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Arrachez-moi la belle dans’tête
Au pire tirez-moi dans dos
Mais tirez-moi une autre femme dans’peau

Il y avait maintenant quelques jours que ton père t’avait annoncé la nouvelle concernant ta future fiancée, depuis, elle était venue te rendre visite, parler de ses propres attentes et ainsi pouvoir établir vos limites et idées de ce futur qui vous unirait. Certes ta mère l’adorait, depuis qu’elle avait déjeuné avec vous, ta mère semblait emballer par ce mariage, elle n’avait que cela aux lèvres, combien Élionore était merveilleuse, belle, intelligente et absolument parfaite pour toi. Puis ton père t’avais demandé d’aller acheter une nouvelle bague, puisque l’ancienne était destiner à Beatrix, il était hors de question qu’elle prenne les restes que cette autre femme n’avait pas désirée, tu avais donc opté pour quelque chose de moins brillant, de moins clinquant, mais tu avais opté pour quelque chose de doux, repensant à son idée de mariage, elle voulait quelque chose de simple, doux et avec des fleurs, les pivoines avait-elle dit. La bague serait prête dans quelques jours avait-il dit, le temps de l’ajuster, tu ne l’avais reçus que dernièrement.

Elle était venue également souper, ta mère jubilait déjà à la recevoir, ayant mis une de ses plus belles tenues et ton père démontrait beaucoup moins son enthousiasme, mais tu savais qu’il appréciait la jeune femme et sa famille, il se contenait seulement, car avouons-le une Crouch hystérique était bien assez dans la maisonnée.  Le quelques apparitions de la jeune fille avait tout de même aidé chacun de vous, à mieux vous connaitre, à avoir une meilleure idée de ce que deviendrait sans doute vos vie lorsqu’elle serait liés l’une à l’autre. Ta mère prenait beaucoup de temps avec elle et s’excusa parfois, rappelant à Élionore qu’elle l’aimait comme sa fille et qu’elle avait si hâte de vous voir unis. Tu savais ce que cela voulait dire, faite des bébés, faites des bébés….

Ce soir, tu ne savais pas ce qui t’attendrait pour la soirée, tu avais été tout de même occupé avec cette dernière chasse qui t’avais demandé beaucoup de temps et cette rencontre avec Weasley parmi les loups garous à capturer, enfin vous aviez survécu, mais comme à ses habitudes, cette force, cette vitalité t’exténuait vraiment trop par la suite, et tu pouvais dormir des semaines entières ensuite. Il était donc le début de l’après-midi quand tu décidas suite à une douche rapide d’aller d’installer confortablement dans ton lit pour une sieste, n’ayant que retirer ta serviette, tu étais seul de toute façon et la fraicheur de ta peau encore humide te faisait sentir si bien. Tu recouvras ton corps d’un drap léger et cela ne prit pas beaucoup de temps avant que le sommeil ne se pointe.

Tu avais peut-être dormi trois ou quatre heures, mais à vrai dire tu n’étais sûr de rien pour ce qui concernait l’heure, le soleil semblait plus près de se coucher, ce qui révélait que nous étions en fin de soirée. Tu te retournas sur le dos, t’étirant doucement les bras  lorsque tu la vis, assit tout près de toi en t’observant, tu sursautas un instant. Que faisait-elle là et depuis combien de temps t’observait-elle ainsi. Ta mère l’avait sans doute occupé un instant et puis la famille l’avait invité à voir ce manoir comme un chez soi, donc elle avait accès à toutes les pièces, semblait-il qu’elle était venue te retrouver. «Hum… salut, ça fait longtemps que tu es là?» Tu devais avoir une sale tête, la chasse t’avait épuisé au point de ne pas remarquer sa présence même dans ton sommeil, les cheveux légèrement en bataille du à cet oreiller, tu la regardas. «J’ai manqué le diner n’est-ce pas? » Tu grignoterais de quoi à la cuisine plus tard. «J’espère que ce repas en compagnie de ta belle famille n’as pas été trop difficile à endurer, tu sais si tu trouves ma mère trop… envahissante, je lui glisserais un mot, elle ne parle plus que de toi quand tu n’es pas ici.» Un petit sourire amusé borna tes lèvres, tu commençais doucement à t’habituer à sa présence, elle n’était pas là tous les jours puisqu’elle avait des choses à faire de son côtés et une mère à aider pendant qu’elle le pouvait encore.

[Bon j’ai fait quelques semaines plus loin, donc c’est pas le souper quelle a été invite afin qu’on puisse les amener à une certaines intimiter]


Dernière édition par Constantin S. Crouch le Jeu 9 Juil 2015 - 2:41, édité 1 fois
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You have my heart like the beat, The way you got me turned up× ft. Constantin S. Crouch & Elionore A. Hvedrung
La jeune femme poussa un long soupire, affichant une moue bien ennuyée. Elle observait le plafond de sa nouvelle chambre à coucher, le deux pieds levé bien haut dans les aires, cognant ses talons l’un contre l’autre. Elle s’ennuyait, c’était évident ! Elle était venue passer la soirée avec les Crouch et pour tout dire était bien déçu de ne pas avoir passé un seul moment avec Constantin. Avec le temps, elle s’attachait quelque peu à lui et sa façon d’être. Il était très certainement séduisant, mais depuis qu’il était entré dans sa vie, elle se sentait choyée. Non seulement ses parents semblaient l’apprécier, mais son futur époux l’amusait. Il semblait s’habituer doucement à sa présence et était drôlement facile à vivre ! Fallait dire qu’après avoir vécu avec ses frères, Constantin était un ange sur deux pattes ! Épuisée par tout les agitements, elle s’était excusée auprès de sa mère et s’était retirée dans les appartements de son promis, passant sa chambre pour retrouver celle qui était maintenant la sienne. Il n’avait pas pointé une fois le bout de son nez ! Elle se redressa vivement, croisant les bras en soufflant bruyamment par les narines. Elle avait assez attendu ! Elle quitta bien rapidement sa chambre, comme un enfant le jours de noel, ouvrant finalement la porte de la chambre du plus vieux. Silence, noirceur … mortalité. Beh …

