Elle fit la mouche, semblant plus ou moins en accord avec le fait d’y mettre un terme, réfléchissant au pour et contre de la discussion sans doute, mais tu savais que cela ruinerait votre journée. Puis soudainement, ses poignes t’agrippèrent les joues et ses lèvres vinrent se poser brutalement contre les tiennes. « Tu sais Constantin. Nous allons nous rendre fou l’un l’autre un jour. Ce qui est une bonne chose. Tu sais combien d’hommes mes parents m’ont proposés en tant que futurs époux ? On frôle la vingtaine. J’ai besoin d’un homme, un homme qui sait, un homme qui contrôle. Un homme qui n’a pas froid aux yeux, qui me rend dingue. Ça va pas bien dans ma tête, ça va pas bien dans la tienne, mais on assume, on assure. Tu me rends déjà dingue et tu essaies de me contrôler depuis la première minute de nos fiançailles. On est sur la bonne voie. » Puis elle débarrassa la table de son assiette, te laissant terminer la tienne qui avait refroidie depuis le temps. Tu mâchas, l’esprit un peu flou et amer, mais la journée n’était pas terminée.

Ce fut mieux par après, une relation plus saine qui se basait doucement sur une amitié quoique plus intime. Quelques rigolades, laissant vos mitiges derrière vous maintenant, baignade de nouveau à l’horizon et beaucoup plus plaisante cette fois, accolade, magnétisme, sensualité et rigolade furent au menu. Elle avait réenfilé des vêtements depuis la dernière baignade, tu avais fait de même, elle s’était proposée pour laver la vaisselle, le dernier repas avait été pris, tu allumais un feu dans le brûleur sur la véranda, approchant le banc plus près du feu. Ton feu était bien minime et tu essayas de le faire un peu plus grossir, il ne devait pas s’éteindre, lui donnant du papier déchiré, quelques bouts de parchemin afin de le faire grossir et surtout survivre au vent.

Elle vint te rejoindre, tu entendis son rire briser les cris de la nature, elle s’accrocha à ton cou, enroulant tes hanches de ses jambes, plaquant sa bouche contre la tienne. Elle venait encore t’envoûter à croire qu’elle te réclamait toujours un peu plus de ton énergie pour arriver à fonctionner, comme si elle était dépendante de la tienne. Elle te fit un de ses sourires, charmeuse comme toujours. « Monsieur Crouch. Avec le temps, je réalise quel pétrin me marier ce sera. Pour la cause, il me semble vous devoir quelque chose à mon tour. Acceptez-vous mon allégeance à votre camp de neutralité en échange de votre patience envers votre jeune et dingue petite femme? » Voilà qu’elle te proposait un accord, tu la regardas surpris de ses paroles, de sa décision, mais tout de même heureux qu’elle te la propose de vive voix. Un échange disait-elle? «Vraiment, tu voudrais bien rester neutre en échange que je me montre patient envers toi? Hum…» Tu fis mine d’y réfléchir quelques secondes. «Bien que ce sera é-nor-mé-ment difficile, car vous me semblez si difficile à comprendre et si exigeante, je pense que c’est un bon accord alors oui j’accepte Madame Hvedrung.» Tu scellas cet accord d’une poignée de main avec un petit sourire radieux, ce serait moins difficile ainsi, tu ne pouvais penser que tu aurais été marié à un membre des mangemort. Elle était toujours collée contre toi, sa main ayant retrouvée ta nuque, la tienne sa taille. «Alors, je pense que les compromis sera une de nos meilleures solutions ma demoiselle.» Tu jetas un coup d’œil à ton feu, qui risquait à tout moment de s’éteindre, rapidement, doucement tu la relâchas, afin de réalimenter ce feu en échappant quelques jurons dans l’action, mais cela eu un effet de l’allumer enfin et de le faire grandir.

