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sujet; the mystic's dream ≠ constantrix (18+)

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     “Clutched by the still of the night and now I feel you move. Every breath is full so it's there my homage's due. ”

- 26th of october 2001 -


Si tu avais été une horloge il aurait probablement posé d'avantage son regard sombre sur toi. C'était pourtant le prix à payer pour l'affront que tu faisais, enfant illégitime assise à cette table où la famille de ta belle-mère était en partie réunies. Tu aurais pu être un fantôme que leur condescendante ignorance n'aurait pas été plus insultante. Il n'y avait que le regard de ton père qui passait parfois sur toi. Ou encore celui d'Ulysse que tu retournais avec une certaine hargne. Comme il s'était réjouis de savoir que tout était déjà terminé entre Flint et toi. Il avait rigolé, applaudis, t'avais nargué comme il le fallait sur cette histoire encore partiellement douloureuse et qui ne manquait pas d'agiter les esprits. Il fallait te trouver un autre fiancé avant qu'il ne soit trop tard, que tu sois trop vieille. Tu grognais dans ton coin, ruminait, lasse de cette soirée, comme de toutes les autres.  Sauf peut-être celle passée avec Simon. Celle te laissant pourtant une certaine amertume dans la bouche alors que les jours passaient. Tu préférais ne pas y penser, ne pas t'en faire avec lui. Si tu pouvais simplement passé au travers de cette soirée en compagnie de Crouch, tu t'en sortirais gagnante.

Le repas fût dévoré, mais n'eut pas raison de la soirée pour autant. Ils discutaient ensuite au salon, buvant, se flattant sur les exploits de l'un et de l'autre. Ils avaient toute la soirée, toute la nuit même étant donné que les Crouch avaient prévu dormir dans les chambres d'amis en cette soirée où l'ivresse s'était déjà emparée d'eux malgré la fausse contenance dont il faisaient preuve. Tu t'ennuyais à en crever à chaque seconde, assise sur un genoux d'Ulysse tandis que tes doigts passaient doucement sur ses tatouages qui dansaient contre sa peau. « J'ai sommeil. » Te plaignais-tu en te redressant pour libérer sa peau de ton contact, te relever doucement sans regarder personne avant que tu ne sente de nouveau sa présence dans ton dos, sa main dominatrice attrapant ton poignet. « Je t'accompagnes jusqu'à ta chambre. » Déclarait-il alors que tu te retournais vers lui, son regard sévère posé sur ton frère tandis que tu ne comprenais pas son résonnement ni son attitude. « Pourquoi ? » Demandais-tu, suspicieuse. Il n'y avait pourtant aucun Flint dans les parages. Un sourire aussi sadique qu'amusé parcourait ses lèvres, t'en laissant quelques frissons. « Je ne veux pas que ma petite soeur finisse assassinée par un Crouch. » Un nouveau frisson partit du bas de ton dos qu'il poussait pour te faire avancer en remontant jusqu'à ta nuque alors qu vous vous mettiez en marche vers ta chambre. Ce que tu verrouillais avec attention à toutes les nuits. D'avantage encore ce soir. Du moins, c'était ce que tu pensais. Si Sue était dingue, sa famille promettait d'être bien pire. Ton frère embrassais le sommet de ton crâne avant que tu ne fermes ta porte à clé. Tu l'entendais tenter de l'ouvrir de nouveau, rien que pour s'assurer qu'elle était verrouiller.

La rage pourtant bouillait en toi ce soir là, t'empêchait de dormir. Tu en voulais au Crouch de te traiter avec si peu de respect, de te faire sentir diminuée. La visite de ta soeur te donna une idée. Toi aussi, tu savais te glisser dans une chambre et faire beaucoup de mal. C'est ainsi que tu déverrouillais ta porte pour te faufiler dans les couloirs menant aux autres chambres. Tu ne savais même pas exactement ce que tu allais lui faire, mais tu voulais qu'après cette nuit, il ne puisse plus t'ignorer. Qu'il tremble en te voyant. Peu important la raison. Ce jeune homme était des plus imprudent. Tu tournais la poignée de sa porte sans grand difficulté, pénétrant à pas feutré dans son antre avant de refermer la porter derrière toi. Tu t'approchais de son lit tandis qu'il dormait à points fermés, te laissant doucement bercée par le rythme de sa respiration calme, te laissant griser par cette impression de pouvoir que tu avais. Tu étais une prédatrice, un monstre, exactement comme elle te l'avais dit, ne se doutant pourtant pas que cela se retournerait contre sa propre famille. Tu glissais doucement dans son lit, par dessus les couvertures que tu dispersaient devant toi. Avançant vers lui jusqu'à ce ta main retrouve sa nuque dans une caresse descendant dans son dos. Tes doigts furent pourtant attirer par un étrange plis dans sa peau.  Curieuse, inquiète. Tes doigts suivait le trait fin qui grandissait. le suivait jusqu'à ce qu'il se meurt. Un hoquet te prenais. Qu'est-ce que c'était que cette marque dans son dos ? Avant que tu ne comprennes de quoi il s'agissait, tu le sentais déjà bouger sous toi. Tu avais réveillé la bête.  


Dernière édition par Beatrix P. Carrow le Dim 2 Nov 2014 - 20:53, édité 1 fois
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My pulse has been rising, my temples are pounding, the pressure is so overwhelming and building,so steady now, Freddy, I'm ready to blow, what is she, what is she, what is she waiting for?


Tu te sentais en forme cette semaine et heureusement puisque ta tante avait préparé une petite soirée en invitant toute ta famille, même ton père serait de la partie. Vous avez prévu de dormir là-bas, tu as donc emporté un sac pour des vêtements de rechange. Ta mère souris depuis ce matin, elle adore retrouver sa chère sœur, et la voir de si bonne humeur te rend déjà exciter à cette soirée. Lorsque l’heure de partir est venu, même ton père semble heureux de sa future soirée chez les Carrow, il apprécie énormément ton oncle, malgré ce qu’il a fait. Une fois sur place, tu embrasse gentiment ta chère tante, tu salue poliment ton cousin et tu va rejoindre ta cousine si aimée. Tu lui offre une accolade et déjà ton air sérieux se perd parmi des sourires attentionnés envers elle. Tu ignore la petite blonde, qui était tout de même présente afin d’être polie. Tu la déteste depuis quelques temps, Susanna a tant souffert de la perte de son père à cause d’elle et depuis quelques années, tu ressens quelque chose à sa vue. Sans doute la malédiction de son sang de vélane qui coule entre ses veines, tu ressens une terrible attirance pour elle et pour cette raison tu la hais. Tu hais ce que tu ressens envers elle, tu ne devrais pas ressentir cela, pour cela tu ne la regarde jamais, tu arrive à oublier l’étincelle qu’elle fait jaillir en ton bas ventre.

La soirée commence, l’alcool coule à flot, tu ne te limite pas, tu ris avec ta famille, tu bois, tu mange, tu bois. Ce vin est un délice et bien que peu le remarque, tu as toujours eu un petit faible pour l’alcool. Cette satané malédiction t’as rendu amoureux de ce nectar.  Tu as lu à l’époque plusieurs livres parlant de ses bêtes, après tout, tu devais faire beaucoup de recherche pour effectuer ton travail en tant que chasseur de loup-garou, tu sais qu’ils deviennent souvent dépendants et toi aussi tu es dépendant à ce genre de petits délices.  Tu remarques Ulysse qui ne se mêle point à la soirée, il reste en retrait avec elle. Ce n’est pas nouveau, Susanna à un frère, mais elle est une enfant unique, heureusement, elle t’a toi. Toi ce cher cousin qui la protège et l’aime comme le frère qu’elle n’a plus. Le repas t’as rempli, t’as mère semble également avoir profité un peu trop du vin, elle ri avec entrain, ton père et elle semble bien s’entendre ce soir. Tu sais qu’ils ne s’entendent rarement en ce qui te concerne, mais malgré tout, ils ont de l’affection l’un pour l’autre et ce soir ça parait.