« Constantin ? » avait-elle murmuré, plissant les yeux pour mieux voir ce qui se trouvait dans la chambre. Il dormait à poings fermés. Ah non .. Non non assez ! Elle avança d’un pas léger, retirant ses hauts talons pour parcourir la chambre et monter sur le lit. Toujours aucun signe de vie. Sa mère lui avait expliqué que son fils dormait parfois de longs moments, qu’il serait peut-être des vôtres demain après-midi. Leurs temps étaient précieux ! Il aurait toute la vie pour dormir une fois vieux ! Maintenant il fallait profiter de la vie et puis s’amuser ! À quatre pattes, elle s’aventura sous les draps, retenant son rire d’excitation ! La tête qu’il ferait quand elle serait arrivée à son visage pour mordre son nez ! Avançant bien lentement, elle stoppa brusquement son épopée, son visage à quelques centimètres d’une paire de fesses bien … nue. Elle sursauta, certainement pas préparée à cette découverte ! Elle recula finalement, la bouche entreouverte. Il savait qu’il était nu ? Enfin … oui c’était une question stupide, mais ! Il savait parfaitement qu’elle débarquait sans s’annoncer maintenant ! Les bras croisés, elle prit place à ses côtés, fronçant les sourcils. Il devrait certainement arrêter son petit jeu de vierge effarouchée qui baladait complètement nu ou presque 85 pourcent du temps ! Il n’avait aucune pudeur, c’était presque un plus. Dérangeant toutefois, mais pas dans le sens de l’outrage … Puis soudainement il pivota sur lui-même, s’étirant de tout son long, le drap glissant sur sa peau pour en dévoiler davantage. Elle pinça les lèvres, agissant avec violence pour rester à sa place. Une envie soudaine de glisser ses doigts dans ces cheveux en bataille, il lui semblait si détendu qu’il était difficile de ne pas se sentir apaisée aussi. «Hum… salut, ça fait longtemps que tu es là?» avait-il demandé de sa voix rauque, dure réveille semblait-il ! Elle secoua la tête alors qu’il reprenait la parole. «J’ai manqué le diner n’est-ce pas? » demandait-il. Elle hocha la tête, souriant bêtement alors qu’un rire s’échappait de sa gorge. Effectivement, il avait raté le diner et même la merveilleuse conversation sur les pianos à longue queue. Peut-être était-il mieux d’avoir échappée à celle-ci d’ailleurs ! «J’espère que ce repas en compagnie de ta belle famille n’as pas été trop difficile à endurer, tu sais si tu trouves ma mère trop… envahissante, je lui glisserais un mot, elle ne parle plus que de toi quand tu n’es pas ici.» – Elle soupira de façon bruyante, roulant les yeux. « C’est si difficile de croire que j’aime beaucoup ta mère ? Elle me rappelle la mienne sur certains points. Elle est heureuse, c’est ce que je veux. Et puis ton père est aussi adorable avec moi, un vrai gentleman ! » avait-elle murmuré, comme si la pénombre avait un quelconque effet sur le ton de sa voix.  Elle l’observa silencieusement, avant d’afficher un sourire bien léger. Ce qui généralement n’était pas bon signe. Elle s’approcha de lui en sautillant sur le lit avant de s’étendre à ses cotés, nichant son nez au creux de son cou, déposant ses mains autour de ses hanches. Elle se sentait câline, il ne fallait pas se poser plus de questions. Avec le temps il avait probablement compris que les Hvedrung n’avaient que faire des conventions sur l’espace personnelle des gens qui les entouraient. Ils se donnaient beaucoup de droits pour tout dire. Toutefois on parlait ici de la personne qui lui passerait la bague au doigt prochainement et elle considérait qu’elle avait certainement tout les droits de réclamer autant de calin qu’elle voulait, c’était bien là l’un des ses caprices les plus sages. Et puis sa nudité n’était pas un problème, quoi que …

« Bon matin Monsieur Crouch. Vous nous avez drôlement manqué dans la maisonnée aujourd’hui ! » avait-elle dit d’un ton joueur, mordillant maintenant sa peau. Elle aimait mordre, c’était un fait. Elle mordait tout le monde, pour une obscure raison d’ailleurs ! Elle n’y avait jamais réellement prêté attention en fait. Elle aimait, point. « a-tu rêvé de moi ?   » demandait-elle en plaisantant, riant de sa propre blague.
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Elle soupira sous ton offre de relaxer un peu ta mère concernant son euphorie. « C’est si difficile de croire que j’aime beaucoup ta mère ? Elle me rappelle la mienne sur certains points. Elle est heureuse, c’est ce que je veux. Et puis ton père est aussi adorable avec moi, un vrai gentleman ! » Mouais bon tant mieux si cela ne la gênait pas alors et qu’elle les appréciait tout de même, toi tu savais que tu devrais faire des efforts pour voir encore plus souvent sa famille, bon ils étaient vraiment beaucoup, mais ses frères et sœurs ne seraient pas si difficile, pour ce qui était de ses parents, tu jouerais la carte de la séduction et sans doute que ça passerais, mais certes cette famille n’était pas comme ce que tu avais l’habitude. Puis même la tienne en ce moment avait un peu le chichi de t’exaspérer par moment, surtout ta mère qui n’arrêtait plus avec sa trop grande bonne humeur. En même temps, après tous ces différents problèmes rencontrés dernièrement ça faisait du bien de voir une meilleur harmonie au sein de la famille, de la maison, tout semblait moins lourd, moins lugubre.

