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POUDLARD, cinquième année.

Ça avait été une belle journée, chaude, pratiquement étouffante, une de ces journées à passer près du lac, à l’ombre sous un arbre, peut-être glisser ses pieds dans l’eau (ou s’y glisser toute entière, titiller les sirènes dont on lui a promis l’existence, qu’elle n’a jamais vues et maintenant elle commence sérieusement à douter de la sincérité d’Âqen). C’était une belle journée, et celle de demain aurait été semblable. Elle aurait aimé profiter d’un samedi sans cours, l’un des derniers samedis où elle ne devrait pas se concentrer sur les BUSES qui approchent à grand pas.
Une foutue belle journée qu’elle avait passée en cours, avant de retourner s’enfermer dans son dortoir, en attente de la sentence. Le problème, c’est les sirènes – pardon, êtres de l’eau. Tout a commencé à propos de ces foutues sirènes. Peut-être pas les sirènes en tant que telles. N’empêche qu’elle n’a toujours rien vu du tout. Cinq ans qu’elle est ici, et rien. Elle abandonne sa vie entière pour de la magie, sans avoir le choix, on la propulse dans ce monde qu’elle ne comprend pas, et juste rien. Rien que quelques escaliers mouvants, des salles étranges, des sorts tièdes, des fantômes carrément agaçants, et toutes les promesses qu’on lui a faites à son arrivée. Bien sûr que ça allait coincer, un jour ou l’autre. Alors il y a eu les sirènes. Pas les sirènes en tant que telles, c’était un symbole. En tout cas, c’est ce qu’elle a expliqué à Athenaïs et Vincianne la semaine dernière, se roulant dans son lit en râlant. Elle s’ennuyait. Et, s’il y a une chose qu’Hazel Fitzalan ne supporte pas, c’est l’ennui. Et les déceptions. Les promesses bafouées. Les rêves brisés. T’exagères. Personne n’a voulu comprendre le symbole, et elle s’est agacée. Un peu agitée. Est devenue carrément insupportable, au bout de quelques jours. Assez pour que Jessie soupire, abandonnant pendant une minute entière son sourire débile. Après les sirènes, il y a eu son idée de crétin. Voilà, le problème, ce n’est pas les sirènes, c’est les idées stupides de Jessie Jenner.
Elle sort de son dortoir en abordant sa tête des mauvais jours, pestant contre sa meilleure amie qui est en pleine répétition pour sa foutue chorale, lui permettant d’arriver un peu en retard. Parce que la chorale, c’est important. Elle aussi, elle aurait appris à chanter si elle avait su que ça la dispensait de se tenir à carreaux. Ou elle n’aurait simplement pas suivi Jessie. Évidemment, à l’époque (trois jours plus tôt), ça lui avait paru être carrément intéressant. La faute à son ennui, et à l’enthousiasme chiant de son ami. À Athenaïs, aussi, qui n’avait jamais rien à dire pour les calmer, ou peut-être que c’était parce que personne ne l’écoutait plus, elle ne sait plus. À Vince, qui était toujours partante pour sauter à pieds joints dans les conneries, la provoquant quand elle hésitait. Et surtout à Âqen, qui n’avait pas trouvé mieux que de commencer à raconter une histoire barbante à propos d’artefacts magiques qu’il trouverait… Elle n’a pas écouté jusqu’au bout. Les idées stupides de Jessie, son ennui, la passivité d’Athé, la grande gueule de Vince et la passion carrément glauque de Shafiq, voilà ce qui les a menés là.
Mais surtout les idées stupides de Jessie Jenner.