Tu sors de table avec Susanna et vous allez au petit salon. Le rebut de ta cousine, viens t’offrir un nouveau verre d’alcool plus forte. Constantin l’accepte, un regard vite envers le jeune homme, tu le trouve mignon dans son genre, mais tu cache cette pulsion comme toujours, personne ne connait ton secret et l’alcool ne te le fera pas avouer ce soir. Tu rentre à nouveau dans des conversations plus anodine avec Sue, tu ris avec elle, tu bois, tu sens la tête qui te tourne après un certain moment. Il est rendu tard, ta mère vient te conseiller d’aller te reposer. Tu remarque l’heure et tu acquiesce, il y a longtemps que la petite blonde est monté, tu as à peine remarqué son absence, Ulysse non plus n’est pas revenu.

Tu offre un dernier baiser à Sue sur le front et lui souhaite bonne nuit, elle a également trop bu. Une fois que tu te retrouve dans cette chambre, tu te déshabille rapidement, depuis très longtemps tu n’arrive plus à dormir avec des vêtements. Tu as trop chaud pour ça, maladroitement, tu rejoins ton lit et une fois sous les couvertures, tu t’endors rapidement. La chambre est calme et l’alcool te soumet au sommeil…

Tu ne sais plus combien de temps s’est écoulé, quelque chose t’as pourtant déranger, un effluve de parfum, un parfum inconnu, un poids contre ton corps. Tu as déjà deviné que tu n’es plus seul dans ce lit. Tu as ressentis une caresse dans ton dos, contre cette cicatrice disgracieuse, cette cicatrice qui a guérit, mais qui est toujours sensible au toucher. L’alcool t’embrouille encore les idées et durant un instant tu te demande si tu rêves. Tu te retourne contre ton dos et attrape un poignet fin, la noirceur a beau être présente, tu la reconnais. Tu remarques ses bouclettes blondes. Que fait-elle là? Qu’espère-t-elle en étant présente dans ton lit? Tu crache presque ton venin, bien que tu sois un peu engourdi, la colère monte en toi.   « Toi? Qu’est-ce que… » Tu te rappel de cette caresse, elle t’a caressée le dos, elle sait et tu ressens ton cœur palpiter, tu as peur de ce qu’elle a découvert, le loup en toi se déchaine. La bête semble s’exciter, tu essais de la retenir, elle te semble surprise, tu l’a retiens toujours prisonnière par ta poigne. Tu n’as pas envie de lever le ton, si on te découvre avec elle dans ton lit, on pensera l’imaginable, on t’accusera, elle est là par-dessus toi et tu a beau la détester, tu te surprends à la désirer. Tu lui chuchote alors plus bas. « Qu’est-ce que tu fais là, tu es venu dans le mauvais lit boucle d’or. »

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     “Cause nobody ever survives. Prayin' to stay in her arms just until I can die a little longer Saviors and saints, devils and heathens alike. She'll eat you alive. ”

- 26th of october 2001 -

Tu n'aurais pas dû être là, Bea. Dès le moment où cette idée t'étais venue, tu aurais du la chasser. Faire autre chose, te foutre le nez dans un livre, refaire tes ongles, quelque chose, mais pas ça. Pourtant ça te brûlait le ventre, ça t'obsédait, ça tournait dans ta tête comme une insulte, comme quelque chose que tu aurais dû faire. Ce n'était pas réglé et ça t'empêchait de dormir. Tu avais l'impression que ce poids qui pesait sur ton coeur, tu ne pourrais jamais l'oublier. Son visage tournait dans ta tête pour ce simple petit moment que vous aviez partager au cours de la soirée. Sortant de la cuisine pour aller retrouver ton frère au salon, tu ne regardais pas où tu allais. Constantin tournait le même coin et il t'étais rentré dedans de pleins fouet. Il ne t'avait même pas regardé. Il n'avait ni râlé et s'était encore moins excusé. C'était inacceptable et toi, tu n'avais rien dit de cela toute la soirée. Tu avais beau tenter de le chasser de ton esprit, ça revenait. Ce n'était pas réglé. S'aurait pu l'être par un simple « pardon », même pas réellement sentis. Rien. Pas même un regard. Il avait planté une obsession en toi comme sa cousine, ta soeur, plantait les graines dans son jardin. Tu avais besoin de le narguer, de lui prouver que tu existais. Que tu étais bien vivante, la fille illégitime, mais qu'il devrait t'accepter. Lui, comme sa famille d'idiot. Ils devaient cesser de te traiter en moins que rien, parce que cette union illégitime n'était pas ta faute. Tu faisais de ton mieux pour être une Carrow, aussi sombre et cruelle qu'eux. Tu t'inspirais même de ta Susanna alors que tu grimpais tranquillement sur son cousin. Sans comprendre ce que tu allais trouver dans cette caresse dans son dos. Une marque de griffe. Cicatrisée. Tu n'avais pas encore compris pendant que tes doigts courraient dessus, mais tout arriva très rapidement en pièces qui formaient l'image finale. Un monstre, comme toi. Un monstre à la force impressionnante, qui se retourne vers toi pour attraper ton poignet. Oh, il n'as rien en commun avec Marcus. La force sur ton bras pourrait briser tes os, te réduire en miette. Et pour toi, c'est aussi effrayant qu’enivrant alors que dans un petit hoquet de surprise tu entrouvres tes lèvres. « Toi ? Qu’est-ce que… » Commences-t-il le temps que ta surprise se change en amusement, ton regard effrayé en défi. S'il te fait mal, tu le diras à tout le monde. Tu deviens soudainement dangereuse, une bombe nucléaires dans sa poigne ferme. Tes lèvres se refermant en une moue aguicheuse formée rien que pour lui. Ton regard combattant le sien alors que ton coeur bats probablement aussi fort que le sien. C'est mal, mais tu te sens en vie. Tu sens qu'il ne peut plus t'ignorer ni te hanter. « Qu’est-ce que tu fais là, tu es venu dans le mauvais lit boucle d’or. » Dit-il plus bas, tandis que ta moue se transforme en un sourire, tes dents attrapant ta lèvres inférieur dans un rire que tu ne retiens même pas. S'ils peuvent vous entendre, que Susanna débarque au mauvais moment. Parce que de toutes façons, tu lui avais tout enlevé, n'était-ce pas ce qu'elle disait ? Pourquoi pas son cousin alors ?