Puis sans avertir, elle vint s’étendre à tes côtés, tu la laissas faire, ne l’empêchant pas, tu commençais à t’habituer à son caractère, elle pose son visage dans le creux de ton cou, ses mains allant retrouver tes hanches contre le drap. Tu es encore en train de te réveiller calmement, ton corps se laissant coller par la brunette. De toute façon, aussi bien apprendre à se connaitre intimement, bientôt tu ne feras que cela avec elle. « Bon matin Monsieur Crouch. Vous nous avez drôlement manqué dans la maisonnée aujourd’hui ! »Un petit sourire dessine tes lèvres, Elionore est mignonne, un peu gâtée, mais elle a une joie de vivre, tu sais que tu pourras facilement l’aimer, elle te fera oublier cette tornade qui était passé un jour dans ta vie. Puis tu sens ses dents contre ta peau, elle te mordille gentiment, ce qui fait naitre quelque chose en toi. « As-tu rêvé de moi ? » Elle ricane doucement, tu commences à t’habituer de l’entendre, Elionore est toujours enjouée, bien que parfois elle a de mauvaises idées, comme de te frotter sous une table ou de venir te rejoindre dans ton lit alors qu’elle n’avait pas reçu d’invitation. Elle avait pris l’accès intégral aux pièces de ce manoir à la lettre, se donnant le droit de venir te rejoindre ainsi «Je ne me souviens pas…» Une réponse des plus ennuyante pour elle et tu le devinais, elle serait déçus que tu ne rentres pas dans son jeu, avec les Hvedrung c’était toujours une histoire de jeu.

Tu te tournes face à elle, la regardant malgré la pénombre qui s’installe peu à peu dans ta chambre, l’éclairant d’une teinte rosé. Tu regardas la petite robe qu’elle porte, elle sait fait jolie, comme à son habitude, ses longs cheveux brun qui tombe éparse contre le matelas.«Tu te prend pour un loup? Ou peut-être plus un chiot, oui je crois que le chiot te va mieux.» Tu lui souris avec espièglerie, sachant qu’elle réagirait, mais ricanerait tout de même. «Tu sais que ça peut être dangereux de venir rejoindre un homme dans son lit? C’est presque une demande non dite, en plus quand tu le mordilles ainsi…» Alors tu te penches vers elle, et tu t’offres le plaisir de goûter cette bouche charnue, par simple envie. Voilà déjà trop de fois où elle semblait te tendre la perche pour que tu l’embrasses, tu savais qu’elle n’attendais que ça depuis un petit moment, alors aussi bien lui offrir maintenant. Vous étiez seul, il n’y aurait aucune personne pour vous déranger ou vous espionner. Tu pouvais encore goûter le goût du sucrer qu’elle avait mangée, sans doute un dessert à la vanille.




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Il ne se souvenait pas? Une réponse bien ennuyeuse pour une aussi amusante question. Sans doute était-il encore sonné de sa longue ‘’sieste’’. De toute façon il pouvait dire ce qu’il voulait, elle savait la vérité, il était bien souvent marabout les premières minutes qu’il se réveillait. Elle mordilla plus fortement sa peau, une petite punition pour cette réponse des plus banales ! « Constantin ! La bonne réponse était quelque part entre ‘’ comment ne pas rêver à une femme si parfaite ‘’ et ‘’ ta beauté éclipse tous les cauchemars de la terre ‘’ – ce n’est tout de même pas la lune ? » avait-elle dit d’une voix faussement exaspérée. Puis l’homme se tourna pour lui faire face, l’observant de la tête aux pieds. Puis il enchaina « Tu te prend pour un loup? Ou peut-être plus un chiot, oui je crois que le chiot te va mieux. »

Elle poussa une plainte, offusquée par ses paroles, le mordant à pleine dent cette fois. Elle retroussa le nez avant de s’abandonner aux rires de sa dite blague. « Je suis une louve ! Ne l’oublie jamais ! » avait-elle dit, ouvrant bien grands ses yeux pour accentuer ses paroles. Un chiot ! Fallait pas abuser quand même ! Elle ne le laisserait pas la promener dans le jardin avec une laisse ! Oubliez le projet ! Si quelqu’un avait une laisse, ce serait lui et pas le contraire. Les femmes menaient les hommes, ils ne le savaient simplement pas et c’était mieux ainsi. Un secret bien gardé depuis des générations, fourberies ! «Tu sais que ça peut être dangereux de venir rejoindre un homme dans son lit? C’est presque une demande non dite, en plus quand tu le mordilles ainsi… »

Elle hocha la tête, tout sourire alors qu’il se penchait soudainement vers elle, déposant ses lèvres contre les siennes. Ses muscles se tendirent sous la surprise, fermant les yeux alors qu’elle savourait enfin le moment. Ce n’était pas faute d’avoir essayé auparavant, seulement il avait semblé ne pas comprendre ses indices. Embrasser un homme c’était bon, c’était puissant. Le sang qui se retourne dans les veines et le souffle qui coupe. C’était une surprise, mais une bien agréable surprise. Elle cambra le dos, se pressant davantage contre son corps irradiant naturellement une forte chaleur, répondant à ce baiser inattendu. Ses mains glissèrent dans son dos, ses ongles éraflant la peau nue de son dos, sans pitié. Il parlait souvent de ses tendances à réveiller une dangereuse bête, mais n’avait-il pas encore compris qu’elle n’était pas moins qu’une bête elle-même ? Une plus petite bête dirons-nous simplement. À bout de souffle la jeune femme sépara ses lèvres des siennes, l’observant de ses yeux à demi-clos, silencieux. Cet homme pouvait bien dire ce qu’il voulait, il lui semblait tout aussi compliqué à suivre qu’elle ne l’était surement pour lui. L’amour étant un bien grand mot pour quelqu’un qui ne l’avait jamais réellement ressenti hormis sa famille, toutefois elle devait admettre que cet homme venait chambouler sa vie, suffisamment pour foutre le bordel dans ses sens justes avant de déguerpir à sa guise. C’était probablement difficile à comprendre même pour elle, se sentant chaque fois à fleur de peau en sa présence. Frustrée de sentir son cœur augmenter le rythme, elle fronça les sourcils, plantant ses ongles profondément dans sa peau alors qu’elle attrapa sa lèvre inférieure entre ses dents. Pas cette fois, il ne partirait pas tant qu’elle n’en aurait pas décidé. De toute façon qu’avait-il de si bien important à cette heure ? Rien, il n’avait rien. Elle glissa son genou contre sa jambe, remontant jusqu’à sa hanche, prenant place un peu plus haut que ses hanches. Elle déposa ses mains contre son visage, frôlant ses lèvres des siennes alors que leurs souffles s’entremêlaient. Il pouvait bien aller au diable avec ses aires d’homme de glace, elle s’était fait violence pour ce baiser et comptait bien en profiter jusqu’à n’en tomber dans les pommes, avide d’oxygène. Elle pressa son front contre le sien, cherchant son souffle un instant.