Le ciel s’obscurcissait doucement, teintée d’une lueur bleutée à l’horizon alors que la nuit s’installait, laissant plus de place au croissant de sourire que la lune vous offrait, reine de la nuit, éclairant la cime des arbres, les feuilles reflètent sa teinte argentée, reluisante sous les vagues causé par le vent. Tu pris place sur le banc, l’invitant à faire de même, regardant les flammes orangées danser sous tes yeux, tu l’invitas à venir te rejoindre, tapant d’une main la place à tes côtés. Lorsqu’elle prit place, tu encerclant machinalement ses épaules de ton bras. «J’aime le calme qui règne ici... Tu aimerais passer la nuit ici? Les lits son confortable et on pourrait rentrer demain dans la matinée, je pense que nos familles comptes rendre les fiançailles public prochainement, sans toutefois faire une grande cérémonie.» Ton regard glissa sur elle, regardant le reflet des flammes sur sa peau, ses cheveux soyeux tombant sur ses épaules, la lueur du feu brillant dans ses yeux. « Ce serai ben de revenir ici parfois, pour se ressourcer et l’hiver, l’endroit est magnifique recouvert de son manteau de givre, habituellement on patine sur le lac. On y reviendra en toute saison si ça te dit, mes parents l’utilisent, mais assez rarement…» Pour toi, cet endroit était un sanctuaire, entouré de la nature, sans les dangers qu’on retrouvait dans les forêts du monde magiques. Les créatures ne vivaient pas près d’ici, pas de bêtes immondes, d’araignées géantes ou bien de licornes parcourant ses bois.

«Alors dis-moi, ce mariage, tu le veux comment, tu veux qu’on invite tous les membres de l’élite ou que ce soit plus intime? Amis et famille seulement, plus petit, plus simple, personnellement la simplicité, j’aime bien. Mon père avait fait une énorme cérémonie pour la dernière et personnellement, ça ne m’avait pas plu de devoir parler devant une si grande foule. Dit, rassures moi, ta famille n’ont pas des rites de passage ou des enterrements de vie de garçon étrange? Je veux dire, ton beau-frère, celui de ta sœur qui est restée au Danemark, il a survécu?»

« J’espère que tu comprends que tu viens d’entrer dans une guerre bien plus grave que celle du peuple sorcier ? Maintenant je possède un carte permanente de ‘’ Tu m’avais promis d’être patient quand j’ai renoncé à mon propre sang pour toi bébé loup ‘’ … ça vaut plus qu’un tatouage. Je peux faire autant de bêtise que je veux maintenant ! » T’avait-elle prévenue, avec un semblant de fierté au visage. Elle se croyait pire que cette guerre, tu haussas un sourcil en hochant doucement de la tête, plus amusé par sa réplique qu’autre chose, l’invitant à venir s’asseoir avec toi, à tes côtés, chose qu’elle fit.

