une plainte, surprise, resserrant ses cuisses contre ses hanches dans l’idée de l’arrêté un instant, inconfort. Pourtant ses efforts étaient en vain, elle entre-ouvrit les lèvres à la recherche de son souffle qui se coupait au milieu de sa gorge. Elle planta ses ongles entre ses omoplates, poussant un cri alors qu’il revenait avec force, puissance. Elle roula instinctivement ses hanches pour venir rencontrer les siennes, accompagner son rythme, augmenter la sensation. Un curieux mélange entre la douleur et l’extase qui lui faisait perdre la tête, un sourire étirant ses lèvres. Elle pouvait se sentir vibrer sous l’intensité de ses coups, attrapant ses lèvres au passage, retenant à peine ses gémissements de plaisir, de douleur, de surprise. Ils agissaient comme de petits adolescents qui découvraient la sexualité pour la première fois. Elle déposa quelques baisers contre son cou, mordant avec force la peau chaude qui s’offrait à elle, profitant du moment pour changer la position, se retrouvant au-dessus de son corps. Elle bougea son bassin dans un long mouvement, rejetant doucement la tête vers l’arrière, manifestant son plaisir. Elle releva la tête, mordillant légèrement sa lèvre inférieure alors qu’elle plantait son regard dans le sien. Elle agrippa sa gorge, resserrant doucement ses doigts pour le forcer à s’asseoir, pressant sa poitrine contre son torse, enroulant ses jambes autour de ses hanches. Un petit rire s’échappa de sa gorge, déposant un léger baiser sur le bout de son nez. Haletante, elle bougea enfin, ses yeux observant les siens alors qu’elle griffait longuement la peau de ses côtes. Ses hanches ondulant doucement, elle s’arrêta un instant, un long gémissement s’échappant de ses lèvres. Son souffle saccader courant tout près de son oreille. « Merde. » avait-elle couiné, ses muscles se resserrant contre son excitation qui frappait exactement au bon endroit. Elle recommença le mouvement, fronçant les sourcils par l’intensité du chatouillement qui se logeait dans ses tripes. Elle rejeta sa tête vers l’arrière, sa peau si sensible qu’elle en souffrait. Bordel, c’était encore mieux que le matin même. Elle accéléra son mouvement, relevant la tête pour attraper ses lèvres avec frustration, ses gémissements se rapprochant plus d’un cri qu’autrement. Elle s’acharnait avec rage contre sa peau, mordant, griffant. Elle était encore une fois si près, prête à tomber, à mourir de plaisir, murmurant inlassablement son nom, ne sachant plus si elle devait en rire ou en pleurer. Elle se sentait à fleur de peau, à la merci d’un homme au caractère presque brutal. « Je. Je –vais- Merde ! »
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La forêt qui vous entourait semblait se refermer contre vous, vous laissant une intimité, les chats d’oiseaux s’était arrêter, comme si chacun vous observer et cette odeur de bois, de terre et de plante t’emplissait les narines, te calmant, mais également, elle t’offrait une force, une énergie…Elle te griffait, te mordait, laissant des traces, des chemins clairs contre ta peau, bientôt tu serais entièrement marbré avec cette habitude. Ses lèvres étaient plus exigeantes, elle se mouvait à toi, suivant ton rythme, s’accrochant à toi. Elle cherchait une bouffé d’air, elle criait, jouissait de plaisir. Le sable sous tes mains rendait le sol confortable à tes mains qui y prenait appuie, tu t’accrochais à ce sol, nouant tes doigts à cette terre granuleuse. Tu ressentais ses dents s’insinuer dans ta peau, sans toutefois la perforer et ses griffes qu’elle aimait enfoncer dans ta chair, tu aurais pu hurler, mais cela te raccrochait à elle, cette sauvagerie te plaisait, t’excitait. « Je. Je –vais- Merde ! »Puis elle vint, laissant un somptueux crie être délivrer de ses lèvres, tu continua tout de même sachant qu’à chaque coup de bassin, elle était dans l’extase puis son cri, ses griffes, tu atteins ta limite à ton tour et tu te déversa en elle en un grognement, une plainte plus rauque, reprenant ton souffle, encore dans son intimité.