« Tu sais que ça peut être dangereux d’embrasser une femme alors que tu es complètement nu sous elle ? » avait-elle murmuré contre ses lèvres, souriant malgré elle.

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« Constantin ! La bonne réponse était quelque part entre ‘’ comment ne pas rêver à une femme si parfaite ‘’ et ‘’ ta beauté éclipse tous les cauchemars de la terre ‘’ – ce n’est tout de même pas la lune ? » Tu en souris, sachant qu’elle allait se vexer, mais si tu lui répondais toujours ce qu’elle voulait entendre, elle ne trouverait pas ça plus drôle, là tu lui laissais la chance de pouvoir se plaindre et de te rectifier. Puis suite au fait que tu la qualifie de chiot, elle te mordit plus fort, riant par après. « Je suis une louve ! Ne l’oublie jamais ! » Une louve hein… eh bien elle se croyait plus féroce qu’elle ne semblait l’être.

Puis lorsque tu l’embrasse -enfin-, elle sembla agréablement surprise, ses lèvres se joignant aux tiennes. Son corps poussé par un magnétisme vers le tien, tu sentis alors ses mains venir dans ton bas de dos, ses ongles t’éraflant la peau. Puis alors que tous deux vous repreniez le temps de respirer, ses ongles se firent plus serres, s’accrochant à ta peau avidement, glissant une jambe contre tes hanches, comme si tu allais t’éclipser, elle te gardait prisonnier. Ses lèvres venant frôler le tiennes, tu savouras cet instant. Puis son front vint rejoindre le tiens et elle murmura doucement. « Tu sais que ça peut être dangereux d’embrasser une femme alors que tu es complètement nu sous elle ? » Un petit sourire aux lèvres, tu avais retenu qu’elle semblait savoir maintenant tes habitudes pour dormir. «Dangereux, hein? C’est vrai que maintenant que tu le dis, on devrais rendre les choses plus équitable et te retirer certaines choses, tu ne crois pas?»

Elle t’avait fait savoir à combien de reprise qu’elle voulait éveiller cette bête en toi et certes la bête n’était pas très difficile, elle désirait tout, tout ce que tu lui offrais et Élionore était séduisante. Tu lui offris un petit sourire, n’étant pas vraiment prêt à la forcer à retirer des vêtements, il y avait plus de chance que tu en remettes que le contraire, bien que tu n’aurais pas dit non à voir la marchandise, n’était-ce pas mieux de toujours tester avant d’acheter, de goûter un petit peu avant le grand verre? Plaçant une main contre sa taille, le tissu de sa robe te semblait bien léger, puis tu pris place assise, la forçant à être assise sur toi, les draps entre vous deux, tu t’attaquas alors à la bretelle de sa robe, la faisant glisser tout doucement le long de sa peau. Tu étais du genre à prendre ton temps dans ce genre de choses, n’ayant rien de prévu ce soir, elle semblait être au menu pour l’instant. Libérant sa clavicule, son épaule, tu y posas tes lèvres contre cette peau bien douce. C’était maintenant ton tour de la mordiller, doucement, tes lèvres la goûtant, elle s’était parfumer. Une douce odeur de vanille planait sur elle, cela lui allait à ravir. Doucement, tu glissas une main dans sa longue chevelure, lui agrippant doucement celle-ci en une énorme mèche, la forçant à s’étirer la gorge sur la droite, profitant de gorge un instant. Laissant les poils drus de ta barbe la chatouiller doucement, frôlant sa peau si délicate de tes dents, tenter à lui laisser une marque, une trace, mais tu n’en fis rien…pour l’instant. Puis subitement, tu descendis plus bas, la laissant se cambrer doucement le dos, la retenant doucement alors que tes lèvres embrassait l’embrassure de son décolleter, allant rejoindre sa poitrine malgré le vêtement si léger qui la recouvrait.

Il y avait si longtemps que tu n’avais pas goûté de la chair fraîche, tu ressentais un besoin terrible maintenant que tu avais libérer la bête, mais encore, tu la tenais en laisse. Sinon cette robe aurait tombé en ruine sur ton plancher et tu aurais déjà pris la décision de la manger toute cru.

«Hum maintenant je te laisse prendre la décision, soit tu retires quelques petites choses et que tu sois au menu ce soir ou bien je m’habille et on va dans la cuisine manger quelque chose, mais je ne promets pas que même là tu ne redeviennes pas le menu principal…» Tu la regarde alors, attendant une réponse de sa part, quelque chose dans ton regard brillait d’une lueur dangereuse. Le loup avait faim, cela faisait des mois que tu l’avais privé et maintenant soit tu arrêter pendant que tu le pouvais ou bien tu succombais à cette envie de la mordre, tu la faisais tienne ce soir et qu’elle succombait à ton charme, à ses pulsions, à son corps de femme. Tu ne voulais pas la brusquer, mais tu l’imaginais mal être vierge, l’était-elle? Tu te posais maintenant la question, si ce serait la première fois, ce serait brusque pour elle, peut-être avait-elle été sage et attendue, mais tu en doutais fortement, elle était vilaine de nature et pleinement consciente de son corps, ses courbes, sa beauté et son charme. Elle dégageait une énergie sensuelle et tu devinais qu’elle était tout aussi excité que toi par l’odeur qu’elle avait maintenant.
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La jeune femme se redressa doucement, suivant les gestes du plus vieux alors qu’il prennait place devant ses yeux. Un long frisson lui parcourant l’échine, soupirant alors qu’elle pouvait sentir sa peau se faire dévorer. Elle inclina la tête vers la droite, dévoilant son cou pour lui offrir tout l’accès qu’il désirait.  Elle cambra le dos, glissant ses mains dans sa chevelure toujours en bataille, ce qui lui donnait un allure bien sauvage. Un gémissement s’échappa de ses lèvres, frémissant de le sentir si près de l’abandon, explorant bien sagement son buste. La jeune femme se pressa doucement contre son bassin dans un mouvement langoureux, pouvant parfaitement sentir son entre-jambe caché par le drap léger qui était encore entre eux. «Hum maintenant je te laisse prendre la décision, soit tu retires quelques petites choses et que tu sois au menu ce soir ou bien je m’habille et on va dans la cuisine manger quelque chose, mais je ne promets pas que même là tu ne redeviennes pas le menu principal…»