« Oh... Tu vas me manger, vilain loup ? » T'amuses-tu, laissant le dernier mot claquer bien fort contre ton palais. Ta langue y retournant pour se frotter sur le rebord de tes dents comme si c'était toi la prédatrice en fait. N'est-ce pas un peu vrai ? Tu veux dévorer ce qu'il lui reste de droiture, devenir sa nouvelle obsession. Parce que désormais tu en avais entièrement le droit. Parce que plus rien ne te retenais. Plus de fiancé et plus d'excuses. Simon avait s'était déjà servis de ton corps comme le dessert de la soirée sans te redonner de nouvelles depuis. C'était peut-être aussi pour taire cette étrange blessure qu'il avait fait en toi que tu cherchais à le rendre dingue, à défaut de pouvoir être aimée par lui. Ta main libre se pose sur son torse, ton regard cherchant le sien alors que tu descend de sa poitrine vers son ventre. Décidément, Simon t'as appris à apprécier l'ossature généreuse de hommes alors que tu ne pensais n'avoir d'yeux que pour les délicates courbes féminines. Tu te laisses doucement retomber vers lui malgré ta main qu'il retient toujours quelque peu vers l'arrière. Tes lèvres s'avancent pour taquiner les siennes, mais tu ne l'embrasses pas, tu ne l'embrassera pas. Tu veux que ce soit sa faute, même si tu l'as cherché. On te colle déjà une réputation qui ne t'as jamais sied, mais maintenant tu as décidé d'y adhérer. Parce que les gens y croient, veulent y croire, pourquoi ne pas les satisfaire ? «  Vas s'y, Constantin, ignores-moi encore, comme tout à l'heure. J'adore quand tu m'ignores.» Le nargues-tu d'un sourire tandis que ton front retrouves le sien. Tu n'es pourtant devenue experte en rien avec une nuit d'expérience. Tu découvres encore tout, mais avec un plaisir que tu ne caches plus, que tu n retiens plus. Tu te plais à plaire, tentant de te convaincre que c'est mieux que rien. Tu n'es pas de celles qu'on aime. Tu es de celle qui dévores ses amants dans la nuit. De celle qui leur fait perdre la tête et leur promet le paradis s'ils se jettent de la falaise. Tu es cette sirène qui veut le noyer dans les draps de sa honte. Qu'il cesse de jouer le prince et qu'il affronte la dure réalité qu'on a gravé sur ton ventre à coups de torture. Tu es un monstre, une créature et lui aussi, même si vous n'avez jamais chercher à l'être ni une ni l'autre.
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Tu n’arrive toujours pas à croire qu’elle soit là, dans ton lit. Pourquoi? Pourquoi venir te rejoindre? Jamais tu n’avais osé lui faire des remarques, jamais tu n’avais offert un regard envers elle, jamais tu n’as offert un geste pour qu’elle puisse vouloir de ton attention. Le rejet t’as toujours semblé la chose à faire envers elle, malgré cette fois là autrefois où tu t’es laissé attendrir il y a bien des années. Elle n’était qu’une petite fille, elle était tombé et Sue n’était plus proche, personne n’était là pour l’aider et toi tu avais secourut cette petite blonde en larme, pourquoi? Parce qu’elle te rappelait Juliet, Hannah, qu’elle avait six ans de moins que toi et qu’elle n’était qu’une enfant, rien de plus. Une enfant impuissante des actes qu’avait commis son père, ta tante avait toujours été très méchante à tes yeux envers elle. Ta mère soutenait sa sœur et s’attendait à ce même genre de comportement de ta part. Voilà pourquoi personne ne savait ton secret, pourquoi tu n’avais jamais rien dit, il pourrait t’ignorer, te rejeter. Maintenant, elle semblait avoir deviné, peut-être qu’elle n’avait pas comprise, une cicatrice ne voulait pas nécessairement dire un changement, mais tu avais un doute.

Une fois que tu lui as agrippé le poignet, alors qu’elle est assise sur toi, elle semble un instant légèrement surprise, bien qu’il fait noir, les quelques rayons lunaires t’aide à mieux discerner son visage. Mais tu sais qu’elle a compris, tu sais qu’elle connait ton secret et qu’elle soit au courant de cette malédiction, de cette honte, ça te rend en colère. Le nectar de l’alcool coule encore dans tes veines, mais tu déteste la voir en position de pouvoir, pourtant maintenant qu’elle sait, sa surprise semble devenir de l’amusement. Si elle a regretté d’être venue, cela a sans doute duré qu’un instant, elle te sourit alors. « Oh... Tu vas me manger, vilain loup ? » Elle met l’accent sur le dernier mot et tu grogne légèrement de colère. Elle n’est pas si idiote et tu la déteste encore plus maintenant qu’elle connait cette vérité, t’écouter tu pourrais lui faire très mal. Pourtant cette idiote ce sent en position de pouvoir, elle te nargue, elle se joue de toi. Sa main libre glisse doucement sur ta poitrine, faisant descendre doucement sa main vers ton ventre, laissant en même temps la couverture de dévêtir, tu n’aime pas la tournure des évènements. C’est comme si elle allait te prendre, te violer, mais elle n’a aucune force pour le faire, elle ne peut que t’en rendre fou de désir.

Elle se penche alors doucement et tu sens ton souffle s’arrêter. Maintenant qu’elle est si près de tes lèvres tu n’ose plus respirer. Tu n’ose pas sentir son parfum enivrant, elle ne semble aucunement consciente de l’effet de son sang sur les hommes, si elle savait elle ne s’amuserait pas autant, cela pourrait se retourner contre elle. Ton instinct est encore un peu engourdi, mais tu sens les pulsions se déchainer en toi. Il y a un moment que ce loup n’a pas eu de chair fraîche et maintenant un buffet à volonté danse sous tes yeux. Tu essais pourtant de résister à cette tentation et cette envie folle de lui mordre cette lèvre rosée. Tu t’imagine déjà laisser libre cours à tes désir, tu la renverserais sans doute sous toi, lui déchirant sa si mince et souple nuisette, elle qui te laisse très bien ressentir ses courbes. Tu lui mordrais cette lèvre, puis tu la prendrais férocement, que ça lui plaise ou non. Tu t’arrangerais sans doute pour lui faire mal, tu ne serais pas tendre puis tu la jetterais, la laissant pleurer afin qu’elle comprenne sa leçon.

« Vas-y, Constantin, ignores-moi encore, comme tout à l'heure. J'adore quand tu m'ignores.» Son visage est si près du tiens, elle te nargue, tu la hais en ce moment pour ce qu’elle te fait ressentir. Tu as beau vouloir la rejeter, ton corps la désire, ton corps est affamé et elle est si belle, si enivrante, ce serait si facile de laisser ton instinct prendre le dessus. Elle te réclame de l’ignorer, comme ce que tu fais depuis des années, tu l’as toujours ignoré parce que c’était la chose à faire, pour Susanna, pour les Slughorn, pour ta tante. Un jour pourtant tu en avais été incapable, le jour où elle a été en âge de plaire, son sang Vélane à commencer à t’ensorceler, tu étais bien plus âgé qu’elle à cette époque. Tu l’avais pourtant remarqué, elle n’a jamais senti ton regard sur elle, mais depuis cet instant, tu as toujours détesté ce que tu ressentais en sa présence. Ce n’était pas vraiment sa faute, elle était née ainsi.

Tu relâche son poignet et délicatement, tu la repousse de sur toi, elle doit s’éloigner pour que tu arrive à mieux réfléchir, son parfum est si enivrant, sa peau est si douce, ses courbes semblent si parfaite, seul un drap et sa nuisette protège vos deux corps de se toucher. « Retourne dans ton lit, ce n’est pas bien ce que tu fais. » Tu parle si faiblement, tu sens que tes défenses vont te quitter, il faut qu’elle s’éloigne, il faut qu’elle parte avant que toute tes barrières s’effondrent, que tu laisse la bête se déchainer, elle si affamée. Il y a si longtemps, si longtemps que tu n’as pas assouvit ton besoin, ton envi, ton loup interne qui ne demande que cela. « Tu n’as aucune idée de ce que tu fais en ce moment, vas te recoucher, on fera comme si tu n’avais jamais quitté ta chambre, retourne dans ton lit Béatrix. » Tu essais beaucoup plus de te convaincre de la laisser partir, tu essais de te rationner, bien que ton corps n’est pas certains de vouloir être rationner, il désir plutôt que tu t’évade, que tu te laisse glisser, que tu explore cette nuisette de satin. Ton regard devient plus dur et tu sers les poings.

