can you handle the sassiness × ft. Constantin S. Crouch & Elionore A. Hvedrung
Courir, toujours plus loin, toujours plus vite. À bout de souffle, la belle s’élançait sans regarder quoi que ce soit, croissant d’autres jeunes femmes aussi amusées qu’elle. Elle devait s’égarer pour mieux se faire trouver, se perdre pour se trouver soit même. Elle venait de réveiller un chasseur de loup-garou, pas un berger ! Gauche, droite, droite, gauche, droite, gauche, gauche. Elle courrait depuis un bon moment maintenant n’est-ce pas ? Mais cet endroit avait quelque chose de si envoutant, qu’elle en perdait les notions, devenant soudainement confuse alors qu’elle faisait face à un cul-de-sac, se retournant pour observer quelques instants le décor aux allures stellaires. Peut-être était-ce l’alcool qui opérait brutalement, mais elle avait soudainement envie de se perdre d’avantage, simplement pour ne plus jamais retrouver son chemin. Elle hoqueta alors que deux jeunes femmes faisaient leurs apparitions, main dans la main, s’approchant bien rapidement comme si elles étaient poursuivies. Un grand sourire étira ses lèvres, tendant sa main dans leurs directions tandis qu’un homme faisait aussi son entrée. Elle ricana, reconnaissant parfaitement la chemise de Constantin, déclenchant le ricanement de ses nouvelles amies. « eh bien mes dames, l’une d’entre vous est celle que je dois attraper semblerait-il… » Avait-il dit d’un ton enjôleur. Avait-il réellement du plaisir dans cette histoire rocambolesque ? Il se prêtait réellement au jeu ! Elle l’observa nerveusement, souhaitant silencieusement qu’il la choisisse parmi les autres. Peut-être était-ce trop en demander, mais ne l’avait-il pas déjà trouvé ? C’était si rapide, beaucoup trop rapide ! Il était certainement le bon chasseur qu’il prétendait être. Il s’arrêta devant la jeune femme du milieu, souriant à pleine dent alors qu’il affichait une mine victorieuse. Déçue, elle pinça les lèvres, persuadées qu’il devrait passer la soirée avec une autre femme. Plutôt étrange comme premier faux rendez-vous non ?
Puis une main vient pendre son poignet, l’attirant brusquement vers l’avant, ses mains se posant sur son torse par réflexe. Il agrippait à sa taille, laissant son corps déjà chancelant venir prendre appuis contre le sien, un gloussement s’échappant de sa gorge indiquant son amusement. « Je suis prêt à jurer que j’ai su retrouver la brebis égarée? » décrétait-il, un petit sourire aux lèvres. Elle hocha positivement la tête, retirant son masque sans plus attendre. Cette voix, elle n’était pas ivre au point de ne pas la reconnaitre ! Elle étira lentement sa main vers son visage, relevant son masque vers le haut de sa tête, son sourire s’agrandissant davantage. « Ce n’est pas juste ! Si rapide ! J’ai pourtant fait beaucoup d’effort pour vous semer ! » avait-elle dit d’une voix enjouée avec une pointe de déception. Elle hocha la tête, glissant sa main dans la sienne avant d’avancer droit devant. « Nous devons nous rendre au centre du labyrinthe Constantin, il y a une trappe au sol et si nous n’arrivons pas à temps, elle se refermera. Ce sera plus ardu… plus nous nous rapprocherons, plus nous serons perdus. Un sort de confusion s’intensifie au fur et à mesure que nous serons à destination… » Avait-elle expliqué avec sérieux. Elle mordilla sa propre lèvre, stoppant net son ascension devant un embranchement. Elle tourna la tête le questionnant du regard. Aussi futile fût cette histoire, il était impératif pour elle de remporter la course. Elle ne perdait pas, c’était ainsi. Elle claqua le bout de sa langue contre son palais en signe d’agacement, il était beaucoup plus difficile de trouver le centre qu’une sortie. Elle tenta maladroitement de se rappeler de ses précédentes directions. Si elle n’était pas trop stupide, ils devaient se trouver beaucoup plus vers la gauche que vers le centre. Elle inspira longuement avant de prendre une décision.
« Droite .. »
Elle attendit patiemment que le plus vieux entame à nouveau la marche, peut-être par crainte d’avoir tort. Un travail d’équipe, ils devaient travailler ensemble pour terminer cette étape. Ce qui était bon en soi, évaluer ce dont ils étaient capables en tant qu’alliés.
«Lorsque vous chassez en foret … c’est sensiblement la même chose non ? Trouver quelque chose que l’on ne voit pas … le centre est le loup … où est le loup ? » avait-elle demandé plus timidement qu’à son habitude.
What big eyes you have The kind of eyes that drive wolves mad
Tu t’étais laissé emporter par ce jeu, cette chasse, le loup en toi c’était libéré et avait rapidement retrouvé sa proie, cette jolie brune qui espérant tant t’embrouiller, pourtant tu ne t’étais pas tromper, elle avait ris lorsque tu l’avais attrapé, vous aviez l’air de deux gamins et puis elle avait retiré son masque. Puis elle releva le tien, découvrant ton visage, tu le retiras aussitôt, alors que tu l’entendais se plaindre de ta rapidité. « Ce n’est pas juste ! Si rapide ! J’ai pourtant fait beaucoup d’effort pour vous semer ! » Tu souriais amusé, même aveugler tu l’aurais retrouvé aussi facilement, te fiant à tes autres sens. «Oui, vous avez fait beaucoup d’effort.» Sans parler de l’alcool que tu avais ingéré avant de la retrouver, heureusement tu avais l’odorat aussi développé. Puis elle glissa sa main dans la tienne, te tirant doucement vers le labyrinthe, croyant que ce jeu était maintenant terminé, tu l’avais retrouvé non? « Nous devons nous rendre au centre du labyrinthe Constantin, il y a une trappe au sol et si nous n’arrivons pas à temps, elle se refermera. Ce sera plus ardu… plus nous nous rapprocherons, plus nous serons perdus. Un sort de confusion s’intensifie au fur et à mesure que nous serons à destination… » tu la regarda un peu incrédule, à croire que tu refaisait compétition pour la coupe de feu? «Vous avez de drôle de passe-temps, alors vous me dites qu’on doit se rendre au centre pour retrouver une trappe et qu’on sera de plus en plus confus, la prochaine fois on jouera à cache-cache dans mon jardin.» Tu riais un peu amusé, les jeux de sorcier étaient toujours de plus en plus difficile et la plupart du temps tu n’aimais pas y participer, mais tu trouverais cette trappe, peu importe ce sortilège.