Elle posa son regard dans le sien, ses iris s’assombrissant par le désir qui montait avec voracité. Elle avait le choix, un choix bien difficile. Être son repas était probablement une idée bien alléchante alors qu’elle se sentait toute chose, une chaleur naissant dans son bas ventre, un chatouillis qu’elle connaissait si bien. Puis un sourire bien malicieux étira ses lèvres, roulant ses hanches une nouvelle fois contre son bassin, sa main droite venant agripper son cou avec pression. Elle pointa le bout de sa langue contre sa lèvre inferieur, le testant, poussant ses limites pour connaître davantage ses réactions. Elle s’attaqua à sa mâchoire,  dévorant sa peau, remontant jusqu’à son lobe d’oreille. Elle soupira de son souffle chaud contre son lobe, le mordillant sans relache, ses hanches roulant d’elle-même pour le provoquer un peu plus. « Manger serait sans doute une sage idée. Prendre des forces. De toute façon je dors ici ce soir, dans ce lit. » avait-elle murmurée contre son oreille, retirant sa main de son cou, la glissant le long de son torse. Puis soudainement la louve fit pression contre son corps, le forcant à se coucher contre le matelas, un grand sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle déposa un baiser contre sa clavicule, son torse, son ventre, son nombril … descendant sa course jusqu’à sa hanche, mordant sa peau. Un petit rire s’échappa de sa gorge, glissant ses mains sur son corps, suivant le même chemin que ses lèvres.  Elle se redressa, quittant le lit alors qu’elle emportait avec elle le drap qui le couvrait encore, sortant de la pièce. Elle n’allait certainement pas abuser d’un pauvre homme au ventre vide ! Elle lui cuisinerait quelque chose qui lui donnerait de l’énergie. Elle pivota sur elle-même, retournant  sur ses pas, passant sa tête par la porte.

« Habille toi un peu et viens me rejoindre dans une 20 aine de minutes, on aura quelque chose à grignotter. »
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Dernière édition par Elionore A. Hvedrung le Jeu 9 Juil 2015 - 3:12, édité 2 fois
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Elle se fit muette, secrète, silencieuse, aguicheuse, au lieu de te donner une réponse, elle s’agrippa à toi, à ton corps alors que sa langue allait frôler ta lèvres, ta mâchoire, ton cou, elle descendait doucement et tu profitais de la sensation. Arrivant enfin à ne pas penser à cette rouquine, ne pensant plus qu’à cette brunette aux yeux clairs, cette déesse qui était venue te rejoindre dans ton lit afin de te réveiller. Elle roulait doucement des hanches, ce faisant une douce sirène qui venait taquiner le marin avant qu’il ne soit hypnotisé et noyer au fond de l’abysse. Elle se disait louve, mais elle ne dégageait pas cette même force, elle te semblait plus proche de la sirène, plus joueuse, plus aguicheuse… tu avais fermé les yeux, savourant cette sensation, alors que ton excitation était clairement palpable, elle devait déjà l’avoir sentie, car certes tu la désirais maintenant. Elle parla alors, d’une voix douce contre ton oreille, annonçant enfin son choix. « Manger serait sans doute une sage idée. Prendre des forces. De toute façon je dors ici ce soir, dans ce lit. » Le fait qu’elle prenne le temps de nommer dans quel lit elle désirait dormir ce soir, te fit un peu sourire, mais elle avait choisi le repas, pourtant après ses roulements de hanches, tu n’étais pas sûr d’être prêt à la laisser partir.

Puis sa main vint s’appuyer contre ton torse, te forçant doucement à te coucher sur le matelas, tu la laisse te guider, elle t’offre ce sourire espiègle, puis se lèvres reviennent à l’assaut. Elle t’embrasse la mâchoire, le cou, la clavicule, le ventre, allant de plus en plus bas vers le nombril, te laissant retenir un souffle. Puis tu sens ses dents contre ta hanche, qu’elle a doucement libérée du drap, laissant retentir un petit rire taquin comme elle le faisait toujours, puis elle s’arrête, laissant une dernière caresse trop rapide sur ton corps. Elle se lève en emportant le drap qui te couvrait, elle sort alors ne revenant qu’un court instant dans l’embrasure de la porte pour te dire quelque chose. « Habille toi un peu et viens me rejoindre dans une vingtaine de minutes, on aura quelque chose à grignoter. » Puis elle referme derrière elle, te laissant seul assit étendu sur ton matelas, légèrement frustrer. Elle t’as vraiment allumé cette vilaine et oser partir ainsi, tu finis pas te lever, te disant que tu mangerais tout de même quelque chose, ressentant ce creux maintenant que la cause de ton excitation avait quitté les lieux et brave femme qu’elle était, elle allait te cuisiner quelque chose, mouais elle serait sans doute une femme à marier, ce qui te rappela cette bague dans sa jolie boîte de bois. Tu allas enfiler quelque chose de très simple et très léger, un simple chandail à manche courte et un pantalon plus sport qui ressemblait plus au mode relaxation yoga que la course à pied. Nu pied, tu sortis de ta chambre, il commençait à faire plus en plus sombre à l’extérieur malgré la saison chaude. Tu revins sur tes pas un instant, glissant cette petite boîte dans une de tes poches de pantalon qui semblait un peu trop grand, mais qui heureusement tenait sur tes hanches grâce à un élastique. Mains dans les poches, tu allas la rejoindre, parcourant la demeure trop grande parfois pour seulement trois personnes.