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     “She's on when she's got to have it. Baby, you're a perfect ten, I wanna get in. Can I get down, so I can win ?I like the way you work it. No diggity, I got to bag it up. ”

- 26th of october 2001 -


Tu ne cherches certainement pas à être sage. Tu t'en balances carrément. Par dessus-lui, tes hanches formes de lents mouvements prévu rien que pour l'alanguir. Tu as pourtant tes airs angéliques dans ta nuisette blanche, comme toujours. Il réussis tout de même à te repousser doucement. Comme s'il ne voulait pas brusquer le torrent en toi et risquer sa peau, ou pire. Il fait passer ta jambe de l'autre côté de lui, relâchant ton poignet, mais tu n'as plus envie de partir. Il est beau Constantin, dans la nuit, dans sa faiblesse masculine résistant difficilement. Ça te donne faim. Faim d'un ouragan que tu ne souhaite plus contrôler. Tu ne veux pas le perdre comme un marin en mer, tu souhaites vous perdre tous les deux. Dans les ténèbres de ce que la raison ne pourra jamais ni comprendre ni connaître. « Retourne dans ton lit, ce n’est pas bien ce que tu fais. » Se plaint-il provoquant les rires secouant ta poitrine sous tes fines étoffes. Tu les fixes sans bouger, portant tes doigts à tes lèvres. Tu veux le punir pour toute cette ignorance. Tu veux le rendre fou par plaisir. Tu ne veux plus qu'il retiennent quoi que ce soit. Qu'il perde la tête, qu'il ne cherche plus à comprendre à quoi tu peux bien jouer. Qu'il en demandes encore. Que vous vous noyez dans vos chaires ensanglantées de désir après que t'ai appuyé sur la gachette, que votre roulette russe vous ait tous les deux. Qu'il doive plaquer sa main contre ta bouche pour que ta soeur ne soit pas sortie de son sommeil. Ton regard toujours lubrique, tu te penches de nouveau sur lui sans l'enjamber. Tes doigts coulent simplement sur son ventre mince, descendant jusqu'à son nombril pour y tracer un cercle, taquiner le serpent. « Tu n’as aucune idée de ce que tu fais en ce moment, vas te recoucher, on fera comme si tu n’avais jamais quitté ta chambre, retourne dans ton lit Beatrix. » Tu hoches de la tête négativement. S'il voulait que tu retournes dans ta chambre et que tu y restes, il devrait t'y foutres, t'enfermer, t'attacher. Mais s'il t'attachait, tu ne lui laisserais plus aucune chance de te résister. Tu rendrais tes lèvres plus invitantes, plus vilaines. Tu rendrais le combat plus cruel, l'invitant à la domination, à la dureté du regard qu'il te renvoyait. Tu mimais une moue triste alors qu'en te penchant un peu plus par dessus lui, tes cheveux venaient caresser son ventre tandis que tu remontais ton visage vers le haut de son corps. Tes doigts suivaient la course en retrouvant son torse, ton regard captant le sien, le soumettant à ton emprise.

« Mais moi je suis bien dans ton lit Constantin... » gémissais-tu très lentement avant que d'un geste un peu brusque, ta jambe vienne de nouveau t'hisser au dessus de lui, rendant la chute de tes reins sur les siens plus que délicieuse. Sans autre forme d'avertissement, tes lèvres retrouvaient son cou, descendant en baisers brûlant sur son torse. Baisers toxiques, flétrissant sa peau de loup, injectant ton poison des les veines d'un autre Slughorn. Il ne pourrait plus jamais ne pas te voir lorsqu'il passerait à tes côtés, mais ce n'était pas suffisant. Tu voulais que le crime marque sa peau d'un sang qui maculerait éternellement ses mains. Parce qu'il se prenait pour un prince alors qu'il était tout aussi monstreux que toi, voir pire. Parce que la bête en toi n'étais pas hideuse. Elle était ravissante et ne tuait que pour sa propre survie, pas pour se nourrir. Tes lèvres continuaient de couler sur son thorax, menaçant de retrouver son ventre s'il ne t'arrêtais pas, peut-être qu'il n'en avait plus la force. Qu'il était foutu. Livré à toi, sans défenses. Pauvre homme. Comment pouvait-il te demander sincèrement d'arrêter quand tout son corps raidis t'imploraient de continuer, de satisfaire la bête, de prendre de lui ce que tu voulais. Tes lèvres retrouvaient finalement son nombril. Tes jambes se creusant un chemin au travers des siennes, le dos courbé pour te rendre superbe même de cet angle de vue. « Tu veux vraiment que j'arrête ? » Le narguais-tu dans un sourire alors que tes lèvres ne se relevaient qu'à peine de sur son ventre, que tes doigts glissaient sur les derniers remparts de sa peau. Tu aurais pu partir et le laisser frustré, satisfaite du mal déjà accomplis. Tu l'aurais probablement fait avant, pour te préserver et c'était justement le danger dans ta perte. Maintenant, il ne te restait plus rien à perdre. Tu avais déjà la réputation qu'on te collerait, expliquant ton comportement par ton sang. Celui là même bouillant contre ta peau ce soir. Bouillant de rage, de désir, de pouvoir. Tu creuserais sa tombe entre tes jambes, tu danserais même pour y célébrer la fin de sa royauté. Tu le voulais bête, même si ta peau le regretterais surement. Tu aurais voulu l'entraîner dans les bois, être vous, dans la terre et les feuilles. Là où aucuns sorciers ne vous rejoignaient.
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Elle se déhanche doucement et bien que tu essais de résister, tu la retire doucement de sur toi, elle ne semble que trouver cela amusant, elle se rit de toi, elle se moque de l’effet que tu ressens. Elle n’attend qu’une chose, telle l’araignée qui tisse sa toile, que tu tombe dans son piège pour te dévorer. Elle te caresse le ventre, tu en ressens des frissons, d’exquis frissons, la bête en toi ne fait qu’en réclamer plus encore, mais l’homme tente en vain de résister au courant.  Tu as beau lui proposer un marché équitable ou tu propose de tout oublier, de remettre tout ça en ordre, elle décline ton offre : « Mais moi je suis bien dans ton lit Constantin... »

Puis brusquement, elle revient contre toi, d’un geste rapide tout en effleurant les endroits sacré de ton corps, te laissant échapper un grognement, est-ce de la satisfaction, tu n’ose te l’avouer à toi-même. La tête te tourne, mais elle ne s’arrête pas là, non bien que sa chaleur soit contre toi, elle se penche déjà pour te caresser la gorge de ses lèvres légèrement humide. Tu sens ses baiser descendre de plus en plus vers ton nombril, ta chair en frissonne doucement et tu hésite à la retirer, la bête à faim, elle veut se repaitre, il y a si longtemps qu’elle n’a eu aucune chair fraîche.  Elle te pose cette ultime question à travers ses boucles blondes : « Tu veux vraiment que j'arrête ? », ta tête te supplie de dire oui, mais tu en es incapable. Ton corps désire autre chose, la bête se déchaine en toi et t’interdit de parler, l’alcool lui a rendu sa liberté et elle est plus forte que jamais. Le loup montre les crocs, l’humain n’arrive plus à faire de mouvements, il la laisse remporter, il s’est débattu, il a pourtant déclaré forfait. Le monstre est ravi, il se libère, il cri de joie alors que tu sais déjà que tu vas regretter ton impuissance.