Arriver devant cet embranchement, elle semblait perplexe et tu su qu’elle ne savait pas par où aller, elle te regarda, hésitante, la soif de gagner brillait dans ses yeux. Elle décida alors en nommant la voie à prendre. « Droite ... » Elle attendit pourtant, tu n’étais pas totalement certain, essayant de te repérer dans ce labyrinthe, te rappelant des embranchements pris auparavant, elle, elle courrait pour te semer, toi tu la suivais comme un prédateur, tu n’avais pas eu besoin de courir pour cela et malgré l’alcool qui coulait en toi, tu n’avais pas l’esprit assez embrumé. «Non, droite c’est le retour au départ, prenons la gauche, vous n’avez pas emprunté cette voie tout à l’heure.» Tu pouvais le deviner à l’odeur, tu tiras sa main vers la gauche, étant certain quelle mènerait vers le centre et non vers le début du labyrinthe. Puis elle fit le rapprochement avec ton travail et ce jeu. «Lorsque vous chassez en forêt … c’est sensiblement la même chose non ? Trouver quelque chose que l’on ne voit pas … le centre est le loup … où est le loup ? » Tu trouves cette comparaison un peu étrange, s’il y avait un loup ici, on ne voudrait pas s’en approcher et un loup laisserais une piste. «Un loup laisse des traces derrière lui, on le voit que ce soit par des empruntes, des fleurs piétinés ou des halètements, un loup ne reste jamais très discret à moins qu’il est trouvé sa proie. Mais je vais la trouver cette trappe…»
Tu restais à l’a-guet, te fiant à d’autres sens que celui de la vue, tu te fiais à ton odorat et cet autre sens, celui qui te criait qu’un danger réelle s’approchait et plus cette alarme interne semblait sonner fort et plus tu étais certains de t’approcher de cet endroit, certains que le loup en toi pouvait ressentir ce sortilège de confusion. La tête te tournait doucement, mais tu refusais te t’arrêter à cela, tout était fait pour vous désorienter et tu imaginais mal un simple sorcier réussir vraiment cette tâche. Elle avait amené le bon partenaire pour gagner ce jeu stupide, la première étape t’avais divertie, tu n’avais rien trouvé de mal à ça, mais tu pensais avoir terminé, mais semblait-il qu’on parlait d’une course à obstacle du genre. «Après cette trappe, ça mène où et c’est quoi la prochaine étape?» Tu gardais ton sérieux, trouvant que l’endroit était devenu bien silencieux, les longs couloirs de haie semblait maintenant bien noir et lugubre. Tu t’arrêtas un instant, regardant la jeune fille qui tenait toujours ta main. «Ça me semble bien silencieux maintenant non?» Ton cœur pourtant battait plus rapidement, vous étiez tout près, peut-être que ce sort l’affectait plus fortement que toi, elle n’était pas semi-loup. Tu l’amenas avec toi reprenant la marche, vous tournez encore quelque fois droite, gauche, tout droit puis droite et voilà, un espace rond s’y dessinait, plus un couloir de feuillage. Tu vis cette trappe, tu amenas la jeune femme qui semblait assez confuse avec toi, allant soulever cette stupide trappe, ne sachant pas trop à quoi s’attendre…
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« Vous avez de drôle de passe-temps, alors vous me dites qu’on doit se rendre au centre pour retrouver une trappe et qu’on sera de plus en plus confus, la prochaine fois on jouera à cache-cache dans mon jardin. »
Elle éclata de rire, hochant la tête à sa requête alors qu’il riait lui aussi. Ce serait sans doute beaucoup moins amusant, mais au final elle lui devait bien ça. « Je ne suis pas très douée pour me cacher semble t-il, mais si ça vous fait plaisir de me chasser, nous irons là où il vous chante. Vous être très gentil d’accepter de vous prêter à mes jeux. » avait-elle dit avec reconnaissance. Beaucoup auraient simplement refusé et l’auraient sans doute laissé en plan après l’avoir trouvé, s’ils avaient seulement réussi. Elle l’observa silencieusement, expliquant quelques aspects de son travail, marchant dans la direction opposée à celle qu’elle avait choisie. Il lui assurant qu’il trouverait cette trappe. Elle ne pouvait s’empêcher de sourire, cet homme te surprenant probablement plus qu’elle ne devait le faire pour lui. Il avait probablement déjà compris qu’elle était délurée et loin d’aimer le genre de sortie où l’on jouait simplement aux cartes. Mais lui … il était surprenant, allant complètement à l’encontre de ce qu’elle avait cru capter de son essence. Beaucoup plus joueur que son attitude sérieuse voulait bien montré. Elle se remémora ses propres paroles sur l’apparence qui était plus que trompeuse. Elle s’était fait avoir elle-même.
« Après cette trappe, ça mène où et c’est quoi la prochaine étape? » avait-t-il demandé avant de s’arrêter, la regardant avec sérieux. Elle hocha la tête avec inquiétude, incertaine de même savoir pourquoi ils se trouvaient dans cet endroit. Curieusement elle ne se souvenait même pas où ils étaient. De grandes haies aux allures bien sinistres. Elle savait qu’elle avait ressenti une grande joie quelque temps auparavant, mais maintenant ? Elle était si confuse, étrangement vide de l’intérieur. Elle se souvenait avoir bu plusieurs verres, mais jamais l’alcool ne lui avait fait cet effet. Ça me semble bien silencieux maintenant non? »
Elle resserra sa main contre la sienne, regardant autour d’elle à la recherche de quelque chose, de quelqu’un. Ce n’était pas seulement silencieux, c’était morbide ! Enfin, si l’on demandait son avis, elle aurait probablement demandé à quitter les lieux. Seulement une partie d’elle voulait continuer, devait continuer. Elle ne pouvait pas s’arrêter à sa peur naissante, fermant les yeux un instant, contrôlant sa respiration irrégulière. Elle avança à sa demande, sentant même ses jambes devenir instables, inquiètes de ce qui l’attendait un peu plus loin. Les lèvres pincées elle pouvait presque sentir l’épais brouillard envahir l’intérieur de son crâne, secouant la tête dans une tentative bien dérisoire de comprendre ce qui arrivait. N’étaient-ils pas dans sa maison ? Les jardins de Constantin étaient bien lugubres. Mais où étaient passées les magnifiques fleurs ? « jamais je n’aurais imaginé que vos jardins étaient si vastes Constantin ! J’ai l’impression d’avoir marché des kilomètres, votre mère n’a pas encore semé de fleurs ici … J’aime les pivoines. » disait-elle d’une voix bien confuse alors qu’ils s’approchaient d’une trappe. Curieux comme emplacement pour une trappe ! « C’est une cave à vin ?! Oh ! »
Les deux mains contre son visage, elle l’observait ouvrir avec facilité. « vous êtes bien fort ! Allez-vous au gym ? Je devrais y aller aussi, ma mère m’appelle la reine des poux parce que je suis trop faible. Sommes-nous toujours dans vos jardins ? Il n’y a plus de pivoine, curieux ! »
Elle haussa les épaules, s’avançant vers la trappe, bien curieuse de voir la collection de vin des Crouch ! Puis au fur et à mesure qu’elle descendait, elle éclatait de rire, reprenant enfin ses esprits. Elle jeta un regard presque honteux au plus vieux, secouant la tête. Un sort de confusion, elle le savait pourtant ! La musique s’intensifiait alors qu’ils entraient dans la salle, emplit de corps dansant scandaleusement les un contre les autres. Voilà la prochaine étape, rien de bien compliqué, mais rien à gagner, seulement tout à perdre. Elle glissa sa main dans la sienne, le guidant parmi la foule endiablée et excentrique. Elle adorait cet endroit, la joie était si forte qu’on avait l’impression que la pièce exploserait d’une intense énergie positive. Elle s’avança bien rapidement en direction du comptoir, levant sa main libre pour attirer l’attention d’une serveuse qui lui faisait un grand sourire. Elles se connaissaient par l’entremise de quelques amis, finissant bien souvent la soirée ensemble dans les rues de Londre. C’était elle qui l’avait informée de l’évènement, prenant soin de placer son nom sur la liste des invités. Elle se retourna pour faire face à son accompagnateur, levant leurs mains vers le ciel, dansant avec légèreté et excitation. « La prochaine étape Constantin est simple, évacuer toute la colère, l’inquiétude et l’amertume pour ne laisser place qu’à la folie d’être heureux. Ici, vous n’êtes pas un Crouch, je ne suis pas une Hvedrung, nous sommes Constantin et Elionore, deux personnes bien heureuses ! » disait-elle dans un rire léger, se retournant pour prendre les deux petits verres de whisky, en offrant un à son promis. Elle avala une simple gorgée avant de prendre à nouveau la parole. En temps normal elle aurait sans doute terminé bien rapidement son verre pour en demander un nouveau, toutefois elle ne désirait pas perdre la tête ce soir. Elle se contenterait de se sentir légère et heureuse, ce serait bien dommage que la soirée se termine dans les toilettes à vomir ses tripes pendant qu’il tiendrait ses longs cheveux. Elle lui ferait plaisir et boirait avec modération. Enfin … moins qu’à l’habitude … oui voilà. « Nous partirons lorsque tu seras prêt, mais promet moi d’essayer de t’amuser un peu avant. Ensuite, nous pourrons retourner à la maison … »