« Honnêtement, j’adorerais beaucoup vivre tout simplement dans ce genre d’endroit. Enfin, j’me dis. Quand j’étais enfant, j’adorais passer mes journées à la plage à lire des livres ou courir avec ma petite sœur dans tous les sens. Grimper aux arbres et capturer des lucioles pour les mettre dans des bouteilles de vins et les utiliser comme veilleuse tard dans la nuit. J’aimerais bien offrir ce genre de souvenir à mes enfants. On viendra tous les jours si ça te plais. » Peut-être pourriez-vous habiter un endroit plus campagne alors, l’endroit où ta cousine résidait, un petit village calme, plus campagnard et entourer des bois, ce serait peut-être bien, tu en glisserais un mot à ton père pour ce qui étais de te faire construire un manoir… Ton père ne voudrait pas que tu résides dans plus petit. Puis Elle s’installa sur tes jambes, sa chevelure s’étendant sur toi, elle prit une de tes mains et joua avec tes doigts, te parlant de ses traditions familiales sous ta demande. « Oh ! Rien de bien méchants, il est toutefois de tradition que tous les invités se donnent le droit de nous embrasser sur la bouche autant qu’ils le souhaitent. Le pire est sans doute cette histoire de chaussette trouée. On n’y croit pas vraiment, mais je suis persuadée que mes frères se feront un malin plaisir à te pourchasser toute la soirée pour te déchausser et trouer ta chaussette droite. C’est censé apporter la fidélité, mais finalement c’est seulement pour nous embêté. Mes frères et sœur vont aussi probablement venir foutre le foutoir chez toi et chez moi. Enfin, puisque nous n’avons pas de maison à nous, peut-être qu’ils renonceront. Des farces, toujours des farces. » Elle parlait de ses drôles de tradition et tu avalas un peu de travers, ce faire embrasser lors du mariage sur les lèvres par tous ceux qui le désirait et ensuite cette histoire de chaussette à trouée, c’était bien étrange. Puis elle continua sur sa lancée parlant du mariage. « Nos parents seront bien déçut ! Un mariage bien simple me semble parfait. L’important c’est de réunir nos deux familles et nos amis non? En même temps, je me fiche bien que ma mère invite la reine du Danemark à notre mariage si ça peut lui faire plaisir. Nous pouvons parfaitement créer un mariage qui nous plaira à nous et à nos parents. Laissons libre court aux souhaits de nos mères, nous profiterons de notre mariage dans la bibliothèque de ton père si jamais nous sommes étourdis. Cette union est censé apporter des opportunités pour nos deux familles. Peut-être pourrions-nous faire la cérémonie en privé et inviter plus de gens pour la réception ? Je t’écrirai un beau discourt si tu crains de parler publiquement, mais en général dans les mariages danois, ce sont la famille qui font les discourt pour les mariés. Nous pouvons garder cette tradition pour éviter les désagréments. Comment sont les mariages anglais ? J’aimerais intégrer de nos deux traditions. Et puis il faut bien montrer à tout le monde que nous sommes un couple adorable ! Les vieilles mégères de l’élite parlerons de ce mariage pendant des années tant nous semblerons heureux ! Et pis pas de mensonge hein ! Sois réellement heureux, si tu fais plus de cinq faux sourires, tu passeras notre nuit de noce à dormir dans le bain ! »

Elle parla de la cérémonie, puis de la réception, oui c’était une bonne idée. Puis qu’elle était prête à t’écrire un discours ce qui te fit sourire amusé, ce serait un hymne à son amour et à combien elle te semblait merveilleuse, tu pouvais le deviner déjà. Elle te demanda comment était les mariages anglais, tu y réfléchis, rien de bien particulier en ressortait il te semblait de mémoire à ceux que tu avais été plus jeune. Puis elle te menaça d’être réellement heureux lors du vôtre ou de dormir dans a baignoire et tu éclatas en rire. «C’est que tu es exigeante… Les mariages anglais ne sont pas très différents, je sais qu’il y a de vieilles traditions comme celui ou la mère du marier doit confectionner une couronnes de fleurs à sa future bru afin de lui montrer son acceptation dans la famille, ma mère voudra sûrement t’en réaliser une pour le mariage. Hum…Sinon il y a une tradition dans les Crouch, mon père doit t’offrir un baiser ensorceler, sur le front hein, ainsi il te démontre que tu entre dans la lignée des Crouch et qu’il t’offre sa protection en tant que beau-père. Au moins l’ancienne tradition où des témoins devaient assister à la nuit de noce pour être certain que ce mariage soit consommé n’est plus à la page, t’imagine avoir trois personne qui nous regarde faire la chose?» Tu le vas un sourcil alors qu’elle était couché sur tes genoux, sur le dos, te faisant face. «J’suis sûr que l’idée ne t’aurait pas déplu, perverse.» Tu la regardas en lui souriant amusé, ta main gauche allant caresser ses longs cheveux, ils étaient raides et soyeux. «Tu devrais les friser pour l’évènement, ce serait jolie. Pour le discours, je pense que je pourrai me débrouiller si tu veux qu’on écrive nos vœux, je sais dire de belles paroles quand il le faut.»