Tu avais fait connaitre à Elionore quelque chose qu’elle n’avait jamais connu auparavant, grâce à toi, elle ce sentais femme et tu devinais qu’elle en deviendrait assez rapidement accros, en redemandant et redemandant. Elle était fait de cette même essence que l’ancienne, un feu brillant, pourtant, elle ne te faisait pas penser au chaos et à la tempête, non, elle ressemblait plus à une mer en laquelle tu pourrais naviguer, parfois tumultueuse, mais toujours accueillante pour le marin que tu serais.
Tu la regardas, elle semblait reprendre son souffle, tu te retiras de sur elle doucement, lui laissant plus d’air ainsi. Avec toute cette sauvagerie, tu n’avais pas eu plus la chance de mettre quoi que ce soit, tu aurais pu te frapper le front pour cette bêtise, mais tant pis. Maintenant tu te sentais chaud et collant, tu te relevas et lui tira les bras doucement pour l’aider, ton corps était rayés contre les côtes et le dos, bah tu imaginais déjà les traces rouge qui devaient s’y être imprimé. «Viens allons-nous rafraichir avant de remonter.» Faire un tour dans le lac, l’eau était fraîche, elle retira le sable collé à ton corps, au sien également, puis une fois ressortie, tu enfilas ton short, lui laissant ton chandail pour cacher sa nudité, remontant tout deux les marches vers la maison. Tu avais encore plus faim qu’après les longueurs, envisageant de faire un diner tu te dirigeas vers la maison, y entrant, l’invitant à te suivre. Tu préparas de la viande et quelques légumes, rien de bien sorcier. Puis tu installas la table à l’extérieur, aussi bien profité de ce soleil et cette belle journée. «Je crois que je dois te parler de certaines choses, me concernant, je ne voudrais pas que tu me déteste pour te l’avoir caché avant le mariage, ainsi tu auras le choix.Par contre, j’aimerais que ça reste entre nous deux, que tu n’en parle à personne, même pas ta famille.» tu la regardais avec sérieux, hésitant un peu sur le comment l’amener, tu semblais pourtant avoir déclenché de la curiosité chez elle. «Tu sais cette cicatrice qui me barre le dos, celle que j’ai eu à 14 ans par un loup-garou, je crois que c’est important que tu sache qu’elle a été créée par un Alpha. J’ai évité la morsure et la mort, mais comme c’était un alpha, cela a opéré des changements en moi et aujourd’hui je ne me considère pas comme un simple sorcier. Je suis ce qu’on pourrait appeler de semi-loup. J’ai cette force en moi qui me rend plus colérique, plus fort et cela explique aussi mes sautes d’humeurs, je crois que c’est important que tu le saches parce que si tu désir toujours être ma femme, tu devras vivre avec ça toute ta vie. Je me contrôle assez bien, mais parfois je perds mon sang froid et oui j’ai des capacités plus aiguisé comme mon odorat ce qui t’explique pourquoi je t’avais si rapidement retrouvée dans ce labyrinthe.» tu regardas la jeune fille devant toi, jouant avec ta fourchette dans ton assiette. «Je ne sais pas si cela aurait un effet sur ma descendance, mais je tenais tout de même à t’en parler, puisque si tu acceptes tout de même malgré cela de devenir ma femme, tu as tout de même des risques d’avoir des enfants prit avec ce même mal en eux. Il n’y a pas beaucoup d’information sur le sujet, adolescent j’ai fait beaucoup de recherche pour m’informer et les sorciers qui sont maudits comme moi garde cela secret, donc je n’ai que ma propre expérience sur quoi me renseigner, je ne sais pas pour le futur.»