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« Jamais je n’aurais imaginé que vos jardins étaient si vastes Constantin ! J’ai l’impression d’avoir marché des kilomètres, votre mère n’a pas encore semé de fleurs ici … J’aime les pivoines. » Plus atteinte par ce sort que tu ne semblais l’être, elle parlait de tes jardins, croyant sans doute que vous y étiez, elle n’arrête pas de parler des fleurs qui sont absente et tu ignores un peu se délire puisque de toute façon, ce n’est pas si important, bien que tu ressens un peu les effets sur toi, tu te concentre sur cette idée de trappe et vous y entrez enfin. « C’est une cave à vin ?! Oh ! » Bien que tu n’y avait aucune idée de ce qui vous attendais, elle n’avait pu te répondre, étant déjà sous l’effet de ce sortilège stupide, quelle idée de sortie avait-elle eu et qui lui avait parlé de ce mini évènement, ça te semblait assez underground. Cette Elionore semblait patauger dans un bain que tu ne lui aurais pas réservé. « Vous êtes bien fort ! Allez-vous au gym ? Je devrais y aller aussi, ma mère m’appelle la reine des poux parce que je suis trop faible. Sommes-nous toujours dans vos jardins ? Il n’y a plus de pivoine, curieux ! »
Puis une fois que vous descendiez dans cette cave, son esprit confus semblait rassembler de nouveau ses idées et elle riait déjà de sa confusion. Tu entendais un certain vrombissement plus vous descendiez, puis cela devint de plus en plus reconnaissable, de la musique, trop forte, trop agressante. Tu n’aimais pas aller dans ce genre d’endroit, c’était agressant à tes oreilles ce genre de bruits, puis vous débouchiez dans un endroit remplit de jeunes sorcier, qui semblait bouger parmi cette musique assommante. La brunette à tes côtés en profita pour attraper ta main et te guider dans cette foule, tu étais sans doute habiller trop proprement à comparer aux autres sorciers. Elle te guida au comptoir au fond de la pièce, tu ressentais la chaleur de cet endroit qui respirait que très peu à ton avis, mais tu n’avais aucune idée où tu te trouvais en ce moment. « La prochaine étape Constantin est simple, évacuer toute la colère, l’inquiétude et l’amertume pour ne laisser place qu’à la folie d’être heureux. Ici, vous n’êtes pas un Crouch, je ne suis pas une Hvedrung, nous sommes Constantin et Elionore, deux personnes bien heureuses ! » Tu la regardas avec un air un peu agacer. Cet endroit n’avait rien de spécial, cette histoire de trappe pour se rendre à une «rave party» te semblait un peu exagérée et ce sortilège de confusion rendait le tout ridicule, c’était peut-être amusant pour une jeune fille de son âge, elle amorçait la vingtaine et bien que tu avoues avoir ressentis du plaisir quant à cette chasse, maintenant tu étais un peu déçus du résultat, tout ce mystère pour un simple bar à danse, alors que si elle voulait simplement prendre un verre dans un endroit public il y aurait eu des moyens beaucoup plus simple que ce labyrinthe de fou, sans toi elle aurait été si confuse qu’elle ce serait perdu parmi ces herbes, mais tu ne passa pas de commentaire. Tu étais plus vieux qu’elle et sans doute qu’à son âge, tu aurais trouvé cette soirée trop épatante.
Certes une fois marier, vous devrez trouver un terrain d’entente pour arriver à avoir du plaisir dans vos sorties et que cela corresponde à chacun d’entre vous. Comme si elle avait lu dans tes pensées, elle continua tout de suite en te présentant un verre. « Nous partirons lorsque tu seras prêt, mais promet moi d’essayer de t’amuser un peu avant. Ensuite, nous pourrons retourner à la maison … » Tu prit le breuvage et l’avala d’une seule traite, elle voulait que tu t’amuses, du moins que tu essais, mais tu détestais danser, encore plus sur ce genre de musique où tu ne savais que faire de tes jambes et tes mains, c’était pourvu de règles. Tu trouvais que tu ressemblais toujours à un vilain canard sur une eau gelée, en gros des gestes non fluides et maladroit ne sachant quoi faire. Ce soir tu n’irais pas sur cette piste de danse. Tu la laissas boire un peu plus, gardant une place près du comptoir. Tu lui offrais un peu de temps puis ce serait le temps de rentrer. Elle prit encore une fois plus d’un verre, tu la laissas aller sur la piste de danse, lui ayant bien dit que tu n’aimais pas vraiment la danse et que ce soit il était hors de question que tu te ridiculises.
Puis ce qui devait arriver, arriva, l’heure de quitter, elle avait plus d’un verre dans le nez et tu optas pour un portoloin qui ramenait devant ta demeure. Elle marchait maladroitement, bon tu avais pas mal bu toi aussi et tu n’étais pas certains que tu serais en assez bon état pour la ramener chez elle et que dirait sa famille, quoi que très ouvertes d’esprit. On parlait tout de même du futur époux de cette jeune femme qui la ramenait avec une odeur de whisky et qui était si saoule, qu’elle ne marchait presque plus droit. En même temps, tu la retenais et elle s’étalait tout contre toi, semblant plus prête à dormir que de rentrer chez elle et il était hors de question qu’elle rentre seule chez elle. L’aidant à circuler, malgré ta propre maladresse qui déclenchait certains fou rire entre vous deux, tu la fis entrer dans ta demeure, jugeant qu’il serait plus sage qu’elle puisse dormir simplement et toi aussi tiens, la fatigue essayait bien de te charmer. Tu lui fis signe de ne faire aucun bruit, marchant maladroitement dans la demeure avec son poids contre toi, vous ricaniez comme deux imbéciles. Puis tu te dirigeas à ta chambre, ne pensant même pas l’installer ailleurs, l’alcool embrumant tes idées, mais valait mieux garder un œil sur elle également. Tu la laissas tomber sur ton lit, alors qu’elle semblait de moins en moins présente d’esprit, cédant au sommeil. Tu t’accroupis et lui retira ses talons, elle dormirait mieux sans, puis tu glissas ses jambes sur le matelas, la recouvrant des draps. Tu rapprochas la corbeil près d'elle, d'un coup qu’une envie soudaine la prenne et qu’elle n’est pas le temps de trouver la salle de bain. Elle serait sans doute très confuse à son réveil, mais tu ne t’en préoccupais pas vraiment, faisant le tour du matelas, retirant tes vêtements; pantalon; chaussette; chemise. Gardant sur toi sous vêtement simplement, l’alcool te donnait le sang chaud et tu souffrais déjà de chaleur normalement la nuit, mais Morphée cognait à ta porte depuis un bon petit moment maintenant. Tu te couchas sur ton lit, ne dérangeant pas ta voisine, puis tu sombras rapidement, certes tu avais trop bu. L’espace d’une soirée cette rouquine t’avais bel et bien sortie de la tête et cette nuit-là tu rêvas de ce labyrinthe, de loups y courant alors que tu pourchassais cette femme aux cheveux brun qui ricanait en te fuyant. Le matin ce pointa beaucoup trop tôt, beaucoup trop vite, malgré le peu de lumière du soleil qui filtrait à travers tes rideaux. Tu avais même oublié la présence de la brunette à tes côtés, lui faisant dos.