Une fois à la cuisine, tu entendis quelque chose grillé, elle était là entrain de cuisiner devant le four, tu la regardas faire un instant, restant en retrait contre le chambranle de la porte. Une douce effluve vint te chatouiller le nez, ça sentait bon, peu importe ce qu’elle était en train de te préparer. Tu rentras finalement dans la pièce, sans faire de bruit, te dirigeant vers le grand frigo, puisqu’il fallait bien l’avouer cet objet moldu était des plus pratique pour conserver les aliments. Tu te pris une bouteille d’eau que tu avalas en peu de temps. Tu savais qu’elle .tais consciente de ta présence, mais elle semblait tout faire pour rester concentrer à son petit plat. Tu pris la boite dans ta poche, pas vraiment certain de comment tu devrais apporter la chose, elle était ta promise, mais il n’y avait d’amour, enfin pas encore. Une certaine complicité débutait entre vous et Elionore en était en grande partie la cause, elle avait un caractère si tactile, si chaleureux. Pourtant tu ne te voyais pas trop te placer un genou contre le sol et lui faire une demande puisqu’en tant que telle, elle était déjà ta fiancée, mais sans bague au doigt. La bague se trouvait dans ta poche, encore dans sa boite, tu l’avais choisis en espérant qu’elle lui plaise, ta mère l’avait trouvé superbe, beaucoup mieux que l’ancienne. Tu te rapprochas alors d’elle, tu t’appuyas sur son épaule afin de voir ce qu’elle faisait cuir dans la poêle, par-dessus son épaule.

«Hum… ça sent bon…» Tu attendrais un peu pour cette bague, elle finirait par la recevoir ce soir, mais pas tout de suite, tu connaissais les femmes et les bijoux, elle ferait cramer son repas trop déconcentré à regarder cette merveille. «Hum et si on jouait a un jeu pendant que tu fais cuir cela hein… Le but est très simple, il ne faut pas que tu te laisses déconcentrer…peu importe ce qui se passe, ce serait triste de faire brûler ce bon repas.» Tes mains glisse contre ses hanches alors que tu enfouie ton visage dans sa chevelure, les repoussant rapidement d’un geste pour lui embrasser la nuque, mordillant sa peau doucement. Ta langue parcourant sa peau, elle goûtait vraiment bon… Une main caressant maintenant doucement une hanche, puis une fesse, refermant tes doigts contre la rondeur de celle-ci. Elle aimait les jeux n’est-ce pas, elle ne te trouvait pas assez joueur, elle apprendrait qu’on ne devait pas t’allumer et espérer que tu t’éteigne par la suite, cette vilaine fille.
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Elle s’étira sur la pointe des pieds, cherchant à atteindre un pot d’herbe salée avec peine. Si elle n’avait pas laissé sa baguette dans sa proper chambre, les choses auraient été si simples ! Elle soupira, agacée avant de regarder subtilement autour d’elle, cherchant s’il y avait âme qui vive dans la pièce. Vide, que les crépitements de son poulet dans la poêle brisaient le silence ambiant. Elle devait donc faire très vite avant que Constantin ne pointe son nez dans la pièce. Elle posa ses paumes sur le comptoir prenant appui pour se soulever du sol, grimpant bien habilement sur la surface. Si madame Crouch entrait à l’instant, elle aurait l’air bien idiote ! Elle attrapa rapidement les herbes qu’elle avait besoin, y allant plus avec caprice qu’en suivant une quelconque recette. Elle ne cuisinait pas pour l’impressionner, seulement pour le nourrir et lui donner un peu de force. Un ventre vide n’était jamais rien de bon, sa mère insistait toujours pour que tout le monde dans la maison ait mangé trois repas par jours. Ce qui avait toujours été un problème avec elle, ne mangeant que deux repas, le déjeuner et le diner. Elle optait pour quelque chose de léger; simplement pour éviter de lui donner envie d’une autre sieste, trop remplis par la nourriture. Fallait même pas y songer. Elle sauta furtivement du comptoir, réajustant sa robe un instant avant de reprendre ses activités, coupant quelques légumes ici et là, tournant son poulet jusqu’à l’obtention d’une couleur dorée. Satisfaite, elle ajouta des carottes et des courgettes grossièrement coupées au poulet, cherchant une belle dorure. Puis Constantin fit son entrée, se dirigeant silencieusement vers le réfrigérateur, engloutissant une bouteille d’eau rapidement. Elle stoppa ses mouvements, ne sachant trop que faire, comment réagir. Ils avaient été si intimes quelques minutes  avant, pour la toute première fois d’ailleurs ! est-ce que ça lui donnait le droit d’agir comme elle le souhaitait maintenant ? Nerveuse, elle se concentra sur son plat qui trônait devant elle, fixant bien soigneusement ses légumes qui doraient doucement.
Elle pouvait sentir sa présence tout près d’elle, prenant appui contre son épaule pour observer ses faits et gestes. Il semblait humer les odeurs, la complimentant sur ce qui cuisait à peine sur le feu. Elle afficha un sourire, se détendant déjà à la proximité de son corps. « J’espère que vous tenez bien l’arsenic monsieur Crouch !? » avait-elle lancé à la légère.
 

« Hum et si on jouait a un jeu pendant que tu fais cuir cela hein… Le but est très simple, il ne faut pas que tu te laisses déconcentrer…peu importe ce qui se passe, ce serait triste de faire brûler ce bon repas. » Avait-il dit, glissant ses mains contre ses hanches, repoussant ses cheveux pour attaquer sa nuque. Son corps répondait bien rapidement sous ses touchers, arquant le dos pour presser ses fesses contre son bassin, soupirant déjà de plaisir. Elle posa ses mains contre la poignée du four, prenant appui contre celle-ci, sa langue et ses dents causant des ravages au niveau de sa nuque. Un rire amusé brisa le silence, alors qu’elle frissonnait sous sa main qui passait de sa hanche à sa fesse. Le pervers ! Ce jeu serait beaucoup plus dur qu’il ne semblait, son cœur palpitant à vive allure déjà. « Et si je perds ? Parce que soyons honnête, c’est tout de même tentant de céder… » avait-elle dit d’une voix teintée de désir, avalant difficilement sa salive. Elle attrapa un couteau, se raclant la gorge pour mieux se ressaisir avant d’hacher finement des champignons, relevant fièrement la tête. Tout était toujours une question d’obtenir ce qui était le plus opportun. Dans le cas présent, elle se doutait bien qu’il n’y avait pas de mauvais prix, seulement des provocations pour s’amuser davantage. Elle devrait user de toute sa motivation pour ne pas fléchir sous l’envie, la gourmandise. Désirer cet homme était devenu une réalité, du moins physiquement, elle savait qu’une chimie s’était installée. Il la désirait tout autant, elle avait pu le sentir se presser contre son corps. Simplement elle était tenace, gagner était toujours important, trop important, mais pas assez pour venir troubler cette envie qui créait une tornade d’émotion en elle.  
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Dernière édition par Elionore A. Hvedrung le Jeu 9 Juil 2015 - 3:12, édité 1 fois
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Tirez-moi une belle dans cœur
Arrachez-moi la belle dans’tête
Au pire tirez-moi dans dos
Mais tirez-moi une autre femme dans’peau