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« Je crois que je dois te parler de certaines choses, me concernant, je ne voudrais pas que tu me déteste pour te l’avoir caché avant le mariage, ainsi tu auras le choix.Par contre, j’aimerais que ça reste entre nous deux, que tu n’en parle à personne, même pas ta famille » - Elle l’observa silencieusement, inclinant la tête sous la curiosité. Le détester ? Un secret ? Quel genre de secret Constantin pouvait-il posséder d’aussi important ? Pourquoi devait-elle cacher cette information à sa famille ? Elle hoqueta, se reculant un instant sur sa chaise. Était-il un insurgé ? Elle baissa les yeux, fixant la table avec beaucoup trop d’intérêt. Il ne pouvait pas être un insurgé, il ne devait pas. S’il y avait la moindre parcelle de ses gestes qui étaient en relation avec eux … elle ne pouvait pas courir le risque de mettre sa famille en danger. Elle ne pouvait toutefois pas non plus annuler cette alliance, regarder une nouvelle fois un homme faire face à l’exécution publique. Non, il ne pouvait pas - « Tu sais cette cicatrice qui me barre le dos, celle que j’ai eu à 14 ans par un loup-garou, je crois que c’est important que tu sache qu’elle a été créée par un Alpha. J’ai évité la morsure et la mort, mais comme c’était un alpha, cela a opéré des changements en moi et aujourd’hui je ne me considère pas comme un simple sorcier. Je suis ce qu’on pourrait appeler de semi-loup. J’ai cette force en moi qui me rend plus colérique, plus fort et cela explique aussi mes sautes d’humeurs, je crois que c’est important que tu le saches parce que si tu désir toujours être ma femme, tu devras vivre avec ça toute ta vie. Je me contrôle assez bien, mais parfois je perds mon sang froid et oui j’ai des capacités plus aiguisé comme mon odorat ce qui t’explique pourquoi je t’avais si rapidement retrouvée dans ce labyrinthe. Je ne sais pas si cela aurait un effet sur ma descendance, mais je tenais tout de même à t’en parler, puisque si tu acceptes tout de même malgré cela de devenir ma femme, tu as tout de même des risques d’avoir des enfants pris avec ce même mal en eux. Il n’y a pas beaucoup d’information sur le sujet, adolescent j’ai fait beaucoup de recherche pour m’informer et les sorciers qui sont maudits comme moi garde cela secret, donc je n’ai que ma propre expérience sur quoi me renseigner, je ne sais pas pour le futur. » - « Tak Lord ! » avait-elle dit dans sa langue, levant les mains au ciel en guise de remerciement. Un semi-loup ! Il pouvait manger des œufs de dragons qu’elle n’en aurait rien à faire ! Elle se redressa brusquement, délaissant son repas pour contourner la table, venant attraper son visage entre ses mains, déposant un brusque baiser sur son front. Un semi-loup, la belle affaire ! Elle soupira se soulagement, prenant place contre la table. « Ne me fais plus jamais ça ! J’ai eu peur que tu m’avoue être un insurgé. Oh seigneur ! Tu imagines ? Ma famille aurait été en danger si jamais- Un semi-loup ! Je – Oh … » - agitée, la jeune femme semblait enfin réaliser la chose. Elle pinça les lèvres, songeuses. Elle comprenait maintenant pourquoi elle devait garder cette information pour elle. Les loups-garous n’étaient jamais bien accueillis par la communauté sorcière. Elle le savait bien. Combien de fois Logan avait dû rester dans la cour lorsqu’ils étaient invités à des réceptions. Non par son titre de rebut, mais bien par sa particularité de loup. Elle avait fini par prendre l’habitude de le laisser à la maison, évitant les regards outrés de ses paires. Toutefois, Constantin ne faisait pas les frais par son mal, il était doté des caractéristiques, mais n’avait pas les dangers relier à la transformation. Ça ne changeait pas grand-chose, les gens avaient tendance à craindre ce qui n’était pas comme eux. Dans une guerre comme la leur, il était probablement très important de garder cette information. Elle releva la tête, regardant l’horizon un instant, bien silencieuse. Cette histoire ne sentait pas bon, pas bon du tout. Pour elle, ce n’était pas un problème, mais elle devait savoir quelques informations. - « Combien de personnes sont au courant de cette information ? Est-ce que c’est réellement mal vu par le gouvernement ? Dois-tu être recensé ? Est-ce qu’il y a des chances que quelqu’un débarque pour t’enlever ? Pour t’utiliser ? » Avait-elle finalement demandé d’une voix inquiète. Elle ne voulait absolument pas revivre le même cheminement, voir des hommes débarquer chez elle alors qu’elle prenait tranquillement le thé, pour lui enlever Constantin. Et sa famille ? Ils étaient pratiquement tous mangemort … « En septembre j’aurai vingt-deux ans … papa dit que je dois faire allégeance aux Mangemort. Est-ce que .. c’est dangereux pour toi ? Pour moi ? Pour nous ? Et si nous avons des enfants avec des particularités … c’est dangereux pour eux ? » avait-elle poursuivi. Elle l’observait avec insistance. Elle ne connaissait pratiquement pas les semi-loups ou même leurs réputations au sein de la communauté. Il était donc très important de savoir le plus d’information possible sur lui. « Ça ne change en rien ma décision sur ce mariage. Mais … je dois savoir … nous aurons une famille à protéger bientôt, si tu continu dans la même lancé de ne pas te retirer à temps. » disait-elle en haussant un sourcil. N’avait-il pas appris de sa petite crise matinale ? Elle tendit sa main gauche avec hésitation, attendant patiemment qu’il la prenne.