Ça avait été une belle journée, c’est inscrit sur tous les visages qu’elle croise dans la salle commune, les rires qui éclatent et les discussions qui prennent forme. Ils respirent la joie, l’insouciance et la bonne humeur, prévoyant leurs plans de la soirée, leurs plans de week-end, pendant qu’elle dormirait, assommée par la nuit passée à racheter les erreurs des autres. Elle les emmerde tous. Du coin de l’œil, elle repère son meilleur ami, qui ne semble pas être particulièrement affecté par le malheur qui la touche. Il se fraie un chemin jusqu’à elle, et ouvre la bouche, sans doute pour la saluer. « Ne dis rien. » Elle ne veut pas l’entendre, puisque tout est de sa faute. Elle ne veut pas l’entendre, et il semble le comprendre assez bien vu qu’il ferme sa gueule tandis qu’ils se dirigent vers la sortie. Probable qu’il ait pris l’habitude, à force, de ses coups d’éclat et de son humeur massacrante. Peut-être que ça la vexe un peu, que ce soit si facile, qu’il agite le drapeau blanc si facilement, elle aurait pu se détendre, s’il avait fait l’effort de ne pas se laisser faire. Mais non, évidemment, il ne lui a pas fait ce plaisir. Depuis leur rupture, leur relation est quelque peu bizarre, entre malaises qui surgissent aux moments où elle s’y attend le moins et habitudes difficiles à perdre. Ils ne se retrouvent pas souvent seuls, sans que ce ne soit particulièrement planifié – elle a l’impression qu’Athe veille au grain. Quand elle n’est pas en répétition, l’abandonnant lâchement, ou trop occupée à se foutre d’Âqen en se faisant passer pour quelqu’un d’autre.
Elle avance d’un pas rapide, le menton dressé vers le ciel, histoire de bien faire comprendre à son compagnon de route qu’elle lui en veut, au cas où ce n’était pas assez clair. Peut-être auraient-ils dû attendre Vince, mais elle n’était pas dans le dortoir, et Hazel n’était pas totalement certaine de vouloir l’entendre dire que c’était sa faute à elle (quand ça ne l’était absolument pas). Elle ne sait pas trop si Jessie la suit, vu qu’elle s’entête à faire comme s’il n’existait pas, mais elle espère : même après cinq ans, elle a tendance à se perdre dans les couloirs sans fin du château. Ils finissent enfin par arriver dehors, où elle ne voit pas non plus Âqen mais bien le Professeur Brûlopot, en charge de leur nuit de retenue. Pas une heure, pas deux. Une nuit entière de retenue. Son pas se fait plus lent, plus lourd, et elle sent à présent distinctivement la présence de Jessie, qui semble distrait, les yeux tournés vers le Saule Cogneur. « Ne. Dis. Rien. » Les mots claquent, et elle fusille sa nuque du regard, vu qu’il est perdu dans l’admiration de cet arbre ridicule. « N’en parle pas. » Le Saule Cogneur. Putain de Saule Cogneur. Elle passe une main sur son ventre, des souvenirs peu plaisants rejaillissant brusquement, et elle accélère le pas, finalement, autant ne pas rester là. « Qu’on en finisse. » Un marmonnement presque indistinct, alors qu’elle trottine presque jusqu’au Professeur de Soins aux Créatures Magiques qui les attend sobrement, une encyclopédie en main. Un instant, elle a peur de devoir se plonger dans des récits barbants et elle fronce les sourcils (elle avait déjà Shafiq pour ça, après tout). Plutôt nettoyer les salles de classe, comme d’habitude. « Mademoiselle Fitzalan-Howard, Monsieur Jenner. Vos partenaires de crime semblent être en retard. » Peut-être qu’elle l’imagine, mais il semble ravi. Une belle journée. D’un geste, il montre l’enclos derrière lui. « Savez-vous ce qu’est un veaudelune ? C’est une créature fascinante. Très timide, bien sûr, comme les choses les plus précieuses, n’est-ce pas. Cette nuit, ces merveilles vont sortir de leur Terrier et nous bénir de leur danse. Ensuite, elles nous laisseront un petit cadeau que vous devrez recueillir pour le Professeur Chourave. Elle vous expliquera plus tard à quoi cela sert. Quant au cadeau, j’en ai un exemple. »  Sur ce, il ouvre l’ouvrage et montre une illustration où trône quelque chose d’argenté, quelque – Non. Ses lèvres s’étirent en un grand sourire et Hazel pâlit. « Mademoiselle Fitzalan-Howard, il y a un problème ? » Elle déglutit difficilement, puis secoue la tête, se rapprochant de Jessie avant de lui couler un regard noir, s’arrangeant pour lui piétiner le pied en toute discrétion. « Je touche pas à ça. » Murmure précipité, visage marqué par l’horreur, bouche tordue en une moue dégoûtée, et la supplique au fond des pupilles. Elle ne touchera pas à ça.