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Elle se tenait bien droite, la tête haute alors que son regard se perdait au loin, juché au bout d’une falaise. L’océan, à perte de vue, aussi sombre que ses songes indubitablement rongés par la honte et la colère. Elle observait bien silencieusement les vagues se fracasser contre la pierre, provoquant un grondement accusateur à ses oreilles. L’eau montait à une vitesse presque scandaleuse – tu me chasses, comme si je n’avais jamais existé – elle secouait la tête alors qu’elle reculait d’un pas, de deux, puis de quatre, son dos se fracassant contre un corps qui entourait sa taille de ses bras, riant aux éclats. Elle devait s’échapper, courir et ne plus jamais se retourner, ne pas affronter la réalité qu’elle avait toutefois du regardé de ses propres yeux, impuissante et désemparée. - Cours petites brebis, tu es si facile à trouver – Non, c’était faux. Oui, c’était vrai. Mais elle n’avait pas voulu, elle n’avait pas quitté son regard alors que des larmes abondantes souillaient ses joues. Son père retenant son corps alors qu’elle s’élançait pour empêcher quelque chose d’encore plus injuste qu’une vie d’esclave. Elle le pleurait, tard le soir, observant la lune avec mélancolie, ayant trouvé un complice, un confident plutôt qu’une bête féroce. Elle le chassait hors de sa tête, l’oubliait pour se concentrer sur le présent et non le passé. Seulement elle le pleurerait toujours, observant la pleine lune. Pauvre gamine, tu n’as pas compris et tu ne comprendras jamais, reste dans tes idées saugrenue de la vie, tes idéaux te trahirons tôt ou tard. . Elle retrouvait toujours le bout de la falaise, toujours le bout de la terre, à la limite de cette eau sombre. Une main la tirait vers le bas, une autre vers le haut. C’était probablement ça la folie.
Elle se réveilla en sursaut, le souffle coupé alors qu’elle se redressait vivement dans le lit, ses mains se posant contre ses tempes. Douleur, enfer et damnation, elle poussa une faible plainte, la vive impression qu’elle s’était fait tabasser l’intérieur du crâne durant son sommeil. Elle se laissa retomber lourdement contre le lit, encore un matin à souffrir ses perfides habitudes. Elle n’apprenait pas encore de ses propres erreurs, laissant simplement son corps choir contre le lit, ses yeux observant le plafond. Qui n’était pas son plafond … mhm. Elle fronça les sourcils, tournant la tête pour regarder le corps qui lui semblait nu aux premiers abords. Elle soupira, fouillant ses souvenirs pour mettre un peu d’ordre dans cette soirée. Elle se souvenait vaguement avoir dansé une partie de la nuit, légèrement déçue de laisser Constantin au bar. Ils étaient revenus trop rapidement pour avoir marché. De toute façon n’avait-il pas dut l’aider à marcher dans les couloirs alors qu’ils avaient beaucoup de difficulté à garder leurs fous rires à silence ? Constantin, c’était donc son lit ? Il était nu ? Non, elle aurait certainement gardé souvenir de quelques choses … rien, que des draps qui se posaient sur son corps, toujours habillé. Elle pinça les lèvres, songeuses, c’était bien la première fois qu’elle dormait dans le même lit qu’un homme et gardait sa robe ! Elle afficha un petit sourire, curieux. Voilà un homme bien étrange. Elle observa son corps endormi de ses yeux agressés par le la lumière du soleil qui baignait dans la pièce. Ses yeux longeant sa nuque pour suivre sa colonne vertébrale, son épaule, marquée par trois énormes cicatrices. Elle fronça les yeux, plissant les yeux jusqu’à en perdre la vue, ouvrant à nouveau ses paupières pour observer d’avantage le spectacle qui se dressait devant elle. Un doute s’installa dans son esprit, se remémorant quelques conversations avec son feu rebu. Logan lui avait expliqué les principaux moyens d’infection des loups, simplement pour la protéger des possibles dangers lors des pleines lunes. Il lui avait aussi expliqué la différence entre un loup et un semi-loup, leurs discutions ne c’étant toutefois concentré sur les gros détails. Était-ce simplement possible ? Un chasseur de loup-garou … les possibilités étaient toutefois présentes, même assez logiques. Portait-il le même mal ? Son cœur se serrait alors qu’elle avançait ses doigts sur la peau chaude de son dos, comptant silencieusement jusqu’à dix. Elle effleura sa peau du bout des doigts, prenant soin de contourner les plaies cicatrisées. Ce n’était que des cicatrices, pourquoi diable cherchait-elle plus loin ? Mais c’était simplement plus fort qu’elle, observant de ses grands yeux les détails de sa peau jadis déchirée avec violence. Elle s’approcha légèrement de l’homme qui lui faisait toujours dos, comme si la proximité pouvait lui souffler l’histoire.
Elle souffla délicatement contre sa peau, fermant les paupières alors qu’elle divaguait silencieusement sur le sujet, imaginant une scène beaucoup trop horrible pour un matin déjà douloureux pour son corps meurtri par la danse et la course.
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Un léger frôlement, cela faisait des années que tes cicatrises ne te démangeaient plus autant, puis un souffle, non ton chat n’avait pas la possibilité de te souffler dans le dos, frôler sans doute avec sa queue, mais pas le reste. Puis tu repensa vaguement à ta nuit, te mémorisant avoir étendu cette fille dans ton lit, n’ayant qu’une envie de faire de même, tu te retournes d’un geste rapide laissant le matelas grincer doucement, faisant face à cette jeune brune, son regard croisant le tiens. Tu l’avais oublié, et dire qu’elle avait vue maintenant ton dos qui avait surement dû la passionner. Sa famille était des plus curieux, elle te demanderait rapidement comment cela était arrivé et tu n’avais pas envie de partager ça avec elle, pas tout de suite. Puis si tu évitais le sujet, elle se douterait bien de quelque chose et elle pourrait peut-être même s’imaginer pire… Ayant passé la surprise de la voir là, tout ton corps tendu se relaxa de nouveau, ta tête retournant contre le confort de ton oreiller. «Bonjour… » Tu lui offris un léger sourire. «Je pense que j’ai ma réponse quant à votre tolérance à l’alcool et la prochaine fois vaudrait mieux ne pas trop en abuser. Si ma mère entrait vous imaginez ce qu’elle s’imaginerait…» Tu levas un sourcil pour appuyer tes dires. «Je me voyais mal vous ramener chez vous hier dans l’état que nous étions… Semblerait-il que je vous ai simplement bordé dans mon lit…» Ton chat vint se poster entre vous deux, s’étirant de tout son long en miaulant, réclamant des caresses à l’un de vous, il se frotta contre ta tête puis alla rejoindre la brunette, se frôlant dessus, ce chat n’avait pas de manière bon. «Puis si on est pour se marier prochaine, vaudrais mieux commencer à se tutoyer maintenant, non?» Tu lui parlais toujours de façon polie comme un membre de l’élite, mais certes si vous deviez montrer un rapprochement, il serait mieux que vos manière d’agir semble paraissent plus proche, plus intime que la réalité. «Ta tête, ça va?» Tu connaissais les effets d’un lever après un lendemain de veille et tu ne savais pas si elle avait l’habitude d’en vivre souvent, bien que dans sa famille, avait surement eu plusieurs occasion pour boire avant l’âge requis, n’est-ce pas?
