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sujet; how can I stand here with you and not be moved by you ? (theomione)

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knock, knock, knocking on heaven's door


 
 
 





« Wow. wow. wow. » Hermione cligna plusieurs fois avant que ses yeux noisettes ne se détachent  enfin du liquide marron-orangé, qui lui rappelait indéniablement une pinte de Bierraubeurre. Elle releva délicatement la tête, ses boucles brunes virevoltant avec le léger mouvement. Assise sur une chaise en bois, les coudes posés négligemment sur la table, Rosie - une jeune empathe qui avait rejoint les Audacieux quelques semaines auparavant - fixait d'un air absent la surface rugueuse de la table, autour de laquelle elles s'étaient assises trois heures plutôt. Les sens en alerte, Hermione s'apprêta à s'enquérir anxieusement de l'état de son amie, lorsque Rosie laissa échapper un gloussement que Granger n'avait plus entendu depuis l'époque de Poudlard, lorsque Lavande et Patil discutaient garçons dans leur dortoir.

« Ne regarde surtout pas. » pouffa-t-elle à nouveau, en se penchant au dessus de la table vers la née-moldue. Les yeux pétillants, et sur un ton de confidence, elle ajouta quelque chose qui fit paniquer l'ancienne Gryffondor. « Mais il y a un type qui vient de tomber raide dinguuuue » commença à chuchoter Rose, le regard pétillant de malice et d'excitation, « - amoureux de toi. » Comment...? « où ? » interrogea l'insurgée d'une voix chevrotante. Elle sentait son pouls s'accélérer. « Près du bar. » Hermione était la seule des deux résistantes à se trouver directement face au comptoir. Elle avait une vision immédiate, mais se retint avec succès d'y jeter un coup d'oeil qui, à coup d'être, n'aurait guère été subtil vu l'état d'affolement dans lequel elle se trouvait. « C'est très intense. » continua fébrilement Rosie, comme atteinte d'une ivresse euphorique. « ça vient d'arriver ? » Son amie montrait une certaine inconscience et candeur qu'Hermione ne partageait guère en cet instant. Cette dernière avait l'impression qu'on venait de lui jeter un seau d'eau glacé en pleine figure. Elle avait un mauvais pressentiment, et ne put alors s'empêcher de se mordiller la lèvre inférieure par nervosité. « Oui, d'un coup comme ça. » répondit-elle, en claquant des doigts. Granger s'était préparée à ce genre d'éventualité : qu'une personne reconnaisse l'une des identités physiques qu'elle empruntait régulièrement grâce au polynectar. Elle s'assurait alors constamment de n'utiliser les mèches de cheveux qu'à des endroits diamétralement opposés géographiquement. Même si, au fond d'elle, l'ancienne préfète avait toujours su que la probabilité  - bien que très faible - d'être reconnue, subsistait.

Hermione réfléchissait  déjà à la manière dont elle pouvait quitter le pub sans anicroche. Sans doute tenterait-il d'engager la conversation en la voyant partir. Pourrait-elle prétexter un mal de tête ? Une perte passagère de la mémoire due à un accident récent ? Prétendre qu'elle le connaissait, et couper court aux civilités ? L'homme connaissait-il au moins la jeune femme ? Il pouvait très bien s'agir d'une tentative de flirt avec une inconnue qu'il venait de trouver à son goût, en balayant le pub du regard. Non. Rosie semblait certaine de l'intensité des émotions qui tenaillaient le garçon. Il devait la connaitre. Les coups de foudre s'avéraient scientifiquement possibles d'un point de vue biochimique, même si Hermione n'en avait jamais été témoin. Le coeur battant la chamade, Granger se décida d'attendre quelques secondes afin de se ressaisir, avant de balayer innocemment la salle du regard.

Lui ?

Impossible.

Elle parvint à ne pas le fixer, continuant avec brio d'inspecter la salle sans montrer un surprise quelconque, se contentant d'observer furtivement les autres clients aux alentours, comme si Hermione ne venait pas de reconnaître en une seule fraction de seconde l'une des plus mystérieuses personnes qui lui avait été permise de rencontrer.

Si rien ne laissait trahir l'angoisse et le malaise qui l'avaient saisie, Rosie sentit néanmoins toute son agitation intérieure grâce à son don d'empathe. La résistante fronça les sourcils, dans la plus complète incompréhension. « Pas de panique, c'est juste de l'amour. » essaya-t-elle de rassurer la née-moldue, d'une voix soudainement plus sobre. « Super intense, j'avoue. » ajouta la jeune sorcière, haussant les épaules. « J'ai jamais ressenti ça. C'est comme s'il était aveuglé, ça le submerge, c'est fou. » Rose  pencha la tête sur le côté, son regard se perdant à nouveau sur la surface de leur table. « Oh ! » Elle croisa le regard d'Hermione, une éclat de conscience brillant dans ses prunelles océans. « tu crois que ça va tourner en obsession, et que ça va pas finir violemment, c'est ça ! » devina hasardeusement Rosie. Granger leva son verre et but une gorgée du liquide orangé, et acquiesça discrètement, de manière à ce que Théodore Nott ne puisse lire sur ses lèvres.