Elle se laissait faire et tu pouvais sentir qu’elle y prenait du plaisir. Elle eut un petit rire amusé, alors qu’en ce moment elle était ta proie, un parfait jouet qui couinait. « Et si je perds ? Parce que soyons honnête, c’est tout de même tentant de céder… » Un petit sourire traversa ton visage, amusé par sa phrase, tu allas donc lui murmurer doucement à l’oreille. «Eh bien, disons que peu importe, vous serez gagnante à ce petit jeu, dépendant de l’angle avec lequel vous regarder le problème…» Puis ta main sur ses fesses, descendit plus bas allant rejoindre l’ourlet de sa robe, touchant la peau de ses cuisses, tu glissas doucement tes e, sous le tissus, suivant doucement un chemin vers le haut, caressant l’intérieur d’une cuisse, la laissant frissonner sous cette douce caresse. Tu prenais ton temps, tout doucement pour finalement sentir la dentelle de son sous-vêtement. Il était temps de reprendre une petite vengeance et de frotter le bon endroit. Dévorant toujours la chair de son cou, tu caressais doucement son entre-jambe, caressant cette dentelle. Elle s’efforçait tout de même à se préoccuper de sa cuisson, puis tu gobas son lobe d’oreille, tes dents le mordillant doucement. Tu désirais la rendre à sa limite, qu’elle te supplie de n’importe quelle manière, d’arrêter ou de continuer… Ta main libre alla caresser la courbe d’un sein, tu la faisais tienne peu à peu. Découvrant ses courbes, son corps, ses désirs et ce qu’elle aimait. Peu à peu, elle serait tienne et tu serais à elle. Puis tu entendis au loin des bruits de pas se rapprocher, une domestique peut-être ou bien ta mère qui venait se préparer une tisane avant d’aller dormir, elle prenait toujours une tisane à la camomille pour l’aider la nuit. «En dirais que nous allons avoir de la visite…dommage, mais je compte bien continuer après.» Tu retiras tes mains de son corps te reculant à une distance plus raisonnable devant une tierce personne et comme tu le faisais, ta mère entrait dans la cuisine, un sourire éclairant son visage en vous remarquant. «Oh bonsoir vous deux, je venais me préparer une petit tisane.» Tu souris à ta mère, allant lui chercher une tasse, y déposant un sachet à la camomille dedans en lui tendant. Elle te remercia du regard en la prenant et alla prendre la bouilloire histoire d’avoir de l’eau chaude. Elle remarqua ce qui cuisait et eu un petit regard attendrit peut-être.

«J’espère que tu as bien dormit mon chéri, à ce que je vois tu va pouvoir tout de même profiter d’un repas.» Tu regardes ta mère en hochant la tête. «Oui, Elionore préférait que j’aille le ventre plein.»

Le repas est finalement prêt, tu sors une assiette à la demoiselle qui dépose le résultat dedans, ta mère décide de venir s’installer avec vous, ce que tu redoutais un peu, elle aimait un peu trop Elionore. Elle sourit à la jeune brunette. «Je vais prendre ma tisane avec vous un peu avant d’aller me coucher.» Tu pris place à la table qui se trouvait dans la cuisine, face à ta mère aux côté de la jeune fille et piqua de ta fourchette un des légumes cuit. La nourriture était plutôt bonne, quoi que tu n’aies pas faim de cela et la présence de ta mère t’obligeait de te contenter de la nourriture pour l’instant. Tu coupas donc la volaille et la mangea alors que ta mère causait avec la jeune fille, une discussion très féminine comme toujours. Tu gardais une oreille vers elle, te concentrant sur le fait de manger. Ta mère quant à elle ne buvait pas assez sa tisane, tu levas la tête vers elle et lui fit un petit sourire, les interrompant un moment. «Tu devrais en profiter de la boire pendant qu’elle est chaude, ça va refroidir tu sais.» Ta mère te regarda un instant et puis posa ses yeux sur sa tasse et sourit bêtement. «Oui bien sûr.» Elle prit quelque gorgée de son breuvage relaxant, puis après que tu es terminé ton assiette, ta mère alla déposer la tasse vide dans l’évier, venant vous offrir ses vœux de bonne nuit. Elle embrassa Elionore sur les deux joues, lui souhaitant une bonne nuit puis elle vint contre toi, t’enveloppant de ses bras, t’offrant des baisés sur les tempes «Bonne nuit vous deux, on se revoit demain matin.» Puis elle quitta la pièce avec désinvolture, marchand tout doucement vers l’aile est où sa chambre à elle et ton père se trouvait. Tu allais rarement dans cette aile du manoir maintenant, ils pouvaient faire chambre a part que tu ne le remarquerais pas, mais il y avait trop d’amour entre tes deux parents pour ça. Tu te levas, allant placer cette assiette maintenant vide dans l’évier. «Merci pour le repas, c’était bon.»