Tu entends des bruits de pas se rapprocher de ta chambre, ce qui n’est pas habituel puisque habituellement tes parents ne viennent que très rarement dans cette aile et les domestiques essaient de passer en coup de vent quand tu n’y es pas. On cogne alors à ta porte, puis sans plus attendre celle-ci ouvre et ton père y entre, il te remarque puis son regard glisse sur la jeune femme. Monsieur Crouch est sans doute un des plus grands gentlemen puisqu’il ne change pas d’expression et ne dit rien. «Eh bien bonjour, cela tombe plutôt bien que vous soyez parmi nous mademoiselle Hvedrung, nous ferons ajouter un couvert pour le déjeuner, Constantin on parlera plus tard puisque tu n’es pas seul, si vous avez besoin de quoi que ce soit vous trouverez des vêtements dans la chambre au bout, faites comme chez vous, je vous attends donc à la salle à manger. Nous pourrons parler de votre union.» Il offre une salutation à la demoiselle et ressort aussi vite qu’il est entré, tu regardes Elionore. «Il s’est clairement imaginer quelque chose, mais il ne dira rien…» Tu pris places assises dans le lit, regardant autour du matelas, voyant tes vêtements éparpiller au sol, il était clair que tu n’allais pas les remettre, trop froissés. Tu te levas donc allant à l’armoire au fond de ta chambre, en simple sous-vêtement, c’était comme un short et puis tu n’étais pas très timide à vrai dire.
Tu enfilas rapidement un pantalon et sorti une chemise que tu enfilas rapidement. «Oh pour ce qui est des vêtements, il y a vraiment des vêtements si tu veux te changer, une garde-robe pleine à vrai dire, mon père s’arrange toujours pour ne manquer de rien surtout avec une union qui approche. Puis peut-être que ma mère se posera moins de question que si elle voit cette même robe que la veille, mais plus froissé qu’hier, mais c’est toi qui voit, mon père s’attend vraiment à ce que tu sois présente à la table maintenant.» Tu roulas doucement des yeux en pensant à ton père, boutonnant déjà ta chemise. «Je crois qu’on aura droit à une discussion pour ce qui est des exigences de mon pères, on t’en as déjà parler non?»
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Elle hoqueta, rétractant sa main contre son propre alors que Constantin se tournait bien rapidement, lui faisant face. Il la salua lui offrant un sourire matinal, ce qui la fit sourire à son tour. Pour la toute première fois de sa vie elle se sentait embêtée, ne sachant que faire dans ce bien grand lit. Il était son futur époux, mais l’embrasser lui semblait assez inapproprié, même pour elle. L’enlacer n’était pas non plus une option … elle pinça les lèvres, fermant doucement les yeux. Que devait-elle faire dans ce genre de situation ? « Je pense que j’ai ma réponse quant à votre tolérance à l’alcool et la prochaine fois vaudrait mieux ne pas trop en abuser. Si ma mère entrait vous imaginez ce qu’elle s’imaginerait…Je me voyais mal vous ramener chez vous hier dans l’état que nous étions… Semblerait-il que je vous ai simplement bordé dans mon lit… » avait-il expliqué en arquant un sourcil, comme pour accentuer ses paroles. Elle éclata de rire, roulant sur elle-même pour se retrouver sur le dos, ses yeux observant fixement le plafond. Elle se sentait déjà plus détendue. « Eh bien, je crois ne pas avoir fait trop de frasques ! Et puis c’est vous qui êtes pratiquement nu, pas moi ! Vous pourrez consulter mes avocats en ce qui concerne vos fabulations sur mes capacités à boire, mais les preuves sont officiellement en votre défaveur ! » avait-elle tranché, levant l’une de ses mains pour cacher ses pauvres yeux du soleil. « Puis si on est pour se marier prochaine, vaudrais mieux commencer à se tutoyer maintenant, non? » - elle hocha la tête, souriant avec légèreté. C’était probablement une bonne idée, les convenances c’était bien et ça sonnait doux, mais elle avait toujours l’impression d’être une étrangère. « Ta tête, ça va? » demandait-il. Elle soupira piteusement, se tournant finalement pour lui faire face, posant sa main contre l’oreiller. « Ma tête ? Ne m’aurais-tu pas frapper contre un meuble en me bordant ? Je ne serais pas fachée mais ça expliquerait bien des choses ! Et comment va la tienne ? » demandait-elle tout sourire. Il ne devait pas être dans un meilleur état qu’elle à vrai dire, il avait bu autant non ? « Puis si on est pour se marier prochaine, vaudrait mieux commencer à se tutoyer maintenant, non? »
La jeune femme sursauta au moment où la porte s’ouvrit sans attente d’une réponse. Elle se redressa bien vivement dans le lit, ses longs cheveux en bataille trônant sur sa tête. Elle devait avoir une très mauvaise mine, ce qui n’était probablement pas en ça faveur ! Les joues rouges de honte, elle osa à peine regarder l’homme qui se tenait devant eux, les regardant comme si de rien n’était, parlant de déjeuner et de mariage. Beaucoup trop d’information pour son crâne qui la martelait sans relâche. Ehh … pourquoi n’avait-elle pas un retourner de temps ? Ils auraient pu dormir des lustres avant d’être forcés à prendre part à un déjeuner qui semblait bien formel. Pétrifiée, elle tourna bien lentement son visage pour regarder le fils de l’homme qui l’avait convié à sa table, les yeux rond et ses lèvres formant un ‘’ O ‘’. « [color=#0066ffIl s’est clairement imaginé quelque chose, mais il ne dira rien… [/color] » Expliquait-il. Se faire surprendre était une chose, mais se faire méprendre en était une autre. Comment pourrait-elle garder un peu de dignité face à ses parents maintenant ? Elle passa ses mains sur son visage, soupirant longuement. Elle pouvait sentir le matelas bouger sous le poids de Constantin, le regardant s’aventurer dans la chambre en simples sous-vêtements. Elle écouta ses paroles, il semblait bien exaspéré par le comportement de son père pour tout dire. Elle hocha rapidement la tête, se levant pour quitter la chambre à coucher.