Tel un pêcheur tu réponds à cette diablesse, d’un mouvement rapide tu te soulève d’un bras et tu l’attrape de l’autre, est-ce que tu la surprends? Est-ce que tu la rends heureuse, tu n’en sais rien et tu t’en fiche. Tu plaques tes lèvres au siennes, ta main ne relâchant pas sa nuque, la langue allant explorer sa bouche, caressant la sienne, tu vas jusqu’à lui mordre la lèvre inférieur qu’elle soit légèrement déçu de son choix. Ton autre main débute son exploration, tu relève doucement un coin de sa  douce nuisette, explorant déjà la fermeté d’une cuisse, la rondeur d’une fesse, la chaleur de son nombril, la fermeté d’un sein. Tu la soulève doucement pour finalement reprendre la place qui te revient, tu l’appuie contre la douceur du matelas et des édredons. La bête reprend les choses en mains, tu la domine, tu l’écrase de ton poids afin qu’elle ne puisse t’échapper, elle ne pourra pas changer d’idées, elle a libérer la bête et maintenant c’est l’heure du repas.

Tes lèvres relâche les siennes pour descendre, elle frôle une clavicule puis elles rejoignent rapidement la pointe d’un sein le mordillant par-dessus le fin tissus, tu vas la rendre aussi folle qu’elle t’ensorcelle. Ta main va déjà contre ses cuisses afin de lui retirer tout vêtement, qu’elle soit aussi nue que toi, tu attrape le fin bout de tissus de son sous-vêtements pour le faire glisser, tu étais tenté à le briser, le déchirer, mais il resterait des preuves matériels. Ton cœur palpite, ton sang bouille de désir et elle peut très bien le ressentir contre son bas ventre.

Affamé, tu la libère de sa nuisette, ta bouche dévore tout ce qu’elle rencontre, tes mains expertes se dirige entre ses jambes. Tu veux la rendre impuissante, tu veux la faire frémir, tu veux l’entendre jouir. Tu as oublié où tu es, la bête dévore et bientôt, bientôt elle sera maître, enfoui au creux de ses reins. Tu la sens se cambrer, elle est humide, tu caresse doucement son jardins secret. Tu la sens prête, prête pour t’accueillir en elle. « Maintenant, maintenant je vais te donner ce que tu désir et tu me diras ensuite si tu es toujours bien dans mon lit. » Tu lui murmure tel un avertissement, la petite fille a fini par se brûler en jouant avec les allumettes. Ta voix n’est pas tendre, il ne s’agit nullement d’une preuve d’amour, non c’est un besoin, un besoin physique, naturel et violent. Tu as trop attendu pour le refaire, tu étais en manque, car oui la baise est devenue une obsession,  un besoin à combler depuis cette malédiction. Au départ tu pouvais te contenter de tes propres caresses, mais maintenant il en faut plus à la bête, quand tu ne la noie pas d’alcool, elle a besoin de se déchainer, de goûter aux plaisirs de la vie, hommes ou femmes tu n’as plus de préférences depuis un bon moment.

Tu la pénètre sauvagement, tes yeux recherchent son regard, tu veux la voir frémir et si par chance  tu décèle une parcelle de peur ou de regret, tu te sentiras roi.  Tu as déjà repéré qu’elle était soit encore vierge ou que très peu expérimentée, bien qu’elle ait une sale réputation, tu sais déjà que ce n’était que du faux. Tu lui chuchote alors à l’oreille tout en effectuant un long mouvement de bassin, tu prends tout ton temps, profitant de la sensation, de ce bien être. « Alors, maintenant, tu es satisfaite de ton choix, car je suis loin d’en avoir terminé avec toi. » Les bonnes manières sont disparus, tu n’es plus que ce monstre, ce monstre qui sommeil jours et nuits en toi et il savoure cette peau fraîche, cette peau si douce. Tes lèvres reviennent à l’attaque contre son cou tout en continuant tes mouvements de bassin, essayant le plus possible de ne pas faire grincer le lit.
(N'oublie pas te mettre l'avertissement dans le titre du post vue la tournure des choses gaah je suis certaine que tu es satisfaite, mais s'il y a quoi que ce soit n'hésite pas)
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Tu pensais déclarer la guerre en te rendant dans ce lit. Tu pensais devoir te battre davantage contre lui pour l'avoir. Que tu devrais le forcer, lui tenir les poignets alors que tu t'aurais frottée à lui jusqu'à le rendre fou. Pourtant, il répond à ta provocation sans pitié. Se relevant d'un bras alors qu'il te saisis de l'autre. Que tu tombes, que tu l'embrasses, que tu te donnes à lui sans tendresse. Ta bête probablement aussi affamée que la sienne depuis qu'on t'avais fait goûté à l'enfer. Vos lèvres se rencontrent brusquement, vous promettant que ce soir vous allez mourir dans les bras l'un de l'autre. Il n'y a plus de moyen de s'échapper, plus de retour en arrière. Sa main tenant fermement ta nuque, la tienne s'accrochant à sa mâchoire tandis que vos langues dansent, réalisant votre fantasme depuis trop longtemps étouffé. Il était terrible, un monstre de brusquerie qui suçait si passionnément ta lèvre qu'il venait à la mordre, faisant remonter quelques frissons dans ton dos. La main de l'hideux et séduisant jeune homme violait déjà ton intimité tandis que tu t'y tordais pour l'inviter. Tu voulais qu'il laisse sa marque de bête sur toi, que tu le marques de ton poison, qu'il en boive jusqu'à sa tombe. Sa main est ferme sur ta cuisse, mais ce n'est pas encore suffisant pour toi. Même s'il remontre son agression jusqu'à ton ventre, ton sein, mais ce n'est pas assez pour toi. Tu veux tout ton corps, agonisant sous le sien, rien de moins. Qu'il te fasse perdre tout tes sens, qu'il te donnes l'impression d'être amoureuse de lui, ne serait-ce qu'une toute petite nuit. Il te soulèves finalement pour te déposer sur son lit, ton lit. Il reprend le dessus alors que tu lui offres ton regard innocent, un sourire avant qu'il ne vienne presser son corps à toi, t'en coupant doucement le souffle, mais c'était agréable. Tu voulais qu'il te serre fort, si fort que dans ses bras, dans vos bras, vous pourriez oublier que vous étiez des monstres, des êtres de trop dans leur monde de perfection.

Lorsque ses lèvres lâchent les tiennent, il s'attaque au reste, à ta clavicule, puis à ta poitrine. À travers cette fine lingerie qui est désormais plus qu'inutile avec lui. Il peut déjà y voir très clairement tes seins endurcis rien que pour lui. Tu fermes tes yeux, profitant de sa langue sur toi, poussant quelques gémissement que tu ne retiens aucunement. Tu veux te faire prendre. Que ta soeur soit réveillée par tes cris et tombent sur la scène. Surprenne cette main qui t'arrachait tes dentelles avec empressements sous tes sourires chauds alors que le sous-vêtement retrouve le sol, quelque part. Tes mains remontant dans son dos nus, vers sa cicatrice que tu caresses sans plus aucune gêne. Tu le veux, tu le veux le monstre. Même si tu ne tiens pas particulièrement a en ressortir avec un fils dont il serait la père, tu ne peux qu te dire que votre enfant en serait entièrement un étant donné les deux moitié de ses parents. Tu espères sincèrement que ça n'arrivera pas, mais c'est présentement le dernier de tes soucis.