Avait-il lancé un Sonorus ? Avait-il utilisé un objet de l'ancienne boutique des frères Weasley ? Elle ne pouvait pas avertir Rosie si tel était le cas, mais ne pouvait décemment guère la lâcher dans la nature sans protection, et la mener tout droit dans un guet-apens.

« Tu te souviens de la robe rose dont tu me parlais tant Ainsley ? » Elle se mordit la lèvre, réalisant son erreur. Et s'il connaissait l'identité de la moldue dont Rosie avait emprunté l'apparence ? Avait-il tué ? Capturé ? Savait-il qu'elle ne s'appelait pas Ainsley, et qu'il ne s'agissait-là que d'un prénom inventé de toute pièce sur le moment ?  « J'aimerais beaucoup que nous allions la revoir devant la vitrine, avant de rentrer chez mon oncle Henry. » Confuse, Rose fronça à nouveau les sourcils, avant de faire le lien entre la panique et les mots de son amie. Elle écarquilla les yeux, et entrouvrit légèrement la bouche. « sorcier. » put lire Hermione sur les lèvres de sa comparse. En guise de réponse, les lèvres de Granger s'étirèrent délicatement en un doux sourire. Cela suffit à Rosie pour se lever brutalement, faisant presque tomber sa chaise en arrière. « On y va, on y va. » rit-elle  nerveusement, faisant tiquer la née-moldue. Mione ressentit plus qu'elle ne vit la poigne de Rosie sur son avant-bras, la forçant à la suivre en dehors du pub. Theodore ne la lâchait pas du regard, elle pouvait sentir qu'il guettait le moindre de leurs gestes au fur et à mesure qu'elles s'approchaient du bar, et de l'endroit où il s'était assis. Nott ne pourrait rien tenter devant une telle foule...pas vrai ? Hermione avait conscience que la plupart des moldus était ivres. On pourra certainement désarmer un seul mangemort, Rosie n'a senti aucun péril imminent, pensa-t-elle, en serrant inconsciemment sa baguette coincée dans sa poche de trench. Dans un coin de son esprit, Hermione réalisa alors que Rosie n'avait pas une seule fois discerné un quelconque danger dans les sentiments qui animaient l'ancien Serpentard. Elle avait seulement changé de comportement lorsque Granger lui avait fait remarquer la nature magique de l'individu et les possibilités qu'un tel flirt pouvait engendrer face au refus évident d'Hermione. N'était-il donc pas...dangereux ? s'étonna Granger au moment même où elle passait devant lui.
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Comment il était arrivé dans ce bar moldu, Theodore n'aurait su le dire. Ses pas l'avaient mené hors de l'appartement qu'il partageait désormais avec Malfoy et sans trop réfléchir, il avait transplané vers le monde moldu. S'il n'était pas vraiment un admirateur des humains sans magie, Theodore devait néanmoins leur accorder qu'ils avaient de bons alcools. Il avait commandé un whisky tout court, sachant que cette boisson existait dans le monde moldu et après avoir été surpris par le goût indéniablement fort, il avait finalement décidé de siroter son verre. Le barman, un homme relativement jeune avec des tatouages décolorés sur les bras et un écarteur à l'oreille gauche, avait étouffé un léger rire en voyant le jeune homme grimacer après sa première gorgée un peu trop enthousiaste. « Il faut y aller doucement, m'sieur, ça se déguste ce genre de whisky. » Theodore s'était contenté d'un regard neutre avec un hochement de tête. S'il n'avait absolument pas envie de suivre les conseils d'un moldu, il dut se résoudre à écouter le barman. « Surtout à cinq heures de l'aprèm... » avait ajouté le type en essuyant un verre. Le regard du sorcier s'était alors fait froid, coupant le sifflet à ce pauvre serveur insignifiant. Entendre ce bougonnement réprobateur avait rappelé à Theodore pourquoi il n'aimait pas les moldus plus que ça. Ils étaient bien trop souvent insouciants, inconscients du malheur qui pourrait leur tomber dessus. Cet homme se permettait de faire des réflexions peu amicales sans avoir la moindre crainte face à son interlocuteur, sans se douter le moins du monde qu'il avait en face de lui un tueur.