Puis le crépitement du feu emplis le silence de la nuit, c’était relaxant en ce moment, tu te sentais détendu en ce moment, elle venait d’être prête à suivre tes idéaux et vous parliez mariage, le seule sujet en ce moment qui pouvait vous rapprocher, tu en savais pas grand-chose d’elle. «Et les enfants, tu en voudrais combien? Certes il y aura une gouvernante pour aider peu importe le nombre.» Les gens pourraient facilement croire que vous vous aimiez, vous aviez une bonne entente et tu ressentais du plaisir en sa compagnie, malgré ses petits défauts, mais n’en avais-tu pas des biens pires?

Elle t’écoutait parler des traditions anglaise et celle de ta famille. « Bah ! Tu n’aimerais pas montrer au monde entier comment tu es si doué pour faire crier ta femme d’extase ? Pour la cause je veux bien mimer être encore vierge. On aura besoin de tout un stratagème pour le sang sur les draps. Huh … ils ne vont pas vérifier tout de même ! … hein ? Sinon j’aime bien la tradition des Crouch, on pourrait la faire avant notre première valse. Tu sais valser, j’espère ! Et je porterai avec joie cette petite couronne de fleur, c’est adorable ! » Tu ris doucement à son commentaire, mouais ce serait étrange, mais sans doute excitant d’avoir des témoins. Puis bon les traditions anglaises semblait la charmer, tant mieux. Si tu savais valser, certes oui, ta mère t’avait obligée dès ton jeune âge à apprendre toutes ses danses sociales à la noix. «Oui je sais très bien danser vous saurez, ma mère ma obliger très jeune à toutes les apprendre ces danses, selon le code de la société, la joie de vivre parmi la grande société de l’élite.» Jeune garçon tu détestais cela et tu dansais aujourd’hui seulement quand tu étais obligé, tu essayais d’éviter, mais Elionore semblait du genre à aimer la danse donc avec elle, tu n’aurais pas le choix que de faire l’effort.

Puis sous ton commentaire concernant ses cheveux, elle ne semblait pas en accord avec l’idée, ou était-ce simplement pour te contredire, car elle allait sans doute les friser non? « Je vous demande pardon monsieur Crouch, mais vous ne saurez absolument rien sur ce que je compte faire de mon apparence avant le grand jour. Je vous ai déjà donné ma virginité, je ne vais pas non plus vous donner des droits sur ma coiffure ! Ah les hommes contrôlant ! Pft ! » Tu souris sous son commentaire, tu étais à ce point contrôlant? Bah peut-être tu avais toujours eu l’habitude de prendre des décisions donc… « Je suis persuadé que tu es capable de bien belle paroles. Tu sembles être un homme assez attentionné, ce qui me plaît beaucoup bébé loup. Je voulais simplement te faciliter la tâche, tu sembles limite traumatisé de ta dernière épopée de fiançailles. Je suis habituée à aider papa avec ce genre de chose, Je ne peux pas laisser mon homme être la proie de tous ces gens affamés de bafouillèrent!» Son commentaire était rempli de gentillesse, bien que bébé loup ne t’allait pas si bien, mais elle venait de le dire deux fois ce soir, elle y avait pris goût semblait-il… tu continuas à lui caresser la tête en lui offrant un petit sourire. «C’est gentil, si je manque d’inspiration je te fais signe alors.» Tu apprécies pourtant moins son pinçage de joue, tu n’es plus un gamin, tu lui emprisonne donc la main. «Garde ce geste pour les bambins, bébé loup je veux bien, mais pas les joues ou je te donne la fessé» Tu lèves un sourcil pour appuyer tes dires, bien qu’elle aimerait sans doute la fessé, elle est vilaine et prête à essayer bien des choses sans doute.