Une fois entrée dans la nouvelle pièce, elle se laissa retomber contre la porte, glissant lamentablement jusqu’au sol. C’était bien avant que son père ne débarque ! Elle appréciait le connaître peu à peu, là c’était le retour à la case départ. Elle se releva péniblement, s’approchant de la penderie, farfouillant parmi les vêtements de marque qui trônait avec splendeur. Elle attrapa une petite robe légère couleur corail, l’enfilant sans faire de chichi. Elle attacha ses cheveux dans une longue tresse légèrement éméchée, tentant bien nerveusement d’effacer les traces de mascara sous ses yeux. Heureusement qu’elle ne portait pas beaucoup de maquillage, si non … allo l’horreur ! Elle quitta la salle, consciente d’être peu présentable pour sa nouvelle belle-famille, mais ça ferait l’affaire pour ce matin. Au moins elle avait toujours des vêtements lorsqu’elle avait été surprise par son père. C’était déjà ça ! Elle inspira longuement rejoignant la cuisine avec nervosité, ne sachant que trop ce qui l’attendait au cours de ce déjeuner. Elle salua bien joyeusement la mère de Constantin qui affichait un rictus presque stupide, imaginant probablement que son fils avait déjà conquis son cœur en une seule nuit! Un vrai prince charmant ! Elle prit finalement place à la table au côté de Constantin, portant à ses lèvres un verre d’eau, une sensation bien agréable qui glissait dans sa gorge asséchée. Elle pinça les lèvres posant ses mains sur ses cuisses, jouant nerveusement avec l’ourlet de sa robe. « Merci de m’accueillir aussi gentiment ! Je crois avoir tombée endormie alors que nous discutions hier soir. Mhm J’espère ne pas trop vous importuner ! Je crois aussi que vous vouliez discuter de cette merveilleuse union qui nous attend. Nous avons discuté du sujet hier avec votre fils et je crois que nous sommes entendus sur nos visions respectives du mariage. Votre fils me semble être le parfait mari pour moi ! Je me hâte de parler préparatif avec vous madame Crouch ! Ce sera une bien belle aventure ! » disait-elle tout sourire, prenant une nouvelle gorgée de son verre d’eau. Comme elle aimait l’eau ce matin !
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Elle te parla de son mal de crâne, bah le tiens n’était pas en meilleur état, mais tu ne te rappelais pas de lui avoir cogné la tête. Tu regarderais pour de l’aspirine, un produit moldu qui pouvais aider assez rapidement, déjà, vous aviez besoin de cous réhydrater. Puis la visite éclair de ton père sembla mettre la jeune femme dans un état différent. Elle semblait gêner, embarrasser, mais ton père ne serait pas du genre à raconter ça. Elle se leva et alla se changer dans l’autre chambre, tu la retrouvas à la salle à manger, ta mère lui souriant radieusement, ton père lisait les nouvelles du journal le temps que tu arrives en buvant une tasse de café. Tu vins prendre place à ses côtés, attaquant le verre d’eau devant toi, heureusement elle faisait de même. Tu avais pris le temps d’aller chercher de l’aspirine pour elle, en ayant déjà avalé dans la salle de bain avant d’arriver.
« Merci de m’accueillir aussi gentiment ! Je crois avoir tombée endormie alors que nous discutions hier soir. Mhm J’espère ne pas trop vous importuner ! Je crois aussi que vous vouliez discuter de cette merveilleuse union qui nous attend. Nous avons discuté du sujet hier avec votre fils et je crois que nous sommes entendus sur nos visions respectives du mariage. Votre fils me semble être le parfait mari pour moi ! Je me hâte de parler préparatif avec vous madame Crouch ! Ce sera une bien belle aventure ! » Elle en faisait clairement trop, mais cela plairait à ton père et certes ta mère qui semblait tant l’adorer déjà. Ta mère jubilait depuis le départ de Beatrix, elle avait repousser cette événement du revers de la main en te conseillant de te concentrer sur la vrai femme que tu aurais dû avoir et que ton père trouverais au lieu de te mettre des bâtons dans les roues, elle ne comprenait pas et elle devait plutôt être heureuse de ne plus avoir à se forcer à aimer cette jeune femme qui était le rappel constant que le mariage de sa sœur était un échec. Comme elle avait parlé, ton père, galant comme toujours, avait déposé son journal pour l’écouter, lui offrant un petit sourire bienveillant. Tu fis signe à votre domestique de venir et lui demanda deux énormes verres de jus d’orange pour toi et elle, cela ne vous ferait pas de mal et redonnerait de la vitamine. Tu glissas alors ta main sur sa cuisse, dans le but de lui donner les deux cachets d’aspirine sous la table, loin du regard de ta mère, histoire qu’elle puisse mieux croire à cette histoire de discussion si longue qu’elle était tombée endormit là. Attendant qu’elle les prenne, pourtant, cela semblait plus la rendre surprise? Tendu? Géner? Colérique? Alors que ta mère goûtait à son thé que ton père demandait à la domestique d’apporter le déjeuner, tu te penchas sur elle, lui murmurant doucement à l’oreille.« Prend les, les cachets, pour ton mal de tête…» tu secouas un peu sa main sur sa cuisse histoire qu’elle comprenne où était les cachets, peut-être avait-elle cru que tu serais un pervers qui la toucherait sous la table devant ses futurs beaux-parents?
Ta mère déposa sa tasse et tu libéras sa cuisse de ta chaleur lorsqu’elle les prit enfin. Elle sourit à la jeune fille près de toi. «Oh ma chère n’ayez crainte, c’est tout à fait normal de parler si tard quand on sait que votre future sera intimement lié, ne vous inquiétez pas, nous n’y voyons aucun mal et cela nous fera toujours plaisir de vous avoir avec nous bien entendu. J’ai bien hâte de préparer tout cela avec vous et quel bonheur de voir que vous êtes si enjouée à cette idée.» Puis la domestique arriva enfin avec les deux verres de jus d’orange fraichement pressés, les déposants devant vos assiettes, vous offrant ensuite brioches, fruits divers et crêpes. Ton père vous regarda un petit sourire planait sur ses lèvres, il semblait satisfait du portrait que vous offriez côte à côte. «Bon, j’avoue être ravis d’entendre de si belle parole ma chère Elionore, puis de vous avoir avec nous arrange un peu les choses, tant mieux si vous avez échanger ensemble vos points et ententes mutuels, cela est de votre ressort et non du nôtre. J’aimerai tout de même vous offrir l’opportunité de vous connaitre l’un et l’autre mieux avant cette union, vous aurez donc droit à une chambre ici, si vous le désirez, nous avons cette tradition à cœur dans notre famille et cela arrange habituellement bien les deux futurs époux à mieux répondre quand à cette union de convenance. Vous avez vu la chambre au bout du couloir avec cette garde-robe, eh bien ce serait la vôtre et ce qui s’y trouve, vous appartiendrais dès aujourd’hui si vous le souhaiter. Cela ne vous empêche en rien d’aller travailler et de rester avec votre famille, seulement vous pourriez voir ce manoir comme une seconde maison, une seconde famille qui vous accueille et vous auriez beaucoup plus la chance de pouvoir vous entretenir avec Constantin sans tomber de fatigue.» Il termina sa phrase pas un petit clin d’œil complice.
Tu l’avais laissé parler, sachant que pour l’ancienne cette restriction l’avait fait sentir en prison, mais cette fois ton père lui offrait l’opportunité et non lui réclamait, à croire qu’il avait gardé une certaine leçon de l’expérience. Tu regardas la brunette à tes côté, attendant sa réponse avec curiosité et intérêt. Elionore te semblait du même moule que Beatrix, mais complètement différente, elle piquait ta curiosité et tu osais croire que vous pourriez vraiment finir pas être heureux par cette union. Puis ta mère sourit doucement en regardant sa future bru. «Je me disais que vous pourriez célébrer le mariage dans nos jardins si votre famille est d’accord bien entendu, nous avons un domaine si vaste et merveilleusement colorés, puis notre salle de réception pourrait servir pour le banquet, mais il serait possible aussi d’installer des tables à l’extérieur également. Ah ma chère Élionore, je me sens si choyé d’avoir maintenant une fille a aimer.» Tu regardas ta mère, elle n’avait pas dit de si beaux mots à l’ancienne, elle avait été polie et elle fait bien des efforts malgré les tensions entres elles, mais avec Élionore cela lui semblait si naturelle, si vrai, si réconfortant, puis tu savais qu’elles se connaissaient bien toutes les deux, ta mère l’appréciant déjà depuis un moment maintenant, Élionore serait un bonbon sucré et non une réglisse amère à manger.