Ta nuisette folle. Le loup dévore la petite fille qui gémit et en demande toujours plus pendant que grand-maman est dans le placard. Ses pattes descendent pour t'offrir quelques délices entrouvrant tes lèvres alors que tu jette ta tête vers l'arrière. Il te prépare, te fait cambrer ton dos plus férocement au fil des secondes. Rendant tes gémissements plus bruyant, assez pour en réveiller la moitié de la maisonnée. Assez pour faire couleur ce fleuve de passion en toi, hors de toi. « Maintenant, maintenant je vais te donner ce que tu désir et tu me diras ensuite si tu es toujours bien dans mon lit. » Murmure-t-il près de ton oreille alors que tu ne quémandes que cela, arrivant difficilement à supporter que vos corps ne soient pas unis quelques secondes de plus. C'est pourtant dans un hoquet de plaisir et de surprise qu'il s'attaque à toi. Dévoré par une intensité qui te plaît plus qu'elle ne le devrait. Il cherche ton regard alors que tu t'agrippes a sa peau déjà ravagée tandis qu'il commence ses supplices d'un langoureux mouvement où tu ne rates rien du contact délectable qu'il t'afflige. « Alors, maintenant, tu es satisfaite de ton choix, car je suis loin d’en avoir terminé avec toi. » Ton regard narguant encore le sien, tandis que tes lèvres pendues vers lui sont offertes aux siennes. Ses pourtant ton épaule qu'il attaque de sa bouche qui vient l'embrasser alors que vos bassins se cognent en une symphonie qui faisait doucement couiner le vieux lit. Il se retenait encore, pourtant et ça te frustrait royalement. Tu poussais alors un long gémissement bien, bien sonore. Tu faisais même exprès d'en donner plus que le client en demandait. Tes mains remontant jusqu'à sa crinière que tu attrapais doucement, tirant doucement sa tête par l'arrière dans un sourire narquois. Signe de domination fait exprès rien que pour l'avoir plus bestial. Tu ne voulait pas de Constantin, tu voulais son loup avec toute sa sauvagerie, sans barrières.

« Brises-moi ce lit, montres-moi que tu es une bête, Constantin... » Gémissais-tu saccadé par ses coups, fort, assez fort pour que tes paroles traversent les murs. Tu voulais pourtant éviter qu'il ne se fâche sincèrement contre toi. Tu le voulais passionné comme un loup prenait sa femelle, mais habituellement il évitait de tuer celle-ci. Tirant doucement ses cheveux pour attirer son visage vers le tiens, vos lèvres s'effleurant alors qu'avec un peu plus de douceur, tes mains relâchant sa chevelure pour se faire plus tendre tandis que le mouvement de vos hanches ralentissait. « Ne te retiens pas. Sois bestial, sois toi. On a enfin le droit d'être deux créatures, ensemble. » Lui soufflais-tu avant que ta lèvre n'attrapes la sien, l'emportant dans un baiser bouillant où tes dents trouvaient sa lèvre, s'y accrochant langoureusement jusqu'à ce que le goût de son sang se mélange à vos ébats. Si cela ne réveillait pas l'appétit de la bête, rien ne le ferait.
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In the beginning, we loved like monsters, splitting our bones wide open, setting our broken bodies on fire, licking poison from our wrists.

We were hollow and, we were titans and, we were terrible.

Tu sembles tout faire pour qu’elle regrette son choix, mais elle semble raffolée de toute cette violence, elle te sourit et se mêle à ton jeu alors que tu voulais tant qu’elle te déteste. Tu désir qu’elle te rejette, tu voulais lui faire regagner la raison comme tu as déjà perdu la tienne. Non, elle y prend plaisir, elle en redemande, elle suit le mouvement et tu la surprends à gémir, elle parle plus fort que nécessaire et bien que la bête en toi soit très exciter par la situation, le pêcheur en toi sonne des cloches. Tu lui attrape alors la gorge, la serrant légèrement, elle doit se taire, pourtant tu continu ton mouvement de bassin prenant plaisir à « ça ». Cet acte est mal, cet acte est honteux et sans doute tu ne pourras jamais te le pardonner, mais la diablesse a réussit à te séduire et maintenant il est trop tard pour renoncer, tu a déjà avouer ta défaite. Elle te crie d’être cette bête, de briser ce lit, elle te désir bestial, d’être toi. Tu grogne, tu n’aime pas être représenté par une bête, bien qu’au fond de toi tu sais qu’elle a raison, vous êtes aussi bas l’un que l’autre. Deux créatures maudites qui devraient rester dans les bas fonds. Elle t’attrape les cheveux, t’attire à elle, ses lèvres viennent prendre possession des tiennes, puis elle te mord, tu ressens la douleur, mais tu l’encaisse. Lorsque sa dent semble perforer ta peau, tu as un reflexe de recul, tu lèche le sang sur ta lèvre, elle t’a vraiment mordu, bien que ce soit légèrement plus fou qu’à ton habitude, tu te surprend à aimer ça, la brute en toi raffole de sa folie.

Elle veut la bête, elle veut que tu te déchaine, que la bête soit avec elle, tu plaque alors ta main sur sa bouche, pas question qu’elle crie encore plus fort. Elle veut que ce soit bestial cela le sera, mais pas bruyant. Maintenant qu’elle ne peut plus dire un mot, tu continu tes mouvements, plus fort, plus profond, elle est si serrer. Son odeur, sa chaleur, sa beauté te rend fou, tu fermes les yeux et savoure ce que tu ressens. Tu décide de changer un peu les règles du jeu, tu la soulève brutalement et tu la fait s’asseoir contre toi. Tu empoigne ses cheveux et les enroule contre ton poing, la forçant à relever la tête légèrement, tes lèvres reprenne possession des siennes, malgré la douleur, tu l’empêche ainsi de savourer trop bruyamment. Tu continu ton mouvement de hanche en mêlant les siennes aux tiennes. Tu ressens le besoin de sentir sa peau contre la tienne alors tu la relâche et lui retire ce dernier bout de tissu, tu dévoile enfin son corps à la leur de la lune. Ses courbes sont magnifique et tu te surprends à les contempler, ta main retourne contre ses lèvres alors que ta bouche enrobe une pointe d’un de ses seins. Tu sens sa chaleur, ce n’est plus qu’une question de minute, la bête va bientôt retourner dans son terrier pour s’y rendormir.