Ta mère avait pourtant gâché l’ambiance, elle avait ramené vos deux têtes à quelque chose de plus sérieux, pourtant ton appétit la concernant était toujours présent. «Bon maintenant que ma mère dort, que mon père doit être soit en train de terminer une lecture ou de dormir déjà, les domestiques à cet heure dorment, on ne devrait plus être déranger maintenant.» Oui il était rendu tard, surtout pour le train de vie plus matinal du manoir. Tu te rapprochas dangereusement d’elle, sachant qu’elle n’attendait plus que ça, l’agrippant doucement, tu la relevas de façon à l’asseoir contre la table, tes lèvres revenant goûter les siennes. Le loup avait toujours faim et il n’avait pas encore pu se délecter de cette jeune femme. Puis tu te reculas de sa bouche, repensant à cette boîte, valait mieux lui donner maintenant, non, plus tard ça ne serait plus le moment. «Hum… j’ai quelque chose pour toi.» Peut-être pensait-elle à quelque chose de plus excitant, de plus pervers de ta part, tu n’allais quand même pas lui offrir une danse. Un petit sourire en coin, sachant qu’elle serait peut-être déçue finalement à voir cette perversité briller dans son regard. Tu sortis la petite boite de ta poche et lui tendis. «Je me suis dit que de me mettre à genoux serait un peu ridicule, vu les circonstances, mais il fallait bien une alliance pour rendre le tout tangible, non?»
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Haletante, elle resserra ses mains contre la poignée du four, ses jointures blanchissant par la force de ses serrements. Elle tentait tant bien que mal de se concentrer sur son plat, tandis que ses caresses se faisaient de plus en plus précises, plus exploratrices. Ses mains tremblaient autant que ses soupires, ses yeux à demi-clos alors qu’elle tentait de couper de l’onion rouge, une main découvrant la galbe de ses seins. La brune chercha soudainement son souffle, un gémissement s’échappant malgré elle de sa gorge pour mourir sur ses lèvres, se coupant maladroitement la peau alors qu’elle sentait le plaisir monter intensément en elle. Elle soupira son nom, échappant sa lame contre la surface de travail, ses mains agrippant le bord du comptoir pour se soutenir, son corps ravagé par les frissons qui décuplait les sensations entre ses cuisses. « On dirais que nous allons avoir de la visite…dommage, mais je compte bien continuer après. » avait-il dit avant de retirer brusquement ses mains de son corps, poussant une plainte de désespoir, ses jambes tremblantes la soutenant avec peine. Elle réajusta sa robe bien rapidement, sa mère entrant dans la pièce. Elle adorait sa mère, mais là maintenant, elle avait bien d’autre envie que de papoter avec elle. Elle la salua tout de même, ses yeux toujours pétillants d’excitation, humidifiant ses lèvres furtivement. Elle tentait finalement de se concentrer sur la cuisson de ce foutu repas, contrôlant sa respiration toujours tremblante d’avoir frôlé l’orgasme. Elle observa son doigt couvert de sang, tentant rapidement de le cacher avec une serviette de table, mimant de simplement éviter de se bruler avec la pognée de fer plutôt chaude. Elle termina grossièrement le repas, beaucoup trop impatiente de retrouver ses lèvres qui lui manquaient déjà.

Sa mère décida tout bonnement de rester un peu avec eux, parlant de tout et de rien avec elle, beaucoup trop réveillée pour une femme qui allait se coucher. Elle tentait maladroitement de participer à la conversation, son regard évitant celui qui serait bientôt sien, sachant parfaitement qu’elle en souffrirait davantage. Constantin lui indiqua subtilement que son thé se devait d’être consommé chaud, belle tentative. Elle attendit tout de même que son fils ait complètement terminé son assiette avant de les embrasser et leur souhaiter la bonne nuit. Madame Crouch devait la trouver bien silencieuse, elle qui avait toujours quelque chose à dire ! Seulement, ce n’était pas le moment. Elle l’observa aller porter son assiette vide dans l’évier. « Merci pour le repas, c’était bon » - Elle eclata d’un rire soudain, secouant la tête négativement. « J’ai peine à croire que c’était seulement mangeable ! J’dois avouer que j’ai fais n’importe quoi à la fin, pour écourter la visite de ta mère. Enfin … je l’adore, mais là maintenant … erf-   » avait-elle dit presque désespérer.  « Bon maintenant que ma mère dort, que mon père doit être soit en train de terminer une lecture ou de dormir déjà, les domestiques à cette heure dorment, on ne devrait plus être déranger maintenant. » disait-il en s’approchant d’elle, son cœur augmentant le rythme alors qu’elle n’attendait qu’une chose. Elle se laissa faire, ses fesses se posant contre la table alors qu’elle jouait de ses lèvres, ses jambes entourant ses hanches pour le garder entre ses cuisses, refusant de le laisser s’échapper de son emprise. Elle érafla sa peau de ses ongles, longeant sa colonne vertébrale, une silencieuse façon de lui indiquer son impatience alors qu’il prenait la parole. Quelque chose pour elle ? Curieuse, elle l’observa sortir une petite boite de sa poche, devinant bien rapidement ce qu’elle contenait. Elle afficha un sourire, tenant délicatement la boite entre ses mains. « e me suis dit que de me mettre à genoux serait un peu ridicule, vu les circonstances, mais il fallait bien une alliance pour rendre le tout tangible, non?. »

Elle hocha la tête, ouvrant finalement la boite pour découvrir un magnifique solitaire. Il était parfait, tellement parfait. Exactement ce qu’elle aimait. Elle déposa brusquement la boite à ses coté après avoir enfilé la bague, attaquant désespérément ses lèvres. À ce stade, ce n’était plus qu’une envie, mais un besoin, sentir sa peau nue contre la sienne, entendre ses soupirs, murmurant son nom par plaisir. Elle glissa ses doigts contre l’ourlet de son t-shirt, le soulevant presque sauvagement, pour le laisser tomber contre le sol de la cuisine. Elle l’observa de ses grands yeux, la bouche entreouverte alors qu’elle le suppliait du regard, ses doigts effleurant son torse avec gourmandise. Elle glissa un doigt sous l’élastique de son pantalon, le baissant légèrement vers le bas, dévoilant un peu plus de peau.  « prend-moi » avait-elle murmurée, ses lèvres frolant la peau de son épaule, mordant avec force pour lui faire comprendre l’urgence de sa demande. Elle resserra ses jambes contre ses hanches, roulant voluptueusement les siennes pour créer un nouveau contact, quelque chose de concret.
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