Tirez-moi une belle dans cœur Arrachez-moi la belle dans’tête Au pire tirez-moi dans dos Mais tirez-moi une autre femme dans’peau
Elle te fait de grand yeux, le doute s’installant peu en peu en son esprit, mais quand tu lui révèle ta pensée, elle semble soulagé de l’entendre et son agissement est très loin de ce à quoi tu t’attendais. Elle se lèeves et viens s’asseoir sur tes cuisses, t’embrassant le front en élançant une affirmation dans sa langue, bien que le mot Lord tu le reconnaisses. « Ne me fais plus jamais ça ! J’ai eu peur que tu m’avoue être un insurgé. Oh seigneur ! Tu imagines ? Ma famille aurait été en danger si jamais- Un semi-loup ! Je – Oh… » Elle pensait vraiment que tu étais insurgé, mais cela lui semblait pire que semi-loup? Puis elle réalisa enfin tes mots, un semi-loup et sa réaction devint plus normal. Elle pinça les lèvres, ce qui lui offrait une moue assez mignonne au visage. « Combien de personnes sont au courant de cette information ? Est-ce que c’est réellement mal vu par le gouvernement ? Dois-tu être recensé ? Est-ce qu’il y a des chances que quelqu’un débarque pour t’enlever ? Pour t’utiliser ? » Tant de question en si peu de secondes. «Hum quelques personnes, ma cousine, mes parents et je pense que mon ancienne fiancée se doutait de quelque chose, bien que je ne lui ai jamais dit mot pour mot ce que j’étais… Enfin, des gens en qui j’ai confiance, je ne lance pas cette information à tout vent. Pour le recensement, les gens qui s’est occupé de moi à Saint-mangouste m’ont peut-être recensé, je ne sais pas, mais jamais personne n’est venu me voir avec des chaînes, mais avec le gouvernement que nous avons, je n’ai pas envie d’être utilisé comme un vulgaire esclave, comme un rebut.» Tu la regarde avec sérieux. « En septembre j’aurai vingt-deux ans … papa dit que je dois faire allégeance aux Mangemort. Est-ce que .. c’est dangereux pour toi ? Pour moi ? Pour nous ? Et si nous avons des enfants avec des particularités … c’est dangereux pour eux ? » Pardon? Elle une prochaine mangemort pour le bien de son père, c’était une bombe qu’elle venait de te lancer au visage. Tu la regarda à ton tour, la mâchoire presque parterre, comment ça faire allégeance, il n’en serait pas question, comment pourrais-tu supporter une telle idée que ta femme soit l’une des leurs. «Quoi? Comment ça prêter allégeance, je… je non je ne suis pas d’accord avec ça, comment ça, pourquoi tu ne me l’as pas dit? C’est une information primordiale, c’est comme s’enrouler dans l’armée ça et puis moi je veux fonder une famille pas enterrer ma femme à cause d’une guerre. Oui si tu prêtes allégeance ça deviens dangereux pour tout le monde.»