Le liquide ambré qui reposait dans son verre se vidait très lentement tandis que le temps passait sans que Theodore n'éprouve l'envie de bouger. Alors qu'il observait les allers et venues, les moldus lui parurent soudainement intrigants, presque intéressant avec leurs objets sophistiqués. Plusieurs portaient à leurs oreilles d'étranges appareils auxquels ils se mettaient à parler. Au coin du bar, suspendu en hauteur, un écran lumineux diffusait des images de ce qui semblait être un terrain vert sur lequel des moldus couraient après une balle. Il vit même, sur sa droite, un imposant personnage sortir un objet, pas plus gros qu'un pouce duquel sortait une petite flamme chaque fois qu'il l'actionnait d'une étrange façon que Theodore aurait été incapable de reproduire.

Alors que son attention était concentrée tout et rien à la fois, le sorcier se stoppa net en inspirant une odeur connue. Un parfum qu'il avait senti encore et encore pendant des années. Dans la bibliothèque de Poudlard, alors qu'il s'installait en face d'elle. Il l'aurait reconnu entre mille autres. Hermione Granger. Il ne se retourna pas d'un coup et préféra attendre pour pouvoir l'observer discrètement et quelle ne fut pas sa déception de voir un tout autre visage, complètement différent de celui de la gryffondor qu'il avait connu. Une bouffée de nostalgie s'empara du jeune Nott tandis qu'il revoyait avec précision les heures qu'il avait passé à la même table de travail que la brillante sorcière. Combien de fois avait-il levé les yeux le plus discrètement possible pour la voir froncer les sourcils en lisant un énoncé ? Tandis que les effluves de parfum continuaient à lui chatouiller les narines, Theodore continuait à revoir le visage d'Hermione Granger, cette née-moldue aux capacités si époustouflantes. La nostalgie fit rapidement place aux regrets. Où était-elle maintenant ? Sûrement avec Potter à se planquer quelque part. Le mangemort qu'il était éprouvait une certaine rage à la savoir dans le camp opposé et pourtant, il ne pouvait se résoudre à la haïr et la considérer comme l'ennemi. Elle était autre chose à ses yeux, depuis cette farce idiote de Malfoy et Zabini, Hermione était devenue bien plus importante que Theodore ne souhaitait le reconnaitre.

Il tenta de rester discret tandis qu'il jetait des coups d’œil en direction des deux filles. Aucune n'avait les traits d'Hermione, ni de près ni de loin. Et pourtant, il avait un pressentiment, une certitude qu'il ne se trompait pas... cette odeur, il la connaissait trop bien pour faire erreur. Se pouvait-il que ce soit vraiment elle ? Aussi discrètement que possible, il continua à observer les deux demoiselles jusqu'à ce qu'il remarque ce geste. Cette manière dont l'une d'elle avait de dégager ses cheveux. Il ne se trompait pas. C'était bien elle, cachée sous du polynectar, il en était désormais sûr. Il en fut encore plus convaincu lorsqu'il constata que les deux jeunes femmes l'observaient, en tentant de rester discrètes. Un sourire amusé se dessina sur ses lèvres tandis qu'il entendit Hermione, dissimulée sous les traits d'une moldue, lancer une phrase désespérément banale. Lorsqu'il comprit qu'elles partaient, Theodore se mit à paniquer. Allait-il la laisser partir comme ça ? Etait-il vraiment capable de la laisser s'échapper ? Il n'avait pas l'intention de la livrer, pas le moins du monde mais plutôt de la protéger, de savoir comment elle allait. Pouvait-il la laisser retourner à sa vie d'insurgée, si dangereuse ? Alors qu'elles passaient, elle et son amie, derrière lui pour se diriger vers la sortie, il s'empara de son verre, avala le liquide ambré qui reposait dedans d'une traite avant de leur emboîter le pas.

Une fois dans la rue, il les suivit un moment avant de se rendre compte de l'erreur qu'il venait de commettre. S'il s'agissait bien d'Hermione Granger, il avait été bien stupide de la suivre, elle et sa complice, sans aucune précaution. Elle devait l'avoir reconnu, vu l'attitude qu'elle avait eu dans le pub et elle devait le voir comme une menace, rien d'autre. Ils avaient beau avoir partager une sorte de complicité à Poudlard, ce temps était désormais révolu et ils appartenaient à présent à deux mondes différents. Pourtant, Theodore, sans même s'occuper de prendre sa baguette, rattrapa les deux jeunes femmes à l'extérieur. « Attendez ! » Il trottina légèrement pour arriver quasiment à leur hauteur. « Eh, attendez... fit-il en venant déposer sa main sur l'épaule de celle qu'il pensait être Hermione. Je crois qu'on se connait. »
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Hermione camoufle à peine un soupir de soulagement quand elles passent toutes les deux devant Theodore, sans qu'il n'esquisse un mouvement pour les retenir. Sa main vibre avec l'adrénaline qui parcourt son corps entier. Etre fugitive depuis des années n'enlève jamais cette crainte indélébile d'être surprise par l'ennemi ou un délateur, et offerte à de futurs geôliers ; après avoir évidemment passé des semaines sous la torture. Elle est l'Indésirable numéro deux, elle le sait, sa capture sera sans doute davantage synonyme de mort que d'esclavage. Sa torture prendra des semaines, et la rendra incapable de tout. Elle en a fait les frais avec Bellatrix, au Manoir Malfoy, quelques années auparavant ; même cela n'a été que de quelques minutes à peine, elle a eu l'impression que le temps s'était figé à jamais. Instinctivement, elle se retient d'effleurer sa cicatrice au poignet. Elle n'est plus visible, et totalement absente sous polynectar. Mais tout de même, se dit-elle, vigilance constante.