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La jeune femme resta de marbre, pouvant sentir chaque muscle de son corps se contracter sous la chaleur de cette main qui se glissait sur sa cuisse. Les yeux ronds, son souffle se coupa de surprise, un long frisson lui parcourant l’échine. Le vicieux ! Elle fronça finalement les sourcils, inclinant la tête avec confusion. C’était probablement une blague ! Non non, mais on récapitule là, on fait pause puis on prend le temps d’examiner la situation ! Quelque chose cloche chez les Crouch ! Avait-il vraiment dormir pratiquement nu à ses cotés, alors qu’elle aurait accepté tout et n’importe quoi, toute la nuit en lui faisant dos? Essayait-il vraiment de lui caresser subtilement les cuisses sous la table devant ses parents qui déjeunaient ? La perversité de la chose n’étant en rien l’origine de sa colère, elle ne comprenait simplement pas ce qui arrivait. Il ne pouvait pas jouer les agaces aussi subitement ! De toute c’était son rôle à elle les vacheries sexuelles ! Elle retroussa sa lèvre inférieure, mimant la bouderie. « prend les, les cachets, pour ton mal de tête… » avait-il murmuré, agitant sa main contre sa cuisse. Elle le regarda blasée et agacé, évidemment Constantin n’était surement pas le genre d’homme qui vous prenait sauvagement un mur de brique au milieu de la nuit simplement parce qu’il en avait envie, étrangère ou non. Elle soupira, mélangée entre l’exaspération et l’impression d’être ridicule. Elle attrapa les cachets, sautant sur l’occasion de ne pas être épiée pour les avaler d’une traite, prenant une gorgée du grand verre de jus d’orange qui trônait devant elle.
« Oh ma chère n’ayez crainte, c’est tout à fait normal de parler si tard quand on sait que votre future sera intimement liée, ne vous inquiétez pas, nous n’y voyons aucun mal et cela nous fera toujours plaisir de vous avoir avec nous bien entendu. J’ai bien hâte de préparer tout cela avec vous et quel bonheur de voir que vous êtes si enjouée à cette idée. » - Elle hocha la tête, souriant à pleine dent à la mère de Constantin. Au fond, elle était bien heureuse d’être tombée sur une femme aussi adorable. Elle savait parfaitement qu’elle prendrait soin de chaque étape aux préparatifs et rien ne serait négligé. Ce qui l’arrangeait au final, elle adorait préparer des réceptions, mais, son mariage … elle l’avait imaginé bien simpliste. Rien de trop extravagant, de la dentelle, des pivoines, du crème/blanc/pêche, quelques amis proches ainsi que la famille, du champagne … un mariage aux allures douce et chaleureuse, qui respirait l’harmonie. Seulement, ce ne serait pas suffisant pour l’élite et elle écouterait attentivement les conseilles de sa belle-mère.
Soudainement, la jeune femme redressa le dos, un sourire bien malicieux aux lèvres. Elle avait de la difficulté à cacher ses émotions lorsqu’elle avait une idée bien délurée en tête. Elle jeta un bref coup d’œil à son assiette ainsi qu’aux parents de Constantin, pinçant les lèvres pour retenir son rire. C’était bien de sa faute à lui, ne vous méprenez pas ! Elle posa bien subtilement sa main contre le genou du plus vieux, se tournant pour regarder son père qui prenait la parole, écoutant attentivement son discours. Sa main glissant langoureusement entre ses cuisses, remontant vers son entrejambe. Peut-être apprendrait-il de son erreur précédente ? Il ne fallait certainement pas la faire frissonner et penser s’en tirer comme ça. Psht. « Bon, j’avoue être ravis d’entendre de si belle parole ma chère Elionore, puis de vous avoir avec nous arrange un peu les choses, tant mieux si vous avez échangé ensemble vos points et ententes mutuels, cela est de votre ressort et non du nôtre. J’aimerai tout de même vous offrir l’opportunité de vous connaitre l’un et l’autre mieux avant cette union, vous aurez donc droit à une chambre ici, si vous le désirez, nous avons cette tradition à cœur dans notre famille et cela arrange habituellement bien les deux futurs époux à mieux répondre quand à cette union de convenance. Vous avez vu la chambre au bout du couloir avec cette garde-robe, eh bien ce serait la vôtre et ce qui s’y trouve, vous appartiendrais dès aujourd’hui si vous le souhaiter. Cela ne vous empêche en rien d’aller travailler et de rester avec votre famille, seulement vous pourriez voir ce manoir comme une seconde maison, une seconde famille qui vous accueille et vous auriez beaucoup plus la chance de pouvoir vous entretenir avec Constantin sans tomber de fatigue. » avait-il conclu. Un long, si long discourt ! Sans bronchée la jeune femme agissait aussi normalement que possible. Il se mettrait probablement en colère, ce qui n’était pas plus mal que ça. Elle expérimentait, tentait de comprendre cet homme bien contradictoire.