C’était bien le choix de ton père t’imposer une prochaine mangemort tu savais pour son père et frères, mais il te semblait que les filles s’étaient épargner la marque. En tant que futur femme, c’était impensable que son père lui demande cela alors qu’elle serait une épouse et devrait être mère de famille. «On va se marier, tu ne peux pas épouser la cause du Lord. Et notre mariage, notre futur?» Tu la regardais désemparé, comment accepter un tel choix alors que leur cause te répugnait, que ta cousine fricotait avec un insurger, que si tu épouserais une cause ce serait celle des insurgés. « Ça ne change en rien ma décision sur ce mariage. Mais … je dois savoir … nous aurons une famille à protéger bientôt, si tu continu dans la même lancé de ne pas te retirer à temps. » Elle semblait accrocher à cette histoire de semi-loup et non de cette folie d’avoir la marque. Puis elle te faisait de petite remontrance pour ce que tu avais fait plus tôt ou plutôt pas fait. «Moi non plus, mais je ne veux pas que tu deviennes mangemort pour tous les dangers que ça implique, je ne deviendrai pas le veuf d’une femme morte au combat Elionore! Sinon je ne sais pas, le gouvernement demande de capturer des loup-garou et non des semi-loup, je ne pense pas qu’il y ait de danger pour moi, mais toi, si tu veux protéger ta famille ne fais pas ce que ton père te demande, en tant que futur époux je m’y oppose, je ne veux pas de ça entre nous, entre notre histoire, je veux quelque chose de concret, je veux bâtir avec toi, reste neutre tout comme moi. Ton père a déjà scellé son destin et celui de tes frères, il n’a pas besoin d’offrir ta vie au Lord, il t’offre à moi cela devrait être bien assez non? Je devrais pouvoir te contenter, t’offrir une vie de rêve sans avoir à te dire au revoir à la prochaine guerre, car il en aura et une guerre parle toujours de morts dans les deux camps.» Tu la regardais avec sérieux, choisissant tes mots, tout pour ne pas la vexer, tout pour qu’elle soit tentée de te suivre, de t’écouter, de ne pas choisir la voie de son père.
you strung me along, pulling me thin, cutting me loose and then dragging me in.
Elle l’observa un instant, il en faisait une de ces têtes... il savait bien qu’elle n’avait que vingt-et-un ans non? Elle se souvenait parfaitement avoir divulguée cette information, pourquoi alors semblait-il aussi dérouté ? « Quoi? Comment ça prêter allégeance, je… je non je ne suis pas d’accord avec ça, comment ça, pourquoi tu ne me l’as pas dit? C’est une information primordiale, c’est comme s’enrouler dans l’armée ça et puis moi je veux fonder une famille pas enterrer ma femme à cause d’une guerre. Oui si tu prêtes allégeance ça deviens dangereux pour tout le monde » - Quoi ? Maintenant c’était elle qui tirait une drôle de tête ! Comment il n’était pas d’accord avec ça ? Ce n’était pas dangereux ! Ce qui était dangereux c’était la neutralité, l’invisibilité ! Si on ne fait pas partit d’un clan, alors les deux soupçonnent qu’on prête allégeance à l’autre! Pourquoi devrait-il l’enterrée ? Et lui ! Avec son emploi ! N’était-ce pas ce qu’elle craindrait chaque nuit qu’il irait en chasse contre des loups-garous? « Mais Constantin ! Je ne crois pas que ça nous empêche de fonder une famille ! je croyais que tu t’en douterais ! Ma famille est bel et bien claire sur ses motivations dans cette gu- » -« On va se marier, tu ne peux pas épouser la cause du Lord. Et notre mariage, notre futur? » - Elle l’observa, déconcertée, les yeux ronds de par ses paroles. « Constantin … faut pas – Je » -« Moi non plus, mais je ne veux pas que tu deviennes mangemort pour tous les dangers que ça implique, je ne deviendrai pas le veuf d’une femme morte au combat Elionore! Sinon je ne sais pas, le gouvernement demande de capturer des loup-garou et non des semi-loup, je ne pense pas qu’il y ait de danger pour moi, mais toi, si tu veux protéger ta famille ne fais pas ce que ton père te demande, en tant que futur époux je m’y oppose, je ne veux pas de ça entre nous, entre notre histoire, je veux quelque chose de concret, je veux bâtir avec toi, reste neutre tout comme moi. Ton père a déjà scellé son destin et celui de tes frères, il n’a pas besoin d’offrir ta vie au Lord, il t’offre à moi cela devrait être bien assez non? Je devrais pouvoir te contenter, t’offrir une vie de rêve sans avoir à te