Dernière édition par Hazel Fitzalan le Lun 3 Oct 2016 - 4:12, édité 2 fois
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La sortie avait été un franc succès. Après ce qui semblait avoir été des semaines entières à écouter Hazel se plaindre qu'elle s'ennuyait et qu'elle voulait voir des sirènes, j'avais finalement décidé de trouver une sortie à faire pour la sortir de cette spirale râlante dans laquelle elle se complaisait. Merlin m'en soit témoin, je n'avais pas proposé de sortir dans le lac, aucune force au monde ne me pousserait à sauter dans ce lac de mon plein gré dans ce foutu pays en constant âge glacière, non non, je n'ai pas proposé de l'emmener voir des sirènes. En vérité, j'avais appris par le cousin d'un ami dont le père avait appartenu à un syndicat qui comportait le frère du père d'un Poufsouffle qui le tenait du voisin de palier d'un inconnu vivant dans le quartier magique de Londres qu'il y avait probablement un passage secret vers Pré-au-Lard sous le saule cogneur.

Il ne m'avait pas fallu très longtemps pour convaincre la bande de venir jeter un œil, après tout les BUSES approchaient à grands pas et on avait tous besoin de décompresser un peu, sauf qu'une fois devant la bête furieusement végétale, quelqu'un avait eu l'idée géniale de foncer dans le tas de branches en colère, persuadé que tout allait forcément bien se passer. Cette chère quelqu'un qui avait jusque là barboté dans un ennui à faire pleurer les pierres, s'était malencontreusement prise une branche en travers de la figure et avait poussé un hurlement qui avait sans doute réveillé tout le château et la forêt interdite. Le temps qu'on la récupère et qu'on décide de se barrer, une escouade de professeurs était arrivée en agitant les bras et les baguettes d'un air furieux.

C'était une bonne sortie.

J'avais atteint mon but en tout cas, ça faisait déjà trois jours et depuis trois, Hazel n'avait pas ouvert la bouche une seule fois pour se plaindre de l'ennui, je passais donc mes journées à siffloter joyeusement et à gratter du ukulélé, certain d'avoir fait du bon boulot malgré la tournure inattendue qu'avait pris les événements. Collés jusqu'à la fin de l'année. Probablement moins si on se conduisait bien, mais j'ai vu dans les yeux de McGonagall qu'elle était prête à continuer la colle l'an prochain si jamais on faisait un pas de travers. Cette chère McGo.

Aussi quand l'heure était venue de nous rendre en colle pour découvrir ce que sera notre châtiment, je rejoignis Hazel avec le sourire de celui qui était persuadé d'avoir fait du bon boulot et je ne pris même pas garde à la rebuffade qu'elle m'infligea lorsque je voulu la saluer, me contentant de la suivre en mettant mes mains dans mes poches, m'imprégnant de son aura de maussaderie que je sentais à travers mon don pour ressentir les émotions des autres. Elle avait vraiment l'air de m'en vouloir. Mais au moins elle ne s'ennuyait plus.

Fort de cette idée, je gardais le sourire le long du chemin, sur ses talons, lui envoyant des ondes de calme depuis son dos tout en observant le château de nuit. Je voulus lui faire part un commentaire sur le fait d'être forcé d'aller dehors après le couvre feu alors qu'ils étaient justement puni pour l'avoir fait, mais je me retins juste à temps, me tournant plutôt vers le Saule Cogneur qui veillait sur le parc. Il faudrait qu'on y retourne un jour, j'étais toujours persuadé qu'il y avait un bon coup à jouer là-dedans.

Je fus tiré de ma rêverie par le professeur qui nous accueillit un peu plus loin avec un sourire aussi grand que le miens. La colle n'allait peut-être pas être ennuyeuse, tout valait mieux que de copier des lignes avec McGonagall, je n'arrivais jamais à écrire plus de trois lignes avant d'être perdu dans les nuages. Non, apparemment ce soir on allait courir après des animaux pour ramasser leurs... excréments ? Je regardais cette chose argentée sur le livre du professeur et le lui prit doucement des mains pour mieux observer la chose.

-La magie est fascinante, je souffle doucement. Je relève la tête vers Hazel en lui tendant le livre avec un sourire. Oh allez Hazel, ça à l'air marrant ! On dirait des œufs phosphorescents ! Et si on est suffisamment discret on pourra même les voir parader !

J'avais un ton joyeux, ça n'avait pas l'air si terrible. En plus on allait être avec toute la bande, j'étais sûr qu'on allait finir par bien s'amuser tous ensemble. J'étais sûr aussi qu'elle le savait déjà et qu'elle attendait juste que quelqu'un vienne la convaincre que c'était le cas, mais j'allais avoir besoin des autres pour le lui faire comprendre. Vu le signal douloureux qu'elle adressa à mon pied, ça n'allait pas être si facile, mais pourquoi faire dans la facilité quand on s'appelait Hazel Fitzalan-Howard ? Autant ne pas perdre de temps !

-Bon on commence ?

Je n'attendis pas la réponse et passai mon bras sous le sien pour l'entraîner dans la zone de recherche, pressé d'avoir le droit de déambuler librement dans le parc, le soir, sans risquer de nous faire prendre en colle. L'idée était vraiment distrayante.