Puis vint le sujet des enfants, son visage si enjoué change brusquement, ce qui te met la puce à l’oreille. Peut-être ne se sent-elle pas prête encore à dévouer sa vie et son amour à des enfants, elle était jeune. Toi tu n’avais pas le choix de t’y mettre tôt, mais tu pouvais comprendre la crainte, personnellement quand tu imaginais des enfants tu les imaginais frôlant les cinq ans, ils seront bambins avant, mais tu aurais sans doute la crainte de leur faire mal, ce serait des êtres si fragiles au début et si tu les blessais? « Cinq ... j’aimerais cinq enfants. Seulement ... je ne sais pas si - » elle garde un instant sa phrase en suspens, tu attends la suite, déjà cinq enfants c’est pas mal, mais c’est bien, tu en voulais plus d’un toi aussi, puis le restant de sa phrase te sonne étrange et alarmante. « Beaucoup trop faibles, tes enfants ne survivront jamais plus de deux ans. Je ne sais ... comment expliquer. Ce ne sont que des paroles d’une vieille femme, probablement rien … que des paroles. C’est agaçant. C’est obsédant... » Une vieille femme lui avait dit cela? Deux ans, des enfants trop faibles, cela t’alarma aussi et si c’était le sang de loup en eux qui les rendraient ainsi? Mais cela pouvait être aussi que des balivernes. Elle tenta ensuite de se reprendre, chassant cette phrase pour donner du positif, se redressant, posant ses mains sur son ventre. « Nous aurons cinq petits garnements, fort comme leur père et ricaneurs comme leur mère. Avec de magnifiques yeux chocolat et des cheveux châtains. Et puis tu les aimeras encore et encore plus chaque fois qu’ils t’appelleront papa. Jusqu’au jour où tu devras laisser un autre homme prendre le cœur de ta fille. Jusqu’au jour où ton fils débarquera en panique parce que sa copine de dix-sept ans sera enceinte parce qu’il est un imbécile comme son père et s’amuse à avoir ses orgasmes là où il ne faut pas. » Tu fronças les sourcils, toujours en tête cette phrase parlant de deux années. «Non, mais attend, une vieille femme t’a dit cela, c’était quoi, une diseuse de bonne aventure? Si c’était à cause de ce don de loup… pourtant, cela devrait plus les renforcer que les détruire si cela a un impact, les loups garous arrivent très bien à enfanter, puis bon c’est peut-être que du charabia de bonne femme qui voulait de ton argent et ne sais rien, très peu on le don de connaitre l’avenir. J’espère tout de moins que cet épisode ne t’empêchera pas d’essayer, cela ne veut pas dire que ça arrivera tu sais, je veux bien croire une malchance pour un, une maladie ou quoi que ce soit, mais pour tous les futurs enfants non c’est impossible.»

Elle semble agacée par ta phrase, bien que bon tu doutes franchement de la source de ses dires, seule l’avenir pourra vous répondre, mais sans doute espérait-elle t’entendre la consoler, la rassurer sur votre avenir et non poser plein de questions, en clair t’a fait une bourde. Elle se redresse, regarde ses mains, elle ne semble pas dans son état normal, puis elle s’excuse, libérant ses paroles avec difficultés. « J- je suis désolée Constantin. » La reine qu’elle est vient de perdre tout son éclat, sa couronne trainant à ses pieds, brisés en morceaux, elle se redresse et elle court loin, loin de toi, loin de cette conversation. Tu comprends qu’elle ne veut pas de toi, tu ne cours pas après elle, elle reviendra, elle n’est pas assez idiote pour se perdre dans les bois non plus. Tu te relèves donc, observant la direction qu’elle a prise, mais elle n’est plus visible avec cette noirceur, tu éteins donc le feu. Puis tu rentres à l’intérieur, laissant le soin de laisser la lumière allumer sur la véranda histoire qu’elle ne se perde pas et ne se brise pas quoi que ce soit en revenant. Tu ranges la vaisselle propre qui égouttait près de l’évier qu’elle a lavé un peu avant puis tu te diriges vers la salle de bain, laissant le soin de laisser les portes déverrouiller. Tu prends deux serviettes, tu prévois qu’elle va revenir rapidement, peut-être qu’elle ne viendra pas et préféra t’attendre dans la cuisine ou le salon, peut-être se mettra-t-elle au lit. Tu fais donc couler l’eau chaude dans cette douche énorme, retirant tout vêtement, allant sous l’eau afin de retirer toute les parcelles de sables qui pourraient encore être collé à ta peau avec cette baignade au lac et ce moment cocasse sur la plage.