dire au revoir à la prochaine guerre, car il en aura et une guerre parle toujours de morts dans les deux camps. » - Elle hoqueta, secouant la tête négativement. Si elle voulait protéger sa famille, elle devait obtenir la protection du gouvernement. Ce n’était pas d’une guerre entre voisins que l’on parlait, mais bien le peuple contre le pouvoir ! Ce n’était pas en regardant les gens se diviser qu’ils seraient protégés. Ce n’était pas une décision à prendre à la légère. Et sa famille ! Tout était toujours question d’un camp, qu’il le veuille ou non. Mourir, elle ne voulait pas mourir au combat. Mourir pour une cause qu’elle n’adhérait pas concrètement, c’était demander beaucoup effectivement. Elle poussa, un long soupire, éprise d’une culpabilité qu’elle ne comprenait pas. La confusion faisait trembler son souffle, la panique. Mourir, pour qui devait-elle mourir ? Pour son peuple qui demandait la justice ? Pour son nouveau gouvernement qui lui promettait protection et pouvoir ? Pour sa famille qui n’était pas à l’abri des représailles ? Pour son futur mari avec qui elle fonderait sa propre descendance ? Elle nicha le bout de son nez au creux de son cou, évitant son regard. Si son père demandait son allégeance … « Je dois obéir à mon père Constantin … Nous ne sommes pas encore mariés. Ne sois pas idiot, tu fais bien plus que me contenter déjà. Lorsque je suis venue la première fois te rencontrer … je t’ai dis que j’étais une femme qui aimait le pouvoir. Les mangemorts sont – Je ne veux pas mourir. Mais si un jour tu ne reviens pas d’une de tes chasses ? Qui va me protéger ? Qui va protéger ta nouvelle famille ? » avait-elle murmuré contre sa peau, fermant doucement les yeux. Qui la protègerait ?
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« Mais Constantin ! Je ne crois pas que ça nous empêche de fonder une famille ! je croyais que tu t’en douterais ! Ma famille est bel et bien claire sur ses motivations dans cette gu- » Oui tu savais, mais elle ne comprenait pas à quel point tu détestais les mangemort, leurs actions te dégoutais, te répugnais… tu continuas ta lancé, ne lui laissant aucune chance de parler, voulant mettre ton point, pourtant elle n’y comprend rien. Elle voit vraiment le fait d’être dans un clan mieux que la neutralité. Elle soupira, semblant perplexe, confuse.
« Je dois obéir à mon père Constantin … Nous ne sommes pas encore mariés. Ne sois pas idiot, tu fais bien plus que me contenter déjà. Lorsque je suis venue la première fois te rencontrer … je t’ai dis que j’étais une femme qui aimait le pouvoir. Les mangemorts sont – Je ne veux pas mourir. Mais si un jour tu ne reviens pas d’une de tes chasses ? Qui va me protéger ? Qui va protéger ta nouvelle famille ? » Voilà qu’elle parlait de tes chasses, du pouvoir offert par les membres «VIP Voldemort» et comment elle devait obéir à son père comme vous n’étiez pas marier. Tu fronças des sourcils, elle était bornée la petite. «Alors le mariage se fera en août, puis je fais ce métier depuis des années Elionore, je ne mourrai pas, je ne suis pas une proie dans ses bois la nuit, je n’ai jamais été une proie depuis mes 14 ans, et si cela t’effraies, je suis prêt à changer de métier s’il le faut, me réinventer au sein du ministère autrement. Je connais la situation politique de ta famille, mais vous prenez ça à la rigolade, on parle de vie là. T’as vue ce qu’il on fait aux rebuts, comment serais-tu prête d’accepter de tuer des gens sous un commandement, de juger la qualité d’un sorcier sur le sang qui coule en ses veines, si la situation se renverse, si c’était les sangs pures comme nous qu’on tuait, tu en serais d’accord? Tu jugerais qu’ils ont raison de le faire? Puis si tu deviens mangemort et que les insurgés renversent le gouvernement actuel, qu’est-ce que tu penses qui arrivera aux sorciers qui ont la marque? Vous serez envoyé à Azkaban, tu veux cette vie de prisonnière avec les détraqueurs alors que tu laisseras tes enfants derrière toi. Pour tes frères c’est trop tard, mais pour toi, sans cette marque si les choses changent tu as un moyens de survivre.» Comment ne peut-elle pas comprendre que prendre un parti c’est accepté la fatalité, prendre une chance de perde ou de gagner, non tu n’étais ni mangemort, ni insurgés et jamais tu ne rejoindrais un des clans, tu iras vivre dans le monde moldu avant.