-Tu trouves pas ça amusant toi ? On est libre de se balader dans le parc au milieu de la nuit parce qu'on a fait la bêtise de se balader librement dans le parc au milieu de la nuit ! Ils sont vraiment pas malins ces profs hahaha !
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« Eeeye OF newt, aaaand toe of FROG. Wool of baaaat, and TONGUE of doooog… » Elle en était persuadée la d’Anjou, elle chantait plus que juste. Mieux encore, elle ne doutait pas un instant de pouvoir devenir un jour une éminente chanteuse du monde sorcier. Plus célèbre encore que les Bizzar’ Sisters ! Pourtant, si elle avait daigné ouvrir ses prunelles closes, et jeter un regard vers Flitwick, alors peut-être se serait-elle interrogée sur la grimace arborée. En vérité, elle aurait sans doute pensé que le professeur de Sortilèges et Enchantements mais aussi directeur de la chorale était ennuyé par une infestation de coxyvoraces grignotant ses doigts de pieds. « Miss d’Anjou ? » À peine un bourdonnement à ses oreilles tandis qu’elle continue de chanter, malgré le silence imposé. « MISS D’ANJOU ? » Les notes meurent sur ses lèvres, et ses iris azurés observent autour d’elle, avant de finalement se porter sur le petit homme. ENFIN ! Enfin il a reconnu son talent et va lui proposer un solo ! Son faciès se fend d’un sourire, et là encore, ne remarque pas l’instant d’hésitation sur le visage du professeur, ni même le soupir qu’il lâche, se dirigeant d’un petit pas vers un coffre à instruments. LE SOLO VOUS DIS-JE ! Quand il revient, c’est avec un étrange petit triangle d’acier, qu’il tend à la Gryffondor, avec la conviction certaine qu’elle acceptera. Ce qu’elle fait d’autre part, le visage s’illuminant sous le petit son clair qu’elle entend sitôt qu’elle cogne doucement à travers celui-ci, ce n’est pas tout à fait le solo imaginé, mais elle en est persuadée, tout vient à point à qui sait attendre, et l’attribution du triangle n’est qu’un pas de plus vers la réussite, un entrainement personnel par le biais d’un tout petit instrument de musique pour atteindre la renommée. « Vous voilà responsable du triangle Miss d’Anjou, veuillez noter les moments où vous en jouerez. Et… Pour ne pas être déconcentrée, vous vous contenterez de fredonner, bouche fermée, cela vous permettra de mieux appréhender le son du triangle. » Vous voyez ? Un petit pas pour la sorcière… un grand pas pour la musique magique !

Les minutes s’écoulent, et l’heure n’est pas encore à son terme lorsque Flitwick interrompt de nouveau la chorale, un coup d’œil à sa montre. « Miss d’Anjou, vous devriez y aller, le professeur Kettleburn n’apprécie pas vraiment les retards. » Un soupir intérieur, et l’abandon à regret de cette activité extra-scolaire, sac sur l’épaule et triangle reposé dans le coffre. Il lui faut aller en retenue. Ce n’était pas la première ceci-dit, mais au moins, il n’y aurait pas de lignes à recopier, et Chourrave ne les obligerait pas à s’occuper des Snargalouf, comme la dernière fois. Tout ça à cause d’un saule cogneur, alors qu’elle et son groupe de meilleurs amis étaient en exploration ! Elle avait même revêtu un chapeau spécial aventurier pour l’occasion ! Et il avait été détruit parce que quelqu’un avait décidé de planter un Saule Cogneur exactement à l’endroit où ils voulaient aller. Un si beau chapeau. Elle avait hésité à demander le remboursement, mais le regard furibond de McGonagall l’en avait dissuadé. Aussi avait-elle accepté la punition, la retenue infligée. Et puis, une punition nocturne ? Cela s’avérait toujours bien plus intéressant. Aussi ne mit-elle pas longtemps à trottiner dans le parc, la tête jouant encore du triangle tandis que ses lèvres closes fredonnaient à tue-tête les derniers couplets manqués, saccadés par son jeu de jambes, et interrompus par ses souffles pour repousser ses cheveux blonds.

Arrivée à bon port, elle put constater avec un plaisir certain que deux de ses meilleurs amis étaient déjà présent. Elle n’eut aucun mal à reconnaître Hazel, ni même Jessie, et accéléra son pas pour ne pas arriver plus en retard qu’elle ne devait déjà l’être. « Bonsoir ! Désolée Professeur Kettleburn, j’étais à la chorale. » Salutation quelconque avant d’attraper le livre des mains de Jessie et de consulter les informations nécessaires à leur punition. « On va vraiment voir des veaudelunes ? Il paraît que leurs danses sont hypnotisantes, et que si on regarde trop longtemps, on finit par penser qu’on en est un nous aussi ! C’est ce qui est arrivé une fois à mon cousin Herbert ! Il était tellement persuadé d’être un veaudelune qu’il a essayé d’entrer dans un de leur terrier, mais sans succès. Il était beaucoup trop gros. Je lui ai toujours dit qu’il devrait arrêter de manger des patacitrouilles. On va devoir ramasser les excréments ? J’ai des gants je crois, tu en veux une paire Hazel ? Ça va être amusant ! On dirait une chasse de pâque, mais sans les chocolats ! »
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