Tu prends tout, tu donne toute la puissance que tu as, tu la maintiens toujours avec ta main contre ses lèvres, puis après un long moment intense, tu sens que tu n’en peu plus. L’extase a atteint son apogée, tu sens que la fin approche alors tu lui offres tout ce que tu as, tu accélères encore plus, tu cogne plus fort, puis ça vient. Tu gémis doucement de plaisir, collant ton visage contre sa peau, ta main contre ses reins. Tu te sens essoufflé, tu es en sueur lorsque tu te retire d’elle, ta main libère enfin ses lèvres. Elle est encore contre toi, ton front encore contre sa poitrine, tu te sens vide d’énergie, mais la bête est repu. La fatigue te frappe, mais tu n’as pas encore le droit de t’endormir, puisque ta tête revient normal, tu réalise ce que tu viens de faire, ce que vous avez fait. Tu as sans doute fait la chose la plus idiote que tu pouvais faire, tu espère que personne ne vous a entendu ou vue, tu as honte de toi, tu n’aurais pas du, et pourtant en ce moment, tu te sens bien, tu ne sais plus comment tu devrais agir avec elle. Elle aura sans doute son air triomphant, son sourire moqueur, elle te narguera et maintenant elle aura une lame à double tranchant contre toi. Tu ferme doucement les yeux, soupirant doucement, elle est là tout contre toi, sa nudité contre la tienne. « Je suis peut-être une bête, mais toi tu es bien pire que moi, tu ne devrais pas utiliser le pouvoir que ton sang te donne sur les hommes. Nous n’aurions pas dû… Je t’ai toujours ignoré parce que je déteste l’effet que tu me fais, même en ce moment, je me sens vide et pourtant je pourrais recommencer à cause de toi. » Tu la repousse doucement contre le lit, reprenant ses vêtements et en lui rendant. « Tiens, je crois qu’il serait mieux de dormir maintenant. » Tu n’arrive pas à faire face à ce qui vient de se passer dans ton lit, tu as mal agit et tu le sais. Sans nécessairement attendre tu te rallonge contre le matelas, passant un doigt contre ta lèvre endoloris. « J’apprécierai que cela reste entre toi et moi, personne n’a besoin de savoir ça. »  Ce que tu ignore c’est que ton père a déjà aperçu la demoiselle se glisser dans ta chambre quelques minutes plus tôt, qu’il a déjà entendu ses cris et tes soupirs et qu’il est retourné se coucher sans dire mots. Il ne t’en parlera pas, mais déjà ce petit secret n’en est pas un.
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Être libre, être toi. Cette bête remplie de désirs profond te laissant toujours affamée, jugée, crainte. Était-ce donc une faute d'être toi. Une faute que personne n'arrivait à te pardonner. Les phrases de Simon résonnaient encore dans ton crâne alors que tu cris pour le étouffer. Il n'est rien pour toi. Il n'as pas à revenir comme un fantôme chaque fois que l'innocence rampe de nouveau sur ton ventre. Sa main sur ta gorge te coupe le souffle, te fait doucement asphyxier alors que tu y portes ta propre main. Il ne faut pas qu'il étouffes ton souffle, tu tentes d'enfoncer tes ongles dans sa main, décidée à ne pas mourir dans ce lit défait. Tu réussis malgré tout à lui crier de ne plus se cacher, de ne plus tenter d'étouffer tes gémissements. Lui non plus, tu ne l'aimes pas. Tu te sens simplement moins seule avec lui, tu as l'impression qu'il peut te comprendre, reconnaître ta douleur, la guérir quelque part. Tu ne t'en doutais même pas en entrant dans sa chambre comme une gamine simplement prête à lui montrer comment il était faible. Pourtant tu avais aussi perdu le contrôle de la situation devenue bien plus grande que toi. Tu veux l'embrasser, le glisser dans ta bouche, le dévorer jusqu'à ce qu'il fasse partie de ton estomac. Cannibale. Ils avaient peut-être raison. Tu le veux comme une vélane, souhaitant pendant un instant qu'il remplisse ton ventre de monstres, qu'il soit la preuve vivante de votre moment de faiblesse à tous les deux. Tu mord sa lèvre, te couvrant les lèvres du liquide sombre. Il recule avant que tu ne lui avale la tête comme une mante religieuse, mais il ne se décourage pourtant pas, il veut te dompter, comme bien d'autres avant lui.

Il est un animal aussi dangereux, aussi noir que toi. Plaquant sa main contre ta bouche pour éviter que tu ne lui arrache d'autre morceau pendant votre accouplement. Il croyait avoir une biche, mais il découvrait une louve. Tes mains s'aggripant à son dos, tes ongles s'y enfonçant jusqu'à faire de perle d'un chapelet de sang dans son dos près des croix des marques qu'il porte. Désormais marqué par une différente sorte de bête. Tu veux qu'on sache, qu'il y ait des preuves autre que tes hanches massacré par ses coups jusqu'à ce qu'il vienne te soulever brutalement pour t'asseoir sur lui. Tu es belle, tu es femme, rien que pour lui. Il empoigne tes cheveux avant de reprendre sa place sur tes lèvres, t'arrachant ton souffle déjà court. Il te rendre dingue quelque part entre sa passion et sa brutalité. Dans cette haine, tu arrives à sentir un peu d'amour, tu es dingue, c'est un fait. Il te dénude enfin entièrement, ta peau retrouvant voracement la sienne. Ses lèvres quittent même les tiennes, non sans que sa main vienne cacher tes gémissements. Sa bouche glissant jusqu'à ton sein, augmentant encore le plaisir qui bouillonne en toi comme du sucre, qui brûle, colle au fond du chaudron, en deviens noir. Toi qui ne croyais jamais te donner à lui de façon si intense, tu étirais ton cou, te sublimant rien que pour lui, vibrant au rythme de ses coups que tu tentais de lui rendre. Tu veux tellement lui plaire, lui faire plaisir que toi aussi tu y prend plaisir jusqu'à ce que celui-ci résonne au creux de ton ventre en cris saccadé de hoquet sous les incontrôlables soubresaut à l'intérieur de toi, ta peau crispée contre ton ventre alors que tu sens son plaisir couler en toi. Sa tête venant retrouver ta poitrine, sa main tordant tes reins pour vous laissé haletant et, quelque part, heureux. Tes doigts remontent doucement jusqu'à ses cheveux, le serrant contre toi, lui réclamant cet amour auquel tu n'as jamais eut droit. Tes lèvres glissant doucement pour aller embrasser son front malgré la sueur qui s'y colle.