«Je comprends ta situation vis-à-vis ta famille, j’écoute mon père moi aussi, j’obéis, mais une fois marier, tout comme toi, je ne serai plus considérer seulement comme le fils, je deviendrai plus libre de mes choix et si tu deviens ma femme ton père n’aura plus cette autorité sur toi, tu pourras faire tes propres choix, fais retarder cette date ou j’avance le mariage.» Pouvais-tu affirmer que tu serais prêt à marier une mangemort, non tu ne l’étais pas et le pouvoir, elle pouvait l’atteindre autrement, la richesse amenait le pouvoir. «Je ne pense pas qu’on trouvera une réponse aujourd’hui, ni que nous tomberons d’accord, mais nous y reviendrons… je ne veux pas gâcher la journée pour des désaccords politique.» Voilà tu y mettais un terme, valait mieux ne plus en parler pour l’instant, car c’était trop incertain encore, un futur lointain, puis tu ne voulais pas changer d’humeur pour ce sujet.
you strung me along, pulling me thin, cutting me loose and then dragging me in.
« Je ne pense pas qu’on trouvera une réponse aujourd’hui, ni que nous tomberons d’accord, mais nous y reviendrons… je ne veux pas gâcher la journée pour des désaccords politique » - devancer le mariage ou reporter la date de son adhésion ? Ça revenait au même non ? La même conclusion pour lui empêcher de rejoindre le camp des mangemort, si si, c’était exactement la même chose ! Elle poussa un long soupire, secouant la tête. Ce n’était pas juste, il se lançait dans tout un monologue pour couper court à toute possibilité d’argumenter pour sa cause. Changer de métier, en étaient-ils rendus là ? Changer pour quelqu’un d’autre ? Ce n’était jamais une bonne idée, après venait les regrets et la haine. Elle ne voulait pas de haine, ni de regret. Il avait toutefois touché une corde sensible, ses émotions reliées à l’abattoir public auquel elle avait dû assister. La famille avant tout avait dit sa mère, la famille avant Logan. Elle se souvenait parfaitement la colère qu’elle avait ressentie vers les hommes de sa famille qui – pourtant – devaient obéir au doigt et à l’œil aux commandements dirigés vers les mangemorts. Elle avait son propre petit côté sadique, un intérêt bien curieux pour la souffrance. Seulement, rien n’équivalait son sens de la justice. Elle n’était pas prête à enlever des vies aux innocents. Tout était pourtant si simple sur papier ! Elle débarquerait à Londre et obtiendrait un emploi au ministère, ensuite elle attendrait patiemment ses vingt-deux ans pour rejoindre les rangs des plus forts. Parce que c’était ce qu’il fallait faire pour survivre, prendre le clan vainqueur malgré ses convictions. Pour la famille. Pourtant, la question demeurait ; Pour quelle famille devait-elle se battre ? Ne deviendrait-elle pas une Crouch bientôt ? Comment demander à quelqu’un de choisir entre son sang et son futur sang ? Quelle était la bonne décision ? Constantin semblait persuadé de sa propre décision, pourtant si son père lui exigeait demain d’obtenir sa propre marque … Elle pinça les lèvres hochant la tête. Il avait raison, pourquoi gâcher une journée pour des sujets aussi sombres alors qu’ils avaient la possibilité de profiter du calme qu’offrait la nature ? Ils étaient bien loin de toute cette pression qu’englobait Londre depuis un bon moment déjà. Ils y reviendraient, ce n’était pas terminé pour Constantin, il ne lâcherait pas l’affaire. Ils avaient des personnalités beaucoup trop explosives pour de simples querelles. Les autres couples se chamaillaient pour savoir si oui ou non ils inviteraient le nouveau copain de la tante alcoolique de la famille ou bien si le gâteau serait