Tu fermes les yeux profitant de ce moment de détente repensant à cet avertissement qu’elle avait eu, ça ne pouvait pas être vrai, c’était que pour lui faire un show, mais le doute persistait et tu pouvais comprendre sa réaction. À l’avenir tu n’en parlerais plus, mais tu anticipais déjà ce que ce serait pour elle d’avoir un enfant avec cette peur qui la guettait. Tu termines de te laver quand tu entends la porte ouvrir, elle vient te rejoindre sous le jet après un moment, s’accrochant à toi doucement, encerclant ta taille, ses dents venant te mordre le dos. Tu glisses une main contre la sienne te retournes vers elle. Elle n’est clairement pas dans son état, elle si dynamique ressemble plus à une petit chose fragile, perdant de son éclat, la reine déchue qui essai de recoller sa couronne et tu ne pensais pas que cette ‘prophétie’ la travaillait à ce point. Alors tu fais ce que tu sais mieux faire pour la soutenir, lui donner de la force, tu la traine sous le jet chaud histoire qu’elle puisse se réchauffer puis tu l’enveloppe de tes bras, tes lèvres venant retrouver les siennes. Tu vas lui changer les idées, la laver puis tu vas la border avec toi dans une des chambres. Tu entames alors le processus de lui lavé les cheveux, dans un silence réconfortant, le bruit de l’eau qui tombe et coule seulement. Elle a peut-être besoin de mots réconfortant? Tu ne sais jamais, tu ne voudrais pas la faire fuir de nouveau non plus. «Hey, ça va aller, on aura une grande famille et un jour on sera vieux avec plein de petits enfants à chouchouter d’accord, n’y pense plus, là je vais te laver, puis ensuite on ira au lit d’accord?» Tu lui offres un petit sourire, essayant de te montrer réconfortant et cette scène te rappel un peu le retour de ta cousine, quand tu lui as donné un bain que tu la laver en partie, elle avait eu besoin de toi et bien que tu aies vue sa nudité, c’était clairement comme un frère envers une sœur, tu l’avais bordé ensuite pendant de nombreuse semaine dormant avec elle.

Puis tu passes à son corps, la savonnant doucement, en profitant en même temps pour caresser ses courbes, pourquoi pas? Cela pourrait lui changer les idées, ressentant déjà une pointe d’excitation en la lavant et en la caressant, tu t’attarde un peu plus à sa poitrine, espérant qu’elle change d’humeur, quelle te fasse même un petit reproche et que l’atmosphère revienne à la blague. Puis tu descends sur son ventre, son dos, ses fesses, ses cuisses, puis son entre jambes, là encore tu en profite pour plus la caresser malgré le savon qui s’amplifie sous tes mouvements circulaire, laissant une mousse blanche couler vers le drain de la douche. Puis tu te penches pour faire ses cuisses, ses jambes caressant doucement l’arrière de ses genoux, puis tu lui ordonne de relever ses pieds histoire des savonner tu le fais soigneusement entre chaque orteils histoire qu’elle ressente chaque caresse partout sur son corps. Puis quand le jet retire une grosse partie de la mousse, comme tu es à niveau, tu lui embrasse le ventre, les hanches doucement, ta main retournant vers ses fesses pour mieux savonner en profondeur, caressant en même temps. Cette histoire de bébé est déjà du passé, cette douche et tes tentatives ton déjà exciter, ton érection se voyant clairement, tu n’attends que son accord ou un petit commentaire pour passer aux choses sérieuses.
«Hum et si on inaugurait cette douche?»