« Je vous remercie pour l’offre monsieur Crouch! Je dois avouer que de passer plus de temps avec Constantin serait sans doute bénéfique pour apprendre à se connaître réellement ! À la maison … Mes frères et sœur nous mèneraient surement la vie dure ! Ils sont bien enquiquineurs ! Votre maison est beaucoup plus apaisante pour tout dire ! Je ne peux malheureusement pas délaisser ma mère trop souvent, car j’aide beaucoup pour ce qui est de mes frères et sœur, ils sont si nombreux ! Mais il me ferait plaisir de venir après le diner et de prendre le thé avant d’aller dormir. Il sera aussi beaucoup plus facile pour moi et Constantin de choisir certaines décisions pour le mariage si nous sommes ensemble à un moment de la journée ! » Avait-elle dit, dessinant quelques spirales du bout du doigt, toujours sur la cuisse de son futur époux, ne lui jetant aucun regard. C’est vrai qu’elle aurait de la difficulté à jongler entre famille, mariage, belle-famille, connaitre son futur époux, travail et amusement ! Elle devait toutefois préparer Nessa qui prendrait la relève dans l’aide de maman Hvedrung. Cette gamine ne pouvait simplement pas faire abstraction de ses désirs contre ses obligations. Elle tourna son visage en direction de sa belle-mère qui prenait encore une fois la parole. « Je me disais que vous pourriez célébrer le mariage dans nos jardins si votre famille est d’accord bien entendu, nous avons un domaine si vaste et merveilleusement coloré, puis notre salle de réception pourrait servir pour le banquet, mais il serait possible aussi d’installer des tables à l’extérieur également. Ah ma chère Élionore, je me sens si choyé d’avoir maintenant une fille a aimé. »
Surprise, elle regardait madame Crouch avec un visage soudainement illuminé, souriant franchement. Peut-être aurait-elle un mariage comme elle l’avait souhaitée ? « Je – J’adorerais ! Enfin, si Constantin le veut bien aussi ? Votre jardin est magnifique et s’harmoniserait parfaitement avec mon mariage de rêve ! J’espère ne pas trop vous décevoir, j’aimerais quelque chose de classique, de doux, de chaleureux. Les diamants peuvent aller voir ailleurs, je ne rêve que de fleurs et beaucoup d’amour entre nos deux familles ! » avait-elle dit d’une voix rêveuse. Elle baissa les yeux un instant, glissant finalement sa main pour prendre celle de Constantin, pressant ses petits doigts contre sa peau chaude. « J’aimerais que tu participes un peu … enfin je veux dire – je sais que les hommes n’ont que faire des préparatifs de mariage ou réception, mais – C’est aussi ton mariage, autant avoir quelques souvenirs qui te font plaisir ? Des choses qui te plaisent. »
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Alors que ton père se perd encore en grand discours comme il le fait toujours si bien et un peu trop souvent, tu sens une main se déposa contre ton genou, celle d’Élionore. Te laissant froncer des sourcils un instant, puis tu sens sa menotte monté tout doucement vers ta cuisse, ton entre-jambe, avoir la chance de te relever rapidement tu le ferais, elle te caresse carrément la vicieuse. Puis ta mère et ton père porte une attention vers vous, impossible de retirer ta main sans avoir l’air louche ou la faire paraître encore plus louche. « Je vous remercie pour l’offre monsieur Crouch! Je dois avouer que de passer plus de temps avec Constantin serait sans doute bénéfique pour apprendre à se connaître réellement ! À la maison … Mes frères et sœur nous mèneraient surement la vie dure ! Ils sont bien enquiquineurs ! Votre maison est beaucoup plus apaisante pour tout dire ! Je ne peux malheureusement pas délaisser ma mère trop souvent, car j’aide beaucoup pour ce qui est de mes frères et sœur, ils sont si nombreux ! Mais il me ferait plaisir de venir après le diner et de prendre le thé avant d’aller dormir. Il sera aussi beaucoup plus facile pour moi et Constantin de choisir certaines décisions pour le mariage si nous sommes ensemble à un moment de la journée ! » Elle y met du cœur la vilaine et puis bon, passé la surprise, tu te fais discret, écoutant plus ou moins les paroles d’Élionore qui répond à ton père. Tu aurais aimé mieux te concentrer sur sa réponse, elle a parlé de sa mère non? Puis bon voilà tu n’es pas fait de bois, ton corps réagit à ses caresses, tu serres doucement le poing, le loup se réveille peu à peu, encore endormit, encore enchainé depuis le départ de Beatrix, il aime pourtant la chair fraîche, elle va sur des sentiers inconnus, elle ne sait pas encore à quel point. Puis ta mère lui parle doucement, tu n’écoutes plus vraiment, ressentant seulement la main de celle-ci tout contre toi, de concentrant à continuer de manger, c’est un vrai torture surtout après tout ce temps ou ton corps s’était restreint de ce genre de chose, tu l’avais endormit avec le départ de Bea, tu n’avais pas rien fait depuis alors cette caresse te semblait beaucoup plus forte, plus intense que ce que cela était en vrai.
« Je – J’adorerais ! Enfin, si Constantin le veut bien aussi ? Votre jardin est magnifique et s’harmoniserait parfaitement avec mon mariage de rêve ! J’espère ne pas trop vous décevoir, j’aimerais quelque chose de classique, de doux, de chaleureux. Les diamants peuvent aller voir ailleurs, je ne rêve que de fleurs et beaucoup d’amour entre nos deux familles ! » Ça parlait mariage et arrangement, tu te concentrais à boire ton verre de jus normalement sans faire de bruit étrange. Puis elle s’arrêta enfin, glissant sa main dans la tienne, devinant que toute l’attention était portée vers toi. Elle te regarda en te faisant une demande, ton père et ta mère vous fixait attendant ta réponse. « J’aimerais que tu participes un peu … enfin je veux dire – je sais que les hommes n’ont que faire des préparatifs de mariage ou réception, mais – C’est aussi ton mariage, autant avoir quelques souvenirs qui te font plaisir ? Des choses qui te plaisent. » Tu la regardas et lui fit de gros yeux l’espace d’un instant pour la punir de ce qu’elle t’avait fait subir sous cette table alors que tes parents étaient présents. Puis tu ne voyais pas trop quoi faire pour participer aux préparatifs, tu pouvais donner ton avis, mais tu ne contredirais pas ce que femme veux, car tu savais qu’elle pouvait mordre pour obtenir ce qu’elle désirait. «Je ferai mon possible, mais à part gouter des gâteaux et donner mon avis, je ne vois pas trop en quoi je pourrais aider, je ne suis pas un expert de la décoration… ni des réceptions.» Ta mère t’écouta parler et sourit à cette promesse, bien heureuse, pouvant certainement croire que vous sauriez heureux, Elionore semblait si amoureuse déjà, lançant des tonnes de fleurs à sa future belle-famille.
Le déjeuner ce termine, ton père semble satisfait de la réponse de la demoiselle, lui disant qu’il est normal de prendre son rôle à cœur avec sa mère, mais qu’elle aura toujours un accès illimité à votre demeure. Puis il retourne à son journal, ta mère quant à elle propose à la jeune fille de venir souper demain soir, tu proposes maintenant à Élionore de la raccompagner, car ta mère te le reprocherait si tu ne le faisais pas, tu dois autant t’investir dans ce mariage qu’elle. Tu te lèves de table, invitant la demoiselle à en faire autant, prêt à la gronder une fois hors de vue. Ta mère en profite pour embrasser sa future bru avant de vous laisser filer et ton père te rappelle qu’il veut un entretien avec toi à ton retour. Une fois sortie de la salle à manger, tu lui attrapes le bras, assez solidement, la forçant à te suivre parmi ses pièces à parcourir dans la maison, t’arrêtant lorsque tu es sur que tu seras loin d’oreilles indiscrètes. Tu la regardas alors, un air plus mauvais au visage. «Ne refais plus jamais ça, mes parents étaient là voyons!» Tu murmures d’un ton sec, légèrement contrarié, bien que ton corps ait apprécié, bien que le loup s’était éveillé et qu’il en redemandait, une boule s’étant formée au fond de ton estomac. Pourtant elle semble trouver ça plus amusant qu’effrayant, ce qui te contrarie un peu plus. Elle ta fait perdre un peu la face non, personne ne l’a remarqué, mais toi tu le sais, elle va se jouer de toi elle aussi? Utiliser cette même arme contre toi? Celle que tu ne pouvais résister bien longtemps, tout comme l’avait faite Beatrix avant elle, pourtant, tu savais que cette femme t’appartiendrait prochainement, elle ne comptait pas s’enfuir, mais si tu lui montrais le monstre qui se cachait au plus profond de tes entrailles, serait-elle aussi prête à rester? «Puis vous ne devriez pas trop jouer avec le feu, car je vous garantis qu’un jour vous vous brûlerez.» Tu avais laissé son bras depuis un petit moment, regardant un instant son corps dans cette robe, un feu plus ardant brillant dans tes yeux, laissant ta main caresser du bout des doigts en un frôlement son corps, frôlant un sein et sa hanche. «Vous ne savez pas à quel point encore.» Laissant transparaitre un instant la bête, le loup vorace, en toi, qu’elle ressente ce danger l’espace d’un instant. «Bon aller je vous ramène chez vous avant que votre mère ne s’inquiète…»
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