Rosie ouvre la porte avec cette énergie qui la caractérise tant, et Granger sent un vent frais lui fouetter le visage. Elle apprécie cette soudaine sensation qui apaise sa peau en feu. L'atmosphère est humide pour un début de juin, mais elle ne se préoccupe guère de resserrer son trench. Tout ce qui lui importe est de s'éloigner autant que possible de Theodore Nott. Rosie est calme, ne perçoit aucun danger. Mais si un mangemort est dans les parages, il est fort probable que d'autres le soient également. Hermione le réalise plus que jamais en cet instant : cette prudence continuelle la fatigue. Elle est toujours sur ses gardes, à surveiller qu'aucun de leurs faits et gestes ne puissent trahir leur présence durant les missions ou même au camp. Elle se comporte ainsi encore plus qu'auparavant, depuis la découverte de leur dernière planque. Granger n'est qu'humaine, et à force d'être sans cesse circonspecte et méfiante, elle passe à côté de certains détails qui pourraient faire toute la différence. Hermione Jean Granger commet des erreurs, et elle se sent impuissante pour les remarquer et les réparer au bon moment. Elle déteste cela, ce sentiment de ne plus contrôler les situations à son maximum. Son monde a toujours été établi par des règles qu'elle s'imposait ou que la société lui astreignait. Et quand elle prenait conscience que la vie n'était plus aussi ordonnée, elle parvenait à ne pas perdre pied, car elle était toujours préparée à ces éventualités.

« Attendez ! » Elle entend des pas s’accélérer derrière elles, et Hermione double la cadence de ses propres pas, le cliquetis de ses talons sur le bitume résonnant  dans le silence pesant. Theodore bien plus grand et rapide, parvient sans peine à la rattraper. Prépare toi, se dit-elle alors, déterminée et un brin fébrile. « Eh, attendez...Je crois qu'on se connait. »  

C'est étrange d'entendre à nouveau sa voix, après tant d'années passées. Cela la replonge à l'époque beaucoup plus insouciante qu'était Poudlard. Des moments passés à se demander pourquoi ce Serpentard absolument irrésistible mais ô combien froid et mystérieux avait tenu à rester auprès d'elle, à sa table. Comment, parfois, elle l'avait surpris à la dévorer du regard quand elle avait les yeux fixés sur des lignes de bouquins. Granger n'avait jamais réussi à prévoir les humeurs et actions de Theodore Nott. Il était resté l'énigme qu'elle n'avait jamais pu résoudre. Un véritable mystère pour l'érudit qu'est Hermione. Un problème qui ne fait que s'accentuer lorsqu'elle sent la chaleur de la main du mangemort sur son épaule. Une sorte de connexion instantané les lie soudainement, une force magique presque électrisante qui la fait sursauter, et - elle ne sait pour quelle raison - rougir. Par Merlin, que vient-il donc de se passer ? Sa respiration s’accélère, alors qu'elle sent son estomac se nouer. C'est particulier, agréable même. Des émotions qu'elle n'a pas ressenti depuis....depuis la dernière fois que Ron l'avait embrassée, il y a plus d'un an. Hermione panique.

« Je ne pense pas que ça soit le cas. Vous nous en voyez sincèrement désolée, monsieur. » s'exclame-t-elle soudainement d'une petite voix aiguë et d'un ton incroyablement rapide. Il sait. Comment ? Pourquoi ? Elle n'en a strictement aucune idée, et son esprit s'échauffe déjà pour trouver une quelconque hypothèse un tant soit peu plausible. Nott sait qu'elle est Hermione, pis encore il sait qu'elle en a conscience. Comment cela est-il donc possible ? Cette magie abrupte et fugace lorsqu'il l'a touchée aurait-elle eu un impact particulier ? Hermione reste toujours de dos, alors que Rosie ressent également le brusque changement de situation grâce à son don d'empathie. La jeune fille se retourne légèrement pour détailler le visage de Theodore,  tout en jetant un coup d'oeil intrigué à son amie.
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