en chocolat ou tiramisu pour ce satané mariage. Mais non, eux ils se disputaient pour des guerres ou savoir qui était responsable d’avoir pousser trop loin les jeux de séductions. Il ne lui rendrait probablement pas la vie simple ce Constantin ! Elle agrippa brusquement ses joues, pressant brutalement ses lèvres contre les siennes. « Tu sais Constantin. Nous allons nous rendre fou l’un l’autre un jour. Ce qui est une bonne chose. Tu sais combien d’hommes mes parents m’ont proposés en tant que futurs époux ? On frôle la vingtaine. J’ai besoin d’un homme, un homme qui sait, un homme qui contrôle. Un homme qui n’as pas froid aux yeux, qui me rend dingue. Ça va pas bien dans ma tête, ça va pas bien dans la tienne, mais on assume, on assure. Tu me rends déjà dingue et tu essaies de me contrôler depuis la première minute de nos fiançailles. On est sur la bonne voix. » avait-elle déclaré, hochant la tête. Probablement qu’il la prendrait pour une folle, mais il la rendrait heureuse. Elle se redressa, emportant son assiette, laissant Constatin terminer la sienne. Elle devait probablement être froide depuis le temps.
Elle s’affaira à nettoyer le reste de la vaisselle, observant le soleil qui se fanait déjà. Ils avaient procrastiné toute la journée, entre le sexe, les disputes et les ricanements. Deux jeunes fous qui découvraient le monde avec passion. Ce mariage serait plus difficile qu’il ne l’avait parut aux premiers abords. Constantin semblait bien calme et sage au premier coup d’œil, mais il en relevait bien plus du loup qu’il n’y paraissait. Elle le rendrait fou, c’était presque assuré. Elle espérait toutefois qu’il ne regrettait pas déjà de devoir se lier à elle. Avec ses sautes d’humeur, il ne trouverait probablement pas cette union aussi amusante qu’elle, c’était un fait. Elle devrait donc trouver un moyen de lui rendre la pareille, rendre les choses équitables. Sa santé mentale contre … contre quoi? Contre son allégeance ? Elle hoqueta, souriant bêtement alors qu’elle retirait ses mains de l’eau savonneuse, pour finalement éclater dans un rire incontrôlable. C’était équitable non ? Elle avait ce qu’elle voulait et lui de même. Un homme à qui rendre la vie dure et un homme qui lui rendrait la pareille sans trop en prendre plaisir. Elle l’observa un instant, il semblait bien embêté devant un petit feu, ce qui accentua l’intensité de son rire. Merde, c’est qu’il gagnait sans même faire d’effort ! Elle soupira, se tenant les côtes alors qu’elle ressentait une vive douleur au niveau de ses abdominaux. Elle se redressa avec peine, se dirigeant vers la porte de sortie, rejoignant le plus vieux qui ajoutait quelques buches à son feu. Elle mordilla sa lèvre inférieure, retenant son hilarité du mieux qu’elle pouvait. Elle s’approcha de lui, d’un pas décidé, sans freiner sa course. Il semblait bien redouter son expression, peut-être avait-il compris quelques de ses facettes déjà ? Elle éclata une nouvelle fois de rire, entourant son cou de ses bras alors qu’elle sautait sur lui, enroulant ses jambes autour de sa taille. Il était fort comme un loup son fiancé. Elle plaqua sa bouche contre la sienne dans un baiser qui se voulait différent des autres. Elle l’observa un instant, haussant les sourcils alors qu’un sourire étirait ses lèvres. « Monsieur Crouch. Avec le temps, je réalise quel pétrin me marier ce sera. Pour la cause, il me semble vous devoir quelque chose à mon tour. Acceptez-vous mon allégeance à votre camp de neutralité en échange de votre patience envers votre jeune et dingue petite femme? »
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