Il quittes tes entrailles, sans pour autant partir, son corps encore bouillant contre toi. T'y crois. T'y crois pauvre conne, qu'en une nuit, quelques coups de reins, soudainement, vous pourriez vous aimer. Tu voudrais tellement qu'il te demande de rester, qu'il te dise que tu es la plus belle chose qu'il a jamais vue, qu'il ne pourra plus se passer de toi, que quelque part, il est amoureux. Qu'il ne te laissera pas après six mois, en disant qu'il gâche ta jeunesse. Tu voudrais qu'il t'aimes et qu'il t'apprenne comment faire, pour que tu ne soit plus jamais toute seule à te déchirer le coeur toute seule. « Je suis peut-être une bête, mais toi tu es bien pire que moi, tu ne devrais pas utiliser le pouvoir que ton sang te donne sur les hommes. Nous n’aurions pas dû… Je t’ai toujours ignoré parce que je déteste l’effet que tu me fais, même en ce moment, je me sens vide et pourtant je pourrais recommencer à cause de toi. » Il te dit qu'il pourrait recommencer, mais tout ce que tu entends c'est qu'il se sent vide. Ton souffle se brise et quelque chose en toi aussi. Ton coeur pèse une tonne de brique dans ta poitrine. Ton sourire exaspéré cache ses larmes que tu ne veut couler pour lui. Ils sont tous les mêmes et tu te sens mal, tu te sens sale alors qu'il te repousse, retrouve tes vêtements et te les donne comme si tu n'étais rien, comme si tu n'avais gagné aucune bataille, comme si tu n'avais pas envie de vomir. « Tiens, je crois qu’il serait mieux de dormir maintenant. » Tu te redresse dans le lit, te couvrant des draps défaits, soudainement pudique de lui laisser encore voir ton corps. Parce que selon lui, tout cela était ta faute, à toi et toi seule. Parce que les hommes sont des bêtes qui ne se contrôlent pas et que toi tu as cherché à l'en punir en s'offrant à lui ? Pauvre, pauvre garçon. Tu rages, tu pestes, tu pourrais foutre le feu à son lit, lui promettant ainsi qu'il n'y aurait plus aucunes preuves de cette pitoyable erreur. « J’apprécierai que cela reste entre toi et moi, personne n’a besoin de savoir ça. »  Un rire sardonique quittes tes lèvres Tu ne sembles plus capable d'utiliser les mots. Lui dire comment il est idiot, comme il te fait mal alors qu'il n'aurait pas dû, qu'il n'aurait pas dû pouvoir. Tu l'avais cru spécial, tu avais naïvement pensé qu'il pouvait être l'élu qui deviendrait celui de ton coeur. Non. Il ne le méritais pas, Il ne te méritais. Pauvre gosse prisonnier des apparences et de ses parents qu'il voulait tant satisfaire. Tu lui tournes le dos, silencieuse, tentant de retenir ce tsunami d'émotions qu'il infiltre en toi. Tu ne vas pas pleurer, pas pour lui. Tu les hais ses garçons, tu les as toujours détesté et pourtant tu as besoin qu'ils t'aiment, même si aucuns n'y arrive. Tu remet ta nuisette, faisant glisser ta dentelle jusqu'à remonter en même temps que tu te relèves. Doucement chancelante sous ses jambes meurtries, tu renvois tes cheveux vers l'arrière. Son odeur est sur toi, partout, imprégnée à ta peau. Tu contournes doucement le lit pour aller de nouveau vers lui. Tu t'approches doucement de lui, debout, le fixant, impassible, tu ne sais même plus ce que tu ressens, tellement pleine que toi, aussi, tu t'en sens terriblement vide. La houle remonte dans ta gorge alors que tu retiens des larmes qui ne verront jamais le jour. Tu attrapes sa gorge pour l'entraîner dans un autre baiser, sauvage, soudaine, quelque part désespéré. Lorsque tes lèvres le quittent et que tu te recules, c'est ta main qui prend le relais. Tu le frappes, ta main claquant contre sa joue dans le silence de la nuit. Pourtant tu n'arrives à te résoudre à partir, tes regard fixé sur lui, tu restes là, tu ne comprend plus. - close your eyes; maybe you can imagine that love is enough, that you never knew the sweet taste of doubt in the throat, that she is not slowly forgetting your name after you failed her, after you watched as hell’s fingers gripped her waist and yanked her back into the darkness, all the while she was reaching out for your cursed hand.-
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Tu as ressentis un changement dans son attitude, tu as beau être en colère contre toi-même et contre elle de cet acte commis, tu as toujours été sensible aux autres, tu as toujours remarqué certaines petites choses. Béatrix n’a plus cette attitude d’il y a quelques instants, elle n’est plus arrogante, tu ne sais pas pourquoi, mais une boule se forme dans ton estomac aussitôt après avoir craché ta haine, elle se cache de toi, elle recouvre son corps, comme si soudainement, elle avait aussi honte que toi. Puis elle se moque, elle rit après que tu lui ais demandé la discrétion de ce moment, de cette folie. Elle tient une bombe, cette bombe pourrait exploser n’importe quand si elle décide d’en parler à tout le monde. Elle se tourne dos à toi pour enfiler ce bout de tissus, puis elle revient à la charge, elle t’agrippe et t’embrasse. Ce baiser fougueux auquel tu succombe honteusement, tu ne sais pourquoi, mais tu n’arrive pas à lui résister, elle t’attire, une boule de feu semble se former au creux de tes reins malgré ta fatigue, puis sans plus attendre elle te gifle, ce coup tu ne l’a pas vu venir. Puis elle te fixe et attend, tu n’a pas besoin qu’elle parle pour comprendre, elle a ce regard, ce regard de celle qui veux paraitre forte. Tu comprends alors, tu as été dur, méchant et tu ne t’es pas contrôler, tu a tout déchainer sur elle alors que tout ça c’est en grosse partie ta faute. C’est ta faute de ne pas avoir su résister, de ne pas avoir rejeté cette fille en dehors de ton lit et de ta chambre. Tu aurais du le faire dès le départ, mais tu ne la pas fait, non, car tu sais qu’au fond de toi, il y a longtemps que tu en avais envie de ça. Cette graine qui viens de germé te rend mal à l’aise, tu ne sais pas trop quoi en penser.

Tu baisse les yeux coupable, tu te sens mal de l’avoir traité ainsi, ce n’est pas ton genre habituellement, mais tes problème à gérer ta colère te rend toujours ainsi. Tu ne sais pas ce que cette fille c’était fait comme idée, mais il est temps que tu la regarde, elle reste un être humain avec des sentiments. « Pardon, j’ai été dure avec toi. » Elle ne connait pas toute ton histoire surtout ton liens avec ta malédiction et comment cela influence ton caractère. L’acte a été commis et pauvre misérable, tu as adoré, tu peine a l’avouer, mais bien qu’elle semblait peu expérimenter, c’était intense et vraiment jouissif. Tu as partagé une intimité avec elle, d’ailleurs tu es toujours nu pour ta part et à vrai dire tu t’en contre fiche. Tes lèvres on embrasser les siennes, son corps, ses courbes… Est-ce que c’était vraiment à cause de son sang? Non impossible, accepte cette pulsion, peut-être que la part monstrueuse qui se cache en toi est inexplicablement attirer par la sienne. Sans réfléchir, tu tends une main vers elle, lui caressant doucement une joue. « Pardon, j’étais en colère et ce n’est pas de ta faute, j’ai désiré ce qu’on a fait, franchement, c’est juste que... » Quoi? Que si sue le savait, elle ne te le pardonnerait jamais? Tu as trahi ta cousine? Il y a déjà son père et son frère qui adore Beatrix, mais en même temps, qu’as-tu vraiment fait? Tu as passé une nuit avec une fille, bon tu ne l’avais pas prévu, tu avais encore un peu d’alcool dans le sang, mais au final, tu as aimé, ton corps en redemande encore, tu as jouis en elle. Peux-tu vraiment la traiter ainsi par la suite? Non, tu n’as jamais fait ça à d’autre. En même temps, le bon mec en toi ne veux pas faire de mal à ta cousine, elle a eu si mal par le rejet de sa propre famille. « c’est difficile a expliquer, on m’a demander depuis longtemps de te traiter d’une façon, chose que j’ai fait non par choix, mais parce que je suis obéissant envers ma famille et là tu vois, j’ai briser une barrière, une barrière que je ne sais pas si j’étais prêt a franchir, mais toi, dans mon lit en pleine nuit a me coller ainsi, franchement, j’ai pas su résister… » Si elle pouvait comprendre l’effet qu’elle te fait depuis qu’elle a environ ses 16 ans, tu as remarqué ses courbes, tu as ressentis une forte attirance pour elle, mais tu as toujours ignoré cette jeune fille et tes pulsions d’homme. Puis, tu ne peu plus faire comme avant, tu as dépassé une limite avec elle, tu as partagé quelque chose d’intense et d’intime, comme avec tes amantes. « Enfin, j’ai vraiment agis en brute et en connard, et bien que je sais plus trop quoi penser, j’ai vraiment aimé ce qu’on a fait… » Bien que tu as légèrement honte de l’avouer… Dans un autre monde, tu lui aurais permis de dormir avec toi jusqu’au matin, mais ici, si on vous découvre ensemble, ce serait sans doute une tragédie, certes Sue t’en voudrais, mais elle serait peut-être encore plus méchante envers Béatrix, puisqu’après tout, c’est elle qui est venue te rejoindre ce soir. Tu as décelé cette petite humidité dans son regard plus tôt, tu savais qu’elle jouait la femme forte, et heureusement qu’elle n’a pas versé de larme, car à ce moment, tu n’aurais pas su quoi faire.
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